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Deutsche Bank impliqué le système frauduleux de Ponzie

Deutsche Bank impliqué le système frauduleux de Ponzie  

Selon l’agence Bloomberg, la plus grande banque d’Allemagne est accusée d’avoir contribué au développement du système frauduleux de Ponzie

Ce sont les liquidateurs judiciaires de deux fonds basés aux Îles Caïmans, désormais en faillite, qui ont poursuivi l’établissement aux tribunaux de New York, ainsi qu’en Floride. Les dossiers judiciaires déposés par les liquidateurs accusent la banque allemande d’avoir permis un « vol à grande échelle », provoquant des millions de dollars de pertes.

L’une des deux plaintes a été déposée en 2020 par les liquidateurs judiciaires de Madison Asset LLC (basés aux Îles Caïmans) . La deuxième a été déposée au début du mois de juillet par les liquidateurs d’un groupement d’entreprises nommé Biscayne, qui a investi dans l’immobilier en Floride.

Quel est à leurs yeux le tort de Deutsche Bank ? D’après la plainte, avoir protégé les comptes de certaines entités impliquées dans un système de Ponzi  ( système les actionnaires anceins sont rémunérés par les nouveaux entrants jusqu’au jour ces derniers deviennent insuffisants créant  une crise financière) .

Concrètement, Madison Asset et Biscayne auraient utilisé des sociétés écrans ainsi que des comptes affiliés à la Deutsche Bank dans le but de camoufler d’importantes dettes. Ces manipulations auraient permis de lever des financements auprès des investisseurs pour renflouer des entreprises réputées insolvables. L’argent frais ainsi collecté aurait également servi à rembourser les dettes et les investisseurs précédents. Les fonds auraient aussi profité aux instigateurs du montage financier eux-mêmes.

Bank of America: Vers tout technologique

 Bank of America : vers un tout technologique

 

Un article du Wall Street Journal prévoit qu’environ 85 % des particuliers devraient utiliser une combinaison de services bancaires physiques et numériques dans les années à venir.

Les responsables de la technologie de Bank of America souhaitent lancer de nouvelles initiatives dans les années à venir en s’appuyant sur l’analyse de données, les réseaux mobiles 5G et éventuellement l’impression 3D, la demande pour les services numériques de la banque ayant grimpé en flèche pendant la pandémie.

La banque a consacré environ 3 milliards de dollars par an aux projets de nouvelles technologies au cours des dix dernières années et le budget devrait être porté à 3,5 milliards de dollars cette année, selon l’entreprise. Beaucoup de ces initiatives ont abouti à la création de services numériques, qui ont été très demandés lors de la pandémie.

Pendant les périodes de confinements et de restrictions des contacts physiques, la banque basée à Charlotte, en Caroline du Nord, dit avoir observé une hausse du nombre de clients utilisant des services numériques tels que son assistant virtuel Erica, son service de virement en ligne Zelle et son système de dépôt de chèques par mobile.

Les responsables commerciaux et technologiques de la banque ont évoqué la croissance du digital au sein de l’établissement lors d’un événement virtuel lundi et ont déclaré qu’ils exploraient de nouveaux moyens d’innover et de répondre à la demande de technologie.

« La demande pour le numérique est désormais un élément avec lequel compter. La question est donc comment servir les clients de davantage de façons », a établi Aditya Bhasin, directeur des systèmes d’information (DSI) de Bank of America pour les particuliers, les petites entreprises et la gestion de patrimoine.

L’utilisation des services numériques a progressé dans le secteur bancaire pendant la pandémie, en partie parce que certaines agences étaient fermées pour limiter la propagation du virus, a rappelé Jason Malo, analyste en chef pour la société de recherche en technologie Gartner.

La tendance devrait perdurer, mais cela ne signifie pas que les clients cesseront d’aller à la banque une fois la pandémie terminée, selon Jason Malo. Environ 85 % des particuliers devraient utiliser une combinaison de services bancaires physiques et numériques dans les années à venir, a-t-il expliqué. Cela veut dire, a-t-il conclu, que les banques devraient continuer à développer des outils et services physiques et numériques.

