Archive pour le Tag 'Bayrou'

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Bayrou : un gouvernement Barnier en pire

Bayrou : un gouvernement Barnier en pire

Plus le temps passe et plus les marges de manœuvre de Bayrou semble étroites. Barnier ne disposait pas déjà d’espaces considérables coincés entre les oppositions d’une part et les réticences mêmes de sa pseudo majorité. Cette fois il faut ajouter aux difficultés de Bayrou les exigences des « républicains » où apparaît désormais nettement une opposition entre Retailleau et Vauquier avec l’enjeu évidemment d’être la personnalité en vue pour d’éventuelles élections présidentielles !

Bref Bayrou se bat un peu tout le monde est il va sans doute présenter davantage un gouvernement de personnalités plus ou moins dépendantes que de responsables parlementaires permettant de lui donner un minimum d’assises notamment à l’Assemblée nationale. Bref un gouvernement Bayrou qui sera un gouvernement Barnier en piret sans doute condamné à ne vivre que quelques semaines voire quelques mois. Ajoutons aussi la difficulté avec l’Élysée qui veut également imposer ses lignes rouges alors  que Macron ne représente plus rien en termes politiques mais dispose d’un pouvoir de nuisance.

Bref toute la classe politique fait preuve d’une immense irresponsabilité et conduit le pays vers le chaos sans doute financier d’abord, économique ensuite puis social voire sociétal. On gagnerait sans doute du temps à mettre tout de suite en place un gouvernement de techniciens et à mettre toutes les institutions et les apparatchiks en vacances de longue durée. On objectera sans doute qu’il il y a des mesures  à prendre parfois structurelles. Mais il ne manque pas de loi ( plus de 10 000 en France !) à partir desquels on peut sortir des décrets pour satisfaire la résolution des questions les plus urgentes !

Politique et Premier Ministre : Bayrou doit changer de braquet

Politique et Premier Ministre  : Bayrou doit changer de braquet

A l’ Assemblée nationale de Bayrou, l’intervention ne ne laissera pas un grand souvenir ,elle a montré un Premier ministre Un peu endormi qui a du mal à se mettre au rythme des urgences du pays. Il est vrai que pour l’instant l’intéressé était dans sa zone de confort. Aujourd’hui il accède à la responsabilité suprême pour diriger le gouvernement. Il va falloir travailler sur un autre rythme. Or Bayrou n’a pas laissé une image particulière de grand travailleur lorsqu’il était ministre de l’éducation nationale sous Mitterrand et il y a longtemps. À la direction du plan, il n’a pas fait grand-chose. Même si effectivement il s’agissait d’un hochet  attribué  par Macron à celui qui lui avait permis d’être élu lors de l’élection présidentielle. La première alerte concernant sa faiblesse s’est manifestée lors de la passation des pouvoirs avec Barnier ou son intervention était d’une particulière faiblesse. Deuxième faiblesse très marquée lors des questions au gouvernement de mercredi où la certain l’ont même comparé à Jo Biden. La troisième faiblesse pourrait bien être celle de sa déclaration de politique générale s’il est toujours aussi approximatif,  mou, confus  voire maladroit. On objectera sans doute que le contexte est particulièrement complexe et que les marges de manœuvre du nouveau premier ministre sont particulièrement réduites. Un environnement que le nouveau Premier ministre pouvait ignorer lui qui a imposé sa propre candidature comme premier ministre un Macron qui n’en voulait pas.

Certains ont déjà comparés Bayrou à Jo Biden. Le premier Ministre paraît en effet empâté et pas dans le rythme nécessaire des enjeux du moment. Ses réponses à l’Assemblée nationale ressemblaient  davantage à celle d’un président de  département. ( ancien conseil général).Dernière observation la plupart des partis mise surtout  sur l’échec de Bayrou et vise  surtout l’élection présidentielle ( Darmanin, Attal, Édouard Philippe, l’éternel Mélenchon, Wauquiez, Le Pen, Hollande et quatre ou cinq autres leaders socialiste, écologistes etc ). Bref la plupart préfère le chaos pour une hypothétique élection présidentielle qui pourrait précipiter le pays dans une crise de régime structurelle durable et surtout économique . Le problème aussi c’est qu’on voit mal en effet comment Macron va pouvoir résister surtout à l’opinion jusqu’en 2027 !

