Archive pour le Tag 'bêtise'

Politique-Emeutes des quartiers : le triomphe de la bêtise de gosses mal élevés et et de l’impuissance politique

Politique-Emeutes des quartiers : le triomphe de la bêtise de gosses mal élevés et et de l’impuissance politique

Il y a quelque chose de pathétique dans les explications de jeunes impliqués dans les émeutes. Pour eux , il s’agirait d’une vengeance et de répondre par la haine à la haine. Le seul problème c’est que cette haine contre les institutions, les biens et les personnes visent surtout les populations où ils sont résidents. Une sorte de manière de se tirer une balle dans le pied en appauvrissant encore un peu plus des quartiers déjà peu favorisés.

Il n’y a évidemment aucune gloire ni aucun courage à brûler des bus, des écoles et autres équipements publiques ou privées. Seulement la lâcheté qui émerge de foules en délire. La plupart des intéressés se vengent surtout de leur propre échec et rejette en même temps institutions et valeurs républicaines. Dans nombre de pays en développement, ces révoltes n’auraient pas duré longtemps car la régulation des violences obéit à d’autres principes qui ne sont pas les principes laxistes des démocraties développées.

Avec le recul on pourra considérer qu’il s’agissait d’une sorte de révolution des cours d’école puisque la plupart des impliqués ont autour de 15 à 16 ans (17 ans en moyenne) mais une cour d’école où le crime prend la place des jeux. Car il s’agit bien de jeux pour beaucoup qui cassent pour casser. Une sorte de révolte contre leur propre parcours scolaire. On comprend mal que le pouvoir n’est pas réagi immédiatement en décrétant l’état d’urgence pourtant souhaité par 70 % de la population d’autant qu’il s’agit de gamins stupides et violents.

Encore la démonstration de l’impuissance de l’État qui tente toujours de ménager les uns et les autres et qui fait du en même temps dans le domaine sociétal. Certes la réponse globale ne serait être uniquement en termes de répression mais là encore Macron a choisi l’immobilisme. Pire, il a humilié publiquement le rapport Borloo qu’il avait lui-même commandé sur des banlieues en mai 2018. Justement un plan global qui manque tellement aujourd’hui.

Emeutes des quartiers : le triomphe de la bêtise et de l’impuissance

Emeutes des quartiers : le triomphe de la bêtise et de l’impuissance

Il y a quelque chose de pathétique dans les explications de jeunes impliqués dans les 10 émeutes. Pour eux , il s’agirait d’une vengeance et de répondre par la haine à la haine. Le seul problème c’est que cette haine contre les institutions, les biens et les personnes visent surtout les populations où ils sont résidents. Une sorte de manière de se tirer une balle dans le pied en appauvrissant encore un peu plus des quartiers déjà peu favorisés.

Il n’y a évidemment aucune gloire ni aucun courage à brûler des bus, des écoles et autres équipements publiques ou privées. Seulement la lâcheté qui émerge de foules en délire. La plupart des intéressés se vengent surtout de leur propre échec et rejette en même temps institutions et valeurs républicaines. Dans nombre de pays en développement, ces révoltes n’auraient pas duré longtemps car la régulation des violences obéit à d’autres principes qui ne sont pas les principes laxistes des démocraties développées.

Avec le recul on pourra considérer qu’il s’agissait d’une sorte de révolution des cours d’école puisque la plupart des impliqués ont autour de 15 à 16 ans (17 ans en moyenne) mais une cour d’école où le crime prend la place des jeux. Car il s’agit bien de jeux pour beaucoup qui cassent pour casser. Une sorte de révolte contre leur propre parcours scolaire. On comprend mal que le pouvoir n’est pas réagi immédiatement en décrétant l’état d’urgence pourtant souhaité par 70 % de la population d’autant qu’il s’agit de gamins stupides et violents.

Encore la démonstration de l’impuissance de l’État qui tente toujours de ménager les uns et les autres et qui fait du en même temps dans le domaine sociétal. Certes la réponse globale ne serait être uniquement en termes de répression mais là encore Macron a choisi l’immobilisme. Pire, il a humilié publiquement le rapport Borloo qu’il avait lui-même commandé sur des banlieues en mai 2018. Justement un plan global qui manque tellement aujourd’hui.

