Archive pour le Tag 'Benoit Hamon'

Benoît Hamon:  » l’écotaxe pas supprimée »

Benoît Hamon:  » l’écotaxe pas supprimée »

 

 

Benoît Hamon, toujours à la recherche dune posture ultragauche a affirmé que l’écotaxe n’était pas supprimée. Curieux pour un ministre en charge de la consommation. En effet logiquement en finalité cette taxe perçue sur le prix du transport doit être répercutée sur le consommateur. Pas certain cependant et pas forcément totalement car la crise pourrait bien provoquer une détérioration des marges du transport français concurrencé par les pavillons étrangers dont les coûts sont très inférieurs aux coûts français.   Le ministre délégué à la consommation et à l’économie sociale, a rappelé, samedi 30 novembre sur Europe 1, que « l’écotaxe était suspendue et non supprimée », alors même que la fédération des transporteurs routiers OTRE appelle à une journée de blocage contre cette taxe, principalement en région parisienne. « Je ne vais pas dire aujourd’hui que l’écotaxe, c’est fini aujourd’hui, alors que c’est suspendu et transféré à une mission parlementaire », a-t-il souligné. Il a également rappelé que « la suspension de l’écotaxe, c’est environ 900 millions d’euros en moins pour des travaux d’infrastructures. Si on ne prélève pas avec l’écotaxe, il faut trouver une autre recette ». « On n’en est pas à chercher des alternatives immédiatement, mais les gouvernements doivent penser au jour d’après, et on ne pourra pas nous reprocher de n’avoir pas mis en place un impôt et que demain on tarde à faire revenir les sous nécessaires à la modernisation des infrastructures », a-t-il poursuivi. Un discours pour le moins confus et contradictoire.  vendredi 29 novembre, son collègue de l’Agriculture, Stéphane Le Foll avait évoqué sur BFMTV et RMC la date de janvier 2015 au mieux pour une application d’une écotaxe réformée. Le temps que les parlementaires étudient la question et que la prochaine loi de finances, celle de 2015 donc, intègre les changements.  Quelques heures après, Jean-Marc Ayrault avait réaffirmé que la suspension du prélèvement était acté le temps que les parlementaires aboutissent à une solution.

Transmission d’entreprise Benoît Hamon, l’apparatchik se trompe d’ennemi

Transmission d’entreprise Benoît Hamon, l’apparatchik se trompe d’ennemi

Hamon attaque le Medef « ce n’est pas lui qui fait la loi «  déclare-t-il ; une posture facile car attaquer le Medef est plus démagogique que de s’attaquer à l’ensemble des dirigeants d’entreprises notamment ceux des PME surtout concernés. Ce n’est pas le Medef qui fait la  loi mais Hamon non plus, c’est l’assemblée nationale. Une précision utile pour cet apparatchik pur et dur qui n’a jamais mis les pieds dans l’économie réelle puisqu’il a fait toute sa carrière professionnelle au sein du PS ; l’archétype du responsable du parti socialiste qui n’a jamais travaillé et   qui ignore tout des réalités économiques et sociales (voir à cet égard sa lamentable gestion du dossier Spanghero)  il n’a m rien compris et il est satisfait d’apparaître plus a gauche que d’autres. En fait il menace la survie de nombre de PME et leurs salariés avec qui risque d’être lâchées par les fournisseurs, les clients, les banquiers si la confidentialité de la transaction est rompue. On se méfie toujours d’une entreprise qui change de propriétaire et/ou de direction. Le bras de fer se durcit donc entre le patronat et Benoît Hamon. Pour la première fois, toutes les organisations patronales ont décidé de faire cause commune contre la disposition du projet de loi sur la cession d’entreprises. Elles ont adressé en ce sens à un texte au ministre que BF Business a publié en exclusivité vendredi 20 septembre. Le projet de loi prévoit d’obliger un chef d’entreprise de moins de 50 salariés qui veut céder son entreprise, à en informer préalablement ses salariés pour leur permettre éventuellement de se porter candidat à la reprise. Une mesure qui aurait des conséquences catastrophiques, expliquent les entreprises. Bercy a sèchement réagi ce samedi 21 septembre à cette initiative. Selon l’AFP, on s’étonne au cabinet de Benoît Hamon « de voir une demande de suppression pure et simple de la mesure » alors que lors d’entretiens bilatéraux, « chacun des représentants des organisations syndicales ont accepté le principe du groupe de travail sur ses modalités d’application auquel ils participent ». »Ce n’est pas le Medef qui fait la loi en France, a fait savoir Benoît Hamon via un collaborateur. « C’était peut être le cas sous la précédente mandature. Ce n’est pas le cas aujourd’hui ». Les syndicats de patrons estiment pourtant que les dispositions de la loi Hamon sont exorbitantes, hors du droit commun et contre-productives. Les risques selon eux: des cessions d’entreprises paralysées, la confidentialité rompue alors qu’elle est essentielle à la conclusion de la transaction, une entreprise fragilisée dans ses relations avec ses partenaires commerciaux et financiers. Ce serait, selon eux, une nouvelle épée de Damoclès au-dessus des entreprises qui se mettraient en infraction si elles passaient outre, puisque les autorités pourraient purement et simplement prononcer la nullité de la transaction. En signant ensemble cette lettre, un geste exceptionnel dans l’histoire des relations entre organisations patronales, ils veulent montrer l’incompréhension des entreprises de terrain, les TPE et petites PME. Celles-là même que le gouvernement dit vouloir protéger. Ils veulent aussi couper l’herbe sous le pied de Benoît Hamon, qui comptait visiblement jouer sur les dissensions au sein du patronat dans le cadre du débat sur la représentativité patronale. Le ministre déclarait ainsi vendredi que la « crispation du Medef » sur ce thème répondait à son « envie de montrer aux PME qu’il est plus représentatif que la CGPME ».

