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Politique : Bardella instrumentalise l’épouvantail Mélenchon

Politique : Bardella instrumentalise l’épouvantail Mélenchon

 

Bardella ne fait pas dans la dentelle en instrumentalisant l’épouvantail Mélenchon afin d’obtenir une majorité absolue à l’Assemblée nationale. Pire, il fait tout pour mettre en vedette Mélenchon au point d’ailleurs de le sélectionner pour un éventuel débat télévisé. La ficelle est évidemment un peu grosse car chacun sait que Mélenchon fait peur à beaucoup de monde et d’une certaine façon discrédite son propre camp à chacune de ses positions radicales.

Du coup, mettre en avant Mélenchon, c’est souligner toutes les contradictions de la gauche, ses excès, son gauchisme et son irresponsabilité.

De ce point de vue , Mélenchon reste aussi ambigu en ne cessant de cultiver les  cohérences. D’un côté , il affirme laisser la gestion du nouveau Front populaire à d’autres mais d’un autre côté il ne cesse de multiplier les interventions médiatiques fracassantes qui sont autant de bâtons mis dans les roues de la gauche. À tel point d’ailleurs qu( on se demande si Mélenchon veut réellement le meilleur score de la gauche pour le second tour des législatives. Ce second tour n’est sans doute qu’un épiphénomène pour lui qui vise surtout  2027 voire l’illusoire révolution et à défaut la chienlit dans le pays.

Invité du «20 heures» de TF1 lundi soir, le président du RN Jordan Bardella, q de manière caricaturale  a dénoncé une «alliance un peu contre-nature entre Jean-Luc Mélenchon et Emmanuel Macron qui est très surprenante.» «Une alliance du déshonneur dans un sens comme dans l’autre», a raillé le nationaliste, selon qui «les Français ne sont pas dupes et doivent avoir de la clarté dans les prochains jours». Un peu plus tôt, il avait publié sur ses réseaux sociaux un montage des deux figures se serrant la main tout sourire derrière la bannière du Nouveau Front populaire (NFP).

Bardella instrumentalise l’épouvantail Mélenchon

Bardella instrumentalise l’épouvantail Mélenchon

 

Bardella ne fait pas dans la dentelle en instrumentalisant l’épouvantail Mélenchon afin d’obtenir une majorité absolue à l’Assemblée nationale. Pire, il fait tout pour mettre en vedette Mélenchon au point d’ailleurs de le sélectionner pour un débat télévisé. La ficelle est évidemment un peu grosse car chacun sait que Mélenchon fait peur à beaucoup de monde et d’une certaine façon discrédite son propre camp à chacune de ses positions radicales.

Du coup, mettre en avant Mélenchon, c’est souligner toutes les contradictions de la gauche, ses excès, son gauchisme et son irresponsabilité.

De ce point de vue , Mélenchon reste aussi ambigu en ne cessant de cultiver les  cohérences. D’un côté , il affirme laisser la gestion du nouveau Front populaire à d’autres mais d’un autre côté il ne cesse de multiplier les interventions médiatiques fracassantes qui sont autant de bâtons mis dans les roues de la gauche. À tel point d’ailleurs qu( on se demande si Mélenchon veut réellement le meilleur score de la gauche pour le second tour des législatives. Ce second tour n’est sans doute qu’un épiphénomène pour lui qui vise surtout  2027 voire l’illusoire révolution et à défaut la chienlit dans le pays.

Invité du «20 heures» de TF1 lundi soir, le président du RN Jordan Bardella, q de manière caricaturale  a dénoncé une «alliance un peu contre-nature entre Jean-Luc Mélenchon et Emmanuel Macron qui est très surprenante.» «Une alliance du déshonneur dans un sens comme dans l’autre», a raillé le nationaliste, selon qui «les Français ne sont pas dupes et doivent avoir de la clarté dans les prochains jours». Un peu plus tôt, il avait publié sur ses réseaux sociaux un montage des deux figures se serrant la main tout sourire derrière la bannière du Nouveau Front populaire (NFP).