Sondage: Bayrou, déjà 66 % de mécontents

Sondage: Bayrou, déjà 66 % de mécontents

 Selon un nouveau baromètre Ifop-Journal du Dimanche 66% sont déjà mécontents. Seulement 34% des personnes interrogées se disent satisfaites ou très satisfaites du nouveau chef du gouvernement.

Le chiffre des personnes mécontentes de François Bayrou, qui espère former son gouvernement dans les tout prochains jours, dépasse très largement celui enregistré par Michel Barnier en septembre 2024 (55%), par Gabriel Attal en janvier 2024 (46%) et par Élisabeth Borne en mai 2022 (43%).

Pour  Emmanuel Macron, on compte  76% de mécontents.

L’enquête a été menée auprès d’un échantillon de 2.004 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Méthode des quotas. Interviews réalisées en ligne du 11 au 18 décembre.

Politique-Sondage Bayrou : 65% des Français mécontents

Politique-Sondage  Bayrou : 65% des Français mécontents 

De plus en plus de doutes s’installent sur les chances de réussite de Bayrou qui décidément n’a pas réussi son entrée politique comme Premier ministre. Un discours complètement inconsistant lors de la passage de pouvoir avec Barnier, une prestation assez lamentable devant l’Assemblée nationale lors des questions et ce voyage inutile à Pau. Sans parler des banalités, des approximations d’un Premier ministre  un peu seul dans un paysage politique caractérisé surtout par des luttes internes entre partis et leaders et qui conduisent le pays vers le chaos. La perspective d’un gouvernement et d’un budget durable n’est pas certaine, la France pourrait se diriger vers une sorte de crise qui pourrait alors être arbitrée par l’extérieur notamment les institutions financières. Une semaine après la nomination du centriste, près de deux tiers des Français ne lui font pas confiance pour nommer une équipe gouvernementale qui «corresponde à leurs attentes», selon une enquête Odoxa-Backbone pour Le Figaro.

Ce qu’il faut retenir de l’interview François Bayrou: Surtout des interrogations

 

Sur France 2 le Premier ministre a surtout fait par de ses souhaits sans qu’il y ait vraiment de certitudes pour qu’ils soient pris en compte par l’environnement politique qui en quelque sorte le ligote.

 

Son premier obstacle est peut-être Macron lui-même qui n’a pas apprécié d’avoir été contraint de  nommer Bayrou  comme premier ministre. Macron aurait préféré un profil « collaborateur »,  passe muraille qui ne lui fasse pas de l’ombre. Les deux grandes questions en suspens concernent la composition d’un gouvernement ou pour l’instant les partis politiques font tout pour mettre des barons dans les roues à Bayrou. Pour résumer Bayrou est prisonnier des partis politiques dont la plupart sinon la totalité se moquent  totalement de l’ampleur des problèmes du pays dans les domaines économiques sociaux et financiers .

Des partis politiques indignes de leur fonction car ils sont en train de précipiter le pays vers le chaos et le pouvoir pourrait bien être transféré d’ici quelques semaines vers l’extérieur et notamment les institutions financières et les grands groupes économiques internationaux.

La question seconde est celle du budget. On ne sait toujours pas si le gouvernement va renoncer à l’utilisation du 49–3 en échange d’un renoncement à la motion de censure. La gauche sur ce point mais les autres partis aussi  sont complètement confus et semblent prêts à accepter de précipiter le pays dans une crise durable.
Pour le reste Bayrou a affirmé évidemment sa solidarité avec Mayotte et les perspectives de redressement de l’Ile.

Pour les retraites, le Premier ministre utilise une formule ambiguë qui consiste à « reprendre mais sans surprendre »  qui mécontentent à la fois la gauche qui veut la  suspension et la droite qui veut le maintien. Là encore Bayrou est un train de se mettre dans les mains des partis

 

Le Premier ministre François Bayrou a espéré que la reconstruction de Mayotte, dévastée par un cyclone, puisse se faire dans des délais « brefs ». « Je pense qu’il faut se fixer un délai beaucoup plus bref que les cinq années » de la reconstruction de Notre-Dame, une comparaison faite par Emmanuel Macron depuis Mayotte. « Je dis peut-être deux ans. J’espère qu’on y arrivera. C’est une tâche surhumaine, immense », a-t-il ajouté. Le Premier ministre avait indiqué cette semaine qu’il se rendrait bientôt dans le département français.