Emeutes: le triomphe de la bêtise et de l’impuissance

Emeutes: le triomphe de la bêtise et de l’impuissance

Il y a quelque chose de pathétique dans les explications de jeunes impliqués dans les 10 émeutes. Pour eux il s’agirait d’une vengeance et de répondre par la haine à la haine. Le seul problème c’est que cette haine contre les institutions, les biens et les personnes visent surtout les populations où ils sont résidents. Une sorte de manière de se tirer une balle dans le pied en appauvrissant encore un peu plus des quartiers déjà peu favorisés.

Il n’y a évidemment aucune gloire ni aucun courage à brûler des bus, des écoles et autres équipements publiques ou privées. Seulement dux la lâcheté qui émerge de foules en délire. La plupart des intéressés se venge surtout de leur propre échec et rejette en même temps institutions et valeurs républicaines. Dans nombre de pays en développement ces révoltes n’auraient pas duré longtemps car la régulation des violences obéit à d’autres principes qui ne sont pas les principes laxistes des démocraties développées.

Avec le recul on pourra considérer qu’il s’agissait d’une sorte de révolution des cours d’école puisque la plupart des impliqués ont autour de 15 à 16 ans (18 ans en moyenne) mais une cour d’école ou le crime prend la place des jeux. Car il s’agit bien de jeux pour beaucoup qui cassent pour casser. Une sorte de révolte contre leur propre parcours scolaire. On comprend mal que le pouvoir n’est pas réagi immédiatement en décrétant l’état d’urgence pourtant souhaitée par 70 % de la population d’autant qu’il s’agit de gamins stupides et violents.
Encore la démonstration de l’impuissance de l’État qui tente toujours de ménager les uns et les autres et qui fait du en même temps dans le domaine sociétal. Certes la réponse globale ne serait être uniquement en termes de répression mais là encore Macon a choisi l’immobilisme. Pire il a humilié publiquement le rapport Borloo qu’il avait lui-même commandé sur des banlieues en mai 2018. Justement un plan global qui manque tellement aujourd’hui.

Affaire Mila : La conséquence aussi de la bêtise ordinaire

Affaire Mila : La conséquence aussi de la bêtise ordinaire

 

Au fondement de « l’affaire » Mila se trouve le refus de distinguer entre préjudice (direct) et offense (indirecte), mais aussi entre les êtres humains et les figures non humaines, écrit le sociologue Smaïn Laacher dans une tribune au « Monde ».

 

Tribune. 

On a beaucoup dit, lors du procès des harceleurs de Mila, que nous étions en présence d’un « procès hors norme ». Quantitativement, cela ne fait aucun doute : une vidéo vue environ 35 millions de fois, des centaines de milliers de messages adressés à une seule personne. Et, pour la première fois, dix hommes et trois femmes entre 18 et 28 ans sur le banc des prévenus pour harcèlement et menaces de mort [onze ont été condamnés à des peines allant de quatre à six mois de prison avec sursis mercredi 7 juillet par le tribunal de Paris].

En face, une seule personne, Mila, devenue, malgré elle, une sorte de « chose publique » ; seulement un prénom (même pas un nom de famille) qui suscite exclusivement haine ou soutien, ce dernier se faisant rare publiquement, en particulier venant d’associations féministes et LGBT. Bien entendu, puisqu’il s’agit des réseaux sociaux, dans ce procès comme ailleurs, on s’est empressé d’opérer une distinction entre la « virtualité » et la « réalité », atténuant du même coup le mobile, l’intention et les conséquences. Tous les prévenus ont expliqué leur geste, non à l’aide de ces trois catégories d’intelligibilité, mais par une subite « émotion » leur interdisant tout début de réflexion : « j’ai tweeté à chaud », « j’ai tweeté pour rigoler », « je me suis senti choqué », etc.

