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Bourses : des prises de bénéfices

Bourses : des prises de bénéfices

 

Officiellement on  explique la baisse des bourses par un phénomène classique de consolidation. En clair il y a une prise de bénéfices. En réalité cette baisse provient d’une progression excessive des cours depuis le début d’année. Or il y a un décalage entre cette hausse des cours , les résultats des entreprises et la réalité des résultats économiques. De ce point de vue la situation paraît particulièrement inquiétante en Chine qui cumule une crise financière entre (endettement, baisse des cours) avec un recul de l’activité de l’industrie manufacturière. Les commandes extérieures de la Chine sont en recul comme aussi au Japon et en Europe. Cette baisse des commandes extérieures pèse de façon négative sur les échanges et s’explique par une demande internationale relativement faiblarde. Il faut donc encore s’attendre  à une correction des cours boursiers pendant les prochaines semaines voir les prochains mois compte tenu des perspectives peu dynamiques de la croissance mondiale. La Bourse de New York par exemple a fini en baisse de près de 1% lundi, plombée, comme ses homologues européennes, par les inquiétudes au sujet de la santé économique de la Chine après la chute de plus de 8% des marchés actions du pays, leur recul le plus marqué en huit ans. Selon des données du New York Stock Exchange, 480 valeurs sont tombées à un creux de 52 semaines, du jamais vu depuis le 15 octobre. Dans la foulée du plongeon des Bourses chinoises, Pékin s’est dit prêt à acheter des actions en vue de stabiliser les marchés actions du pays, dernière mesure en date pour parer à un « krach » boursier de plus grande ampleur. Comme la Chine est le premier consommateur mondial de nombre de matières premières, les cours de ces dernières sont reparties à la baisse : l’indice Thomson Reuters CRB les mesurant s’est ainsi replié de 1,15% pour toucher un creux de six ans et les prix du pétrole ont perdu plus de 2% pour retomber à un plus bas de quatre mois. Selon les investisseurs, le plongeon des Bourses chinoises s’explique par des inquiétudes concernant la croissance de la deuxième économie mondiale, par la publication de résultats moroses de groupes industriels chinois et par un indice d’activité jugé décevant dans le secteur manufacturier. « Un ralentissement prononcé de la Chine aura un impact non seulement sur les Etats-Unis mais sur tous les acteurs mondiaux », a déclaré Chuck Carlson, directeur général chez Horizon Investment Services. En arrière-fonds des préoccupations sur la Chine, la saison des résultats s’est avérée mitigée, avec, certes, 74% des entreprises qui ont fait mieux que le consensus en termes de bénéfice net mais seulement 51% qui ont surpassé les attentes en ce qui concerne le chiffre d’affaires.

 