 

Benoît Hamon pourrait quitter le gouvernement, une bonne nouvelle pour Spanghero

Benoît Hamon pourrait quitter le gouvernement, une bonne nouvelle pour Spanghero

Hamon pourrait quitter le gouvernement, pas vraiment une grande perte car son seul fait d’armes est d’avoir réussi l’exploit de faire fermer Spanghero (responsable sans doute mais assassiné par Hamon qui voulait qu’on parle de lui). De toute manière un ministère qui ne sert à rien !  Benoît Hamon, le ministre délégué à la Consommation, pourrait rendre son portefeuille en mars 2014, croit savoir L’Express. D’après l’hebdomadaire, Benoît Hamon estime que dès lors que les deux textes de loi qu’il défend, sur la consommation et sur l’économie sociale et solidaire, auront été votés, il aura accompli « l’essentiel » de sa mission. Je réfléchirai à la meilleure façon d’être utile à la gauche Benoît Hamon« Alors, je réfléchirai à la meilleure façon d’être utile à la gauche« , estime le ministre, selon L’Express. Cette expression pourrait cacher deux ambitions : la présidence de la région Ile-de-France, actuellement tenue par Jean-Paul Huchon, à l’issue des élections régionales de 2015, ou la place de premier secrétaire du Parti socialiste, en lieu et place d’Harlem Désir. Dernièrement, Arnaud Montebourg a lui aussi évoqué des envies de départ, déclarant, dans M, le magazine du Monde, « Après le ministère, j’arrête la politique, en tout cas comme une carrière. » Et Martine Aubry a annoncé qu’elle prendrait sa retraite en 2020 au plus tard, pour ses 70 ans. Si elle est réélue en 2014 à la mairie de Lille, « ce sera (son) dernier mandat », a-t-elle déclaré dans La Voix du Nord, fin août.

Cessions d’entreprises: les PME contre Benoit Hamon

Cessions d’entreprises: les PME contre Benoit Hamon

Encore un projet de Hamon qui peut menacer les P¨ME avec l’obligation d’aviser les salariés deux mois avant la cession ; Un projet qui risque de menacer l’existence même de certaines PME ; Hamon en charge de l’économie sociale a déjà réussi à couler Spanghero, avec son projet de li il va en couler d’autres. En effet clients et fournisseurs forcément avisés eux aussi pourraient retirer leur confiance aux PME susceptibles de changer de propriétaires. Les organisations patronales sont vent debout contre un projet de loi que Benoit Hamon, le ministre chargé de l’Economie sociale, va présenter le 24 juillet. Il s’agit notamment d’obliger les dirigeants à avertir les salariés 2 mois avant la cession de leur entreprise. La CGPME en est certaine : cette loi va freiner les transmissions d’entreprises. Pour l’organisation patronale, si l’on prévient tous les salariés d’un projet de cession en amont, l’effet est dévastateur : en interne, tout le monde s’inquiète. Et en externe, les fournisseurs ou les clients se mettent à douter. Enfin, les éventuels repreneurs hésitent à passer à l’acte face à une situation qui peut se tendre à tout moment.  Sur BFM Business, le 15 juillet, Jean-François Roubaud, le président de la CGPME, ne dit pas autre chose. « Je trouve que c’est extrêmement dangereux pour l’avenir de l’entreprise. Lorsqu’on décide de céder son entreprise, c’est quelque chose qui se fait dans la discrétion », a-t-il affirmé.  Selon lui, « cela risque d’inquiéter les salariés, qui se demanderont ce qu’ils vont devenir, les fournisseurs, les clients, etc. Ce projet de loi est intolérable.  « Nous sommes d’accord pour qu’un chef d’entreprise avertisse ses collaborateurs s’il existe un projet de cession dans les années à venir, a-t-il poursuivi. « Mais alerter deux mois avant la cession, c’est une folie, c’est méconnaître les transmissions d’entreprises. On risque donc d’avoir un blocage total. »  L’enjeu principal de ce dossier, c’est l’emploi. Voilà pourquoi le gouvernement veut laisser cette option de reprise également aux salariés. Les représentants patronaux comprennent la volonté politique d’impliquer le plus en amont possible les salariés. D’ailleurs, sans grande surprise, les représentants des Scop, dont les associés majoritaires sont les salariés, saluent le texte.

 




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