 

Le rapport pratique à Twitter des treize prévenus s’inscrit dans une routine, une sorte de préréflexion. La moindre délibération intérieure est inexistante ; leur réaction se réduit à une série de microdécisions sans hésitation ; c’est « liker » ou répondre à la « communauté », comme disent les twittos, ou s’adresser directement à Mila. Comme si le champ de vision se limitait à quelques mots et à un écran, avec un espoir à peine dissimulé d’accès à la lumière et à la célébrité.

 

Ces treize jeunes sont tous issus de milieux populaires, peu ou pas diplômés, certains ayant même été harcelés pendant leur scolarité, faiblement socialisés, majoritairement athées (ou se qualifiant comme tel), et aucun d’entre eux n’est converti à l’islam. Dans ce cas précis, leur « solidarité » avec les musulmans indignés n’est pas une fraternité entre dévots mais le produit d’une affinité sociale avec des jeunes du même âge partageant les mêmes conditions d’existence et le même rapport approximatif à l’islam comme culture et identité. Contrairement à leur affirmation sur la théorie de la « réaction à chaud », ils procédaient, dans une très large mesure, dans une « improvisation réglée » permettant ainsi de faire l’économie, parce que ni possible ni nécessaire, d’une réflexion élémentaire sur leur geste et ses conséquences.

Nouvelle carte d’identité en anglais : bêtise symbolique

Nouvelle carte d’identité en anglais : bêtise symbolique

Le recours à la seule langue anglaise pour traduire les mentions de la future carte d’identité européenne en France relève de « la bêtise symbolique », estiment la philosophe Barbara Cassin et Xavier North, ancien délégué général à la langue française et aux langues de France, dans une tribune au « Monde ».

Tribune. 

 

Une nouvelle carte d’identité sera obligatoire en France à partir du 2 août. Biométrique, en polycarbonate et inscription laser, de la dimension d’une carte bancaire, elle est sécurisée et permet de mieux lutter contre les fraudes. La directive européenne stipule que la dénomination du document, « Carte d’identité », doit apparaître dans la ou les langues officielles de l’Etat membre de délivrance et dans au moins une autre langue officielle des institutions de l’Union.

« La langue de la République est le français », dit notre Constitution. « La langue de l’Europe, c’est la traduction », disait Umberto Eco. Nous sommes français et européens. Cette directive nous convient !

L’Allemagne et l’Autriche ont choisi, à côté de l’allemand, l’anglais et le français. La Roumanie a choisi à côté du roumain l’anglais et le français. Deux langues plutôt qu’une, et parmi ces langues le français. Et nous ? Quelle langue, quelles langues allons-nous choisir ?


Tout faux ! En décidant de traduire en anglais et en anglais seulement, toutes les mentions de notre nouvelle carte d’identité, nous avons tout faux !

Insultant

S’adresser en anglais à des chefs d’entreprise anglophones pour les inciter à investir en France, c’est intelligent. Traduire sur le document symbolique de la citoyenneté française, outre « carte d’identité » par « identity card », « nationalité » par « nationality », « sexe » par « sex », et « N° du document » par « Document N° », c’est insultant pour le Français comme pour l’Européen.


Se limiter à l’anglais, après le Brexit qui plus est, et non pas pour parcourir le monde comme avec le passeport, mais pour arpenter notre Europe, c’est envoyer trop de mauvais messages. La langue de l’Europe, tout comme la langue du monde, ne serait donc que le globishglobal English, une langue de pure communication ? Inutiles, toutes ces langues de culture qui font la richesse de l’Europe… Quant à la francophonie, pourquoi parlerait-elle encore français puisque le français n’a plus rien d’une langue-monde, et que l’anglais convient à l’identité française ?

Rugy se compare à l’affaire Dreyfus ou le summum de la bêtise

Rugy se compare à l’affaire Dreyfus ou le summum de la bêtise

 

Non seulement De Rugy a mis les mains dans le port de confiture en se roulant dans les ors de la République mais en plus il ose comparer son affaire à celle de Dreyfus. De Rugy se dit aussi être la victime expiatoire des Gilets jaunes. Bref, presque Jeanne d’Arc. En plus,  ce serait un complot,  Injuste bien entendu puisqu’il affirme avoir tour joué la transparence. Il est vrai que sur le plan politique de Rugy a toujours été très transparent !