C’est l’un des grands défis qui attendent le Premier ministre : faire adopter un budget pour l’année 2025. François Bayrou espère bien rendre une copie dans les prochaines semaines : « Moi j’espère qu’on peut l’avoir à la mi-février. Je ne suis pas sûr d’y arriver », a-t-il toutefois reconnu, alors que les travaux en ce sens ont été interrompus par la motion de censure qui a renversé le précédent gouvernement.

été adoptée en 2023. Rappelant qu’il avait été « un militant de la retraite à points », il a souhaité « trouver une organisation différente », tout en précisant qu’il faudra « se poser la question du financement ». Dans l’après-midi, il avait proposé aux forces politiques et aux partenaires sociaux de rouvrir une discussion sur les retraites pendant neuf mois, mais « sans suspendre » la réforme de 2023, « parce que, quand on suspend, évidemment, on ne reprend jamais ».

Sondage Bayrou : 65% des Français mécontents

Sondage  Bayrou : 65% des Français mécontents 

De plus en plus de doutes s’installent sur les chances de réussite de Bayrou qui décidément n’a pas réussi son entrée politique comme premier ministre. Un discours complètement inconsistant lors de la passage de pouvoir avec Barnier, une prestation assez lamentable devant l’Assemblée nationale lors des questions et ce voyage inutile à Pau. Sans parler des banalités, des approximations d’un Premier ministre  un peu seul dans un paysage politique caractérisé surtout par des luttes internes entre partis et leaders et qui conduisent le pays vers le chaos. La perspective d’un gouvernement et d’un budget durable n’est pas certaine, la France pourrait se diriger vers une sorte de crise qui pourrait alors être arbitrée par l’extérieur notamment les institutions financières. Une semaine après la nomination du centriste, près de deux tiers des Français ne lui font pas confiance pour nommer une équipe gouvernementale qui «corresponde à leurs attentes», selon une enquête Odoxa-Backbone pour Le Figaro.

 

Politique : Bayrou doit changer de braquet

Politique : Bayrou doit changer de braquet

A l’ Assemblée nationale de Bayrou, l’intervention ne ne laissera pas un grand souvenir ,elle a montré un premier ministre qui a du mal à se mettre au rythme des urgences du pays. Il est vrai que pour l’instant l’intéressé était dans sa zone de confort. Aujourd’hui il accède à la responsabilité suprême pour diriger le gouvernement. Il va falloir travailler sur un autre rythme. Or Bayrou n’a pas laissé une image particulière de grand travailleur lorsqu’il était ministre de l’éducation nationale sous Mitterrand et il y a longtemps. À la direction du plan, il n’a pas fait grand-chose. Même si effectivement il s’agissait d’un hochet  attribué  par Macron à celui qui lui avait permis d’être élu lors de l’élection présidentielle. La première alerte concernant sa faiblesse s’est manifestée lors de la passation des pouvoirs avec Barnier ou son intervention était d’une particulière faiblesse. Deuxième faiblesse très marquée lors des questions au gouvernement de mercredi où la certain l’ont même comparé à Jo Biden. La troisième faiblesse pourrait bien être celle de sa déclaration de politique générale s’il est toujours aussi approximatif,  mou, confus  voire maladroit. On objectera sans doute que le contexte est particulièrement complexe et que les marges de manœuvre du nouveau premier ministre sont particulièrement réduites. Un environnement que le nouveau Premier ministre pouvait ignorer lui qui a imposé sa propre candidature comme premier ministre un Macron qui n’en voulait pas.

Certains ont déjà comparés Bayrou à Jo Biden. Le premier Ministre paraît en effet empâté et pas dans le rythme nécessaire des enjeux du moment. Ses réponses à l’Assemblée nationale ressemblaient  davantage à celle d’un président de conseil général qu’à celle d’un premier ministre !

Exemple encore notamment le temps fou « pour constituer un gouvernement alors qu’il prendra la quasi-totalité de ses membres dans ce qui reste du socle parlementaire. Le problème est simple il doit rapidement s’entourer de personnalités fortes pour compenser ses propres faiblesses. La propre faiblesse de Bayrou pourraient justement se situer dans son manque de réactivité et même de travail. Et même sur le plan de la rhétorique intéressée paraît un peu endormi voire faible, dommage pour un diplômé en lettres !

