Archive pour le Tag 'bavards'

Société-Sondage personnalités : les plus bavards en tête

Société-Sondage personnalités : les plus bavards en tête

 

Sans surprise ce sont des personnalités les plus connues ( notamment sportives)  et où les plus bavardes qui se retrouvent en tête du classement des « 1000 dans la presse ».(Une exception toutefois le très discret chanteur Goldman).  En 2021, Macron, Castex et Biden ont été les personnalités les plus cités dans les journaux et sites web d’information en France selon les « 1.000 de la presse », classement établi par Tagaday.

Un classement qui en fait ne révèle pas grand-chose d’intéressant sinon que la presse traite  surtout de la surface des choses . Peu de choses en effet concernent la vie économique, la vie sociale, la vie sociétale et même la vie culturelle ( Citons quand même Cyril Hanouna en tête dans le monde « culturel »  qui dans une émission il y a quelques jours centrait sa thématique sur le fait qu’il ‘s’était découvert une troisième couille ! On atteint avec l’intéressé le sommet du ridicule, de la bêtise et de la vulgarité. Et il y a un large public de beaufs pour cela!

C’est sans doute précisément parce que la presse ne parle que de personnalités médiatiques connues mais souvent peu intéressantes que les médias traditionnels sont aujourd’hui si peu suivis et si peu crédibles

Sondage personnalités : les plus bavards en tête

Sondage personnalités : les plus bavards en tête

 

Sans surprise ce sont des personnalités les plus connues ( notamment sportives)  et où les plus bavardes qui se retrouvent en tête du classement des « 1000 dans la presse ». En 2021, Macron, Castex et Biden ont été les personnalités les plus cités dans les journaux et sites web d’information en France selon les « 1.000 de la presse », classement établi par Tagaday.

Un classement qui en fait ne révèle pas grand-chose d’intéressant sinon que la presse traite  surtout de la surface des choses . Peu de choses en effet concernent la vie économique, la vie sociale, la vie sociétale et même la vie culturelle ( Citons quand même Cyril Hanouna en tête dans le monde « culturel »  qui dans une émission il y a quelques jours centrait sa thématique sur le faite qu’il ‘s’était découvert une troisième couille ! On atteint avec l’intéressé le sommet du ridicule, de la bêtise et de la vulgarité. Et il y a un large public de beaufs pour cela!

C’est sans doute précisément parce que la presse ne parle que de personnalités médiatiques connues mais souvent peu intéressantes que les médias traditionnels sont aujourd’hui si peu suivis et si peu crédibles

 

 

Santé- Vaccin covid: Les sociologues et autres bavards sommés de se taire par le CNRS

Santé- Vaccin covid: Les sociologues et autres bavards sommés de se taire par le CNRS

 

Nombre de pseudo experts notamment des sociologues n’hésitent pas à donner leur avis à propos du covid. Le CNRS somme ces bavards impénitents de se taire sur des sujets dont ils ignorent tout . Dans le corps médical lui-même, nombre de soignants s’expriment aussi sans compétence particulière poussés il est vrai notamment par les chaînes d’information continue en mal de bla-bla

Un chercheur en sociologie est-il fondé à analyser les effets indésirables des vaccins contre le Covid-19 ? Pour le CNRS, la réponse est non. Dans un communiqué, mardi 24 août, l’organisme « déplore les prises de position publiques de certains scientifiques, souvent plus soucieux d’une éphémère gloire médiatique que de vérité scientifique, sur des sujets éloignés de leurs champs de compétences professionnelles ».

Sans le nommer, le CNRS incrimine l’un de ses directeurs de recherche en sociologie, Laurent Mucchielli, qui a publié, depuis mars 2020, pas moins de soixante-trois analyses consacrées à la crise sanitaire sur son blog hébergé par Mediapart, dont l’une a été dépubliée le 4 août par la rédaction en chef au motif qu’elle diffusait de « fausses informations ».

Le sociologue, spécialiste de la délinquance et des politiques de sécurité, y affirmait au côté d’autres signataires, dont deux pharmaciens et un médecin, que la vaccination de masse contre le Covid-19 conduisait à « une mortalité inédite dans l’histoire de la médecine moderne ». Aux Etats-Unis, elle « a contribué à tuer cinq fois plus de personnes que la vaccination antigrippe en trente ans », avançait-il, en s’appuyant sur les enquêtes de pharmacovigilance des différents vaccins.

