Archive pour le Tag 'baisses'

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Baisses d’impôts démagos confirmés par Valls

Baisses d’impôts démagos  confirmés par Valls

Valls confirme que la course pour les élections présidentielles est dés maintenant lancés avec cette confirmation de la diminution des impôts. Une baisse de la fiscalité qui sera inscrite dans le marbre. C’est-à-dire dans le budget de 2016, ce qui signifie que le président de la république veut aller maintenant très vite pour redresser la barre de sa popularité. Cela au risque de déstabiliser les grands équilibres. Il s’agit bien d’une promesse électorale qui veut tenir quoi qu’il arrive donc sans tenir compte de l’évolution de la conjoncture. On attend évidemment maintenant les propositions de ses concurrents pour 2017 qui vont s’engager dans la brèche ouverte de la démagogie. Pour Hollande en tout cas l’enjeu est clair il s’agit de rallier à lui des électeurs pour permettre une qualification pour 2017 qui est loin d’être assurée en l’état actuel des sondages. Les baisses d’impôts annoncées par François Hollande pour 2016 seront inscrites dans la loi de finances en cours de préparation, a précisé vendredi Manuel Valls. « Ça n’est pas une promesse, c’est un engagement que le président de la République a annoncé et que nous tiendrons lors de la loi de finances 2016″, a dit le Premier ministre à des journalistes lors d’un déplacement à Paris. « Evidemment, plus la reprise sera forte plus la baisse pourra être importante en 2016 et au-delà, c’est ce qu’a toujours voulu le ministre des Finances. » Après l’annonce par le chef de l’Etat jeudi qu’il y aurait « quoi qu’il arrive » des baisses d’impôts en 2016, une source gouvernementale avait déclaré qu’elles devraient concerner en priorité les classes moyennes et l’impôt sur le revenu, plutôt que la contribution sociale généralisée (CSG), par exemple.

 

Hollande « des baisses d’impôts quoi qu’il arrive en 2016″, ben voyons !

Hollande « des baisses d’impôts quoi qu’il arrive en 2016″, ben voyons !

 

L e calendrier des promesses électorales s’accélèrent. Hier en conseil des ministres Hollande avait déclaré qu’il y aurait des diminutions d’impôts si la croissance augmentait. Aujourd’hui en visite électorale dans l’Isère, il annonce que cette diminution impôt interviendra quoi qu’il arrive En déplacement en Isère ce jeudi 20 août, le chef de l’État promet en effet des baisses d’impôts l’année prochaine, dont l’ampleur dépendra du niveau de la croissance. Une annonce évidemment de portée électorale dans la mesure où dans le même temps Hollande a aussi promis de rétablir les équilibres financiers notamment celui du budget alors qu’on sait  qu’avec la quasi-absence d’inflation les recettes fiscales vont mécaniquement diminuer, surtout avec une faible croissance, tandis que les dépenses elle vont continuer de croître. Acculé Hollande n’a d’autres solutions que de pratiquer la fuite en avant démagogique. C’est évidemment la course aux présidentielles de 2017 qui commence mais avec presque un an d’avance. Ce qui promet de la part de Hollande mais aussi de ses concurrents un beau concours général de démagogie pendant encore de très longs mois. Faute de résultats économiques et sociaux,  Hollande entame le chant  des promesses pour remonter la pente de son impopularité et ainsi tenter de ce qualifié pour le deuxième tour des présidentielles. 

Nouvelles baisses de la monnaie chinoise à attendre (OFCE)

Nouvelles baisses de la monnaie chinoise à attendre (OFCE)

La Chine a dévalué d’environ 3,5% en deux jours la valeur de sa monnaie face au dollar, la plus forte dépréciation en deux décennies. Les marchés et les analystes sont divisés sur les motivations de Pékin et sur les conséquences à attendre. Henri Sterdyniak, économiste à l’Observatoire français des conjonctures économiques, livre son analyse au Figaro.

