Archive pour le Tag 'baissière'

Marchés et perspectives économiques : yo-yo sur une tendance baissière

Marchés et perspectives économiques : yo-yo sur une tendance baissière

 

Certains experts économiques  s’étonnent  du relatif changement de tendance économique pourtant prévisible. Le premier facteur explicatif est sans doute le tassement chinois toujours engoncé dans ses problèmes financiers, le ralentissement de ses échanges internationaux et la faiblesse de sa consommation intérieure. Contrairement à beaucoup de prévisions, les perspectives économiques de 2025 ne seront pas aussi dynamiques qu’espéré et on pourrait connaître encore une année de croissance molle.

 

Même aux États-Unis, le tassement économique menace notamment du fait de la baisse des créations d’emplois. Il y a bien attendu aussi les incertitudes politiques liées aux présidentielles. L’Europe, elle, ne se fait pas d’illusions avec une toute petite croissance entre 0,6 et 0,8 % notamment caractérisés par une crise quasi existentielle concernant l’industrie automobile mais aussi une consommation interne en berne. Dans le même temps,  la maîtrise des prix n’est pas assurée et les banques centrales sont contraintes de maintenir des taux d’intérêt important qui freinent  production et consommation.

 

Les marchés financiers vont sans doute être affectés par un mouvement de yo-yo important pendant plusieurs mois mais sur une tendance baissière car les résultats ne sont pas à la hauteur des prévisions et les perspectives sont incertaines. Il faut bien entendu y ajouter les menaces géo politiques mondiales notamment avec le conflit entre la Russie et l’Ukraine, avec le Proche-Orient et la mer de Chine. Dernier élément et non des moindres : la perspective d’un changement de président aux États-Unis.

La croissance mondiale devrait se maintenir à 2,6 % en 2024 avant de remonter légèrement à 2,7 % en moyenne en 2025-2026, prévoyait  le rapport de la Banque mondiale. Soit un niveau bien en deçà de la moyenne de 3,1 % enregistrée au cours de la décennie précédant la pandémie de COVID-19. D’après ces prévisions, dans 60 % des économies, qui représentent ensemble plus de 80 % de la population mondiale et du PIB mondial, la croissance sur la période 2024-2026 sera plus lente qu’au cours de la décennie pré-COVID.

En réalité, les institutions internationales devraient revoir en baisse les perspectives pour 2025 qui au mieux devraient se situer au niveau de 2024

Dans l’ensemble des économies en développement, la croissance devrait légèrement fléchir par rapport à 2023, pour s’établir en moyenne à 4 % en 2024-2025.

 

Projections économiques : yo-yo sur une tendance baissière

Projections économiques : yo-yo sur une tendance baissière

 

Certains experts économiques  s’étonnent  du relatif changement de tendance économique pourtant prévisible. Le premier facteur explicatif est sans doute le tassement chinois toujours engoncé dans ses problèmes financiers, le ralentissement de ses échanges internationaux et la faiblesse de sa consommation intérieure. Contrairement à beaucoup de prévisions, les perspectives économiques de 2025 ne seront pas aussi dynamiques qu’espéré et on pourrait connaître encore une année de croissance molle.

 

Même aux États-Unis, le tassement économique menace notamment du fait de la baisse des créations d’emplois. Il y a bien attendu aussi les incertitudes politiques liées aux présidentielles. L’Europe, elle, ne se fait pas d’illusions avec une toute petite croissance entre 0,6 et 0,8 % notamment caractérisés par une crise quasi existentielle concernant l’industrie automobile mais aussi une consommation interne en berne. Dans le même temps,  la maîtrise des prix n’est pas assurée et les banques centrales sont contraintes de maintenir des taux d’intérêt important qui freinent  production et consommation.

 

Les marchés financiers vont sans doute être affectés par un mouvement de yo-yo important pendant plusieurs mois mais sur une tendance baissière car les résultats ne sont pas à la hauteur des prévisions et les perspectives sont incertaines. Il faut bien entendu y ajouter les menaces géo politiques mondiales notamment avec le conflit entre la Russie et l’Ukraine, avec le Proche-Orient et la mer de Chine. Dernier élément et non des moindres : la perspective d’un changement de président aux États-Unis.