À grand renfort de communication de Rugy,  ancien ministre de l’écologie, accusé d’avoir mis les doigts dans le pot de confiture lorsqu’il était président de l’Assemblée nationale avait réagi avec grandiloquence contre la presse en général et Mediapart en particulier. Il menaçait de mettre tout ce beau monde en prison en les attaquant en justice. La vérité est moins glorieuse  car sur les quatre ou cinq faits indiscutables reprochés à de Rugy, l’intéressé n’a retenu qu’une plainte finalement assez secondaire concernant l’appartement qu’il occupait à Ormeau en Loire-Atlantique. Un appartement qui a bénéficié d’une  aide sociale  dont paraît-il il n’était pas au courant. Par contre, pour les dérives relatives son passage comme président de l’Assemblée nationale, pas un mot, pas une plainte. Mediapart a seulement reçu mardi une assignation après le dépôt d’une plainte en diffamation de François de Rugy au sujet d’un article sur le logement qu’il a occupé à Orvault en Loire-Atlantique. À la télévision, l’ex-ministre s’est montré très offensif contre la presse.

 Les révélations qui ont miné la position de François de Rugy au sein du gouvernement avant de précipiter son départ ont touché des objets très divers: dîners fastueux à l’hôtel de Lassay lorsqu’il était président de l’Assemblée nationale, coûteux travaux dans son appartement de fonction, utilisation de son chauffeur à Nantes, et location d’un logement à vocation sociale à Orvault, Au journaliste Patrick Cohen sur France cinq qui lui demandait pourquoi il n’avait pas jugé bon de porter plainte pour les autres articles, il a avancé: « Je vais vous dire une chose et ça tous les Français qui portent plainte le savent bien. Vous savez combien ça coûte de faire des procédures judiciaires ? Vous savez combien ça m’aurait coûté si j’avais dû porter plainte non seulement sur chaque article mais en plus à l’intérieur de chaque article sur plusieurs mensonges ? Il faut être très riche en France pour faire valoir son bon droit sur la vérité quand on est face à une campagne aussi forte ! ». «Mais je sais d’où ça vient», ajoute l’ex-président de l’Assemblée nationale, convaincu d’avoir été victime d’une «vengeance» à trois origines. «Une vengeance politique de mon ancien parti» (EELV), mais aussi une «vengeance politico-syndicale» venant de l’Assemblée – «où j’avais engagé une réforme de la fonction publique parlementaire» – et du ministère de la Transition écologique – «où (…) j’avais engagé un certain nombre de changements qui déplaisaient fortement et bousculaient un certain nombre d’intérêts bien établis» !!!

 

Évacuation brutale de la ZAD : la grosse bêtise

Évacuation brutale de la ZAD : la grosse bêtise

 

 

Pour faire passer la pilule de l’abandon d’un nouvel aéroport à Notre-Dame des Landes, tout doucement le gouvernement opère un glissement thématique. L’enjeu pour l’autorité de l’État ne serait plus la construction d’un nouvel aéroport mais le nettoyage militaire de la zone  occupée par 200 à 300 “zadistes”. Une immense opération de nettoyage mobilisant environ 3000 militaires et gendarmes seraient en préparation, soit la plus grosse opération militaire de l’Hexagone depuis la seconde guerre mondiale. Le gouvernement veut frapper fort pas tellement sur les écolos gauchistes mais sur l’opinion publique pour montrer la restauration de l’autorité de l’État. En outre il s’agit d’une demande sociale puisqu’une majorité de Français souhaite ce nettoyage. Ceci étant on ne gouverne pas à coups de sondages ou même de référendum car l’opinion française et versatile. Il suffirait que l’intervention des forces de la tourne mal pour que l’opinion se retourne. D’une certaine manière, on veut faire  faire payer aux zadistes  qui certes ne sont pas tous des enfants de cœur  l’inertie totale qu’on manifeste dans nombreux de zones de non-droit de la république. Une stratégie ridicule et dangereuse. En effet dès lors que l’abandon de Notre dame des landes sera officialisé on voit mal pourquoi se  maintiendrai sur place autant de zasistes. Il est vraisemblable que les terres acquises par l’État seront rétrocédées aux agriculteurs et que progressivement zasistes  perdront l’objet social de leurs mobilisations. Selon Ronan Dantec, sénateur écologiste de Loire-Atlantique opposé au projet,  s‘est déclaré confiant quant à un retour à l’état de droit dans la Zad, où des agriculteurs ont été expropriés. “Il faut se laisser du temps, peut-être nommer un médiateur. Il y a peut-être des zones à garder pour leur biodiversité exceptionnelle et avoir une cartographie de sortie de crise”, a-t-il dit à la presse à Matignon. Mais pour Bruno Retailleau, président du groupe Les Républicains du Sénat et élu de l‘Ouest, le gouvernement ne saurait “capituler devant les ultra-violents”.

