Archive pour le Tag 'beurre'

Trop d’eau dans le beurre !

Trop d’eau dans le beurre !

On connaissait déjà les produits surgelés qui contiennent souvent autant d’eau que de matière mais cette fois il s’agit du beurre dont parfois un tiers est composé d’eau. Les contrôles menés par la Répression des fraudes ont montré que près d’un échantillon sur six prélevés dépassait la teneur maximale en eau autorisée. ( info du Figaro)

De nombreux beurres hors-la-loi. La Direction générale de la répression des fraudes (DGCCRF) a épinglé les pratiques de certains professionnels, affirmant dans un communiqué avoir détecté un «taux d’anomalie» de 29,5% lors d’une vaste enquête.

Sur les 89 échantillons prélevés lors des contrôles et analysés en laboratoire, 15% avaient notamment une teneur en eau supérieure au maximum de 16% imposé par les normes européennes. Une astuce classique des industriels de l’agroalimentaire qui permet au fabricant de réduire ses coûts de matières premières, mais qui «altère la qualité des produits», rappelle la DGCCRF.

Les contrôleurs ont également «souvent» constaté l’usage de matière grasse de lactosérum (le petit-lait) à la place de crème – ou un mélange des deux .

La DGCCRF dit avoir également mis au jour des pratiques de réutilisation par les industriels de beurres mal emballés ou retournés «en les faisant fondre et en les réincorporant dans les fabrications des beurres de qualité supérieure comme des beurres extra-fins pour lesquels le recyclage est interdit».

Boris Johnson et l’union économique : le beurre et l’argent du beurre

Boris Johnson et l’union économique : le beurre et l’argent du beurre

 

Le positionnement de Boris Johnson est pour le moins curieux même s’il faut s’attendre à tout de la part de ce provocateur. En fait, il veut un accord avec un libre accès au marché européen sans droit de douane. Bref il veut continuer de profiter des avantages de l’union mais surtout sans ses inconvénients c’est-à-dire ses obligations. S’il devient Premier ministre, Boris Johnson proposera à l’Union européenne (UE) d’ouvrir immédiatement des négociations pour établir un accord de libre-échange et si Bruxelles refuse, le Royaume-Uni optera pour un Brexit sans accord le 31 octobre, a déclaré mardi Iain Duncan Smith le directeur de campagne de l’ancien ministre des Affaires étrangères.« Ce que Boris a dit clairement, c’est cela : ‘Nous n’allons pas revenir en arrière et renégocier (l’accord de Brexit conclu entre Theresa May et l’UE) », a dit Iain Duncan Smith à la chaîne Sky News.« Ce que nous allons faire, c’est mettre sur la table une proposition différente et leur dire: ‘Écoutez, nous voulons un accord de libre-échange. Nous pouvons commencer à en parler dès à présent si vous êtes sérieux et si vous voulez avoir un processus qui signifie que nous ne terminons pas… avec des droits de douane après le 31 octobre. Si c’est ce que vous voulez, nous sommes prêts à discuter », a-t-il poursuivi. L’Union européenne a jusqu’à présent refusé d’entamer des négociations sur ses futures relations avec le Royaume-Uni tant que l’accord de Brexit n’aura pas été ratifié.

Beurre: la fausse pénurie

Beurre: la fausse pénurie

Officiellement il y aurait une pénurie de beurre en France. Mais cette pénurie est organisée du fait du conflit sur les prix entre industriels laitiers et grande distribution.  Selon une étude du cabinet Nieslen, Près d’un tiers (30%) de la demande de beurre n’a pas été satisfaite en grande surface entre le 16 et le 22 octobre, Les nombreux rayons vides dans la plupart des grandes et moyennes surfaces depuis plus de deux semaines sont le résultat, selon les éleveurs laitiers, des pratiques des distributeurs, qui ne paient pas le juste prix aux producteurs. « C’est un problème de négociations commerciales entre industriels laitiers et distributeurs« , a indiqué à l’Agence France-Presse une porte-parole de la FNPL (producteurs de lait).   »Les explications affichées, qui pointent notamment une production insuffisante, ne nous plaisent pas. Nous sommes soumis à un contrat et nous le remplissons en fonction de ce que l’on nous donne le droit de faire », a déclaré la FNSEA   Les agriculteurs souhaitent « rétablir la vérité avec des affichettes dans les rayons où il y a soi-disant pénurie ». Déjà, dans une note conjoncturelle de juin dernier, le centre national interprofessionnel de l’économie laitière (Cniel) expliquait que « l’absence de certains produits en rayon est révélatrice de tensions entre certaines enseignes de la grande distribution et leurs fournisseurs » « Dans un contexte de guerre des prix entre distributeurs, la majorité des centrales d’achats françaises refusent de procéder à des hausses tarifaires nécessaires. Le prix du beurre au consommateur a ainsi augmenté de 6% entre août 2016 et août 2017 en France selon l’Insee, quand dans le même temps il a augmenté de 72% en Allemagne », ajoutait le Cniel dans cette note.   »Il va falloir que la grande distribution tienne compte du juste prix. Chacun doit prendre ses responsabilités », a rappelé d’une manière générale le ministre de l’Agriculture Stéphane Travert, sur Radio-Classique, sans citer le beurre en particulier.  « Aujourd’hui nous sommes arrivés au bout d’un cycle où chacun a bien compris que si l’agriculteur ne gagne pas sa vie correctement, il n’y aura plus d’agriculteurs », a-t-il ajouté.