LE FIGARO – Le yuan a perdu plus de 3,5% de sa valeur en deux jours. Est-ce une nouvelle manière de fixer le taux-pivot autour duquel est autorisé à fluctuer le yuan comme le prétend le discours officiel?

Henri Sterdyniak – Prétendre que la dévaluation est une nouvelle façon de calculer le taux-pivot est de la pure communication. La banque populaire de Chine affirme qu’elle n’intervient pas mais tout le monde sait qu’elle décide du mouvement de sa monnaie. Il s’agit bien d’une dévaluation de la banque populaire de Chine dans un régime de change géré. C’est un acte volontaire. Dans un système de changé géré, la banque centrale n’a pas d’engagement. Elle décide ce qu’elle veut quand elle veut et n’a pas d’obligation de prévenir. A l’inverse, dans un régime de changes flexibles, ce sont les marchés qui décident et la monnaie se déprécie selon l’esprit des marchés. Dans un régime de change fixe (comme celui du franc CFA), la banque centrale doit annoncer solennellement qu’elle dévalue sa monnaie.

La Chine cherche-t-elle à rejoindre le club national des monnaies mondiales de référence en faisant croire qu’elle laisse fluctuer le yuan ou à doper son économie?

La monnaie est très contrôlée par les autorités chinoises. La volonté actuelle de la Chine est claire: doper son économie. La Chine accepte une forte appréciation de sa monnaie depuis une dizaine d’année, pour entrer dans le jeu normal du système monétaire international et ne plus accumuler trop de réserves de change. Elle misait essentiellement sur un essor de sa demande intérieure pour dépendre progressivement de moins en moins de ses exportations. Aujourd’hui, elle a besoin d’augmenter ses exportations car sa croissance a diminué. Elle considère que l’appréciation du yuan est allé trop loin. Elle infléchit donc sa politique en dépréciant sa monnaie.

Est-ce que d’autres dévaluations sont possibles dans les jours qui viennent?

Je pense que la Chine va aller plus loin dans la dévaluation du yuan. Maintenant qu’ils ont commencé, ils vont plutôt faire 10% que 4%. Pourquoi en rester à 4% si les exportations ne sont pas satisfaisantes? La banque populaire de Chine va poursuivre la dévaluation dans les jours qui viennent. Elle va faire varier sa monnaie lentement jusqu’à ce qu’elle juge une valeur satisfaisante. Ces dévaluations pourraient s’étaler sur 15 jours encore. Une monnaie comme l’euro peut facilement s’apprécier ou se déprécier de 15% face au dollar en un mois sur le marché des changes donc cela n’a rien de choquant pour le yuan. La différence est que la banque populaire de Chine prend une décision seule sans consulter personne et cela surprend les marchés. L’économie mondiale risque ainsi de s’engager dans les dépréciations compétitives si la Chine, comme le Japon ou la zone euro, estiment avoir besoin d’une monnaie faible.

Télécoms : fin des baisses de tarifs ( PDG d’Orange)

 

 