Erica, l’assistant virtuel de la banque, compte plus de 20 millions d’utilisateurs à ce jour, contre environ 10 millions fin 2019, selon l’entreprise. Cet outil basé sur l’IA peut aider les clients à suivre leurs dépenses récurrentes, recevoir des rappels de factures, consulter le solde de leur compte et obtenir un aperçu hebdomadaire de leurs dépenses, entre autres fonctionnalités.

L’utilisation de Zelle a également augmenté au premier trimestre, avec 90 % des versements commerciaux et d’entreprises effectués par le biais de ce service. Selon les dirigeants de la banque, l’activité numérique chez les adultes d’environ 55 ans et plus est celle qui a connu la plus forte augmentation pendant la pandémie.

Pour Cathy Bessant, directrice des opérations et de la technologie chez Bank of America, l’une des avancées les plus prometteuses est l’impression en 3D, un processus permettant d’imprimer les objets en trois dimensions. Cette technologie peut être utilisée dans le cadre d’une méthode de fabrication répartie reliée par la technologie, qui éviterait à la banque de se reposer sur un seul site pour fabriquer les produits, a-t-elle déclaré. Par exemple, a-t-elle expliqué, l’impression 3D pourrait servir à imprimer des cartes bancaires au cas où l’un des sites de production de Bank of America doive rester fermé en raison d’une catastrophe naturelle. « Cette technologie est bien plus importante que ne le pensent la plupart des gens », a souligné Cathy Bessant.

La banque n’a pas encore trouvé de cas d’utilisation claire pour la blockchain, la technologie de stockage d’information derrière les cryptomonnaies, a indiqué Cathy Bessant.

Lors de l’événement, Cathy Bessant et David Reilly, DSI de la division Global Banking and Markets de la banque, se sont également exprimés au sujet du potentiel de la 5G et de sa capacité à relier les zones isolées à Internet.

Cette technologie promet d’accroître les vitesses de téléchargement de vidéo sur téléphone mobile et de faire travailler plus vite et plus efficacement des appareils comme des drones ou des casques de réalité virtuelle.

« Cela ouvre de nouvelles possibilités d’applications, de vidéo, de nouvelles façons d’interagir avec les clients », a commenté David Reilly.

Bank of America concentre également ses efforts sur l’utilisation de l’analyse des données et des techniques d’intelligence artificielle pour continuer de tirer des informations pertinentes des quantités massives de données, tout en protégeant la vie privée des individus, a-t-il expliqué. « Les données restent sans doute la plus grosse ressource inexploitée dans des entreprises comme la nôtre », a conclu David Reilly.

Les initiatives en matière d’analyse des données pourraient aider la banque à mieux adapter ses conseils financiers à chacun de ses 66 millions de clients particuliers et petites entreprises, au-delà de ce que fait actuellement l’assistant virtuel, Erica. « Agir de manière personnelle et intime pour nos clients, c’est ça notre avenir », a résumé Nikki Katz, responsable de la conception numérique de la banque.

(Traduit à partir de la version originale en anglais par Astrid Mélite)

Deutsche Bank lâche Trump

Deutsche Bank lâche Trump

En raison notamment des événements du Capitole et de la mise en cause de la démocratie américaine parTtrump, , la banque allemande a décidé d’une certaine manière de couper les ponts avec le milliardaire américain. Des raisons politiques mais aussi sans doute des raisons financières car après le départ de trump comme président, les affaires du milliardaire pourraient connaître des suites judiciaires très préjudiciables.( Business américain mais aussi business international).

 

Deutsche Bank, qui est le plus grand créancier de la Trump Organization, le conglomérat du président, actuellement dirigé par ses deux fils, ne devrait toutefois pas complètement couper les ponts avec le locataire de la Maison Blanche, puisqu’il lui doit encore environ 340 millions de dollars (279,67 millions d’euros) de prêts en cours accordés. Ces prêts concerneraient un terrain de golf à Miami et des hôtels à Washington et Chicago.

Deutsche Bank a une histoire compliquée avec le président en exercice. L’établissement allemand est l’une des seules grandes banques occidentales à avoir continué à prêter de l’argent à l’empire de Donald Trump après la mise en faillite de plusieurs de ses casinos dans les années 1990. Ce rôle lui vaut d’être au centre de nombreuses enquêtes aux États-Unis. La banque a notamment été sollicitée à plusieurs reprises pour fournir des documents, dans le cadre de l’enquête sur les soupçons de collusion entre la campagne du milliardaire américain et la Russie par exemple, ou sur des prêts liés à l’entreprise immobilière de la famille de Jared Kushner.

