Archive pour le Tag 'baisse'

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Croissance : hausse aux États-Unis baisse en Europe

Croissance : hausse aux États-Unis baisse en Europe

 

Alors que l’Europe se débat avec une croissance très molle voire craint maintenant la stagnation voire la récession, l’activité économique aux États-Unis continue de surprendre. Alors qu’il tablait jusqu’ici sur une croissance de 2,8% au troisième trimestre, le département du Commerce américain a annoncé, ce jeudi, que le PIB a augmenté de 3,1% entre juillet et septembre, en rythme actualisé. Dans l’union européenne se contentera d’un inférieure à 1 %

A titre de comparaison, pour la zone euro, la Banque centrale européenne prévoit une croissance de 0,7 % en 2024, puis de 1,1 % en 2025, 1,4 % en 2026 et 1,3 % en 2027.

Dans le détail, le ministère justifie cette ultime révision par « une révision à la hausse des exportations et des dépenses de consommation », alors que les investissements privés sont partiellement révisés à la baisse. La progression des dépenses de consommation des ménages est en effet ressortie à 3,7%, contre +3,5% annoncé initialement.
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Cette bonne dynamique pourra-t-elle se poursuivre ? La première estimation de la croissance américaine pour le quatrième trimestre et l’ensemble de l’année 2024 sera publiée le 30 janvier. Alors qu’elle a baissé une nouvelle fois ses taux directeurs de 0,25 point de pourcentage, jeudi, la Réserve fédérale américaine en a profité pour annoncer qu’elle s’attend donc à une croissance américaine à 2,1% en 2025, soit une estimation légèrement plus élevée qu’en septembre.

Baisse des taux d’intérêt : Nouveau pas des États-Unis

Baisse des taux d’intérêt : Nouveau  pas des États-Unis

 La Réserve fédérale américaine (Fed) a abaissé mercredi ses taux directeurs pour la troisième fois en autant de réunions mais a laissé entendre que le rythme de son assouplissement monétaire allait désormais ralentir en raison d’un taux de chômage relativement stable et d’un recul moins important de l’inflation.

« L’activité économique a continué de se développer à un rythme soutenu, avec un taux de chômage qui reste faible et une inflation qui reste élevée », a écrit le FOMC, le comité de politique monétaire de la banque centrale, dans son communiqué publié à l’issue d’une réunion de deux jours.

Les responsables de la banque centrale américaine, dans leurs nouvelles projections, ne prévoient désormais plus que deux réductions supplémentaires de taux d’un quart de point de pourcentage d’ici fin 2025.

 

 

Immobilier- logements anciens: Forte baisse des transactions

Immobilier- logements anciens: Forte baisse des transactions

 

 780.000 transactions sur un an. Soit une baisse de 17% au regard de l’année dernière. Un chiffre en deçà des attentes alors que 935.000 logements anciens avaient déjà trouvé preneur fin septembre 2023 et 1,13 million en 2022 sur la même période.

Certaines zones géographiques sont particulièrement affectées par le phénomène. C’est notamment le cas en Gironde et dans les Pyrénées-Orientales (-23%) ainsi qu’en Charente-Maritime et en Seine-Saint-Denis (-22%). A l’inverse, les ventes de logements anciens ont connu un ralentissement moindre dans certains départements tels que l’l’Yonne et l’Oise (-11%) ou l’Orne (-8%).

Cette baisse du marché immobilier, qui date de 2022, a pour principale cause la hausse des taux d’intérêt. Même l’espoir né du desserrement de la politique monétaire en juin a pu être altéré par la dissolution de l’Assemblée nationale, estime Priscille Caignault, en charge de l’immobilier au Conseil supérieur du notariat.

 

Croissance : revue en baisse par la Banque de France

Croissance : revue en baisse par la Banque de France

Du fait  de la crise notamment politique et de son environnement, la  Banque de France a baisse de 0,3 % sa prévision de croissance du Pib  pour 2025 - La croissance française devrait atteindre 0,9% en 2025, un rythme plus faible qu’attendu précédemment, sous la pression de la consolidation budgétaire et de l’incertitude politique, annonce lundi la Banque de France (BdF) qui abaisse également ses prévisions de croissance pour 2026.

Dans ses dernières projections macroéconomiques, la banque centrale a abaissé de 0,3 point sa prévision de croissance du produit intérieur brut (PIB) de la France l’année prochaine par rapport à ses prévisions publiées en septembre.

La prévision de croissance pour l’année 2024 est en revanche maintenue à 1,1%.