La croissance mondiale devrait se maintenir à 2,6 % en 2024 avant de remonter légèrement à 2,7 % en moyenne en 2025-2026, prévoyait  le rapport de la Banque mondiale. Soit un niveau bien en deçà de la moyenne de 3,1 % enregistrée au cours de la décennie précédant la pandémie de COVID-19. D’après ces prévisions, dans 60 % des économies, qui représentent ensemble plus de 80 % de la population mondiale et du PIB mondial, la croissance sur la période 2024-2026 sera plus lente qu’au cours de la décennie pré-COVID.

En réalité, les institutions internationales devraient revoir en baisse les perspectives pour 2025 qui au mieux devraient se situer au niveau de 2024

Dans l’ensemble des économies en développement, la croissance devrait légèrement fléchir par rapport à 2023, pour s’établir en moyenne à 4 % en 2024-2025.

 

Perspectives économiques : yo-yo sur une tendance baissière

Perspectives économiques : yo-yo sur une tendance baissière

 

Certains experts économiques  s’étonnent  du relatif changement de tendance économique pourtant prévisible. Le premier facteur explicatif est sans doute le tassement chinois toujours engoncé dans ses problèmes financiers, le tassement de ses échanges internationaux et la faiblesse de sa consommation intérieure. Contrairement à beaucoup de prévisions, les perspectives économiques de 2025 ne seront pas aussi dynamiques qu’espéré et on pourrait connaître encore une année de croissance molle.

 

Même aux États-Unis, le tassement économique menace notamment du fait de la baisse des créations d’emplois. Il y a bien attendu aussi les incertitudes politiques liées aux présidentielles. L’Europe, elle, ne se fait pas d’illusions avec une toute petite croissance entre 0,6 et 0,8 % notamment caractérisés par une crise quasi existentielle concernant l’industrie automobile mais aussi une consommation interne en berne. Dans le même temps,  la maîtrise des prix n’est pas assurée et les banques centrales sont contraintes de maintenir des taux d’intérêt important qui freinent  production et consommation.

 

Les marchés financiers vont sans doute être affectés par un mouvement de yo-yo important pendant plusieurs mois mais sur une tendance baissière car les résultats ne sont pas à la hauteur des prévisions et les perspectives sont incertaines. Il faut bien entendu y ajouter les menaces géo politiques mondiales notamment avec le conflit entre la Russie et l’Ukraine, avec le Proche-Orient et la mer de Chine. Dernier élément et non des moindres : la perspective d’un changement de président aux États-Unis.

La croissance mondiale devrait se maintenir à 2,6 % en 2024 avant de remonter légèrement à 2,7 % en moyenne en 2025-2026, prévoyait  le rapport de la Banque mondiale. Soit un niveau bien en deçà de la moyenne de 3,1 % enregistrée au cours de la décennie précédant la pandémie de COVID-19. D’après ces prévisions, dans 60 % des économies, qui représentent ensemble plus de 80 % de la population mondiale et du PIB mondial, la croissance sur la période 2024-2026 sera plus lente qu’au cours de la décennie pré-COVID.

En réalité, les institutions internationales devraient revoir en baisse les perspectives pour 2025 qui au mieux devraient se situer au niveau de 2024

Dans l’ensemble des économies en développement, la croissance devrait légèrement fléchir par rapport à 2023, pour s’établir en moyenne à 4 % en 2024-2025.

 

Bourses: en baisse

Bourses: Tendance baissière

La tendance boursière est à la baisse aux États-Unis mais aussi en Chine ou encore au Japon. En cause, les menaces  géostratégiques qui pourraient concerner le prix des matières premières ( Le pétrole par exemple qui flambe déjà)  et derrière la croissance. L’occasion aussi d’une correction après des hausses assez exceptionnelles. À noter toujours le repli sur l ‘or.

La Bourse de New York a terminé en baisse, lundi, s’appuyant sur les craintes d’une escalade au Moyen-Orient pour consolider, un mouvement qui a particulièrement frappé les valeurs technologiques.

Le Dow Jones s’est replié de 0,65%, l’indice Nasdaq a lâché 1,79% et l’indice élargi S&P 500 a reculé de 1,20%.