Macron, Bardella, Attal: trop jeunes et trop inexpérimentés

Macron, Bardella, Attal:  trop jeunes et  trop inexpérimentés

Les facteurs explicatifs de la crise politique en France sont évidemment nombreux et interagissent de manière systémique. Parmi ceux-là il faut toutefois relever le manque de maturité et d’expérience de quelques responsables nationaux. D’abord évidemment le président de la république mais aussi Bardella et Attal qui au préalable ne pouvaient justifier d’une grande expérience politique voir même d’aucun passé de responsable d’une collectivité un peu significative.

Certes l’âge n’est pas forcément un handicap, on peut facilement le surmonter avec une expérience de gestion d’une collectivité. Or beaucoup trop de nouveaux responsables sont propulsés au plan national surtout par le jeu des appareils et l’éclairage des médias. Une fois au pouvoir faute de maturité, ils se fracassent sur les réalités.

Le cas le plus significatif est évidemment celui de Macron entré en politique via les postes de conseillers sans jamais au préalable avoir eu à gérer l’intérêt collectif directement et concrètement . C’est un peu vrai pour Attal mais aussi pour Bardella.

Pour assurer des fonctions un tel niveau,  il faut évidemment avoir accumulé sagesse et expérience, avoir connu des succès mais aussi les échecs et avoir été capables de se remettre en cause.  Bref un parcours de citoyenneté engagée  et un âge de compétence qui ne peut guère être atteint avant 40 ou 50 ans. Après cela il ne faut pas s’étonner que Macron agisse parfois comme un adolescent en lançant sans doute la France dans une crise politique mais aussi économique et sociale dont on mesure sans doute mal aujourd’hui l’ampleur et les conséquences.

Sociologie Politique-Macron, Bardella, Attal: Bien trop jeunes et bien trop inexpérimentés

Sociologie Politique-Macron, Bardella, Attal: Bien trop jeunes et bien trop inexpérimentés

Les facteurs explicatifs de la crise politique en France sont évidemment nombreux et interagissent de manière systémique. Parmi ceux-là il faut toutefois relever le manque de maturité et d’expérience de quelques responsables nationaux. D’abord évidemment le président de la république mais aussi Bardella et Attal qui au préalable ne pouvaient justifier d’une grande expérience politique voir même d’aucun passé de responsable d’une collectivité un peu significative.

Certes l’âge n’est pas forcément un handicap, on peut facilement le surmonter avec une expérience de gestion d’une collectivité. Or beaucoup trop de nouveaux responsables sont propulsés au plan national surtout par le jeu des appareils et l’éclairage des médias. Une fois au pouvoir faute de maturité, ils se fracassent sur les réalités.

Le cas le plus significatif est évidemment celui de Macron entré en politique via les postes de conseillers sans jamais au préalable avoir eu à gérer l’intérêt collectif directement et concrètement . C’est un peu vrai pour Attal mais aussi pour Bardella.

Pour assurer des fonctions un tel niveau,  il faut évidemment avoir accumulé sagesse et expérience, avoir connu des succès mais aussi les échecs et avoir été capables de se remettre en cause.  Bref un parcours de citoyenneté engagée  et un âge de compétence qui ne peut guère être atteint avant 40 ou 50 ans. Après cela il ne faut pas s’étonner que Macron agisse parfois comme un adolescent en lançant sans doute la France dans une crise politique mais aussi économique et sociale dont on mesure sans doute mal aujourd’hui l’ampleur et les conséquences.

Politique-Macron, Bardella, Attal: Bien trop jeunes et bien trop inexpérimentés

Politique-Macron, Bardella, Attal: Bien trop jeunes et bien trop inexpérimentés

Les facteurs explicatifs de la crise politique en France sont évidemment nombreux et interagissent de manière systémique. Parmi ceux-là il faut toutefois relever le manque de maturité et d’expérience de quelques responsables nationaux. D’abord évidemment le président de la république mais aussi Bardella et Attal qui au préalable ne pouvaient justifier d’une grande expérience politique voir même d’aucun passé de responsable d’une collectivité un peu significative.

