Archive pour le Tag 'baisse'

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Consommation alimentaire : tendance à la baisse

Consommation alimentaire : tendance à la baisseDe fait de  la dégradation pouvoir d’achat moyen, la  grande distribution enregistre  une tendance à la baisse de la consommation alimentaire. Une tendance confirmée structurellement par l’INSEE qui note que le volume de consommation alimentaire en volume était inférieur de 5,3 % au premier trimestre 2024 par rapport à fin 2019.

La consommation alimentaire, au sens de la comptabilité nationale, comprend les produits agricoles (fruits et légumes, poissons…) et des produits agro-alimentaires (les viandes, produits laitiers, pâtes…). En volume (corrigée de l’effet des prix à qualité constante) elle a fortement baissé depuis la fin des confinements ; elle est désormais bien inférieure à son niveau de 2019. Avant la crise sanitaire, elle connaissait une hausse tendancielle modérée (+0,6 % en évolution annuelle moyenne entre 1990 et 2019), et a connu un surcroît temporaire durant la crise sanitaire. Elle a fortement baissé à partir du 1er trimestre 2022 : en 2022, elle a chuté de −3,3 % par rapport à 2021 puis de −3,5 % en 2023 par rapport à 2022. Au 1er trimestre 2024, le niveau de la consommation alimentaire en volume était inférieur de 5,3 % à fin 2019 et est retombé au niveau de 2005.

A contrario, sur longue période, et toujours actuellement, les dépenses alimentaires en valeur suivent une progression régulière. Enfin, leur part dans le revenu des ménages est légèrement déclinante. Sur la période 1990-2019, la consommation alimentaire en valeur a une tendance stable d’augmentation, d’environ 2,6 % par an. Lorsque la part consacrée à l’alimentaire dans le revenu (disponible brut) a connu des évolutions plus marquées, cela tient plutôt aux revenus qui ont connu des variations trimestrielles significatives tandis que les dépenses de consommation des ménages suivaient une tendance relativement stable. La croissance régulière des dépenses alimentaires sur longue période pourrait refléter, d’un point de vue microéconomique, le pilotage budgétaire des ménages, et leurs adaptations pour rester dans leur budget.

Sur le long terme, avant la crise sanitaire, la part dédiée aux dépenses alimentaires a toutefois une tendance à la baisse (−0,1 pt par trimestre en moyenne entre 1990 et 2019) : si l’on corrige de cet effet, la part du revenu consacrée à l’alimentaire était en 2023 proche de celle de 2019. Pendant la crise sanitaire, la part des dépenses alimentaires dans le revenu a ponctuellement cru, avant de rapidement retrouver sa tendance une fois les confinements terminés.

La baisse de la consommation alimentaire en volume peut refléter une baisse des quantités mais aussi un effet « qualité » sur les produits consommés. Le partage volume-prix a joué à la baisse pour la consommation alimentaire en 2023 : en valeur (à prix courant), elle a augmenté (+5,7 %), mais beaucoup moins que les prix (+11,8 %) ; ainsi, la consommation en volume a baissé (−3,5 %). Les changements de consommation en volume reflètent notamment des comportements d’adaptation des ménages. Ces comportements sont à la fois des changements de gamme (passage de produits de marque nationale à des produits de marques distributeurs…), des changements d’enseigne (passage de Carrefour à Aldi…) ainsi qu’une recomposition par produit du panier (moins de viande pour plus de pâtes…). Tous ces comportements se traduisent par une baisse de la consommation en volume, bien qu’ils n’influencent pas directement les quantités achetées. En effet, s’il n’y a pas d’inflation d’une année sur l’autre (soit pas d’effet prix) alors si les ménages changent leurs comportements (gamme, distributeur, composition du panier) alors la baisse de la consommation en valeur se traduira par une baisse de la consommation en volume, en l’absence d’effet-prix.

 

BCE: Une nouvelle baisse des taux éventuellement en septembre

BCE:  Une nouvelle baisse des taux éventuellement en septembre

 

Face à une croissance très modeste la BCE avait engagé une toute petite baisse des taux. il parait maintenant vraisemblable qu’une nouvelle baisse n’interviendra pas avant septembre.