 

Economie-Prix immobilier: tendance baissière

Economie-Prix immobilier: tendance baissière

 

 

 

Les prix de l’immobilier risquent de s’inscrire dans une tendance baissière durable. En cause, d’abord des niveaux de prix excessifs atteints  au cours des dernières années. Il faut aussi prendre en compte la hausse de l’inflation qui mécaniquement affecte le pouvoir d’achat des futurs acquéreurs. Aussi la remontée des taux d’intérêt, conjuguée à la réglementation sur le taux d’usure, qui interdit aux banques de prêter au-delà d’un certain taux d’endettement, y est pour beaucoup, car elle exclut des acquéreurs du marché. Conséquence: ces derniers négocient davantage avant de signer.

« Les délais et les négociations sont plus longs, les discussions portent sur beaucoup de détails et les vendeurs sont restés sur une estimation immobilière qui date un peu », explique à l’AFP Elodie Frémont, présidente de la commission statistiques immobilières des Notaires du Grand Paris. « Entre le moment où le vendeur prend conscience que le prix est décalé par rapport au marché et celui où il l’ajuste, cela prend du temps », relève quant à lui le président de Century 21 France, Charles Marinakis.

Selon son réseau d’agences, en Ile-de-France, les délais entre la publication d’une annonce et la signature d’un compromis de vente se sont allongés de deux jours pour les maisons et de six pour les appartements. Et nettement plus à Paris et sa petite couronne. « Il y a de l’attentisme côté acquéreurs, et du coup ça se répercute sur les vendeurs », témoigne Romain Gonzalez, directeur d’une agence Guy Hoquet à Issy-les-Moulineaux. « On a beau anticiper depuis août, en leur disant que ça va baisser, tant que ça n’est pas figé, écrit partout, ça ne baisse pas », dit-il.

Prix immobilier: tendance baissière

Prix immobilier: tendance baissière

 

 

 

Les prix de l’immobilier risquent de s’inscrire dans une tendance baissière durable. En cause, d’abord des niveaux de prix excessifs atteints  au cours des dernières années. Il faut aussi prendre en compte la hausse de l’inflation qui mécaniquement affecte le pouvoir d’achat des futurs acquéreurs. Aussi la remontée des taux d’intérêt, conjuguée à la réglementation sur le taux d’usure, qui interdit aux banques de prêter au-delà d’un certain taux d’endettement, y est pour beaucoup, car elle exclut des acquéreurs du marché. Conséquence: ces derniers négocient davantage avant de signer.

« Les délais et les négociations sont plus longs, les discussions portent sur beaucoup de détails et les vendeurs sont restés sur une estimation immobilière qui date un peu », explique à l’AFP Elodie Frémont, présidente de la commission statistiques immobilières des Notaires du Grand Paris. « Entre le moment où le vendeur prend conscience que le prix est décalé par rapport au marché et celui où il l’ajuste, cela prend du temps », relève quant à lui le président de Century 21 France, Charles Marinakis.

Selon son réseau d’agences, en Ile-de-France, les délais entre la publication d’une annonce et la signature d’un compromis de vente se sont allongés de deux jours pour les maisons et de six pour les appartements. Et nettement plus à Paris et sa petite couronne. « Il y a de l’attentisme côté acquéreurs, et du coup ça se répercute sur les vendeurs », témoigne Romain Gonzalez, directeur d’une agence Guy Hoquet à Issy-les-Moulineaux. « On a beau anticiper depuis août, en leur disant que ça va baisser, tant que ça n’est pas figé, écrit partout, ça ne baisse pas », dit-il.

Prix du Pétrole : tendance baissière

Prix du Pétrole : tendance baissière

Après avoir atteint des sommets, les prix du pétrole retrouvent leur niveau d’avant le conflit ukrainien.( 80 $ le baril de Brent).

En cause d’abord une demande de produits pétroliers qui faiblit en même temps que la baisse de croissance un peu partout dans le monde et peut-être surtout en Chine. Rien n’indique cependant que cette tendance baissière des prix du pétrole va durer. Il faut en effet prendre en compte les incertitudes liées à la guerre entre l’Ukraine et la Russie, l’embargo prochain sur le pétrole russe par l’union européenne.

La Chine étant le premier importateur mondial de brut, « les inquiétudes sur la demande ont modéré la hausse des prix depuis le début de l’année » à un peu plus de 10% « alors qu’en juin, la hausse était de 50% », commente Richard Hunter, analyste chez Interactive Investor.