 

La banque américaine Signature Bank, où siégeait autrefois la fille de Donald Trump, Ivanka, prend elle aussi ses distances. D’après les confidences d’un porte-parole de l’établissement au New York Times, deux des comptes personnels de Donald Trump devraient bientôt être fermés. Ces comptes représentent un montant d’environ 5,3 millions de dollars, selon une porte-parole.

 

Signature Bank s’est aussi engagée «à ne plus collaborer à l’avenir avec aucun des membres du Congrès ayant voté contre» la certification de l’élection de Joe Biden à la présidence des États-Unis le 6 janvier, a ajouté la porte-parole.

Orange Bank : future première banque française ?

Orange Bank : future première banque française ?

 

Quand on compare les avantages des différents néo banques avec ce qu’envisage orange Bank, banque 100% mobile, il n’y a pas de différence majeure. Un avantage toutefois avec les banques traditionnelles,  l’interrogation systématique à chaque paiement permet la mise à jour du compte en temps réel et les assurances sont personnalisables, il est d’ailleurs possible de renforcer gratuitement sa protection de la vie courante, de ses achats ou encore, au choix, de son identité.

Banque 100% mobile. Orange qui se lance dans l’activité bancaire entend ainsi  devenir l’une des principales banques françaises sinon la première. Il est clair qu’Orange avec son portefeuille clients en télécoms disposent d’un potentiel assez considérable. En outre le paiement par téléphone portable, internet ou Smartphone notamment pourrait constituer un atout supplémentaire. Il reste cependant du chemin à parcourir pour qu’Orange dépasse par exemple la BNP. Orange vise en effet 2 millions de clients avant 10 ans. Cela étant on peut faire la confusion entre le nombre de clients et le nombre de comptes. Pour les ménages en effet le nombre de comptes tourne autour de 130 millions. Orange  veut compter parmi les leaders dont les places paraissaient bien établies mais qui pourraient être sérieusement menacées.

BNP Paribas affiche un produit net bancaire en augmentation de 9,6% pour atteindre 42,9 milliards d’euros en 2015 contre 39,2 milliards d’euros l’an dernier. BNP Paribas valide encore sa première place au palmarès des banques françaises en termes d’activité. Le coût du risque est stable, mais la banque aux 4 étoiles n’est plus pénalisée comme l’an passé par une amende de 6 milliards d’euros des Autorités des Etats-Unis, ainsi le résultat net part du groupe retrouve un niveau très élevé à 6,7 milliards d’euros.

Groupe Crédit Agricole : La banque verte (les caisses régionales, la holding et ses filiales dont LCL) présente un PNB de 31,8 milliards d’euros pour s’offrir une nouvelle fois la seconde place de notre classement 2016, une performance bien aidée par la dynamique de la gestion de l’épargne et l’assurance du groupe. Le RNPG ressort lui aussi en hausse à 6 milliards d’euros.

Société Générale : La banque de La Défense poursuit sa croissance en 2015 avec un PNB en hausse à 25,6 milliards d’euros. La banque précise qu’il s’agit d’une bonne performance commerciale de l’ensemble des métiers, notamment en banque de détail avec 305 000 ouvertures nettes de comptes à vue et une bonne dynamique du crédit. Le RNPG de la Société Générale termine en belle hausse à 4 milliards d’euros, il bénéficie aussi de la baisse du coût du risque.

Groupe BPCE : Le groupe Banque Populaire et Caisse d’Epargne (Natixis et ses filiales) présente un PNB de 23,8 milliards d’euros, une hausse notamment portée par les métiers spécialisés de Natixis. Le groupe BPCE est désormais en 4ème position de notre classement des banques. Le résultat net part du groupe est en hausse à 3,2 milliards d’euros.

Groupe CM11-CIC : Ce groupe est composé de 11 fédérations Crédit Mutuel, du Crédit Industriel et Commercial (CIC) et ses filiales. Le groupe mutualiste réalise un Produit Net Bancaire en hausse à 12,8 milliards d’euros, avec développement notable des activités extra-bancaire : assurances, téléphonie, télésurveillance et ventes immobilières… Le résultat net part du groupe affiche un niveau record pour ce groupe à 2,3 milliards d’euros.