Renault : départ de Ghosn, la grosse bêtise

Renault : départ de Ghosn, la grosse bêtise  

 

Il est maintenant probable que Carlos Ghosn,  sera prochainement remplacé puisque son mandat s’achève en mai 2018. Un départ qui est aussi souhaité par l’intéressé. Pas étonnant car ce grand patron en dépit de ses réussites tout à fait exceptionnelles  n’a cessé d’être querellé par les différents pouvoirs politiques. D’une certaine façon, laisser filer Carlos Ghosn,  constitue une erreur monumentale car il n’est pas certain que son successeur fasse preuve du même charisme et des mêmes compétences pour gérer cette entreprise aussi stratégique. Quand Carlos Ghosn, a prit Renault la société était dans un état lamentable et il a réussi à en faire pratiquement le numéro un mondial grâce à la modernisation de Renault et à sa  stratégie d’alliance. A 63 ans Carlos Ghosn,  est encore suffisamment jeune pour diriger encore le groupe de ce point de vue la mode du jaunissement et du dégagisme dans les différentes structures politiques économiques et sociétales n’est pas forcément un gage d’efficacité. Certes les jeunes générations doivent prendre leur place mais ce n’est pas une raison pour écarter des responsables encore en pleine possession de leurs moyens. De ce point de vue, il faudra bien prendre en compte un jour l’allongement considérable de la vie. L’âge limite pour assurer certaines actions constitue une idiotie car ce qui est à prendre en compte ce sont les capacités mentales, physiques et psychologiques dés intéressés. On objectera que Carlos Ghosn,  avait parfois des méthodes un peu radicales  (y compris pour sa rémunération) qui  pouvaient prêter à controverse reste qu’il n’y a pas de grands patrons français qui ont été capables de prendre une entreprise nationale en pleine dérive pour en faire ensuite un numéro un mondial performant. Il faut quand même espérer que Carlos gone conservera la présidence de l‘alliance Renault-Nissan récemment élargie à Mitsubishi. Renault a donc lancé le processus de sélection d‘un successeur au PDG Carlos Ghosn, dont le mandat s‘achève en mai prochain, et mandaté des chasseurs de tête qui ont commencé à auditionner les candidats éventuels, rapporte mercredi le quotidien Les Echos sur son site internet. Selon le journal, le dauphin de Carlos Ghosn, 63 ans, devrait être désigné au conseil d‘administration en février prochain, pour que les actionnaires puissent se prononcer lors de la prochaine assemblée générale du constructeur automobile, programmée le 15 juin, et dont les résolutions doivent être publiées en avril. Reuters a rapporté début juin que le PDG de Renault, qui a cédé cette année la direction opérationnelle de Nissan pour n‘en conserver que la présidence, était aussi à la recherche d‘un nouveau responsable opérationnel pour l‘alliance afin de préparer sa propre succession. Des sources avaient alors indiqué que plusieurs hauts dirigeants de Renault et de Nissan avaient posé leur candidature dans le cadre d‘un processus de recrutement interne, notamment l‘espagnol Jose Munoz, directeur délégué à la Performance de Nissan, le japonais Yasuhiro Yamauchi, directeur délégué à la compétitivité du groupe nippon, l‘allemand Stefan Mueller, homologue de Jose Munoz chez Renault, et le français Thierry Bolloré, homologue de Yasuhiro Yamauchi dans le groupe au losange.