Au plus bas depuis janvier 2022, le prix du baril de Brent évoluait légèrement autour des 80,6 dollars ce lundi à la mi-journée, se dépréciant de quelque 3,6%. Sur un mois, il a reculé d’environ de 13,2% mais reste supérieur de 10,6% à son prix d’il y a un an.

Quant au WTI, la référence aux Etats-Unis, le prix du baril est au plus bas depuis la fin décembre, perdant plus de 3,6%, à 73,55 dollars (voir graphique). Sur un mois, la dépréciation s’élève à 13,89%, mais le prix reste 5,3% supérieur à celui d’il y a un an.
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Autos Europe: Ventes Octobre en hausse sur tendance baissière annuelle

Autos Europe: Ventes Octobre en hausse sur tendance baissière annuelle

Toujours le même attentisme en dépit de la hausse Du mois d’octobre . Encore les interrogations vis-à-vis de l’électrique et l’augmentation du prix des voitures neuves. L’augmentation des ventes est encore plus marquée que les deux mois précédents (+4,4% en août puis +9,6% en octobre). Si le marché semble reprendre des couleurs il reste néanmoins, sur les dix premiers mois de l’année 2022, en retard de 8,1% par rapport à la même période en 2021.

Comme en septembre, le groupe Volkswagen, numéro un en Europe, a porté l’essentiel de ce rebond du mois d’octobre. Le groupe a vendu 190.255 voitures, soit une forte hausse de 41,7% sur un an, notamment sur ses marques Volkswagen, Audi, Skoda et Seat. Parmi ses marques, seule Porsche enregistre un recul de -16,2% ce mois-ci.
Le numéro deux Stellantis, qui avait bien résisté en octobre 2021, enregistre en revanche un léger recul de 4,3%, avec 141.500 unités vendues. Ses marques Peugeot, Fiat et Citroën sont toutes en baisse tandis qu’Opel et Jeep sont restées stables.

Enfin, le groupe Renault reste également stable avec 76.916 voitures vendues (+0.2). La forte performance de Dacia (+14,8%) contrastant avec la baisse de la marque Renault (-8,1%).
Reste que, sur les dix premiers mois de l’année, les ventes des trois groupes sont en baisse : -5,7% pour Renault, -10,4% pour Volkswagen et surtout -15,8% pour Stellantis.

Dans le détail, les ventes ont fortement repris en octobre en Espagne (+11,7%), en Italie (+14,6%), en Allemagne et surtout en Belgique (+21,6%). Mais sur les dix premiers mois de l’année, les immatriculations de voitures neuves sont en baisse. L’Allemagne et l’Espagne tirent toutefois leur épingle du jeu (respectivement -5,5% et -5,8%) comparé à la Belgique (-7,9%) et l’Italie (-13,8%).

Du côté de la France, les ventes d’automobiles ont progressé plus modestement que chez ses voisins. Le secteur a enregistré 124.981 immatriculations de voitures particulières en octobre, un chiffre en hausse de 5,45% sur un an, ce qui constitue, là aussi une augmentation pour le troisième mois consécutif. Mais tout comme les autres, il affiche une forte baisse sur les dix premiers mois de l’année (-10,3%).

Alerte Croissance: la production industrielle en net recul annonce la tendance baissière

Alerte Croissance: la production industrielle en net recul annonce la tendance baissière

Signe d’un assez net renversement de la croissance en France, la production industrielle baisse de trois points septembre. Après un dernier mois d’été très dynamique (+ 2,7 %), la production industrielle en France a baissé de 0,8 % en septembre, indique l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), vendredi 4 novembre. La plupart des grandes branches sont en repli, dont notamment la production automobile, passée de + 16,4 % en août à – 5,5 % en septembre.

Ainsi, le retournement se retrouve dans la cokéfaction et le raffinage (– 6,6 % après + 4,8 %), les industries extractives (– 4,4 % après + 1,3 %), ou l’eau et l’assainissement (– 7,5 % après + 1,8 %). L’industrie manufacturière n’est pas en reste (– 0,4 % après + 3 %), tout comme les « autres produits industriels » (– 0,3 % après + 2,7 %) et les industries agroalimentaires (– 0,3 % après + 0,2 %). Deux secteurs ont réussi à croître : les biens d’équipement (+ 1 % après + 3,9 %) et la construction (+ 1,8 % après – 0,8 %).