Certes l’âge n’est pas forcément un handicap, on peut facilement le surmonter avec une expérience de gestion d’une collectivité. Or beaucoup trop de nouveaux responsables sont propulsés au plan national surtout par le jeu des appareils et l’éclairage des médias. Une fois au pouvoir faute de maturité, ils se fracassent sur les réalités.

Le cas le plus significatif est évidemment celui de Macron entré en politique via les postes de conseillers sans jamais au préalable avoir eu à gérer l’intérêt collectif directement et concrètement . C’est un peu vrai pour Attal mais aussi pour Bardella.

Pour assurer des fonctions un tel niveau,  il faut évidemment avoir accumulé sagesse et expérience, avoir connu des succès mais aussi les échecs et avoir été capables de se remettre en cause.  Bref un parcours de citoyenneté engagée  et un âge de compétence qui ne peut guère être atteint avant 40 ou 50 ans. Après cela il ne faut pas s’étonner que Macron agisse parfois comme un adolescent en lançant sans doute la France dans une crise politique mais aussi économique et sociale dont on mesure sans doute mal aujourd’hui l’ampleur et les conséquences.

Politique-Macron, Bardella, Attal: Bien trop jeunes et bien trop inexpérimentés

Politique-Macron, Bardella, Attal: Bien trop jeunes et bien trop inexpérimentés

Les facteurs explicatifs de la crise politique en France sont évidemment nombreux et interagissent de manière systémique. Parmi ceux-là il faut toutefois relever le manque de maturité et d’expérience de quelques responsables nationaux. D’abord évidemment le président de la république mais aussi Bardella et Attal qui au préalable ne pouvaient justifier d’une grande expérience politique voir même d’aucun passé de responsable d’une collectivité un peu significative.

Certes l’âge n’est pas forcément un handicap, on peut facilement le surmonter avec une expérience de gestion d’une collectivité. Or beaucoup trop de nouveaux responsables sont propulsés au plan national surtout par le jeu des appareils et l’éclairage des médias. Une fois au pouvoir faute de maturité, ils se fracassent sur les réalités.

Le cas le plus significatif est évidemment celui de Macron entré en politique via les postes de conseillers sans jamais au préalable avoir eu à gérer l’intérêt collectif directement et concrètement . C’est un peu vrai pour Attal mais aussi pour Bardella.

Pour assurer des fonctions un tel niveau,  il faut évidemment avoir accumulé sagesse et expérience, avoir connu des succès mais aussi les échecs et avoir été capables de se remettre en cause.  Bref un parcours de citoyenneté engagée  et un âge de compétence qui ne peut guère être atteint avant 40 ou 50 ans. Après cela il ne faut pas s’étonner que Macron agisse parfois comme un adolescent en lançant sans doute la France dans une crise politique mais aussi économique et sociale dont on mesure sans doute mal aujourd’hui l’ampleur et les conséquences.

Macron, Bardella, Attal: Bien trop jeunes et bien trop inexpérimentés

Macron, Bardella, Attal: Bien trop jeunes et bien trop inexpérimentés

Les facteurs explicatifs de la crise politique en France sont évidemment nombreux et interagissent de manière systémique. Parmi ceux-là il faut toutefois relever le manque de maturité et d’expérience de quelques responsables nationaux. D’abord évidemment le président de la république mais aussi Bardella et Attal qui au préalable ne pouvaient justifier d’une grande expérience politique voir même d’aucun passé de responsable d’une collectivité un peu significative.

Certes l’âge n’est pas forcément un handicap, on peut facilement le surmonter avec une expérience de gestion d’une collectivité. Or beaucoup trop de nouveaux responsables sont propulsés au plan national surtout par le jeu des appareils et l’éclairage des médias. Une fois au pouvoir faute de maturité, ils se fracassent sur les réalités.

Le cas le plus significatif est évidemment celui de Macron entré en politique via les postes de conseillers sans jamais au préalable avoir eu à gérer l’intérêt collectif directement et concrètement . C’est un peu vrai pour Attal mais aussi pour Bardella.