Le Pen : porte-parole de la colère ou de la bêtise ?

Le Pen : porte-parole de la colère ou de la bêtise ?

 

Pour tenter sans doute de masquer son échec lors du débat avec Macron  (seuls 20% des Français estiment qu’elle a réussi sa prestation),    Marine Le Pen a expliqué jeudi qu’elle voulait incarner la colère du peuple. « La colère de (la) majorité silencieuse » face à des « puissants » aux « oreilles délicates » lors de son dernier meeting de campagne, organisé dans un village de Picardie, avant le second tour de l’élection présidentielle. La question est de savoir s’il s’agit de la colère ou de la bêtise.  En effet,  Marine Le Pen a donné l’image d’une ignorance crasse qui sans doute correspond à la sociologie des plus paumés. Paumés parce que souvent  victimes des restructurations en cours dans l’économie et la société et qu’ils n’entrevoient pas d’alternative possible en raison notamment de leur manque de qualification et de mobilité. Aussi en raison de leur manque de formation initiale. Et de ce point de vue l’Etat porte uen grave responsabilité pour n’avoir pas su organiser uen requalification massive de ces exclus ; (d’autant que les 33 milliards annuels de la formation permanente sont détournés de leur objet pour une grande partie). Mais dans les soutiens de Le Pen aussi nombre d’aigris et de réactionnaires, pas forcément sous diplômés en décalage avec l’évolution culturelle. Du coup, Marine Le Pen en s’appuyant sur cette ignorance, sur les peurs voir sur les haines donne une légitimité à la brutalité et à la nullité de ces propos. « J’ai été à la table de ce débat la voix du peuple, l’expression de la colère de cette majorité silencieuse, qui n’en peut plus de l’abandon auquel on la confine », a ajouté Marine Le Pen. « Ma parole a été l’écho de la violence sociale qui va exploser dans ce pays. » « C’est vrai, le débat d’hier ne ressemblait pas aux autres (…). Mais les autres, c’étaient des discours convenus entre des gens qui pensaient exactement la même chose », a encore déclaré la candidate frontiste. « Je suis très fière (…) d’avoir imposé le peuple à la table des puissants et tant pis si leurs oreilles délicates ont été heurtées d’entendre votre colère », a-t-elle raillé. Malheureusement pour Marine Le Pen, selon un sondage Ifop-Fiducial pour Sud Radio et Paris Match, seules 20% des personnes interrogées estiment que la conseillère régionale des Hauts-de-France a réalisé la meilleure prestation du débat – contre 47% pour Emmanuel Macron. Tous les instituts la placent en seconde position dans les intentions de vote, avec environ 20 points de retard, avant le scrutin de dimanche.

Débat présidentiel : Le Pen, la bêtise incarnée

Débat présidentiel : Le Pen, la bêtise incarnée

 