 

L’économie française devrait donc sortir de la crise inflationniste sans connaître de récession, mais la reprise n’aurait lieu qu’en 2026 et 2027, plus tardivement qu’anticipé auparavant, ajoute la BdF. Des prévisions tout à fait aléatoire qui ne tienne pas compte des tensions suite au relèvement un peu général des droits de douane notamment de la part des États-Unis.

La croissance est attendue à 1,3% en 2026, contre 1,5% attendu auparavant, et à 1,3% en 2027, une reprise soutenue par le rebond attendu de la demande chez les partenaires commerciaux européens et l’assouplissement de la politique monétaire de la Banque centrale européenne (BCE).

L’inflation devrait poursuivre son repli en 2025 et s’établir à 1,6% avant de rebondir légèrement à 1,7% en 2026 puis 1,9% en 2027, un niveau proche de la cible de 2% fixé par la BCE.

La BdF prévient par ailleurs que les marchés du travail ralentiront en 2025 et en 2026, portant le taux de chômage à 8%, avant d’accélérer de nouveau grâce à la reprise de la croissance.

Des prévisions sans doute amenées à être révisées à de nombreuses reprises compte tenu des incertitudes sur le commerce international notamment avec la Chine et les États-Unis et des aléas du à l’environnement géopolitique. Sans parler de la pression des institutions financière internationale.

 

Etats-Unis-FED : probable baisse des taux en vue

Etats-Unis-FED : probable  baisse des taux en vue 

Une nouvelle baisse des taux en vue par la banque fédérale américaine (BCE) mais une baisse contenue eu égard au retour de l’inflation. L’inflation est  repartie à la hausse ces deux derniers mois, après avoir suivi une trajectoire encourageante vers l’objectif de 2% fixé par la Fed.

L’indice CPI des prix à la consommation – sur lequel sont indexés les retraites – a en effet rebondi en novembre à 2,7%. L’indice PCE, que la Fed veut ramener à 2%, sera publié le 20 décembre. Côté producteurs, les prix ont même grimpé en novembre au plus haut depuis près de deux ans, à cause notamment des conséquences de la grippe aviaire, selon l’indice PPI.

Jerome Powell a récemment estimé que la Fed « pouvait se permettre d’être un peu plus prudente » du fait de la vigueur de l’économie ( Sans doute supérieur à 2,5 % sur un an, à comparer à moins de 1 % pour  l’union économique européenne). En effet  les droits de douane annoncée par Trump pourraient venir nourrir l’inflation et  la Fed devrait prévoir des baisses de taux moins nombreuses pour 2025. Elle actualisera également mercredi ses prévisions pour l’économie américaine, et devrait être plus pessimiste qu’en septembre pour l’inflation, mais plus optimiste pour la croissance du PIB.

 

Cours Pétrole : Légère baisse en raison d’un tassement de la croissance

Cours Pétrole : Légère baisse en raison d’un tassement de la croissance

Le tassement mondial de la croissance sortirent sur la demande de pétrole. En effet, les cours du pétrole ont terminé en légère baisse jeudi. Le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en février, a abandonné 0,15% à 73,41 dollars.

Les prévisions sur le marché du pétrole ne sont pas optimistes, le rapport de l’Agence internationale de l’énergie (AIE), publié jeudi, indique «un excédent d’offre de 950.000 barils par jour en 2025», et même de «1,4 million de barils par jour» si l’Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés (Opep+) réintroduit, comme prévu actuellement, une partie de ses barils sur le marché à partir d’avril. . L’Opep a revu à la baisse ses prévisions de croissance de la demande mondiale de pétrole pour 2024 et 2025, invoquant des difficultés persistantes dont  celles découlant de la situation en Syrie.

Consommation d’alcool: en baisse

Consommation d’alcool: en  baisse 

L’ Observatoire français des drogues et des tendances addictives (OFDT) constate qu’en 2023 les Français ont consommé moins d’alcool; ils  consomment moins régulièrement, notamment leur verre de vin à table, préférant « des comportements d’alcoolisation intensive ponctuelle ». 

« Ces modifications traduisent le passage amorcé dans les années 2000 d’un mode de consommation dit ‘méditerranéen’ (avec des usages quotidiens, essentiellement de vin, lors des repas et dans des quantités n’excédant pas quelques verres) à un mode dit ‘nordique’ (usages moins fréquents, mais avec des quantités plus importantes et dans des contextes festifs), qui serait plus répandu chez les jeunes », observe l’OFDT.

Dans le détail, les volumes d’alcool pur mis en vente ont poursuivi leur décroissance en 2023 (-3,8%), avec une consommation équivalente à 10,35 litres d’alcool par Français de plus de 15 ans en moyenne. Une diminution principalement portée par un recul des ventes de vin (-4,2), bien qu’il représente toujours la moitié des boissons alcoolisées consommées dans l’Hexagone.