 « Ces communications ne respectent aucune des règles en vigueur dans le cadre de publications scientifiques, notamment le jugement par les pairs, seuls à même de contrôler la rigueur de la démarche », tranche le CNRS, qui précise que son comité d’éthique a « récemment » approuvé une recommandation prévoyant que « le chercheur qui intervient dans l’espace public doit préciser à quel titre il prend la parole », en qualité de spécialiste, en tant que représentant de son organisme de recherche ou au titre de « citoyen engagé, voire de militant ».

A la faveur d’une tribune publiée dans les colonnes du Monde, jeudi 19 août, huit sociologues, dont Gérald Bronner et Dominique Schnapper, avaient sommé le CNRS de réagir, évoquant la manipulation qui consiste à confondre les décès durant une période consécutive à une vaccination avec ceux causés par la vaccination.

 « L’imputabilité est un travail d’enquête fait par des médecins et des pharmaciens spécialisés en pharmacovigilance. Un sociologue ne pourrait y prendre part », rappelle Fabienne Blum, présidente de Citizen4Science, association créée fin 2020 pour soutenir les scientifiques « harcelés » depuis le début de la crise sanitaire.

Un avis que ne partage pas Laurent Mucchielli. « La science repose sur le débat contradictoire, la libre discussion des données et des raisonnements, se défend-il dans une réponse écrite au MondeLe CNRS ne s’en serait jamais inquiété s’il n’avait pas été harcelé par mes détracteurs. ».

Un sociologue qui confond sans doute bavardage et recherche ! Comme trop souvent dans sa discipline.

Vaccin covid: Les sociologues et autres bavards sommés de se taire par le CNRS

Vaccin covid: Les sociologues et autres bavards sommés de se taire par le CNRS

 

Nombre de pseudo experts notamment des sociologues n’hésitent pas à donner leur avis à propos du covid. Le CNRS somme ces bavards impénitents de se taire sur des sujets dont ils ignorent tout . Dans le corps médical lui-même, nombre de soignants s’expriment aussi sans compétence particulière poussés il est vrai notamment par les chaînes d’information continue en mal de bla-bla

Un chercheur en sociologie est-il fondé à analyser les effets indésirables des vaccins contre le Covid-19 ? Pour le CNRS, la réponse est non. Dans un communiqué, mardi 24 août, l’organisme « déplore les prises de position publiques de certains scientifiques, souvent plus soucieux d’une éphémère gloire médiatique que de vérité scientifique, sur des sujets éloignés de leurs champs de compétences professionnelles ».

Sans le nommer, le CNRS incrimine l’un de ses directeurs de recherche en sociologie, Laurent Mucchielli, qui a publié, depuis mars 2020, pas moins de soixante-trois analyses consacrées à la crise sanitaire sur son blog hébergé par Mediapart, dont l’une a été dépubliée le 4 août par la rédaction en chef au motif qu’elle diffusait de « fausses informations ».

Le sociologue, spécialiste de la délinquance et des politiques de sécurité, y affirmait au côté d’autres signataires, dont deux pharmaciens et un médecin, que la vaccination de masse contre le Covid-19 conduisait à « une mortalité inédite dans l’histoire de la médecine moderne ». Aux Etats-Unis, elle « a contribué à tuer cinq fois plus de personnes que la vaccination antigrippe en trente ans », avançait-il, en s’appuyant sur les enquêtes de pharmacovigilance des différents vaccins.

 « Ces communications ne respectent aucune des règles en vigueur dans le cadre de publications scientifiques, notamment le jugement par les pairs, seuls à même de contrôler la rigueur de la démarche », tranche le CNRS, qui précise que son comité d’éthique a « récemment » approuvé une recommandation prévoyant que « le chercheur qui intervient dans l’espace public doit préciser à quel titre il prend la parole », en qualité de spécialiste, en tant que représentant de son organisme de recherche ou au titre de « citoyen engagé, voire de militant ».