Pour assurer des fonctions un tel niveau,  il faut évidemment avoir accumulé sagesse et expérience, avoir connu des succès mais aussi les échecs et avoir été capables de se remettre en cause.  Bref un parcours de citoyenneté engagée  et un âge de compétence qui ne peut guère être atteint avant 40 ou 50 ans. Après cela il ne faut pas s’étonner que Macron agisse parfois comme un adolescent en lançant sans doute la France dans une crise politique mais aussi économique et sociale dont on mesure sans doute mal aujourd’hui l’ampleur et les conséquences.

Programme Bardella: Exercice réussi sur la forme mais flou sur le chiffrage et le calendrier

Programme Bardella: Exercice réussi sur la forme mais flou sur le chiffrage et le calendrier

 

 

Indiscutablement Bardella  a réussi personnellement l’exercice de présentation de son programme. Affichant sérieux, calme et détermination le candidat est RN a réussi son examen d’accès comme prétendant national. Il a repris le programme déjà connu mais en adoucissant certains angles un peu trop saillant et détendu le calendrier.

Il y aura les mesures d’urgence qu’il envisage puis un deuxième temps pour des réformes plus importantes reportées à plus tard. Sur la calendrier même ce deuxième temps pourrait se révéler assez flou compte tenu des complexités juridiques ( droit du sol par exemple pour la nationalité) . Il y a aussi l’hypothèque de l’audit financier sur les prochaines réformes. Une manière par avance de reporter la responsabilité de l’annulation de certaines réformes sur le pouvoir actuel. Enfin et peut-être surtout c’est l’insuffisance de chiffrage financier qui fait défaut. On voit mal le bouclage économique de toutes les mesures notamment sociales annoncées. Mais Bardella la aura quand même réussi son examen de respectabilité et de candidat reconnu aux plus hautes responsabilités.

 

Pour les mesures considérées comme les plus urgentes, Jordan Bardella veut qu’une session parlementaire extraordinaire soit organisée pour voter la baisse de la TVA sur l’ensemble des produits énergétiques. Une circulaire sera envoyée à la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) pour contrôler que la baisse est « effective ». Il souhaite aussi renégocier au niveau européen les règles de fixation des prix de l’électricité.

Meilleurs opposants au pouvoir : Bardella à droite et Glucksmann à gauche

Meilleurs opposants au pouvoir : Bardella à droite et Glucksmann à gauche

 

 


D’après IPSOS, La cote de popularité du président de la République enregistre une baisse de 4 points par rapport à mai, pour se situer à 28% d’opinions favorables, contre 68% d’opinions défavorables (+5 points en un mois). Bardella  est le meilleur opposant à droite et Glucksmann le meilleur opposant à gauche.

 

Emmanuel Macron enregistre notamment une baisse importante auprès des sympathisants de la majorité présidentielle : si les ¾ d’entre eux ont toujours une opinion favorable de l’action du chef de l’Etat, cette proportion a baissé de 9 points en un mois, mais aussi auprès de ceux du PS (22%, -12 points) et des Républicains et de l’UDI (31%, -12 points)..

Gabriel Attal, quant à lui, voit sa cote progresser pour se situer à 40% d’opinions favorables (+1 point). Si sa cote d’opinions défavorables progresse aussi (53%, +2 points), on constate que la popularité du premier ministre n’a pas pâti du résultat des élections européennes ni de l’annonce de la dissolution. Contrairement au président de la République, Gabriel Attal voit sa cote progresser auprès des sympathisants de la majorité présidentielle (84%, +7 points).

Parmi les différents ministres du gouvernement, Gérald Darmanin maintient sa position de tête, considéré comme étant le meilleur ministre selon les Français (35%, +1 point), devant Bruno Le Maire (31%, =). Rachida Dati atteint ce mois-ci la 3ème position en grimpant de 5 points (25%), suivie par Éric Dupont-Moretti (2%, -2 points).