Bourse : prise de bénéfices ou éclatement de la bulle

Bourse : prise de  bénéfices ou éclatement de la bulle

Les bourses reculent officiellement en raison des inquiétudes concernant l’accord avec la Grèce et la montée des taux. ( deux questions quand même liées). La vérité c’est que la croissance (et surtout l’industrie manufacturière en particulier( ne décolle pas , l’industrie est même en recul dans nombre de pays. En fait L’économie mondiale peine à vraiment sortir de la crise  et fait même du yoyo. En Europe on s ‘installe dans la croissance molle, le chômage grimpe, la précarité encore davantage. Pourtant la bourse a atteint des sommets  sur le marché des actions. On a même atteint des records depuis le début d’année ( près de 20% d’augmentation). . A cet égard la bourse  est complètement déconnectée de l’économie réelle, c’est à dire de la croissance et des résultats des entreprises. La faute en premier aux obligations mal rémunérées- ou pas du tout- et le report des capitaux sur les actions. La faute surtout à la marée de liquidités déversées par les banques centrales normalement faites pour desserrer la contraintes budgétaires mais qui servent surtout aux banques pour continuer leur activités de spéculation ;  sur tout, sur les actions bien sûr, comme sur les matières premières( y compris alimentaires au risque d’affamer un peu plus les populations des pays pauvres qui du coup migrent vers les pays plus riches ) ou sur les taux. Même si elles ont accusé un coup d’arrêt la semaine dernière, les bourses européennes volent de record en record depuis le début de l’année (environ 20% depuis le début de l’année).  . Selon un sondage mensuel effectué par BofA Merrill Lynch auprès de 145 gérants de fonds, ils étaient 25% au mois d’avril à penser que les marchés actions mondiaux étaient surévalués. Contre 23% en mars et 8% en février. S’il s’agit du résultat le plus élevé enregistré depuis 2000, on reste néanmoins loin du record observé en 1999 lorsqu’ils étaient 42% à considérer que les actions étaient surévaluées, précise la banque américaine. Cela n’empêche pas 13% des sondés de croire qu’une bulle sur les actions est aujourd’hui le plus grand risque auquel les marchés sont confrontés. Robert Shiller en fait partie. Fin mars, lors d’une conférence de Crédit Suisse sur l’investissement en Asie à Hongkong, le Prix Nobel d’économie 2013 a sorti un graphique montrant que le prix des actions aux Etats-Unis, corrigé de l’inflation, montait en flèche. Et que les plus hauts de 2007 étaient désormais dépassés..  Plusieurs facteurs expliquent la hausse; le principal étant les politiques monétaires «extrêmement accommodantes» qui ont alimenté la machine à investir sur presque toute la planète. A commencer par les Etats-Unis. Pas étonnant dès lors que 68% des experts interrogés par BofA Merrill Lynch estiment que les actions américaines sont aujourd’hui les plus surévaluées au monde. En Europe, le bazooka monétaire a davantage tardé à sortir. Mais c’est chose faite depuis le mois de février. Dorénavant la Banque centrale européenne (BCE) rachète chaque mois, et cela jusqu’en septembre 2016, pour 60 milliards de dettes européennes sur les marchés. Soit 1140 milliards d’euros en tout. Du coup, les rendements des obligations sont en chute libre. Une grande partie ne rapporte même plus rien aux investisseurs – banques, assurances, caisses de pension en tête – qui, par conséquent, cherchent des alternatives. Mais le marché des actions n’est pas le seul à supporter des risques, le marché des obligations souveraines aussi . Et là encore en raison du programme de la BCE. Le sondage réalisé par BofA Merrill Lynch révèle d’ailleurs que 84% des experts interrogés considèrent que le marché obligataire est surévalué. Contre 75% au mois de mars. Un record. La question est quelle bulle risque d’éclater en premier ? En attendant on risque d’assister à une prise massive de bénéfices sur le marché des actions dans les semaines et mois à venir.

 

Bourse actions : prise bénéfices ou éclatement de la bulle

Bourse actions : prise bénéfices ou éclatement de la bulle

Une nouvelle fois les bourses ont tremblé, officiellement en raison de la crise grecque et de la baisse des commandes à l’industrie américaine. La vérité c’est que la croissance (et surtout l’industrie manufacturière en particulier( ne décolle pas , l’industrie est même en recul dans nombre de pays. En fait L’économie mondiale peine à vraiment sortir de la crise  et fait même du yoyo. En Europe on s ‘installe dans la croissance molle, le chômage grimpe, la précarité encore davantage. Pourtant la bourse a atteint des sommets  sur le marché des actions. On a même atteint des records depuis le début d’année ( près de 20% d’augmentation). . A cet égard la bourse  est complètement déconnectée de l’économie réelle, c’est à dire de la croissance et des résultats des entreprises. La faute en premier aux obligations mal rémunérées- ou pas du tout- et le report des capitaux sur les actions. La faute surtout à la marée de liquidités déversées par les banques centrales normalement faites pour desserrer la contraintes budgétaires mais qui servent surtout aux banques pour continuer leur activités de spéculation ;  sur tout, sur les actions bien sûr, comme sur les matières premières( y compris alimentaires au risque d’affamer un peu plus les populations des pays pauvres qui du coup migrent vers les pays plus riches ) ou sur les taux. Même si elles ont accusé un coup d’arrêt la semaine dernière, les bourses européennes volent de record en record depuis le début de l’année (environ 20% depuis le début de l’année).  . Selon un sondage mensuel effectué par BofA Merrill Lynch auprès de 145 gérants de fonds, ils étaient 25% au mois d’avril à penser que les marchés actions mondiaux étaient surévalués. Contre 23% en mars et 8% en février. S’il s’agit du résultat le plus élevé enregistré depuis 2000, on reste néanmoins loin du record observé en 1999 lorsqu’ils étaient 42% à considérer que les actions étaient surévaluées, précise la banque américaine. Cela n’empêche pas 13% des sondés de croire qu’une bulle sur les actions est aujourd’hui le plus grand risque auquel les marchés sont confrontés. Robert Shiller en fait partie. Fin mars, lors d’une conférence de Crédit Suisse sur l’investissement en Asie à Hongkong, le Prix Nobel d’économie 2013 a sorti un graphique montrant que le prix des actions aux Etats-Unis, corrigé de l’inflation, montait en flèche. Et que les plus hauts de 2007 étaient désormais dépassés..  Plusieurs facteurs expliquent la hausse; le principal étant les politiques monétaires «extrêmement accommodantes» qui ont alimenté la machine à investir sur presque toute la planète. A commencer par les Etats-Unis. Pas étonnant dès lors que 68% des experts interrogés par BofA Merrill Lynch estiment que les actions américaines sont aujourd’hui les plus surévaluées au monde. En Europe, le bazooka monétaire a davantage tardé à sortir. Mais c’est chose faite depuis le mois de février. Dorénavant la Banque centrale européenne (BCE) rachète chaque mois, et cela jusqu’en septembre 2016, pour 60 milliards de dettes européennes sur les marchés. Soit 1140 milliards d’euros en tout. Du coup, les rendements des obligations sont en chute libre. Une grande partie ne rapporte même plus rien aux investisseurs – banques, assurances, caisses de pension en tête – qui, par conséquent, cherchent des alternatives. Mais le marché des actions n’est pas le seul à supporter des risques, le marché des obligations souveraines aussi . Et là encore en raison du programme de la BCE. Le sondage réalisé par BofA Merrill Lynch révèle d’ailleurs que 84% des experts interrogés considèrent que le marché obligataire est surévalué. Contre 75% au mois de mars. Un record. La question est quelle bulle risque d’éclater en premier ? En attendant on risque d’assister à une prise massive de bénéfices sur le marché es actions dans les semaines et mois à venir.