 

Brexit : Londres veut le beurre et l’argent du beurre de l’Irlande

Brexit : Londres veut le beurre et l’argent du beurre de l’Irlande

 

 

Le Royaume- uni pense avoir trouvé la martingale sortir de l’imbroglio des négociations concernant le Brexit. . Pourtant, la ficelle semble toutefois un peu grosse puisque Londres propose de quitter l’union économique mais de supprimer la frontière avec l’Irlande. Ce qui lui permettrait indirectement de continuer à bénéficier des conditions actuelles de commerce avec l’union européenne via l’Irlande. Une proposition qui ne peut évidemment être acceptée par Bruxelles l qui considère qu’il n’y a que deux positions sheaspeariennes : être ou ne pas être dans l’union économique. Bruxelles n’a eu de cesse de répéter que le pays ne devait pas s’attendre à bénéficier après le Brexit des mêmes avantages que ceux procurés par une appartenance à l’UE. En clair, quitter l’Union européenne, c’est quitter à la fois le marché unique et l’union douanière. Et d’autre part, laisser un pays de l’UE sans frontière avec le Royaume-Uni après le Brexit serait une exception a priori invraisemblable. Ainsi, en liant cette question à celle des futures relations commerciales, le gouvernement britannique tente de forcer la main au club des 27. Mais, pour les responsables européens, ce n’est pas la bonne façon de procéder. Bruxelles n’a cessé de le marteler : il faut d’abord régler ces trois sujets prioritaires, à savoir le sort des citoyens européens après la séparation, le montant de la facture de sortie, et la question de la frontière irlandaise, et cela, avant toute négociation commerciale. « Nous avons des principes très clairs. Notre priorité est de s’entendre sur l’absence d’infrastructures frontalières qui seraient un retour aux postes-frontières du passé, ce qui est totalement inacceptable pour le Royaume-Uni », a écrit le ministère de David Davis en charge des négociations du Brexit dans un communiqué.

 

Londres : le beurre, l’argent du beurre et la zizanie entre la vache et la fermière

Londres : le beurre, l’argent du beurre et la zizanie entre la vache et la fermière

Il apparaît de plus en plus clairement que la Grande-Bretagne n’a pas de plan B pour gérer le brexit y comprit la première ministre Theresa May ;  la position de la grande Bretagne paraît en effet schizophrénique. Pour respecter le chois des  électeurs,  le gouvernement britannique confirme qu’il veut une rupture avec l’union européenne mais en conservant les  avantages de membre. Pour cela la Grande-Bretagne tente de faire durer le plus possible les négociations qui normalement ne devraient pas dépasser deux ans. Mais il est vrai que la complexité du dossier pourrait encourager les Britanniques à donner encore du temps au temps en espérant notamment que l’Allemagne s’efforcera de limiter les inconvénients d’un départ de l’union économique.  Dans le même temps la Grande-Bretagne veut négocier directement avec les acteurs économiques comme Renault par exemple pour accorder des droits de douane réduits spécifiques. Récemment Theresa May a aussi engagé des négociations avec la Pologne, pays relativement eurosceptique en matière d’échanges économiques. En clair la Grande-Bretagne cherche à diviser les partenaires européens pour adoucir les conséquences du brexit. Pas forcément une attitude qui sera très appréciée en Europe. La Première ministre britannique Theresa May a ainsi discuté lundi avec son homologue polonais du renforcement de la coopération entre Londres et Varsovie dans les secteurs de la défense, de la sécurité et du commerce, cherchant à trouver un terrain d’entente après la décision des Britanniques de sortir de l’Union européenne. Ce sommet, auquel participaient de nombreux ministres, était essentiellement consacré aux relations entre les deux pays dans le contexte de la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne. « La Grande-Bretagne et la Pologne étaient de proches alliés au sein de l’Union européenne et nous prévoyons de nous rapprocher davantage une fois que le Royaume-Uni sera parti », a déclaré Theresa May lors d’une conférence de presse organisée après la rencontre.




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