 

A gauche, Raphael Glucksmann s’impose désormais comme le meilleur opposant, cité par 27% des Français, soit une progression de 9 points par rapport à mai. Il devance Jean-Luc Mélenchon et François Ruffin, tous les deux à 20%. Raphael Glucksmann est particulièrement cité par les sympathisants du PS (68%) mais aussi par ceux de la majorité présidentielle (45%).

A droite, Jordan Bardella est désormais cité par 44% des Français comme le meilleur opposant à droite (+5 points), devant Marine Le Pen (36%, +1 point) et loin devant les personnalités des autres partis comme Xavier Bertrand (15%, -1 point). Jordan Bardella est également en tête auprès des sympathisants de son parti (cité par 88% d’entre eux contre 77% pour Marine Le Pen).

Suppression de la TVA sur certains produits de base renvoyée à plus tard par Bardella

Suppression de la TVA sur certains produits de base renvoyée à plus tard par Bardella

Le RN et en particulier Bardella  commencent à mettre la pédale douce sur l’ampleur et la vitesse des réformes qu’ils envisagent. D’abord Bardella pour devenir premier ministre souhaite une majorité nette c’est-à-dire une majorité absolue donc sans partage avec d’autres ; ensuite sur la question des retraites,  le RN a indiqué que la suppression de la réforme des retraites interviendrait dans un second temps de même que la suppression de la TVA sur les produits de première nécessité.

Selon d’autres déclarations il semble bien que le RN veuille au préalable s’assurer de l’état des finances avant de mettre en œuvre son programme.

La vérité sans doute c’est que la dissolution brutale décidée bien imprudemment par Macron a surpris organisations politiques et responsables contraints un peu à la va-vite d’élaborer un programme électoral à forte connotation sociale mais sans vrai bouclage économique. Cela vaut pour le RN mais aussi pour le front populaire comme pour le programme de la majorité présidentielle.

Notons qu’il y a encore quelques semaines le ministre des finances annonçait l’impérative nécessité d’économiser 10 milliards supplémentaires dans le budget 2024. Au lieu de cela les programmes de la majorité, du RN et du Front populaire prévoient des dépenses de dizaines et de dizaines de milliards ( jusqu’à 300 milliards) avec la perspective de ressources très hypothétiques .

Bardella veut une majorité absolue

 Bardella veut une majorité absolue

Bardella a sans doute raison de poser d’une certaine manière ses conditions pour accéder à Matignon. Il a sans doute compris qu’une majorité relative risque de rendre la gouvernance impossible. Du coup,  il pourrait se brûler les ailes comme premier ministre à rechercher en permanence une impossible majorité entre des alliés contradictoires. Notons que le même problème se pose évidemment pour la gauche si par hypothèse elle parvenait à obtenir la majorité relative. C’est  conséquence directe d’une dissolution précipitée par Macron et à laquelle aucun parti n’était préparé et qui pourrait conduire le pays vers le chaos.

«Pour gouverner, pour nous essayer, j’ai besoin d’une majorité absolue», tonne Jordan Bardella. «Qui peut croire qu’on pourra changer le quotidien des Français en cohabitation avec une majorité relative? Personne», insiste le président du RN. Le mouvement à la flamme a beau être en tête dans les intentions de vote au niveau national, il est encore trop tôt pour déceler quelle sera l’épaisseur de son possible succès. C’est la première fois que le jeune responsable, qui mène une campagne au slogan limpide - «Bardella premier ministre» -, met dans la balance sa nomination comme deuxième personnage de l’État.

D’une certaine manière, bardella  revient sur son gouvernement d’union nationale en exigeant comme préalable une majorité absolue. Et en indiquant clairement : «La cohérence, c’est que c’est le RN qui conduit cette coalition.»

. Il renvoie ainsi par exemple Ciotti à son rôle de supplétif; un Ciotti déjà en contradiction sur les retraites. Mais le message vaut sans doute aussi pour les autres alliés du est RN.

Ce risque de majorité relative pourrait aussi concerner éventuellement la gauche qui rencontrerait à leur les mêmes incohérences dans une alliance potentielle avec d’autres courants s’ajoutant à ses propres contradictions internes.