 

France : baisse de l’attractivité économique

France : baisse de l’attractivité économique

La moitié des dirigeants d’entreprises à capitaux étrangers, interrogés par le dernier baromètre EY, estime que l’attractivité de la France s’est détériorée depuis six mois. À l’opposé, 49% jugent que l’image de l’Hexagone s’est améliorée.« L’incertitude provoque un attentisme sur les décisions d’investissements. Les nouvelles règles du jeu en matière de fiscalité, voici le premier sujet de préoccupation. Il est encore difficile de mesurer l’impact réel de cette incertitude sur l’investissement étranger en 2024 et 2025. Les entreprises affirment qu’il y aura un effet de la dissolution, mais on ne sait pas encore le mesurer et il peut encore être contenu », indique l’enquête.

49% des entreprises ont réduit la voilure sur leurs projets d’investissements en France après la dissolution de juin dernier. Aucun n’évoque d’annulation pure et simple. En revanche, 12% signalent une baisse significative et 37% une légère réduction. Aujourd’hui, « il est difficile de savoir si la France va conserver sa première place en matière d’attractivité en Europe », avertit l’enquête. 

S’agissant des catégories, les petites et moyennes entreprises (PME) sont les plus inquiètes en proportion (55%). Viennent juste derrière les dirigeants des grandes entreprises (50%). Enfin, les ETI semblent plus confiantes sur la capacité de l’Hexagone à attirer des investisseurs étrangers (42%). Par secteur, ce sont les industriels qui expriment le plus de craintes (53%).. Signe d’un malaise grandissant, les défaillances d’entreprise enregistrée par la Banque de France ont atteint un sommet en septembre dernier (64.000). Face à un possible mur des faillites, le gouvernement Barnier risque une nouvelle fois d’affronter une montée de la colère sociale.

 

Budget 2025: Santé baisse du remboursement des médicaments

 Budget 2025: Santé  baisse du remboursement des médicaments

Le  remboursement des médicaments par la Sécurité sociale baissera de 5% l’an prochain, tout comme la prise en charge des consultations médicales, a annoncé la ministre de la Santé Geneviève Darrieussecq ce lundi au Sénat.

Le «dérapage» des dépenses de médicaments cette année est  «évalué à 1,2 milliard d’euros», que le gouvernement entend limiter après un «dialogue avec les industriels afin de trouver des mécanismes de compensation». La mise à contribution financière des laboratoires pharmaceutiques, via la «clause de sauvegarde» du secteur, ne serait «activée qu’en cas d’échec de la démarche», a-t-elle assuré. Son collègue des Comptes publics, Laurent Saint-Martin, a ensuite précisé que les «différents leviers» à l’étude doivent permettre de «ramener à 200 millions d’euros le dépassement par rapport à la trajectoire présentée» dans le budget de la Sécu pour 2025.

 

 

Dollars en hausse, Euro en baisse

Dollars en hausse, Euro en baisse

 

Conséquence directe de l’élection de Trump aux États-Unis, l’euro enregistre une baisse par rapport au dollar. Par ailleurs la Bourse de Paris a chuté de 2,69% à la clôture, Francfort de 2,13%, Milan de 2,15% et Londres a abandonné 1,22%.

Ces évolutions découlent de la politique fiscale annoncée par le nouveau président des États-Unis et qui se traduira notamment par une surtaxe allant de 10 à 20% sur l’ensemble des produits étrangers entrant aux Etats-Unis et  jusque 60% pour ceux provenant de Chine.

À Wall Street, les indices font une pause après avoir cumulé les records ces derniers jours. Vers 16H55 GMT, le Dow Jones lâchait 0,49%, le S&P 500 0,25% et le Nasdaq 0,10%.

Pour l’avenir des inquiétudes demeurent. En effet la multiplication des politiques protectionnistes va se traduire par une réduction des échanges et de l’activité mondiale. Quant aux politiques fiscales, elles vont créer un choc  d’inflation

Le  dollar continue de gagner du terrain, bénéficiant des attentes d’une politique monétaire plus restrictive de la part de la banque centrale américaine (Fed), en raison des risques inflationnistes du programme du futur président américain. Vers 14H50 GMT, le billet vert gagnait 0,53% à 1,0599 dollar pour un euro, qui était au plus bas depuis un an face à la devise américaine. Le taux d’intérêt de l’emprunt américain de référence sur dix ans bondissait à 4,41%, contre 4,30% à la dernière clôture vendredi. La veille, le marché obligataire américain était fermé en raison d’un jour férié.