Le président d’Orange plaide pour que soit mis fin à la guerre des prix. I n’a sans doute pas complètement tort car la concurrence- qui a profité aux consommateurs-  a sans doute amené les prix à la limite du raisonnable. On peut même penser qu’ »il sera difficile pour Bouygues de résister dans un tel contexte. La baisse des prix a en effet atteint près de 50% en quelques années.   La guerre des prix entre opérateurs de téléphonie mobile en France, déclenchée en 2012 par l’arrivée d’Iliad sur le marché, est terminée, a estimé samedi le PDG d’Orange, Stéphane Richard, qui a une nouvelle fois plaidé en faveur d’une consolidation du secteur.   »On a en France aujourd’hui les prix qui sont les plus bas au monde en matière de téléphonie », a-t-il dit sur France Inter. « Arrêtons de croire qu’on va continuer la guerre des prix, en matière tarifaire il n’y a pas de marge de baisse ». « Soyons un peu réaliste », a-t-il ajouté. « Dire que les prix vont continuer à baisser dans les années qui viennent, c’est une folie. »  L’arrivée de Free, la filiale d’Iliad, sur le marché français du mobile en 2012 avec des offres à prix cassés, a provoqué une baisse des prix dans le secteur. En trois ans, ils ont diminué de 45% selon Stéphane Richard.  Prenant l’exemple de la Grande-Bretagne ou de l’Allemagne, le PDG d’Orange, premier opérateur français, a une nouvelle fois appelé à la consolidation du marché.   »Un marché des télécoms bien régulé à trois opérateurs ça fonctionne très bien. A quatre ça peut fonctionner, c’est plus compliqué, on le voit bien, ça supposera de toute façon des coopérations entre les opérateurs », a-t-il dit.   »La consolidation n’est pas une fin en soi, ça dépend des conditions du marché et des acteurs (…) N’en faisons pas un préalable, n’en faisons pas une question, ça dépendra des stratégies des entreprises. »  Des discussions ont eu lieu début 2014 entre plusieurs opérateurs français, dont Orange, en vue d’une ‎consolidation avant d’être abandonnées à l’été en raison, principalement, de désaccords sur le prix. De nombreux investisseurs tablent aujourd’hui sur un rachat de la filiale en difficulté de Bouygues, Bouygues Telecom, par l’un de ses concurrents qui pourrait être Free ou le nouveau numéro deux français du fixe.  

Hollande : Pas de nouvelles baisses d’impôts

Hollande : Pas de nouvelles baisses d’impôts

 

 

Interrogé sur France Inter Hollande a affirmé qu’il n’y aurait pas de nouvelles baisses d’impôts même si la croissance est supérieure aux prévisions. En fait Hollande se contredit aussitôt (objectif 2017 oblige) en indiquant que si la reprise était  forte en 2016, on pourrait alors revoir le montant des prélèvements obligatoires. Une manière de satisfaire les orthodoxes d’un côté et la gauche de l’autre. Bref le slalom habituel de Hollande. François Hollande espère une croissance supérieure à 1% en 2015 et 2016, et « fera tout pour cela », a-t-il promis. Mais si la croissance devait être supérieure, il n’engagerait pas pour autant de baisses d’impôts supplémentaires. « Cela irait à la réduction des déficits, a expliqué François Hollande. Si cela se confirmait en 2016 et 2017 nous verrions ce que nous pouvons faire en termes de baisse des prélèvements ».  Aux yeux du président, la réforme fiscale a déjà été engagée, avec la suppression de la 1ère tranche de l’impôt sur le revenu, le taux marginal d’imposition de la dernière tranche porté à 45% ou encore la modulation des allocations familiales. Le président a rappelé son engagement de ne pas augmenter les impôts à partir de 2015. « Depuis des années, on était à 45% de la richesse nationale sous forme de prélèvements obligatoires. Maintenant que nous avons rétabli (!!)  nos finances publiques, il n’y a pas de raison de demander des efforts supplémentaires aux Français ».

 

Pour sauver sa peau, Valls va annoncer de nouvelles baisses d’impôts

Pour sauver sa peau, Valls va annoncer de nouvelles baisses d’impôts

 

Complètement tétanisé auusi bien par les indicateurs économiques dramatiques que par une impopularité historique, le gouvernement à travers la voix de Valls va recourir à la plus vieille méthode politicarde : la démagogie. Il va annoncer des baisses d’impôt. En fait des baisse assez marginales et qui vont à contre-sens des hausses prises jusqu’à maintenant. Le Premier ministre Manuel Valls annoncera « la semaine prochaine » de nouvelles baisses d’impôts, a déclaré François Rebsamen. De nouvelles baisses d’impôts seront annoncées  »la semaine prochaine » par le Premier ministre, Manuel Valls, a déclaré le ministre du Travail François Rebsamen, ce mercredi 20 août. Évoquant les 2,5 milliards de réduction de cotisations salariales accordés aux foyers modestes et censurés par le Conseil constitutionnel début août, le ministre a assuré sur I-télé que cette mesure « s’appliquerait. Ce sera le Premier ministre qui l’annoncera la semaine prochaine ». Pour compenser, « il y aura sûrement des baisses d’impôts, mais ce sera le même montant et pour les mêmes personnes », soit les salariés percevant « jusqu’à 1,3 SMIC et 2,5 milliards qui seront encore redistribués en pouvoir d’achat », a-t-il précisé. « Je pense qu’il y a un risque juridique sur la CSG (Contribution sociale généralisée) et nous ne voulons plus prendre de risque juridique et donc, ce sera une baisse d’impôts par exemple et puis d’autres mesures (…) », a poursuivi François. Rebsamen.