Prise de bénéfices sur les marchés des actions

Prise de bénéfices sur les marchés des actions

 

Il fallait s’y attendre la période sera  caractérisée pendant plusieurs semaines, voire plusieurs mois par des prises de bénéfices sur le marché des actions. Plusieurs raisons, le niveau de ces actions en hausse constante et excessive au cours des derniers mois et en décalage avec la croissance et les résultats réels des entreprises. Autre raison plus fondamentale celle-là, l’économie internationale est loi d’être sortie de la crise , les résultats du premiers trimestre sont médiocres et ceux du second ne seront pas meilleurs.il faut surtout noter les tassements en Chine, au Japon, aux Etats Unis même et en Europe y compris en Allemagne. S’ajoute les craintes d’uen sortie de la Grèce du système monétaire qui viendrait mettre en cause la solidité du  système lui-même. À Paris, le CAC 40 a plongé de 2,53% (129,94 points) à 5.007,89 points portant son recul à 2,62% sur l’ensemble de la semaine et à 0,76% sur le mois de mai, marqué par les tensions sur les marchés obligataires, les fluctuations de l’euro face au dollar et l’évolution de la situation de la Grèce. nLe Footsie britannique a limité son repli à 0,80% alors que le Dax allemand a chuté de 2,26%. L’indice EuroStoxx 50 et le FTSEurofirst 300 ont quant à eux cédé respectivement 2,19% et 1,79%.La Bourse d’Athènes a abandonné 1,44%. La prochaine échéance de remboursement grecque au FMI est fixée la semaine prochaine, le 5 juin.  Au moment de la clôture en Europe, Wall Street évoluait également à la baisse, mais de façon nettement moins marquée.  Le PIB américain du premier trimestre a été révisé en baisse, à -0,7% en rythme annualisé, dans une deuxième estimation publiée par le département du Commerce. « Jusqu’ici, la (politique) de la Fed a été dépendante des indicateurs et les (derniers) chiffres, y compris ceux du PIB aujourd’hui, continuent en moyenne à être plus faibles qu’attendu, ce qui écarte la menace imminente d’un relèvement des taux de la Fed », note Adam Sarhan, directeur général de Sarhan Capital à New York. En fin d’après-midi en Europe, le dollar progressait de 0,05% face à un panier de devises de référence et reculait de 0,25% contre l’euro à 1,0972 dollar.