En juin, la banque de la zone euro avait réduit pour la première fois depuis cinq ans son taux directeur, l’abaissant de son niveau record de 4 % à 3,75 %. Elle voulait envoyer ainsi le signal de la fin d’un cycle inédit de resserrement monétaire destiné à lutter contre une inflation culminant à 10,6 % en octobre 2022 avant de retomber à 2,5 % en juin. Mais qui reste supérieure à l’objectif de 2 % de la BCE. Christine Lagarde a d’ailleurs prévenu le mois dernier que la vitesse et la durée des futures baisses restaient « très incertaines » en raison de la volatilité de l’inflation, évoquant le chemin « cahoteux » de la courbe des prix.

Certains investisseurs parient sur une nouvelle réduction en septembre, s’appuyant notamment sur le commentaire de Christine Lagarde, selon lequel les risques pour la croissance sont « orientés à la baisse ».

Fed :Une baisse des taux en septembre ?

Fed :Une baisse des taux en septembre ?

Compte tenu de l’évolution de l’inflation aux États-Unis, la FED pourrait bien procéder à une baisse des taux des septembre. Il semble en effet possible désormais d’atteindre un objectif de 2 % pour l’inflation.

Les taux de la Fed, qui guident les taux des crédits accordés par les banques, sont depuis près d’un an à leur plus haut niveau en plus de 20 ans, dans la fourchette de 5,25 à 5,50%, dans l’objectif de ralentir l’investissement et la consommation et, in fine, l’inflation. L’institution a, plusieurs fois, affirmé vouloir être certaine que la hausse des prix atteigne son objectif de 2% par an avant de détendre sa politique monétaire. Or, la dynamique des prix avait repris de plus belle en début d’année.

« J’ai toujours pensé qu’il existait un moyen de ramener l’inflation à notre objectif de 2% de manière durable sans que le marché du travail ne souffre, sans que le taux de chômage ne soit élevé », a souligné le président de la Fed. . « Nous assistons à la poursuite du rééquilibrage du marché du travail. Mais nous anticipons que la croissance se poursuive et que le taux de chômage reste faible, ce qui devrait soutenir l’activité économique cette année », a de son côté commenté dans une note la cheffe économiste de HFE, Rubeela Farooqi.« Si nous devions constater un affaiblissement inattendu du marché du travail, nous pourrions également réagir en conséquence », a donc assuré Jerome Powell, laissant entendre que les taux pourraient alors être abaissés rapidement.

De son coté, la Banque centrale européenne (BCE) a effectué une première baisse de son taux directeur de 0,25 point de pourcentage. Ainsi, le taux de dépôt passe à 3,75%, tandis que le taux de refinancement et le taux de facilité de prêt marginal s’établissent respectivement à 4,25% et 4,5%.Notons que la croissance aux États-Unis est trois fois plus élevée en 2024  que dans la zone euro.

Baisse de la fiscalité sur les entreprises…… au Portugal !

Baisse de la fiscalité sur les entreprises…… au Portugal !

 

Lisbonne affiche l’une des croissances les plus dynamiques d’Europe, avec un PIB en hausse de 2,3 % en 2023 et entend continuer sur sa lancée avec une baisse du taux d’imposition sur les sociétés  de 21 % à 15 %, et jusqu’à 12,5 % pour les PME.

Le gouvernement portugais va réduire progressivement de 21 % à 15 % le taux d’impôt sur les sociétés. « En 2026, le taux tombera à 17 % et, en 2027, à 15 % », a indiqué la semaine dernière le ministre des Finances, Joaquim Miranda Sarmento. « La baisse de 2 points de pourcentage représente environ 500 millions d’euros par an en effet direct », a-t-il précisé. Pour les PME, le taux, moins élevé, reculera de 17 % à 12,5 %.

La réduction de l’impôt sur les entreprises est l’une des soixante mesures envisagées dans le programme « Accélérer l’économie » de l’Alliance démocratique, la coalition de centre droit qui a porté Luis Montenegro au pouvoir en avril. L’objectif officiel de la réforme, qui comporte aussi des allégements pour une série de taxes et des mesures de facilités de gestion, est d’inciter les entreprises portugaises à se moderniser pour stimuler la croissance et l’investissement dans le pays.