Le moins que l’on puisse dire c’est que Marine Le Pen a fait montre d’une bêtise crasse l’heure du débat avec Macron. Elle a affiché l’incohérence de son programme mais aussi sa nullité. De toute évidence Marine Le Pen  n’a pas la culture de son père ou de sa nièce. D’une certaine manière, c’est une primaire dont les propos de évidemment séduire les plus paumés et les plus ignorants. Sa rhétorique est celle d’une marchande de poisson.  Première à s’exprimer, la candidate du Front national, donnée perdante dans les sondages, a attaqué avec virulence le chef de file d’En Marche!, qu’elle a présenté comme le « candidat la mondialisation sauvage ». Elle a maintenu ce registre offensif, entravant systématiquement les tentatives d’explication et de réplique d’Emmanuel Macron, sur les dossiers économiques et sociaux notamment, pour lesquels l’ancien ministre de l’Economie de François Hollande a voulu montrer son expertise face aux approximations et slogans de l’ex-présidente du FN. « Je prends les Françaises et les Français pour des adultes, je ne leur mens pas », a-t-il lancé dans le cours des échanges, s’efforçant d’opposer son calme au ton offensif de Marine Le Pen dans une confrontation trop souvent « en roue libre ». « M. Macron est le candidat de la mondialisation sauvage, de l’ubérisation, de la précarité, de la brutalité sociale, de la guerre de tous contre tous, du saccage économique », a attaqué l’ex-présidente du FN en préambule.  Emmanuel Macron n’a eu de cesse de dénoncer la « logorrhée » de Marine Le Pen, « l’héritière », dont il a relevé à plusieurs reprises les « bêtises », particulièrement sur les dossiers sociaux et économiques (SFR et Alstom), estimant qu’elle ne présentait aucune stratégie contre le chômage et pour la compétitivité. « Ça marche pas comme ça dans la vraie vie », lui a-t-il rétorqué lors d’un échange sur leurs programmes économiques et sociaux respectifs. « Vous faites une liste à la Prévert que vous ne financez pas. Sur les 6 ou 9 milliards d’euros d’économies faites par la sortie de l’Union européenne, il faudra d’abord payer tout ce qu’on doit à l’UE. Il s’agit d’entre 60 et 80 milliards d’euros pour la Grande-Bretagne en ce moment. Vous faites des cadeaux de baisse d’impôts que vous ne financez pas », a-t-il insisté à propos de la volonté du FN de s’affranchir de l’UE. Sur la réforme des retraites – Marine Le Pen entend ramener l’âge de départ légal à 60 ans -, Emmanuel Macron a mis en garde les électeurs contre la fiction de la « finance magique ». « Ça coûte 30 milliards, c’est infinançable », a-t-il lancé. Ainsi le candidat d’En Marche!, souvent interrompu par les invectives de Marine Le Pen, a-t-il tenté de démonter le programme du FN et de démontrer son irréalisme. « Je suis la candidate du pouvoir d’achat, M. Macron, vous êtes le candidat du pouvoir d’acheter, la France », a répliqué Marine Le Pen. « Vous avez démontré que vous n’êtes pas la candidate de l’esprit de finesse », lui avait lancé Emmanuel Macron au début du débat.

Un cimetière encore profané : l’ immonde bêtise

Un cimetière encore profané : l’  immonde bêtise

Oeuvre de racistes, d’islamistes ou simplement d’abrutis( les trois n’étant pas incompatibles),   la nouvelle profanation d’un cimetière  en tout cas traduit  la banalisation du laxisme ambiant et l’  insondable bêtise. Certains  oeuvrent par convictions imbéciles, d’autres par désoeuvrement , dans les deux cas c’est un  crime contre les valeurs de la civilisation. ces gens là ne meritenet de vivre dans un pays dévloppé. Sils sont Franaçis,ils ne méritenet pas la nationalité.  Ils ne meritent pas  la qualification d’humain. Intolérance ou ignorance,peu importe car ‘l’intolérance se nourrit de l’ignorance et réciproquement.  Dans un communiqué publié mardi soir, Bernard Cazeneuve annonce qu’un cimetière a été profané à Tracy-sur-Mer dans le Calvados. « Plusieurs dizaines de crucifix ont été déplacés ».  Nouvel acte de vandalisme dans un cimetière. Trois jours après la profanation du cimetière juif de Sarre-Union dans le Bas-Rhin, un autre cimetière a été dégradé dans le Calvados. Bernard Cazeneuve, le ministre de l’Intérieur a annoncé dans un communiqué mardi soir que des « dégradations » avaient été commises dans le cimetière de la commune de Tracy-sur-Mer.   »Plusieurs dizaines de crucifix ont été déplacés, certains d’entre eux retournés et plantés dans le sol« , a affirmé le ministre. Il a fait part de son « indignation« . Dans un tweet, le Premier ministre Manuel Valls a, lui, réagi en parlant d’un « sentiment de dégoût« . C’est la gendarmerie de cette commune de 350 habitants qui a constaté les dégâts mardi soir.  »Tout sera mis en œuvre pour identifier, interpeller et déférer à la justice les auteurs de ces actes révoltants qui bafouent nos valeurs et le respect qui scellent notre vivre ensemble« , a indiqué le ministre. L’enquête a été confiée à la brigade de recherches de Bayeux « les techniciens en identification criminelle du groupement de Gendarmerie du Calvados procéderont aux constatations dès demain matin« , a expliqué Bernard Cazeneuve.