 

Remise en cause de la réforme des retraites: Renvoyée à plus tard pour Bardella

Remise en cause de la réforme des retraites: Renvoyée à plus tard pour Bardella

 

Le rassemblement national affirmé qu’il avait l’intention de remettre en cause la réforme des retraites et promettait notamment de ramener l’âge de départ à 60 ans. Hier  Bardelle à considéréque cette question serait renvoyée à plus tard. Rien d’étonnant à cela d’une part parce que la réforme de Macron est en train de révéler que le déficit est prévisible été beaucoup plus conséquent que prévu. En conséquence si nouvelle réforme il y a,  elle risque d’être encore plus sévère que la précédente. Notons aussi que certains alliés du rassemblement national comme Ciotti sont totalement opposés à un adoucissement de la réforme et militent. au contraire pour des mesures plus draconiennes.

Le patron du RN a expliqué mardi soir sur France 2 distinguer «l’urgence de l’importance», avec pour «priorité», le «pouvoir d’achat» et les «factures d’électricité».

Dans un «second temps» seulement, il souhaiterait «évidemment» revenir sur la réforme Macron qui repousse à 64 ans l’âge légal de départ à la retraite, reconnaissant une «divergence» avec son nouvel allié de LR Eric Ciotti, favorable au récent report de l’âge légal. Abroger la réforme Macron ou pas? «Nous verrons», avait aussi répondu Jordan Bardella mardi matin sur RTL, en invoquant la «situation économique» d’un «pays qui pulvérise sous Emmanuel Macron les records de déficit».

Cela démontre à l’évidence qu’il y a des discours pour les campagnes électorales et d’autres quand les responsables politiques s’apprêtent à être en situation de gestion. En clair la réforme de la réforme pourrait être renvoyée aux calendes grecques d’autant plus que si elle revient sur le tapis elle pourrait se retraduire par des mesures encore plus rigoureuses compte tenu des déficits prévus du système.

  «Dans le cas d’une cohabitation, on ne peut évidemment pas faire tout ce que la présidence de la République vous permet de faire (…) Nous serons amenés à faire des choix»Jordan Bardella voudrait que «tous ceux qui ont commencé à travailler avant 20 ans puissent voir le dispositif de carrières longues renforcé et puissent partir avec 40 annuités», mais il y «aura des priorités», a-t-il prévenu.

En 2023, le RN avait mené la bataille contre la réforme des retraites en réclamant son abrogation. Pendant la présidentielle 2022, Marine Le Pen avait édulcoré la proposition initiale du RN de retraite à 60 ans avec 40 annuités pour tout le monde, en réservant la mesure aux personnes entrées dans la vie active avant l’âge de 20 ans.

 

 

Élections Européennes 2024 : Bardella à 33.5%

Élections Européennes 2024 : Bardella à 33.5%

Les intentions de vote de ce lundi 27 mai 2024 d’après l’enquête IFOP du Figaro:

LO – Lutte Ouvrière (Nathalie Arthaud) : 0,5 % (=)

NPA – Nouveau Parti Anticapitaliste (Selma Labib) : 0,5 % (=)

LFI – La France Insoumise (Manon Aubry) : 7,5 % (=)

PC – Parti Communiste (Léon Deffontaines) : 2 % (=)

PS – Parti Socialiste, Place Publique (Raphaël Glucksmann) : 14,5 % (=)

Parti Radical de Gauche, de Régions et Peuples Solidaires et du Mouvement des citoyens (Guillaume Lacroix) : 0,5 % (+0,5)

Changer l’Europe, Nouvelle Donne (Pierre Larrouturou) : 0 % (=)

Les Écologistes, ex-EELV (Marie Toussaint) : 5,5 % (+0,5)

Écologistes au centre (Jean-Marc Governatori) : 0,5 % (=)

PA – Parti Animaliste (Hélène Thouy) : 1 % (−0,5)

La liste Ecologie positive et territoires (Yann Wehrling) : 0,5 % (=)

Renaissance, Modem, Horizons et UDI (Valérie Hayer) : 16 % (=)

LR – Les Républicains (François-Xavier Bellamy) : 7,5 % (=)

Alliance Rurale (Jean Lassalle) : 1 % (=)

Reconquête (Marion Maréchal) : 6 % (−0,5)

RN – Rassemblement National (Jordan Bardella) : 33,5 % (+0,5)

Union Populaire Républicaine (François Asselineau ) : 0,5 % (=)

Les Patriotes (Florian Philippot) : 1 % (−0,5)

La liste « Free Palestine Party » (Nagib Azergui) : 0,5 % (+0,5)

Une autre liste : 1 % (−0,5)

Débat avec Attal: Bardella légèrement vainqueur ?