 

Retraites: vers une baisse des niveaux de pension

Retraites:  vers une baisse des niveaux de pension

En dépit de la récente réforme des retraites, les experts patentés viennent de s’apercevoir que les scénarios financiers sont déjà obsolètes et que sur la tendance il faudra prévoir un accroissement substantiel des déficits. En clair, on prépare le terrain pour la mise en œuvre d’une politique de baisse des niveaux de pension pour sauver le régime.

Normalement la baisse des retraites devrait s’opérer à travers une moindre indexation des pensions sur le coût de la vie. Bref pas de baisse en valeur absolue mais en euros constants ; de quoi mieux faire avaler la pilule

Face à la persistance du déficit des retraites, le Comité de suivi des retraites exhorte à modifier les règles d’indexation des pensions.

C’est le deuxième effet, celui que l’on n’avait pas nécessairement anticipé. Après le relèvement de l’âge de départ en retraite à 64 ans, les Français doivent s’attendre, à plus ou moins brève échéance, à un changement des règles de calcul des pensions. C’est en tout cas ce que recommande dans un avis publié lundi le Comité de suivi des retraites (CSR), un groupe d’experts auprès du Premier ministre, chargé d’éclairer les pouvoirs publics sur les décisions à prendre, sur la base du rapport du Conseil d’orientation des retraites (COR) publié chaque année en juin.

Sur le constat, rien de nouveau : « les déficits subsistent », alerte le CSR, qui recommande que « des réponses y soient apportées ». Le déficit des retraites va se creuser pour atteindre en moyenne de 0,5 point de PIB sur l’horizon de 25 ans et même 0,8 point de PIB en 2070. Cette persistance des déficits peut surprendre, un an après la mise en œuvre d’une nouvelle réforme. Mais « si la réforme a durci les critères d’âge…

Sondage popularité: Macron encore en baisse

Sondage popularité: Macron encore en baisse

 

La cote de confiance d’Emmanuel Macron demeure à l’un de ses niveaux les plus bas depuis 2017. Après une chute de 5 points le mois dernier, elle regagne un petit point ce mois-ci à 25 % seulement, dans le baromètre Elabe pour « Les Echos ». Un sondage réalisé avant la publication mercredi après-midi de la lettre du président de la République aux Français .

Emmanuel Macron conserve néanmoins la confiance des trois quarts de ses électeurs du premier tour de l’élection présidentielle de 2022. « Il est replié sur son socle, relève Bernard Sananès, le président d’Elabe. Il n’est pas unanime mais le niveau de confiance reste élevé, à 74 % ». Signe d’une déception et d’une incompréhension face à la dissolution, le chef de l’Etat a reculé de 15 points en deux mois auprès des cadres, à 30 %.

Population mondiale en baisse à partir de 2100

Population mondiale en baisse à partir de 2100

10,3 milliards d’habitants en 2080  mais en baisse à 10,2 milliards autour de 2100, selon un rapport de l’ONU.

La population mondiale va continuer à augmenter, de 8,2 milliards d’humains en 2024 à environ 10,3 milliards dans les années 2080, selon une étude du département des affaires économiques et sociales de l’ONU, publiée jeudi 11 juillet. Elle devrait ensuite redescendre à 10,2 milliards autour de 2100, soit 700 millions de moins que les projections réalisées en juin 2013.

 

Plus du quart de la population mondiale (28%) vit dans un des 63 pays où la population a déjà atteint son pic, dont la Chine, la Russie, le Japon et l’Allemagne, selon le rapport. Une cinquantaine d’autres pays devraient rejoindre ce groupe dans les trente prochaines années, dont le Brésil, l’Iran et la Turquie. La croissance démographique se poursuivra en revanche au-delà de 2054 dans plus de 120 pays, dont l’Inde, l’Indonésie, le Nigeria, le Pakistan et les Etats-Unis, précise l’ONU.

La baisse de la mortalité, interrompue par la pandémie de Covid-19, a repris, avec une espérance de vie moyenne de 73,3 ans en 2024, qui devrait atteindre 77,4 ans en 2054. Conséquence logique, le vieillissement de la population mondiale s’accentue. Vers la fin des années 2070, le nombre de personnes de plus de 65 ans, prévu à 2,2 milliards, dépassera celui des moins de 18 ans, selon l’étude.