« Qu’est-ce que vous voulez que je vous dise? Tout ça ne donne vraiment pas une bonne impression. Je comprends que ça puisse heurter », reconnaît un élu Modem.

« C’est peut-être malhabile », lâche de son côté, du bout des lèvres, le député Richard Ramos, assurant que François Bayrou a « voulu marquer ses débuts à Matignon en parlant des territoires ».
Quant à la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, pourtant sur le papier dans le camp de François Bayrou, elle n’a pas fait semblant. « J’aurais préféré qu’il prenne l’avion pour Mayotte », a-t-elle critiqué sur France info.

Bayrou : encore une réunion pour rien à Matignon

Bayrou : encore une réunion pour rien à Matignon

Bayrou  perd encore du temps en proposant une réunion de consultations à toutes les forces politiques sans inviter d’ailleurs le Front National et LFI. Il s’agira de donner des orientations sur la composition du gouvernement et surtout sur les orientations. De toute manière Bayrou est coincé sur un socle minimum au Parlement qui se ratatine. On peut facilement imaginer que chaque partie répétera à la sortie de la réunion ses lignes rouges. Autant de temps perdu en attendant la déclaration de politique générale prévue le 14 février et surtout la mise en marche enfin de ce gouvernement qu’on attend comme Godot alors que la situation économique notamment à Mayotte évidemment ne cesse de se dégrader sans parler du moral des acteurs qui plonge.

La lettre de Matignon

«Avant de proposer au président de la République une composition de gouvernement, je veux vous rencontrer pour vous éclairer et vous entendre sur les orientations que nous devrons suivre», a écrit le premier ministre dans un courrier adressé aux partis, à l’issue de plusieurs consultations avec chacune des forces politiques. La présidente de l’Assemblée, Yaël Braun-Pivet et son homologue au Sénat, Gérard Larcher, ont également été conviés à cette réunion.

Bayrou doit changer de braquet pour ne pas être viré rapidement

Bayrou doit changer de braquet pour  ne pas être viré rapidement

A l’ Assemblée nationale de Bayrou, l’intervention ne ne laissera pas un grand souvenir ,elle a montré un premier ministre qui a du mal à se mettre au rythme des urgences du pays. Il est vrai que pour l’instant l’intéressé était dans sa zone de confort. Aujourd’hui il accède à la responsabilité suprême pour diriger le gouvernement. Il va falloir travailler sur un autre rythme. Or Bayrou n’a pas laissé une image particulière de grand travailleur lorsqu’il était ministre de l’éducation nationale sous Mitterrand et il y a longtemps. À la direction du plan, il n’a pas fait grand-chose. Même si effectivement il s’agissait d’un hochet  attribué  par Macron à celui qui lui avait permis d’être élu lors de l’élection présidentielle.

Certains ont déjà comparés Bayrou à Jo Biden. Le premier Ministre paraît en effet empâté et pas dans le rythme nécessaire des enjeux du moment. Ses réponses à l’Assemblée nationale ressemblaient  davantage à celle d’un président de conseil général qu’à celle d’un premier ministre !

Exemple encore notamment le temps fou « pour constituer un gouvernement alors qu’il prendra la quasi-totalité de ses membres dans ce qui reste du socle parlementaire. Le problème est simple il doit rapidement s’entourer de personnalités fortes pour compenser ses propres faiblesses. La propre faiblesse de Bayrou pourraient justement se situer dans son manque de réactivité et même de travail. Et même sur le plan de la rhétorique intéressée paraît un peu endormi voire faible, dommage pour un diplômé en lettres !

« Qu’est-ce que vous voulez que je vous dise? Tout ça ne donne vraiment pas une bonne impression. Je comprends que ça puisse heurter », reconnaît un élu Modem.

« C’est peut-être malhabile », lâche de son côté, du bout des lèvres, le député Richard Ramos, assurant que François Bayrou a « voulu marquer ses débuts à Matignon en parlant des territoires ».
Quant à la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, pourtant sur le papier dans le camp de François Bayrou, elle n’a pas fait semblant. « J’aurais préféré qu’il prenne l’avion pour Mayotte », a-t-elle critiqué sur France info.