Débat avec Attal: Bardella légèrement vainqueur ?

 Selon l’enquête Odoxa-Backbone pour Le Figaro, Bardella Sortirait légèrement vainqueur de son débat avec Attal. Un score qui est forcément influencé par le rapport de force politique actuel entre le pouvoir et le rassemblement national – (Dans les sondages pour les européennes le FN fait  le double de la majorité). Pour les experts, ce serait plutôt Attal qui a gagné avec une meilleure maîtrise des dossiers. De toute manière l’objectif était sans doute pour l’un pour l’autre de confirmer leur crédibilité comme candidat aux plus hautes fonctions de l’État y compris  les présidentielles. Et de ce point de vue les deux sont parvenus à leur fin.

Dans le match des jeunes loups de la politique française, Jordan Bardella remporte d’une courte tête la victoire, selon le dernier sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro. Sur les huit grands domaines d’action testés dans le sondage et abordés durant l’émission, le président du Rassemblement national (RN) a été jugé, en moyenne, plus convaincant par 51% des Français exposés au débat contre 46% pour le premier ministre.

Dans le détail, l’eurodéputé RN gagne le match dans les thèmes de prédilection de son parti. Ainsi, sur l’immigration, 63% des Français exposés au débat estiment qu’il a été meilleur contre 33% pour l’ancien ministre de l’Éducation. Le dauphin de Marine Le Pen fait aussi mieux que son adversaire sur les thèmes de la défense de l’industrie (52% vs 44%), de l’énergie et de la place du nucléaire (52% vs 44%) et sur l’agriculture (51% vs 46%).

À l’inverse, le chef du gouvernement a été jugé plus convaincant en ce qui concerne le fonctionnement de l’Union européenne (UE) (49% vs 48%).

 

Débat Bardella-–Attal : plutôt conventionnel et ennuyeux

Débat Bardella-–Attal : plutôt conventionnel et ennuyeux

Pas de quoi vraiment s’enthousiasmer après ce débat qui officiellement portait  sur les aspects européens mais dont on a bien senti que les objectifs étaient de solidifier la stature de chacun en vue de 2027. Attal vise évidemment l’hypothèse d’une candidature à la présidentielle tandis que Bardella a veut donner une crédibilité à sa possible nomination comme premier ministre si Marine Le Pen l’emporte. 

En gros l’objectif était donc la recherche d’une crédibilité pour les deux candidats. D’où cette impression de déjà vu et déjà entendu leur de la confrontation de deux leaders de partis opposés. On aura surtout noté que Bardella a choisi la posture de respectabilité renonçant le plus souvent à répliquer et surtout à exposer ses propres idées. Bref Bardella  -comme Marine Le Pen -reste stratégiquement dans une attitude de critique davantage que de propositions.

Certains considéreront que ce débat a été relativement digne mais on pourrait objecter qu’il était assez conventionnel, manquait er de sel et d’intérêt. En cause sans doute les questions complexes concernant l’Europe qui en apparence ne semblent  pas toucher directement les Français pourtant évidemment largement concernés.

Si l’objectif était de renforcer la crédibilité de chacun des deux leaders l’objectif est atteint. Bardella s’est montré en effet particulièrement prudent tandis qu’Attal a affiché  sa connaissance des dossiers et sans doute marqué des points vis-à-vis de Bardella à mais  surtout vis à vis  d’Édouard Philippe.

Un débat sans doute utile mais pas de quoi enthousiasmer les foules .

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