L’agitée sénatrice Benbassa (EELV) accusée de harcèlement
Il n’est sans doute guère étonnant que l’exhibitionniste sénatrice gauchiste Benbassa soit tombée dans le piège du harcèlement. En effet son activisme la conduit le plus souvent apprendre des positions sur nombre de sujets et de façon assez contradictoire et polémique.
Bref, la sénatrice est une gauchiste classique mais qui se trouvant plus en contradiction complète avec les valeurs qu’elle prétend défendre vis-à-vis de ses propres salariés.
Pour préserver leur carrière, les collaborateurs de la sénatrice ont demandé à garder l’anonymat. Huit anciens collaborateurs et six anciens étudiants de la sénatrice EELV, Esther Benbassa, dénoncent la “méthode Benbassa”, faite “d’humiliations, de menaces et de harcèlement”, dans une enquête publiée ce jeudi 8 juillet par Mediapart.
Sur une grosse dizaine de pages, les témoignages se succèdent, preuves à l’appui. Là, une capture de texto, ici d’un mail. La femme politique, longuement interrogée par Mediapart, dément l’intégralité des accusations.
D’après l’enquête, une des spécialités d’Esther Benbassa était d’envoyer de longs mails rabaissant le travail d’un de ses collaborateurs devant toute son équipe. Le plus souvent, l’orthographe était critiquée avec une orthographe elle-même fort douteuse (par parenthèse on se demande comment la sénatrice a obtenu ses diplômes en lettres!). Écrits violents, intempestifs, agressifs… Tout est matière à reproches et plusieurs témoignages décrivent l’humeur violente de la sénatrice .
D’après l’enquête, ce “climat de terreur” ne s’arrête pas aux portes du Sénat. Toujours selon Mediapart, plusieurs étudiants qui l’ont côtoyée à l’École pratique des hautes études (EPHE) où elle y est directrice d’études tiennent des accusations similaires. Au moins six d’entre eux qui l’avaient choisie pour diriger leur thèse ont finalement renoncé entre 2007 et 2011.