Céréales : baisse de production en perspective

Sombre perspective pour la production la production de blé tendre français en 2024 avec le chiffre de 29,7 millions de tonnes. Ce serait 15% de moins que l’année dernière, lorsque la production a atteint 35 millions de tonnes. Et ce serait un fiasco historique : « En vingt ans, seules deux autres récoltes n’ont pas franchi les 30 millions de tonnes », en 2016 et 2020, souligne le service ministériel.

Une baisse de production frappe d’ailleurs aussi d’autres céréales, notamment l’orge. Pour l’ensemble de celles à paille (blé tendre, blé dur, orge, triticale, seigle et avoine), elle devrait s’élever à 13% en France.

Ces défis pour les céréaliers français interviennent à un moment où les charges, qui avaient explosé après le début de la guerre en Ukraine, restent élevée, observe l’Association générale des producteurs de blé (AGPB, l’une des associations du syndicat agricole majoritaire, la Fnsea). Elle insiste notamment sur les coûts des engrais, de l’énergie et de la main-d’œuvre. « Cet effet ciseaux fragilise durablement la trésorerie de nos fermes », déplore son président, Eric Thirouin.

Or les dernières années, les céréaliers figuraient parmi les agriculteurs qui s’en sortaient le mieux : même très bien lorsque les cours des céréales étaient au plus haut. Leur mécontentement risque désormais de venir s’ajouter à celui de l’ensemble des agriculteurs qui, depuis la dissolution de l’Assemblée nationale, s’inquiètent de la mise en suspens des réformes promises après leur mobilisation de l’hiver dernier. En vue des élections des Chambres d’agriculture en janvier, les syndicats agricoles ne devraient pas hésiter à s’en saisir.

Economie-L’inévitable baisse des prix de l’immobilier

Economie-L’inévitable baisse des prix de l’immobilier 

 

Sur un an, les prix dans l’immobilier s’inscriraient dans une tendance baissière de l’ordre de 7à 8 %. Le marché se dégèle un peu mais la tendance devrait se poursuivre. En effet, en raison de la spéculation générale les prix de l’immobilier ont atteint des sommets qui ont en quelque sorte ont  solvabilisé une grande partie des acheteurs potentiels. Dans les couches moyennes, rares sont ceux qui peuvent encore consacrer entre 300 et 400 000 € pour l’achat d’un logement ( sans parler de Paris où il faut au moins 1 million). Même la moindre maison de campagne se négocie à 150 à 200 000 €. Le marché se réduit donc comme peau de chagrin avec des vendeurs qui jusque-là ne voulaient pas diminuer leur prix de vente et des acheteurs incapables d’emprunter par manque de solvabilité. 

On a fort légitimement imputer le rétrécissement du marché à la hausse des taux d’intérêt. Des taux d’intérêt pratiquement nul il y a trois ans et qui tourne aujourd’hui autour de 4 %. Une évolution qui génère évidemment des charges financières insupportables quand le pouvoir d’achat ne suit pas. Mais il y a surtout les prix invraisemblables de l’immobilier qui ont doublé en une vingtaine d’années et en quelque sorte ont éjecté les candidats potentiels à l’achat surtout les primo accédants.

« La baisse des prix accélère depuis plusieurs mois, confirme Jordan Frarier, présiden

L’inévitable baisse des prix de l’immobilier

L’inévitable baisse des prix de l’immobilier 

 

Sur un an, les prix dans l’immobilier s’inscriraient dans une tendance baissière de l’ordre de 7à 8 %. Le marché se dégèle un peu mais la tendance devrait se poursuivre. En effet, en raison de la spéculation générale les prix de l’immobilier ont atteint des sommets qui ont en quelque sorte ont  solvabilisé une grande partie des acheteurs potentiels. Dans les couches moyennes, rares sont ceux qui peuvent encore consacrer entre 300 et 400 000 € pour l’achat d’un logement ( sans parler de Paris où il faut au moins 1 million). Même la moindre maison de campagne se négocie à 150 à 200 000 €. Le marché se réduit donc comme peau de chagrin avec des vendeurs qui jusque-là ne voulaient pas diminuer leur prix de vente et des acheteurs incapables d’emprunter par manque de solvabilité. 