Le secteur industriel fait face à des difficultés, en raison de la hausse des prix de l’énergie et de la propagation de l’inflation, alors qu’il doit élaborer une transition énergétique et maintenir sa compétitivité.

Croissance France: la production industrielle en net recul annonce la tendance baissière

Croissance France: la production industrielle en net recul annonce la tendance baissière

Signe d’un assez net renversement de la croissance en France, la production industrielle baisse de trois points septembre. Après un dernier mois d’été très dynamique (+ 2,7 %), la production industrielle en France a baissé de 0,8 % en septembre, indique l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), vendredi 4 novembre. La plupart des grandes branches sont en repli, dont notamment la production automobile, passée de + 16,4 % en août à – 5,5 % en septembre.

Ainsi, le retournement se retrouve dans la cokéfaction et le raffinage (– 6,6 % après + 4,8 %), les industries extractives (– 4,4 % après + 1,3 %), ou l’eau et l’assainissement (– 7,5 % après + 1,8 %). L’industrie manufacturière n’est pas en reste (– 0,4 % après + 3 %), tout comme les « autres produits industriels » (– 0,3 % après + 2,7 %) et les industries agroalimentaires (– 0,3 % après + 0,2 %). Deux secteurs ont réussi à croître : les biens d’équipement (+ 1 % après + 3,9 %) et la construction (+ 1,8 % après – 0,8 %).

Le secteur industriel fait face à des difficultés, en raison de la hausse des prix de l’énergie et de la propagation de l’inflation, alors qu’il doit élaborer une transition énergétique et maintenir sa compétitivité.

Ventes Automobile en Europe : Léger rebond sur tendance nettement baissière

Ventes Automobile en Europe :Léger rebond sur tendance baissière

Un léger rebond de 9,6% au mois de septembre Surtout du aux progressions du groupe Volkswagen . Globalement cependant les immatriculations s’inscrivent dans une tendance baissière retrait même de 2021 est sans doute en retrait de 25 % par rapport à 2019.

Ce mois de septembre a été marqué par un fort rebond du numéro un européen, Volkswagen (+25,7%). Cela s’explique par des ventes en forte hausse notamment chez Skoda, Audi et Porsche. Une performance qui améliore ses chiffres sur les neuf premiers mois de l’année (-13,9% et 1,7 million de véhicules vendus).
Quant à son concurrent direct, Stellantis affiche un mois de septembre stable (+0,3%). Il est, par contre, le grand groupe le plus touché depuis début 2022 : -17,2% et 1,4 million de véhicules vendus. Il enregistre de forts reculs de ses marques Jeep, Fiat et Citroën.
Quant à Renault, le français se défend bien. Avec une légère baisse de ses ventes en septembre (-1,2%) et une plus modérée sur les neuf premiers mois de l’année (-6,4%), après de fortes chutes les années précédentes. Le groupe au losange est porté par les performances de sa marque économique Dacia.

En cause les difficultés d’approvisionnement d’équipements en prenant surtout de la Chine mais sans doute encore davantage des interrogations des automobilistes quant aux perspectives de la voiture du futur surtout compte tenu du prix de la voiture électrique

Pétrole : Tendance baissière des prix

Pétrole : Tendance baissière des prix

 

Depuis leur pic de juin, les prix du baril de pétrole brut ont perdu quelque 30 dollars, note l’Agence internationale de l’énergie (AIE) dans son rapport mensuel publié ce jeudi. La raison principale en est une augmentation de l’offre. Pour le seul mois de juillet, elle a augmenté de 1,4 million de barils par jour (mb/j), pour atteindre en moyenne 100,5 mb/j, soit son plus haut niveau depuis janvier 2020, avant le début de la pandémie.

Pourtant la demande reste soutenue. L’agence a révisé à la hausse son estimation pour 2022, de 380.000 barils par jour, pour la porter à 99,7 mb/j. Elle bénéficie de nouveaux besoins créés notamment par l’utilisation du pétrole plutôt que du gaz naturel.

Prix Pétrole Brent

 

11/08/2022 à 23h23
99,470 $ le baril

+2,48 % 

Le prix du pétrole est repassé sous les 100 $ depuis début août

Marchés financiers: La crainte d’une évolution baissière

Marchés financiers: La crainte d’une évolution baissière

 

Les marchés financiers ont évidemment accusé le coup de l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Mais le pire est sans doute à venir dans la mesure où cette crise aura nécessairement des ses conséquences néfastes sur le commerce international et sur la croissance mondiale.