La Banque Postale : La banque du groupe La Poste présente une légère hausse de son PNB 5,7 milliards d’euros (stable avec les arrondis…). Tout comme sa rentabilité qui atteint 707 millions d’euros. Son activité de crédit immobilier progresse de +43% profitant du contexte de renégociation des prêts immobiliers. La Banque Postale mise également sur la clientèle de professionnels et d’entreprises pour l’année 2016.

Crédit Mutuel Arkéa : Composé de 3 caisses régionales Crédit Mutuel Arkéa, la banque en ligne Fortuneo, et de nombreuses des filiales (bail, affacturage, assurance…). Ce groupe breton se fait remarquer par sa volonté d’indépendance vis-à-vis du groupe national Crédit Mutuel-CIC. Les irréductibles bretons communiquent un PNB de à 1,8 milliards d’euros et une rentabilité de 296 millions d’euros.

Il faut augmenter les taux d’intérêt (Deutsche Bank)

Un peu gonflé le patron de la Deutsche Bank qui avait tripoté- avec d’autres- sur les taux de change et qui réclame maintenant une hausse des taux de pour améliorer la rentabilité des banques Le patron de Deutsche Bank, John Cryan, a appelé, mercredi, la Banque centrale européenne (BCE) à mettre fin à l’ère de l’argent très bon marché qui conduit à la création de bulles et handicape les banques européennes. La politique des taux d’intérêt au plus bas a un autre effet indésirable, en ayant « contribué à une baisse de l’activité des banques européennes » de 23% par rapport à avant la crise, selon le banquier. Un processus qui se poursuit car des prêts contractés dans le passé à des taux plus élevés viennent chaque jour à échéance. Ceci étant, on  voit mal pourquoi la BCE remonterait  ses taux puisque l’inflation est encore très loin de son objectif de 2 % et que par ailleurs la reprise de la croissance en Europe est encore relativement fragile. Enfin un relèvement des taux serait susceptible de faire encore remonter l’euro. Finalement ce discours de certaines banques allemandes est assez contradictoire.

 

Deutsche Bank : crainte exagérée ?

Deutsche Bank : crainte exagérée ?

 

La direction de la banque tente de minimiser les risques financiers pesant sur sa société. D’une certaine façon,  les patrons de la banque ont à la fois raison et tort. C’est vrai que le chiffre de 55 000 milliards d’expositions à travers des produits dérivés paraît considérable mais il est à mettre en lien avec les 700 000 milliards de produits dérivés détenus par toutes les banques au monde. La Deutsche  bank notamment depuis les années 2000 à opéreé une mutation de son objet social pour passer du financement de l’économie a une  activité spéculative comme nombre  de banques ;  ce qui est d’ailleurs provoqué la crise financière de 2007 2009 . d’une façon générale, les institutions tentent de minimiser les risques de la Deutsche  bank car la faillite d’une telle société ne serait pas sens conséquence sur le système bancaire international. D’où d’ailleurs les propos rassurants du gouverneur de la Banque de France hier concernant la solidité des banques européennes. Deutsche Bank continue de réduire la taille de son portefeuille de produits dérivés, qui n’est pas aussi risqué que certains investisseurs pourraient croire, déclare le directeur des risques de la banque allemande, Stuart Lewis, dans un entretien publié par le journal Welt am Sonntag. « Les risques dans notre portefeuille de dérivés sont massivement surestimés », a-t-il dit. L’exposition de 46.000 milliards d’euros paraît importante mais reflète la valeur notionnelle des contrats, alors que l’exposition nette est bien inférieure et se situe à environ 41 milliards d’euros. « Ce chiffre de 46.000 milliards (certains avancent le chiffre de 55 milliards NDLR) paraît gigantesque mais est complètement trompeur. Le vrai risque est bien inférieur », a ajouté Stuart Lewis, en notant que le niveau de risque de Deutsche Bank était comparable à celui d’autres banques d’investissement. « On s’efforce de simplifier nos opérations et on réduit notre portefeuille de dérivés. Une partie a été transférée au sein d’une unité non stratégique il y a déjà quelques années », a-t-il encore indiqué. De nouvelles réglementations imposées après la crise financière de 2009 découragent les prises de risque des banques sur les marchés et ont contraint Deutsche Bank à réduire drastiquement son exposition aux produits dérivés. La principale banque allemande est également fragilisée par la perspective d’une amende pouvant atteindre 14 milliards de dollars (12,5 milliards d’euros) aux Etats-Unis pour régler un litige portant sur la vente de titres adossés à des actifs immobiliers avant la crise des « subprimes ». Présent à Washington pour l’assemblée générale du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale, le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schäuble, a affirmé qu’on avait « trop parlé » des difficultés de Deutsche Bank ces dernières semaines.