On a fort légitimement imputer le rétrécissement du marché à la hausse des taux d’intérêt. Des taux d’intérêt pratiquement nul il y a trois ans et qui tourne aujourd’hui autour de 4 %. Une évolution qui génère évidemment des charges financières insupportables quand le pouvoir d’achat ne suit pas. Mais il y a surtout les prix invraisemblables de l’immobilier qui ont doublé en une vingtaine d’années et en quelque sorte ont éjecté les candidats potentiels à l’achat surtout les primo accédants.

« La baisse des prix accélère depuis plusieurs mois, confirme Jordan Frarier, président de Foncia Transaction. Et la tendance devrait se poursuivre dans les mois qui viennent. »

La raison ? Le retour des acheteurs tout d’abord, qui profitent à la fois de banques plus promptes à prêter et de taux de crédit passés de 4,4% sur 20 ans en fin d’année à 3,7%…

 

Moral des chefs d’entreprise : en forte baisse

Moral des chefs d’entreprise : en forte baisse

L’optimisme des chefs d’entreprise a chuté brusquement de 9 points en un mois, selon la Grande consultation des entrepreneurs réalisée pour CCI France et La Tribune. Seuls 19% des dirigeants se disent confiants dans les perspectives de l’économie française pour les 12 prochains mois, soit 7 points de moins qu’en mai. En plein désarroi, beaucoup de chefs d’entreprise s’interrogent sur les perspectives économiques après les élections législatives anticipées.

 

D’après la dernière Grande consultation des entrepreneurs réalisé par OpinionWay pour CCI France, La Tribune et LCI, l’indicateur qui mesure l’optimisme des chefs d’entreprise a plongé de 9 points entre mai et juin dernier pour s’établir à 82 points, soit un niveau inédit depuis fin 2023.

 

Cette descente brutale de la confiance des patrons français témoigne d’une grande crainte sur la situation politique de la France.

France : baisse des gaz à effet de serre

France : baisse des gaz à effet de serre

« Tous les secteurs baissent : l’énergie grâce à l’augmentation de la production de l’hydroélectricité et grâce au nucléaire, mais également les transports qui étaient le domaine dans lequel on avait le plus de mal », s’est félicité le ministre de l’écologie.

 

Dans le détail par secteurs, c’est l’énergie qui participe le plus à la décarbonation, « avec un recul des émissions de 16,8%, soit -2 Mt CO2e, en raison de l’accélération de la production d’électricité décarbonée », selon le ministère.

Les bâtiments (-7,1%) et l’industrie (-5,6%) s’inscrivent également en recul, portés d’une part par la baisse des émissions du chauffage (-7,8%) en raison « d’un trimestre au global plus doux que l’an passé et de la poursuite des comportements de sobriété » et d’autre part par les efforts de secteurs comme l’agroalimentaire (-9,3%) ou la construction (-7,6%).

Les transports, premier secteur émetteur, restent sur une baisse moindre (-3%) mais conforme à celle déjà observée l’an dernier, « avec à la fois une diminution pour le transport routier (-3,1%) portée par la baisse observée des émissions associées aux véhicules diesel et le transport aérien français (-2,8%) ».

Publicité : marché en hausse mais télés en baisse

Publicité : marché en hausse mais télés en baisseLe marché de la Publicité continue de progresser mais profite surtout à Internet au détriment notamment de la télé.

 

 

En 2023, le total des recettes publicitaires des six grands médias (l’affichage, le cinéma, la presse, la radio, la télévision et Internet) a atteint 14,9 milliards d’euros. Ce qui représente forte hausse de 4,7% par rapport à l’exercice précédent. Le gâteau n’a jamais été aussi gros, et le marché s’est bien remis de la crise du Covid-19, qui avait vu les annonceurs lever le pied sur leurs investissements.