 

Sondage Bayrou comme premier Ministre , 67 % ne croient pas à un retour de la stabilité politique

Sondage    Bayrou comme premier Ministre , 67 % ne croient pas à  un retour de la stabilité politique

 Un sondage L’Opinion en direct réalisé par l’institut Elabe pour BFMTV révèle ce samedi 14 décembre que 67% des Français ne croient pas à un retour de la stabilité politique avec le futur gouvernement. Ce n’est sans doute pas la mièvre prestation de Bayrou qui aura changé les tendances après l’intervention à l’Assemblée nationale de mardi dernier.

Sur un échantillon de 1.009 personnes interrogées, 40% voient l’arrivée de François Bayrou comme une « mauvaise chose », alors que 31% la considèrent au contraire comme une « bonne chose » (29% se disent sans avis).

52% des Français estiment que le gouvernement Bayrou ne parviendra pas à faire consensus avec les oppositions, tandis que 47% pensent à l’inverse qu’il y parviendra. En comparaison, le pronostic d’un accord est inférieur de 5 points par rapport à la nomination de Michel Barnier.

Dans l’attente d’un nouveau cap politique, une courte majorité de Français dépeint François Bayrou comme un homme capable de faire des compromis (54%) et sympathique (52%). Une partie des Français le considère également comme étant à l’écoute (48%), compétent (47%) et courageux (47%). En revanche, seuls 33% estiment qu’il est capable de réformer le pays.

Bayrou à l’Assemblée : «un coté Joe Biden»?

 Bayrou à l’Assemblée : «un coté Joe Biden»?

Bayrou Ne s’est pas montré très à l’aise lors de la séance des questions à l’Assemblée nationale. Il a même paru un peu décalé, bref pas à la hauteur des enjeux et surtout de l’urgence sur certains problèmes notamment évidemment Mayotte. Bayrou sort de sa zone de confort en s’engageant sur le terrain de la responsabilité nationale et il devra sans doute montrer un peu plus de précision, de travail et même de cohérence s’il veut durer davantage que Barnier.

Un député écolo Benjamin Lucas a même estimé que Bayrou pouvait faire penser à Jo Biden. Invité de BFMTV, le député écologiste Benjamin Lucas a partagé à cet égard sa «stupéfaction»«Ne sachant pas s’il faut aller vite ou lentement», en référence au débit de parole singulier de François Bayrou, le parlementaire du Nouveau Front populaire (NFP) regrette que le premier ministre n’ait finalement «rien eu à dire». Puis s’est permis une comparaison osée entre le successeur de Michel Barnier et l’actuel président américain : «Il me fait penser à Joe Biden».

 

Malgré Bayrou comme premier Ministre , 67 % ne croient pas à un retour de la stabilité politique

Malgré   Bayrou comme premier Ministre , 67 % ne croient pas à  un retour de la stabilité politique

 Un sondage L’Opinion en direct réalisé par l’institut Elabe pour BFMTV révèle ce samedi 14 décembre que 67% des Français ne croient pas à un retour de la stabilité politique avec le futur gouvernement.

Sur un échantillon de 1.009 personnes interrogées, 40% voient l’arrivée de François Bayrou comme une « mauvaise chose », alors que 31% la considèrent au contraire comme une « bonne chose » (29% se disent sans avis).

52% des Français estiment que le gouvernement Bayrou ne parviendra pas à faire consensus avec les oppositions, tandis que 47% pensent à l’inverse qu’il y parviendra. En comparaison, le pronostic d’un accord est inférieur de 5 points par rapport à la nomination de Michel Barnier.

Dans l’attente d’un nouveau cap politique, une courte majorité de Français dépeint François Bayrou comme un homme capable de faire des compromis (54%) et sympathique (52%). Une partie des Français le considère également comme étant à l’écoute (48%), compétent (47%) et courageux (47%). En revanche, seuls 33% estiment qu’il est capable de réformer le pays.

 

Bayrou veut être «un Premier ministre de plein exercice »

 Bayrou veut être  «un Premier ministre de plein exercice » 

En affirmant  vouloir être un premier ministre de plein exercice, Bayrou veut d’entrée manifester son autorité notamment vis-à-vis du président de la république. En creux ,cela signifie que Bayrou refuse d’être simplement le collaborateur du président mais le véritable chef du gouvernement. Une déclaration qui ne surprend pas quand on sait qu’en réalité Macron ne souhaitait pas nommer Bayrou à ce poste et que c’est sous la pression de l’intéressé qu’il a bien été contraint de plier.