 

Valls : baisses d’impôts des classes moyennes quand les français seront morts

Valls : baisses d’impôts des baisses dimpôts des classes moyennes quand les français seront morts

 

 

Valls est comme Hollande : dans le potage. Il promet des baisses d’impôt pour les classes moyennes mais seulement quand la dépense publique aura diminué. Ce net pas pour demain puisque malgré la politique d’austérité le déficit ne fait que s’aggraver ; Pas vraiment un cercle vertueux plutôt le chat qui courre après sa queue.  Après le récent geste fiscal en direction des foyers modestes, Manuel Valls veut faire baisser les impôts des classes moyennes, mais une fois la dépense publique réduite. C’est ce qu’il a affirmé devant le Conseil national du PS, ce samedi 14 juin.  « Il nous faudra explorer d’autres chemins, sans tabou. Je pense à la baisse de la fiscalité des ménages et notamment des classes moyennes. Car je l’ai dit, les impôts sont trop lourds. Mais nous ne pourrons nous engager dans cette voie que si nous avons réduit la dépense publique« , a-t-il dit. Mais sans donner de date précise… S’exprimant à quelques jours de l’examen des projets de loi mettant en musique les mesures du pacte de responsabilité, il a lancé en direction des socialistes: le choix de la politique de l’offre, « je l’assume » et « je n’ai qu’une certitude: prendre un autre chemin nous conduirait à l’échec. C’est pourquoi je suis très déterminé à quelques jours des votes importants que nous avons au Parlement. C’est notre crédibilité qui est en jeu ». Face à la grogne de la gauche du PS, il a ajouté: « la radicalité en interne ou dans la société mène à une impasse. C’est le réformisme qui est en jeu. Tenir dans la durée. Nous avons encore trois ans pour nous. Trois ans pour réussir et pour continuer à gouverner. Autour du président de la République, autour de François Hollande ».  Pour lui, les socialistes doivent avoir « l’obsession » d’ »en finir avec la gauche du ‘un petit tour et puis s’en va’ ».

 

Valls: « pour de nouvelles baisses d’impôts », enfin ?

Valls: « pour  de nouvelles baisses d’impôts », enfin ?

Valls a peut-être compris la nature et l’ampleur du tsunami électoral en affirmant qu’il fallait des baisses  d’impôts, bref faire le contraire de ce qui a été faiat jusque là par Hollande notamment pour les coches moyennes. S’exprimant ce lundi avant de participer à une réunion de crise à l’Elysée, le Premier ministre a affirmé qu’il voulait poursuivre la baisse des impôts.  Manuel Valls a affirmé, ce lundi matin sur RTL, qu’il y faut de nouvelles baisses d’impôt au delà de celle qu’il a déjà annoncées pour 3 millions de ménages modestes voici quelques jours. Ces baisses devraient concerner en priorité l’impôt sur le revenu, a ajouté le Premier ministre.  Certaines de ces baisses devraient être intégrées au projet de budget 2015 qui sera examiné cet automne. Mais le chef du gouvernement n’a pas donné davantage de précision sur l’importance de ces baisses. Il a tout de même cité les classes moyennes comme bénéficiaires.  Manuel Valls s’exprimait juste avant de rejoindre le chef de l’Etat pour une réunion de crise après les résultats désastreux pour l’exécutif des Européennes. Le chef du gouvernement a estimé que les hausses d’impôts depuis six ans ont contribué à alimenter le mécontentement des électeurs.

 

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