Comme le souligne l’Arcom, « cette hausse est portée principalement par le numérique », et « cette reprise masque des disparités fortes entre supports médias, certains n’ayant pas encore retrouvé les niveaux de recettes d’avant-crise ». L’exercice 2023 a été historique pour la publicité sur Internet, qui représente, désormais plus de la moitié (51%) des recettes publicitaires. À titre de comparaison, c’était moitié moins en 2015 (24%), il y a seulement 9 ans.

Economie-Taux d’intérêt aux États-Unis : une seule baisse en 2024 et plus tard

Taux d’intérêt aux États-Unis : une seule baisse en 2024 et plus tard 

Contrairement à la BCE qui a diminué ses taux de 25 points, la Réserve fédérale américaine (Fed) a maintenu ses taux inchangés, dans la fourchette de 5,25 à 5,50%, mercredi à l’issue de sa réunion, et indiqué que ses responsables pensent en moyenne les abaisser à une seule reprise cette année;  Ce qui sera sans doute aussi maintenant le cas pour la BCE qui ne voudra pas trop affaiblir l’euro

 

Le comité de politique monétaire (FOMC) de la banque centrale a révisé à la hausse sa prévision d’inflation pour 2024 et 2025, à 2,6% et 2,3% et fait état de «modestes progrès supplémentaires» vers l’objectif de 2% d’inflation. Les prévisions de croissance du Produit intérieur brut (PIB) restent en revanche identiques à celles publiées en mars: 2,1% en 2024 et 2,0% en 2025.

Mi-mars, lors de la dernière actualisation, les responsables de la Fed anticipaient trois baisses. Mais depuis, un rebond de l’inflation les a incités à la prudence, pour éviter une nouvelle flambée des prix. Le mois d’avril avait toutefois connu une timide amélioration. Et en mai, l’inflation a ralenti à 3,3% sur un an contre 3,4% en avril, et même une absence de hausse des prix sur un mois, selon l’indice CPI de l’inflation, sur lequel sont indexées les retraites, et qui a été publié mercredi matin, juste avant que la reprise des débats à la Fed.

La Fed a en revanche confirmé ses prévisions de croissance du produit intérieur brut (PIB): 2,1% en 2024 et 2,0% en 2025. Quand au taux de chômage, la prévision reste identique pour cette année, à 4,0%, mais est un peu révisée pour 2025, à 4,2% contre 4,1%.

 

Taux d’intérêt aux États-Unis : une seule baisse en 2024 et plus tard

Taux d’intérêt aux États-Unis : une seule baisse en 2024 et plus tard 

Contrairement à la BCE qui a diminué ses taux de 25 points, la Réserve fédérale américaine (Fed) a maintenu ses taux inchangés, dans la fourchette de 5,25 à 5,50%, mercredi à l’issue de sa réunion, et indiqué que ses responsables pensent en moyenne les abaisser à une seule reprise cette année;  Ce qui sera sans doute aussi maintenant le cas pour la BCE qui ne voudra pas trop affaiblir l’euro

 

Le comité de politique monétaire (FOMC) de la banque centrale a révisé à la hausse sa prévision d’inflation pour 2024 et 2025, à 2,6% et 2,3% et fait état de «modestes progrès supplémentaires» vers l’objectif de 2% d’inflation. Les prévisions de croissance du Produit intérieur brut (PIB) restent en revanche identiques à celles publiées en mars: 2,1% en 2024 et 2,0% en 2025.

Mi-mars, lors de la dernière actualisation, les responsables de la Fed anticipaient trois baisses. Mais depuis, un rebond de l’inflation les a incités à la prudence, pour éviter une nouvelle flambée des prix. Le mois d’avril avait toutefois connu une timide amélioration. Et en mai, l’inflation a ralenti à 3,3% sur un an contre 3,4% en avril, et même une absence de hausse des prix sur un mois, selon l’indice CPI de l’inflation, sur lequel sont indexées les retraites, et qui a été publié mercredi matin, juste avant que la reprise des débats à la Fed.

La Fed a en revanche confirmé ses prévisions de croissance du produit intérieur brut (PIB): 2,1% en 2024 et 2,0% en 2025. Quand au taux de chômage, la prévision reste identique pour cette année, à 4,0%, mais est un peu révisée pour 2025, à 4,2% contre 4,1%.

 

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