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Bettancourt Sarkozy : Henri Guaino, Zola ou Nabila, allo, bah allo quoi ! Insignifiant !

Bettancourt Sarkozy : Henri Guaino, Zola ou Nabila, allo, bah allo quoi ! Insignifiant !

 

Le député UMP Henri Guaino se compare à Zola et cite Dreyfus a propos de sa contestation dans l’affaire Bettencourt où est impliqué Sarkozy. Il doit confondre Zola et Nabila, «  allo, bah, allo quoi », le sommet de l’insignifiance mais aussi de la suffisance pour Guaino qui se croit sans doute protégé par l’impunité divine comme les 105 députés sarkosistes qui le soutiennent (tu m’étonnes, ils ont été élus aussi grâce aux sous de la « vieille ») ! Guaino a cité dimanche l’affaire Dreyfus pour expliquer sa rébellion contre le juge Jean-Michel Gentil, dont il conteste avec force le motif de mise en examen de Nicolas Sarkozy dans le dossier Bettencourt. Sur France 5, l’ex-conseiller de l’Elysée s’est défendu contre ceux qui l’accusent d’avoir outragé la magistrature ou de tenter de faire pression sur elle, en disant du juge bordelais qu’il « déshonore la justice » en mettant l’ex-président en examen pour abus de faiblesse. Henri Guaino a évoqué le propos de Philippe Bilger dans le Parisien-Dimanche, qualifiant de « détestables » ses « insultes » et de « lamentable » le soutien que lui ont apporté une centaine de députés UMP. « Si on suivait mon ami Bilger, si on suivait les syndicats de magistrats, alors il faudrait immédiatement retirer de tous les manuels scolaires le J’accuse de Zola qu’on fait apprendre à nos enfants pour leur essayer de leur donner une élévation morale », a argumenté l’élu des Yvelines. « Dans l’Affaire Dreyfus, celui qui avait déshonoré l’armée, ce n’était pas Zola qui contestait l’autorité de la chose jugée, c’était le juge qui avait condamné un innocent », a poursuivi Henri Guaino, féru d’Histoire. « Il a été traduit en cour d’assise pour ça ». « A qui donne-t-on raison aujourd’hui ? », a demandé le proche de Nicolas Sarkozy. « Ce n’est pas l’affaire Dreyfus, je ne suis pas Zola », a-t-il concédé. « Mais est-ce que ces grandes leçons ne doivent jamais servir? » « On a le droit de juger moralement tout agent public », a-t-il dit, tout en prévoyant le déclenchement « d’un « grand débat » sur la justice, notamment sur la responsabilité des magistrats. Un message adressé notamment par le député au président François Hollande « qui veut redonner la majorité au sein du Conseil supérieur de la magistrature aux magistrats, pour qu’ils se jugent eux-mêmes ». « Il faudra se poser aussi la question des syndicats de magistrats », a encore dit M. Guaino, en allusion au « mur des cons » filmé dans un local du Syndicat de la magistrature. « Je n’ai pas entendu le président de la République rappeler à l’ordre », ni « aucun syndicat de magistrats s’excuser », a-t-il déclaré.

 

Bettancourt- l’île d’Arros : comme kerviel, un lampiste

Bettancourt- l’île d’Arros : comme kerviel, un lampiste

La justice incapable de comprendre l’organisation systémique de la fraude fiscale des grands groupes, la justice  se rabat sur les lampistes, comme dans l’affaire kerviel-Société générale. Du menu fretin : dans l’affaire Bettancourt. Carlos Cassina Vejarano, l’ancien gestionnaire espagnol de l’île seychelloise de Liliane Bettencourt, a été mis en examen vendredi à Bordeaux par le juge d’instruction Jean-Michel Gentil, a indiqué son avocat Me Olivier Pardo. Carlos Cassina Vejarano, 64 ans, assisté de ce dernier et d’une autre avocate du cabinet, Me Anne-Jessica Fauré, a été mis en examen pour abus de faiblesse et escroquerie, au terme d’une audition de près de dix heures trente. Il a été laissé libre avec un contrôle judiciaire lui interdisant de communiquer avec les autres parties du dossier, mais sans avoir à payer de caution, a précisé Me Pardo. L’escroquerie qui lui est reprochée porte sur une augmentation du loyer payé par Liliane Bettencourt pour l’occupation de l’île d’Arros — dont elle était par ailleurs propriétaire — et l’abus de faiblesse sur une somme de deux millions d’euros que l’héritière de L’Oréal lui a donnée en 2009. Voulant s’acheter un bien immobilier, il avait demandé à la milliardaire un prêt de sept millions d’euros, mais l’entourage de Liliane Bettencourt, notamment son ancien homme de confiance, Patrice de Maistre, avait préféré conseiller à celle-ci de lui donner purement et simplement ces deux millions.

 

 




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