A la faveur d’une tribune publiée dans les colonnes du Monde, jeudi 19 août, huit sociologues, dont Gérald Bronner et Dominique Schnapper, avaient sommé le CNRS de réagir, évoquant la manipulation qui consiste à confondre les décès durant une période consécutive à une vaccination avec ceux causés par la vaccination.

 « L’imputabilité est un travail d’enquête fait par des médecins et des pharmaciens spécialisés en pharmacovigilance. Un sociologue ne pourrait y prendre part », rappelle Fabienne Blum, présidente de Citizen4Science, association créée fin 2020 pour soutenir les scientifiques « harcelés » depuis le début de la crise sanitaire.

Un avis que ne partage pas Laurent Mucchielli. « La science repose sur le débat contradictoire, la libre discussion des données et des raisonnements, se défend-il dans une réponse écrite au MondeLe CNRS ne s’en serait jamais inquiété s’il n’avait pas été harcelé par mes détracteurs. ».

Un sociologue qui confond sans doute bavardage et recherche ! Comme trop souvent dans sa discipline.

Covid: Les sociologues et autres bavards sommés de se taire par le CNRS

Covid: Les sociologues et autres bavards sommés de se taire par le CNRS

 

Nombre de pseudo experts notamment des sociologues n’hésitent pas à donner leur avis à propos du covid. Le CNRS somme ces bavards impénitents de se taire sur des sujets dont ils ignorent tout .

Un chercheur en sociologie est-il fondé à analyser les effets indésirables des vaccins contre le Covid-19 ? Pour le CNRS, la réponse est non. Dans un communiqué, mardi 24 août, l’organisme « déplore les prises de position publiques de certains scientifiques, souvent plus soucieux d’une éphémère gloire médiatique que de vérité scientifique, sur des sujets éloignés de leurs champs de compétences professionnelles ».

Sans le nommer, le CNRS incrimine l’un de ses directeurs de recherche en sociologie, Laurent Mucchielli, qui a publié, depuis mars 2020, pas moins de soixante-trois analyses consacrées à la crise sanitaire sur son blog hébergé par Mediapart, dont l’une a été dépubliée le 4 août par la rédaction en chef au motif qu’elle diffusait de « fausses informations ».

Le sociologue, spécialiste de la délinquance et des politiques de sécurité, y affirmait au côté d’autres signataires, dont deux pharmaciens et un médecin, que la vaccination de masse contre le Covid-19 conduisait à « une mortalité inédite dans l’histoire de la médecine moderne ». Aux Etats-Unis, elle « a contribué à tuer cinq fois plus de personnes que la vaccination antigrippe en trente ans », avançait-il, en s’appuyant sur les enquêtes de pharmacovigilance des différents vaccins.

 « Ces communications ne respectent aucune des règles en vigueur dans le cadre de publications scientifiques, notamment le jugement par les pairs, seuls à même de contrôler la rigueur de la démarche », tranche le CNRS, qui précise que son comité d’éthique a « récemment » approuvé une recommandation prévoyant que « le chercheur qui intervient dans l’espace public doit préciser à quel titre il prend la parole », en qualité de spécialiste, en tant que représentant de son organisme de recherche ou au titre de « citoyen engagé, voire de militant ».

A la faveur d’une tribune publiée dans les colonnes du Monde, jeudi 19 août, huit sociologues, dont Gérald Bronner et Dominique Schnapper, avaient sommé le CNRS de réagir, évoquant la manipulation qui consiste à confondre les décès durant une période consécutive à une vaccination avec ceux causés par la vaccination.

 « L’imputabilité est un travail d’enquête fait par des médecins et des pharmaciens spécialisés en pharmacovigilance. Un sociologue ne pourrait y prendre part », rappelle Fabienne Blum, présidente de Citizen4Science, association créée fin 2020 pour soutenir les scientifiques « harcelés » depuis le début de la crise sanitaire.

Un avis que ne partage pas Laurent Mucchielli. « La science repose sur le débat contradictoire, la libre discussion des données et des raisonnements, se défend-il dans une réponse écrite au MondeLe CNRS ne s’en serait jamais inquiété s’il n’avait pas été harcelé par mes détracteurs. ».

Un sociologue qui confond sans doute bavardage et recherche ! Comme trop souvent dans sa discipline.




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