 

Mélenchon et les «chantiers de la bêtise» ( Cohn Bendit)

Mélenchon et les «chantiers de la bêtise» ( Cohn Bendit)

 

 

Celui qui a renoncé à tout mandat politique n’a pas complètement tort en critiquant les verts aujourd’hui partagés entre ceux qui voudraient être ministres et ceux qui se rapprochent de Mélenchon,  un drôle de grand écart être le libéral -socialisme et le socialisme à la Cubaine.  La vérité c’est les verts comme le PS n’a plus beaucoup de corpus idéologique et les rapprochements  sont surtout nourris par les ambitions personnelles. Certes Mélenchon dans ses critiques dit pas toujours que des bêtises mais son programme, comme celui des autres extrêmes,  relève de la fumisterie populiste et  électorale.   Daniel Cohn-Bendit ne voit donc pas du tout d’un bon oeil le rapprochement actuel entre Europe-Ecologie (EELV) et le Front de gauche. Alors que Jean-Luc Mélenchon était ce mardi au siège d’EELV pour discuter «ces convergences» entre les deux partis, l’ancien député européen s’en est pris aux chantiers de l’espoir, appel signé par des membres de la direction des deux formations pour «construire une alternative». «Chantiers de la bêtise et du désespoir avec une primaire Mélenchon-Cécile (ndlr : Duflot) à l’horizon», a regretté Cohn-Bendit dans un mail destiné à ses proches au sein d’EELV. Il répondait ainsi au texte de son ami Jean-Paul Besset, ancien eurodéputé, qui dénonce lui aussi ce «changement de cap» du parti écolo. «Bravo Jean-Paul. On a perdu et pour de bon. C’est malheureux la vie…»

 

La fiscalisation des heures supplémentaires est une bêtise (Sapin)

La fiscalisation des heures supplémentaires est une bêtise (Sapin)

Il faut du temps pour que le gouvernement comprenne les  réalités économiques et sociales. Sapin vient d’admettre que c’était une bêtise d’avoir supprimé la défiscalisation des heures supplémentaires ? Pas étonnant cela s’est traduit par la suppresion 300 à 400 euros des  rémunération de salariés qui touchent souvent autour de 12 000 euros mensuels. . «Oui, du côté des salariés, il s’est passé quelque chose de dommageable, de dommageable en termes de pouvoir d’achat», a déclaré le ministre des Finances. Et d’expliquer que la refiscalisation avait conduit des ménages faisant des heures supplémentaires à entrer dans l’impôt sur le revenu (IR). Mais le ministre a ajouté que l’actuel gouvernement avait trouvé l’antidote avec la ristourne fiscale de 2014 en faveur des ménages modestes. «On rétablit une forme de défiscalisation», s’est réjoui le ministre. Qui a redit qu’il n’était pas question pour le gouvernement de toucher aux 35 heures. Le ministre des Finances a souligné qu’il était déjà possible de modifier l’organisation du temps de travail et les rémunérations «pour sauver des emplois (…) suite à un accord majoritaire». Décidément axé sur un discours de vérité, Michel Sapin a avoué qu’«aujourd’hui, il y a une forme d’aversion et d’ultrasensibilité des Français à l’impôt sur le revenu». À une question sur la hausse de la TVA ou de la CSG, il a affirmé: «Nous n’avons pas ces idées-là.» Il a également fermé la porte à la fusion de l’IR et de la CSG, car «ça veut dire plus d’impôt pour des gens qui en payent déjà beaucoup, la classe moyenne supérieure». Jamais auparavant un leader socialiste n’avait été aussi explicite!




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