(Avec Reuters)

Orange Bank : future première banque française ?

Orange Bank : future première banque française ?

 

 

Orange qui se lance dans l’activité bancaire entend devenir l’une des principales banques françaises sinon la première. Il est clair qu’Orange avec son portefeuille clients en télécoms disposent d’un potentiel assez considérable. En outre le paiement par téléphone portable, intrenet ou Smartphone notamment pourrait constituer un atout supplémentaire. Il reste cependant du chemin à parcourir pour qu’Orange dépasse par exemple la BNP. Orange vise en effet 2 millions de clients avant 10 ans. Cela étant on peut faire la confusion entre le nombre de clients et le nombre de comptes. Pour les ménages en effet le nombre de comptes tourne autour de 130 millions. Orange  veut compter parmi les leaders. Ses ambitions sont spectaculaires: selon les syndicats, Orange vise 400.000 clients dès la première année, et 2 millions d’ici à 2024. C’est par exemple deux fois plus que les leaders historiques comme ING Direct ou Boursorama, la filiale de la Société Générale qui vient tout juste de franchir le cap des 900 000 clients. Pour Orange le chemin est encore long à parcourir si l’on s’en tient à la situation des banques en France que fait culture banque :

 

BNP Paribas affiche un produit net bancaire en augmentation de 9,6% pour atteindre 42,9 milliards d’euros en 2015 contre 39,2 milliards d’euros l’an dernier. BNP Paribas valide encore sa première place au palmarès des banques françaises en terme d’activité. Le coût du risque est stable, mais la banque aux 4 étoiles n’est plus pénalisée comme l’an passé par une amende de 6 milliards d’euros des Autorités des Etats-Unis, ainsi le résultat net part du groupe retrouve un niveau très élevé à 6,7 milliards d’euros.

Groupe Crédit Agricole : La banque verte (les caisses régionales, la holding et ses filiales dont LCL) présente un PNB de 31,8 milliards d’euros pour s’offrir une nouvelle fois la seconde place de notre classement 2016, une performance bien aidée par la dynamique de la gestion de l’épargne et l’assurance du groupe. Le RNPG ressort lui aussi en hausse à 6 milliards d’euros.

Société Générale : La banque de La Défense poursuit sa croissance en 2015 avec un PNB en hausse à 25,6 milliards d’euros. La banque précise qu’il s’agit d’une bonne performance commerciale de l’ensemble des métiers, notamment en banque de détail avec 305 000 ouvertures nettes de comptes à vue et une bonne dynamique du crédit. Le RNPG de la Société Générale termine en belle hausse à 4 milliards d’euros, il bénéficie aussi de la baisse du coût du risque.

Groupe BPCE : Le groupe Banque Populaire et Caisse d’Epargne (Natixis et ses filiales) présente un PNB de 23,8 milliards d’euros, une hausse notamment portée par les métiers spécialisés de Natixis. Le groupe BPCE est désormais en 4ème position de notre classement des banques. Le résultat net part du groupe est en hausse à 3,2 milliards d’euros.

Groupe CM11-CIC : Ce groupe est composé de 11 fédérations Crédit Mutuel, du Crédit Industriel et Commercial (CIC) et ses filiales. Le groupe mutualiste réalise un Produit Net Bancaire en hausse à 12,8 milliards d’euros, avec développement notable des activités extra-bancaire : assurances, téléphonie, télésurveillance et ventes immobilières… Le résultat net part du groupe affiche un niveau record pour ce groupe à 2,3 milliards d’euros.

La Banque Postale : La banque du groupe La Poste présente une légère hausse de son PNB 5,7 milliards d’euros (stable avec les arrondis…). Tout comme sa rentabilité qui atteint 707 millions d’euros. Son activité de crédit immobilier progresse de +43% profitant du contexte de renégociation des prêts immobiliers. La Banque Postale mise également sur la clientèle de professionnels et d’entreprises pour l’année 2016.

