Archive pour le Tag 'Banque de France'

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Renault, PSA, banque de France etc.: la grogne sociale monte

Renault, PSA, banque de France etc.: la grogne sociale monte

Des salariés de Renault, PSA, Sanofi, GoodYear, Virgin, Faucecia et d’autres entreprises qui ont annoncé des suppressions de postes seront dans la rue ce mardi pour protester contre les « licenciements boursiers« . Le Premier ministre devrait ainsi être pressé de préciser ses intentions en la matière. Légiférer contre ce type de licenciements constituait, en effet, une promesse de campagne de François Hollande.  En juin 2012, le ministre du Travail, Michel Sapin, assurait vouloir aller vite sur ce dossier. Mais en six mois, le gouvernement s’est contenté de donner une définition de ce qu’est un licenciement boursier : celui dont « le seul motif est d’augmenter les dividendes des actionnaires« . Aucun texte n’est pour l’instant inscrit au programme de travail du gouvernement. Ayrault va devoir s’en justifier.  En parallèle, des négociations sociales se tiendront simultanément chez les deux constructeurs automobiles français. Renault et Peugeot sont, en effet, actuellement en discussions avec les représentants du personnel pour rendre leurs usines françaises plus compétitives. Mais chez Renault, la dernière journée de pourparlers s’est très mal passée, les syndicats accusant la direction de la marque au losange, dont l’Etat est actionnaire à 15%, de chantage à l’emploi. Ce qui avait forcé le gouvernement, à réagir. Si ces dernières négociations se transforment encore une fois en bras de fer, Jean-Marc Ayrault pourrait devoir intervenir. Son arbitrage a également été sollicité par les parlementaires communistes à propos du plan social à la Banque de France. Les députés PC demandent au Premier ministre d’organiser une table ronde sur l’avenir de l’institution dans les meilleurs délais. Ils affirment que les salariés de cette dernière ont des propositions « constructives et innovantes« , qui constitueraient une alternative aux 2 000 suppressions de postes prévues.

 

 

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Récession en 2012 pour la Banque de France

Récession en 2012 pour la Banque de France

Confirmation dune  légère récession fin 2012 en France pour la Banque de France  avec une baisse de 0,1% de l’activité économique au quatrième trimestre après un recul équivalent estimé pour le troisième trimestre. Elle donne dans son enquête de conjoncture dans l’industrie et les services de décembre la même estimation de l’évolution du produit intérieur brut (PIB) au quatrième trimestre que dans celle de novembre publiée il y a un mois.

 

Croissance : la Banque de France annonce la récession pour 2012

Croissance : la Banque de France annonce  la récession pour 2012

Contrairement aux prévisions des différents gouvernements, il n’y aura pas de croissance en 2012, on entrera même en récession au second semestre d’après la Banque de France ; Initialement la croissance devait être de 1% (Sarkozy), elle a ensuite été révisée à 0.4% (Ayrault). Rien de surprenant puisque la production industrielle s’écroule en octobre et que la consommation stagne ; Les hausse d’impôts se font déjà sentir (nettement les impôts locaux) et l’envol du  chômage fait privilégier l’épargne à la consommation (record pour les livrets A)°. Bilan : non seulement moins de croissance, moins d’emplois mais moins de recettes fiscales et un accroissement du déficit budgétaire. La Banque de France a donc confirmé lundi prévoir une légère récession en fin d’année en France avec une baisse de 0,1% de l’activité économique au quatrième trimestre après un recul équivalent estimé pour le troisième trimestre.  Elle donne dans son enquête de conjoncture dans l’industrie et les services de novembre la même estimation de l’activité au quatrième trimestre que dans celle d’octobre publiée il y a un mois.

 

La Banque de France attaque la City, Londres réplique

La Banque de France  attaque la City, Londres réplique

 «Il n’y a aucune raison» d’accepter que le centre financier le plus actif sur le marché des euros se trouve «offshore», a affirmé le banquier central français  Christian Noyer, gouverneur de la Banque de France  dans le Financial Times, en marge d’un forum financier à Tokyo. «La plupart des échanges en euros devraient se dérouler à l’intérieur de la zone euro», a-t-il ajouté. «C’est lié à la capacité d’une banque centrale de gérer sa liquidité et d’assurer la surveillance de sa propre monnaie», a indiqué Christian Noyer, membre du Conseil des gouverneurs de la BCE. Devant la presse, le banquier central français a cité l’exemple des États-Unis. «Les autorités américaines ne sont pas opposées au fait que le dollar soit échangé à Londres, mais elles font très attention à ce que l’essentiel des transactions ne soient pas réalisées en dehors des États-Unis. New York reste le principal centre financier pour le dollar américain», a rappelé Christian Noyer. Le sang des Britanniques, déjà chauffé par les projets d’union bancaire européenne, n’a fait qu’un tour. «C’est contradictoire avec ce que disent des banquiers français sérieux,pour qui un centre financier britannique fort est bon pour l’Europe», a indiqué Vince Cable, le ministre britannique des Entreprises, en visite à Paris. «Nous supportons les efforts de la zone euro pour sortir de la crise et stabiliser le secteur financier, mais les réformes doivent respecter le marché unique. Des mesures anticompétitives ou protectionnistes porteront préjudice à l’image de l’Europe en tant qu’endroit où faire des affaires», indique Mark Boleat, responsable de la stratégie à la City. La Grande-Bretagne redoute les projets de régulation financière européenne, notamment l’union bancaire. Londres craint de se voir imposer une régulation excessive qui réduirait la compétitivité de la City. «En tant que capitale financière de l’Europe, Londres n’est pas uniquement un atout britannique, mais un atout européen!», insiste Mark Boleat. Très sensibles au sujet, les Britanniques ont, semble-t-il, surinterprété les propos de Christian Noyer, qui ne cherche pas à relocaliser le marché des changes sur le continent, une tâche hors de portée Il se fait plutôt le porte-parole des inquiétudes de la BCE, qui voit le contrôle de sa liquidité lui échapper, ce qui handicape sa politique monétaire.

 

France: récession au troisième et quatrième trimestres (Banque de France)

 

 

récession au troisième et quatrième  trimestres (Banque de France)

Récession au troisième et quatrième trimestre pour la Banque de France. La Banque de France prévoit effet  une baisse de 0,1% du produit intérieur brut (PIB) de la France au quatrième trimestre, dans une première estimation publiée aujourd’hui. Pour le troisième trimestre, la Banque de France avait également estimé que l’activité économique de la France avait reculé de 0,1% après trois trimestres consécutifs de stagnation. L’activité transport qui constitue un indicateur avancé de la conjoncture confirme ce recul sur la deuxième partie de l’année. Si l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) confirmait ces estimations, il s’agirait d’un premier épisode de récession depuis que la France est sortie de la crise au printemps 2009. Une récession est techniquement définie comme au moins deux trimestres consécutif de contraction du PIB. L’Insee estime pour sa part, dans ses dernières prévisions, que le PIB devrait continuer de stagner aux troisième et quatrième trimestres, ce qui porterait à cinq le nombre des trimestres consécutifs de croissance zéro, une situation totalement inédite depuis l’après-guerre. L’institut doit publier le 15 novembre sa première estimation pour la croissance au troisième trimestre, puis les chiffres détaillés le 28 décembre. L’Insee table sur une croissance de 0,2% sur l’ensemble de l’année, légèrement inférieure au taux de 0,3% escompté par le gouvernement pour ramener le déficit public de la France à 4,5% du PIB à la fin de l’année.

 

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