 

Toyota : record de production et de bénéfices

Toyota : record de production et de bénéfices

Déjà largement numéro un au monde, Toyota va renforcer sa domination mondiale du secteur. Le groupe en est certain: il franchira une nouvelle étape cette année. En effet, 2013 sera un millésime historique pour Toyota. Le groupe a annoncé, ce vendredi 2 août, vouloir franchir pour la première fois au monde les 10 millions de véhicules produits sur l’année. Ce record confirmera la place de numéro un mondial du secteur du Japonais devant General Motors et Volkswagen.  Si les ventes ont reculé au Japon et en Europe, Toyota profite du boom de la demande sur les autres marchés, notamment aux Etats Unis et en Asie. L’ensemble des marques du groupe Toyota participeront à ce succès. Parmi celle-ci: Lexus, Daihatsu et Hino Motors. Enfin cette hausse de la production permet à l’entreprise de réviser ses objectifs financiers à la hausse. Toyota devrait confirmer son statut de constructeur le plus rentable au monde. Le groupe table désormais sur un bénéfice net de 12 milliards d’euros. Ce qui serait, là aussi, une première dans le secteur automobile.

 

Total super bénéfices grâce à la hausse du pétrole

Total super bénéfices grâce à la hausse du pétrole

Pas de crise du pétrole chez Total qui contrairement aux consommateurs profite comme habitude de la hausse des cours du brut. Total a de nouveau enregistré d’énormes bénéfices en 2012, le recul de la production d’hydrocarbures du géant pétrolier français ayant été contrebalancé par les prix très élevés du pétrole brut et un rebond temporaire des marges de raffinage en Europe. Le groupe a dégagé sur l’année un bénéfice (part du groupe) en baisse de 13% à 10,7 milliards d’euros, selon un communiqué publié mercredi.  Son bénéfice net ajusté –mesure la plus suivie dans le secteur, qui exclut certains effets liés à la variation des cours du brut– a au contraire grimpé de 8% à 12,4 milliards d’euros, a détaillé le groupe.  Ces résultats sont conformes aux prévisions des analystes financiers, qui tablaient sur un bénéfice ajusté de 12,4 milliards.  De tels profits colossaux, récurrents pour une compagnie pétrolière de la taille de Total, ont comme attendu reflété les prix très élevés atteints l’an dernier par les cours du pétrole brut, sur fond de tensions géopolitiques autour de l’Iran.  L’an dernier, le prix du baril de Brent coté à Londres avait atteint en moyenne 111,7 dollars, battant légèrement le record de 2011 (111,2 dollars), et a également touché un nouveau sommet historique en euros (à près de 87 euros en moyenne annuelle).  Ce facteur, couplé à un redressement en cours d’année des marges de raffinage en Europe, qui constituent depuis plusieurs années le talon d’Achille du géant pétrolier hexagonal, a permis de compenser un repli de 2% de sa production d’hydrocarbures, tombée à 2,3 millions de barils équivalent pétrole par jour en moyenne.  Ce recul de la production était attendu, du fait d’une série d’incidents qui ont plombé les activités du groupe. Le plus pénalisant a été une grave fuite de gaz en mer du Nord britannique qui a interrompu l’extraction sur les gisements voisins d’Elgin et Franklin depuis près d’un an. A ce sujet, le groupe confirme que l’activité devrait reprendre progressivement sur ces deux champs durant le premier trimestre.  Enfin, le groupe s’est félicité de la bonne avancée de son programme de cession d’actifs, qui vise à réaliser pour 15 à 20 milliards de dollars de transactions entre 2012 et 2014.  Il devrait réaliser 9 milliards de dollars de cessions cette année, après 6 milliards l’an dernier, atteignant ainsi dès fin 2013 le plancher de ce programme de cessions.  Cela devrait inclure la vente envisagée à un consortium mené par EDF et le groupe italien Snam de la filiale française de gazoduc TIGF (Transport Infrastructures Gaz France) pour 2,4 milliards d’euros, et celle à l’autrichien Borealis des activités de fertilisants du groupe en Europe.  TIGF (Transport Infrastructures Gaz France) est la filiale de transport et de stockage de gaz du groupe, basée à Pau (Pyrénées-Atlantique) qui gère le réseau gazier dans le sud-ouest de la France, et dont le groupe avait décidé l’an dernier de se défaire.  Enfin, le groupe a confirmé dans la foulée ses perspectives financières révisées en septembre dernier, avec un potentiel de production de 3 millions de barils par jour en 2017. Et il a également annoncé le redémarrage récent de sa raffinerie normande de Gonfreville-l’Orcher en Seine-Maritime, après un vaste programme de modernisation.  Total est le 3e producteur de pétrole et de gaz d’Europe de l’Ouest derrière les britanniques Shell et BP, et la 1ère entreprise de France par la valeur boursière, au coude-à-coude avec son ancienne filiale, le laboratoire pharmaceutique Sanofi.

 

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