Crédit Mutuel Arkéa : Composé de 3 caisses régionales Crédit Mutuel Arkéa, la banque en ligne Fortuneo, et de nombreuses des filiales (bail, affacturage, assurance…). Ce groupe breton se fait remarquer par sa volonté d’indépendance vis-à-vis du groupe national Crédit Mutuel-CIC. Les irréductibles bretons communiquent un PNB de à 1,8 milliards d’euros et une rentabilité de 296 millions d’euros.

 

Mais il est indéniable que l’offre bancaire d’Orange accessible aussi sur Internet et par l’application mobile va consistiter un atout considérable qui pourrait accélérer le développement de rangements. L’offre sera d’abord distribuée dans 140 boutiques, qui ont déjà été sélectionnées sur les 850 que compte le réseau. « Ce sont les plus grosses, celles dans lesquelles il est possible d’aménager un espace de confidentialité ». Dès le deuxième semestre 2017, l’offre sera également distribuée par les réseaux Groupama et Gan. Ce qui représente 3.000 points de vente supplémentaires. Dans les boutiques, les appels à candidature ont déjà été lancés. 700 commerciaux triés sur le volet vont être formés sur 80 heures, le minimum réglementaire pour être habilités à vendre des produits bancaires. Orange recherche « les plus expérimentés » précise un document interne. « Nous n’allons pas transformer nos agences en banques ou nos commerciaux en conseillers bancaires » explique-t-on au sein du groupe. « Ils seront en quelque sorte des apporteurs d’affaires » ajoute un responsable syndical qui décrit le futur scénario : l’idée, c’est qu’à chaque fois qu’un client entre dans la boutique pour souscrire un forfait, le conseiller lui propose l’ouverture d’un compte, avec à la clé des réductions ».

 

(Avec BFM et agences)

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Bank of America : amende de 16 milliards aux Etats-Unis

Bank of America : amende de  16 milliards aux Etats-Unis

 

Bank of America est proche d’un accord avec le département de la Justice au terme duquel la banque verserait plus de 16,5 milliards de dollars (12,3 milliards d’euros) pour mettre un terme aux poursuites lancées dans le dossier de la vente abusive de produits financiers adossés à des créances immobilières, a-t-on appris mercredi de sources proches de la situation. La banque a accepté de verser 9 milliards de dollars en numéraire aux différentes autorités américaines, la différence étant destinée à soutenir les propriétaires qui peinent à rembourser leurs crédits, a dit la source qui s’exprimait sous le sceau de l’anonymat. Aucun représentant de BofA n’était disponible dans l’immédiat pour commenter l’information. Les négociations se poursuivent ce mercredi, a dit la source, une réunion étant organisée entre un représentant de Bank of America, Gary Lynch, et Tony West, numéro trois du département de la Justice. Aucune annonce officielle ne devrait être faite cette semaine, a encore indiqué la source. Citigroup, visée par des procédures semblables, a accepté le mois dernier de verser 7 milliards de dollars.

 

Bank of America : amende de 12 milliards

Bank of America : amende de 12 milliards

Alors que BNP Paribas est dans le collimateur de la justice américaine avec une amende qui pourrait dépasser 10 milliards de dollars, Bank of America, l’un des mastodontes du système bancaire américain avec JP Morgan, pourrait payer davantage. Selon le Wall Street Journal de ce 6 juin, la deuxième banque américaine est actuellement en négociations pour payer au moins 12 milliards de dollars (environ 8,8 milliards d’euros) afin de régler des poursuites judiciaires menées par le département de la Justice et par plusieurs Etats américains. Le litige porte sur la vente des fameuses subprimes, ces créances hypothécaires à la qualité douteuse. Bank of America a joué un rôle très important dans la vente de ces produits. Le Wall Street Journal cite des estimations d’analystes chez Sanford C. Bernstein & Co qui évaluent à 965 milliards de dollars le montant des subprimes délivrées par Bank of America et ses succursales entre 2004 et 2008 ! Selon le Wall Street Journal, au fur et à mesure que les négociations se poursuivent, la Justice américaine fait pression sur Bank of America pour que la facture dépasse ce montant de 12 milliards de dollars. Si bien que le record pour des faits similaires, actuellement détenu par JP Morgan avec 13 milliards de dollars, risque d’être battu.




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