Et pour adoucir la pilule vis-à-vis de Macon, Bayrou arrondit les angles en soulignant les qualités du président. François Bayrou sera «un Premier ministre de plein exercice et de complémentarité» avec Emmanuel Macron, a expliqué le nouveau chef du gouvernement à La Tribune Dimanche . «La relation avec le président est d’abord une relation personnelle. C’est un homme dont les gens ne se rendent peut-être pas compte de l’audace et du courage. Il n’y a rien de plus simple pour moi que de travailler avec lui», explique le nouveau chef du gouvernement.

«Je serai un premier ministre de plein exercice et de complémentarité. Ceux qui veulent écrire le récit d’un affrontement entre l’Élysée et Matignon seront démentis», poursuit François Bayrou. Le président du MoDem a été nommé vendredi à Matignon après une matinée de flottement. Le chef de l’État avait d’abord signifié à son plus ancien allié son intention de nommer à Matignon le ministre des Armées Sébastien Lecornu, avant de nommer François Bayrou quelques heures plus tard.

Malgré Bayrou , 67 % ne croient pas à un retour de la stabilité politique

Malgré   Bayrou , 67 % ne croient pas à  un retour de la stabilité politique

 Un sondage L’Opinion en direct réalisé par l’institut Elabe pour BFMTV révèle ce samedi 14 décembre que 67% des Français ne croient pas à un retour de la stabilité politique avec le futur gouvernement.

Sur un échantillon de 1.009 personnes interrogées, 40% voient l’arrivée de François Bayrou comme une « mauvaise chose », alors que 31% la considèrent au contraire comme une « bonne chose » (29% se disent sans avis).

52% des Français estiment que le gouvernement Bayrou ne parviendra pas à faire consensus avec les oppositions, tandis que 47% pensent à l’inverse qu’il y parviendra. En comparaison, le pronostic d’un accord est inférieur de 5 points par rapport à la nomination de Michel Barnier.

Dans l’attente d’un nouveau cap politique, une courte majorité de Français dépeint François Bayrou comme un homme capable de faire des compromis (54%) et sympathique (52%). Une partie des Français le considère également comme étant à l’écoute (48%), compétent (47%) et courageux (47%). En revanche, seuls 33% estiment qu’il est capable de réformer le pays.

 

Bayrou doit se libérer encore un peu plus de Macron

Bayrou doit se libérer encore un peu plus de Macron

 

Pour faire face aux crises, le nouveau premier ministre devra s’affranchir de la tutelle présidentielle et tenir compte des rapports de force à l’Assemblée nationale, estime le professeur de science politique ,Martial Foucault, Politiste

Pour faire face aux crises, le nouveau premier ministre devra s’affranchir de la tutelle présidentielle et tenir compte des rapports de force à l’Assemblée nationale, estime le professeur de science politique dans une tribune au « Monde ».

 

dans une tribune au « Monde ».

 

Sixième premier ministre d’Emmanuel Macron, François Bayrou parviendra-t-il à surmonter les quatre crises – budgétaire, politique, morale et sociale – dans lesquelles s’enfonce la France ? La réussite et la durée de son mandat, et par effet de ricochet une stabilisation institutionnelle, dépendent des réponses que le nouveau locataire de Matignon apportera à ces urgences.

A la différence de l’éphémère gouvernement dirigé par Michel Barnier, c’est désormais un gouvernement de coalition, et non pas de cohabitation, que François Bayrou devra conduire. En effet, la relation personnelle qu’il entretient avec le président de la République et le soutien décisif qu’il lui a apporté lors de la campagne de 2017 devraient donner à François Bayrou, contrairement à ses prédécesseurs sous Macron, quelques degrés supplémentaires de liberté pour s’affranchir de la tutelle présidentielle.

Premier défi, urgent : résoudre le dilemme entre l’exigence de rigueur budgétaire et la satisfaction des demandes redistributives de la gauche parlementaire. Est-ce que le centrisme, comme doctrine politique, consiste seulement à dégager en tout temps et en toutes circonstances une voie médiane ? La voie de passage pour François Bayrou est étroite, car l’échec du vote du budget aurait pour conséquence d’ébranler le système institutionnel et de déboucher sur une crise de régime.

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