Les premiers bouleversements pourraient se faire sentir sur l’envolée en cours des prix de l’énergie et des matières premières. De quoi alimenter encore une inflation déjà inquiétante qui pourrait porter atteint aux capacités d’investissement des entreprises et au pouvoir d’achat des ménages. Bref c’est la croissance mondiale qui est sans doute à revoir en baisse.

En outre et surtout la bourse craint par-dessus tout des incertitudes sur l’évolution du conflit qui pourrait prendre d’autres formes et s’étendre éventuellement géographiquement. Une inquiétude qui se mesure avec l’indice de la peur

Cet « indice de la peur » (indice VIX de la volatilité) a bondi à près de 40 ce jeudi. Pour l’heure, l’aversion au risque ne se matérialise pas vraiment sur les taux de la dette souveraine américaine ou allemande, valeurs de refuge par excellence. Du coup, les taux du 10 ans américain (2%) ou allemand (0,23%) n’ont finalement pratiquement pas bougé. De même,  l’or reste étrangement stable. Et comme pour se rassurer, une floraison de graphiques ont été publiés pour montrer que la Bourse se jouait finalement des crises géopolitiques aigües. Reste que l’annonce par Poutine d’un éventuel recours à la force de dissuasion incluant le nucléaire devrait peser lourdement sur les indices en ce début de semaine

Marchés Financiers : le yo-yo sur tendance baissière

Marchés Financiers : le yo-yo sur tendance baissière

 

Deux raisons au mouvement de yo-yo des marchés financiers à savoir d’une part l’inévitable correction après des excès  de valorisation , d’autre part la perspective d’une nouvelle vague endémique qui va peser sur nombre d’activités économiques. Notons aussi les déclarations du patron de la banque centrale américaine qui contrairement à la plupart des experts a déclaré que l’inflation provisoire risquait de se transformer en inflation définitive.

La Bourse de New York par exemple a terminé le mois de novembre en forte baisse mardi, ébranlée par les inquiétudes autour du variant Omicron et par les propos fermes du patron de la Fed sur l’inflation et la politique monétaire. Selon des résultats provisoires à la clôture, l’indice Dow Jones a perdu 1,86 % à 34.483,99 points.

Le Nasdaq, à forte coloration technologique, a abandonné 1,55 % à 15.537,69 points et le S & P 500 a lâché 1,90 % à 4.566,97 . Points. Conclusion les autres places boursières vont suivre sans doute ces mouvements de yo-yo qui vont caractériser la fin de l’année sur une tendance baissière.

Selon Frederik Ducrozet, stratégiste de marché chez Pictet Wealth Management, de nouvelles restrictions obligeraient les banques centrales à maintenir leurs mesures de soutien plus longtemps que prévu.Par ailleurs, Il faut se préparer à une fin d’année agitée sur les marchésSi les contaminations se multiplient et de nouvelles restrictions sont annoncées, les marchés pourraient réagir fortement.

 

Selon Frederik Ducrozet, entre le début et la fin de la semaine dernière, on est passé d’une situation de reprise de la pandémie, avec quelques nouvelles restrictions, à une situation dans laquelle la sortie de crise devient beaucoup plus incertaine car l’efficacité des vaccins est remise en question. La faible liquidité au cours du week-end de Thanksgiving a pu accentuer les mouvements de marché vendredi. Mais, traditionnellement en décembre, les opérateurs sont moins présents. Si les contaminations se multiplient et de nouvelles restrictions sont annoncées, les marchés pourraient réagir fortement .

Covid France : Toujours sur une tendance baissière

Covid France : Toujours sur une tendance baissière

L’épidémie poursuit sa décrue en France, où 56 personnes sont mortes du Covid ce jeudi, selon Santé publique France. 7565 malades sont toujours hospitalisés, dont 238 depuis la veille. Ils étaient 7726 mercredi. 1414 personnes sont traitées dans les services de soins critiques – 58 y ont été accueillies ces dernières 24 heures. 5204 nouveaux cas ont été détectés.

Concernant la vaccination, 50.511.359 personnes ont reçu au moins une injection (soit 74,9% de la population totale) et 48.587.105 personnes sont entièrement vaccinées (soit 72,1% de la population totale).

 

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