 

États-Unis : une nouvelle baisse des taux

États-Unis : une nouvelle baisse des taux

 

Une nouvelle baisse des taux de l’ordre d’un quart de point  est probable dès les jours prochains aux États-Unis. Une décision qui prend notamment en compte la maîtrise de l’inflation et la détérioration de l’emploi. L’inflation attendue aux alentours de 2,1 % en 2025, soit la cible de long-terme de la banque centrale. Une politique monétaire restrictive n’a donc plus beaucoup d’intérêt La Banque centrale américaine, la Fed, devrait donc annoncer jeudi une nouvelle baisse de ses taux, un mouvement engagé en septembre à la faveur de la baisse de l’inflation.

«Nous tablons toujours sur une baisse, au moins en novembre», a déclaré Diane Swonk, cheffe économiste pour KPMG, dans un entretien à l’AFP.

Les taux se situent actuellement dans la fourchette de 4,75 à 5,00%. Une coupe d’un quart de point de pourcentage est majoritairement anticipée par les marchés, selon l’évaluation de CME Groupe.

Emplois États-Unis : en baisse

Emplois États-Unis : en baisse

 

Officiellement on attribue le tassement de l’emploi aux États-Unis aux conditions météorologiques et aux grèves. On attendait en effet plus de 100 000 emplois et seulement 12 000 ont été effectivement créés. En cause également le tassement économique mondial dans la Chine est à l’origine notamment et qui pèse aussi sur des États-Unis mais aussi par exemple en Europe sur l’Allemagne. De quoi évidemment encourager une accélération de la baisse des taux d’intérêt pour les banques centrales.

En octobre, 12.000 emplois seulement ont été créés, le plus faible nombre depuis décembre 2020, a annoncé vendredi par le département du Travail.

Inflation États-Unis : encore en baisse.. comme la croissance

Inflation États-Unis : encore en baisse.. comme la croissance

 

Aux États-Unis, comme ailleurs y compris en France, la nette baisse de l’inflation constitue une bonne nouvelle. Une évolution qu’on attribue en partie à la politique monétaire avec une réduction progressive des taux d’intérêt. Mais une diminution qui pourrait bien provenir aussi du tassement de la croissance mondiale en particulier des conséquences des difficultés économiques chinoises ( responsable par exemple notamment du tassement allemand en Europe).

Même aux États-Unis des inquiétudes sérieuses naissent à propos de l’évolution du nombre de chômeurs. Autant d’éléments pour encourager encore les banques centrales à diminuer leur taux d’intérêt.

Le département du Commerce américain , l’indice d’inflation PCE a reculé à 2,1% sur un an, contre 2,3% en août, atteignant presque l’objectif de 2% fixé par la Banque centrale américaine (Fed).

Dans le détail, en excluant les prix volatils de l’alimentation et de l’énergie, l’inflation dite sous-jacente est stable sur un an, à 2,7%, mais enregistre également une légère accélération sur un mois, à 0,3% contre 0,2%. Une autre mesure de l’inflation, l’indice CPI, publié plus tôt dans le mois et sur lequel sont indexées les retraites, est également tombé en septembre à son plus bas niveau depuis février 2021, 2,4% sur un an.
De l’autre côté de l’atlantique, en France donc, l’inflation semble se stabiliser. C’est ce que disent les dernières estimations provisoires de l’Insee sur le sujet, puisque après 1,1% en septembre, les prix à la consommation ont augmenté de 1,2% au mois d’octobre, sur un an. En outre, l’indice des prix à la consommation tricolore harmonisé (IPCH), qui permet les comparaisons entre pays européens, augmente de 1,5% en octobre, après 1,4% en septembre. Mais là aussi on constate une évolution négative du chômage

 

Livret d’épargne A : baisse du taux de rémunération à 2,5 %

Livret d’épargne A : baisse du taux de rémunération à 2,5 %

 
Le taux de rémunération du livret A est fixé à 3% depuis le 1er février 2023 devrait passer à« un taux autour de 2,5 % », a indiqué jeudi, sur Radio Classique, le directeur général de la Caisse des dépôts (CDC). La formule de calcul du taux du livret A, aussi valable pour le livret de développement durable et solidaire (LDDS), est basée pour une moitié sur les taux interbancaires, et pour l’autre sur l’évolution des prix des six derniers mois.

Or l’inflation a fortement chuté depuis le printemps. En pratique, dès que les chiffres définitifs de l’inflation pour décembre seront connus, le gouverneur de la Banque de France proposera au ministre de l’Économie et des Finances, Antoine Armand, un nouveau taux, en se calant sur le résultat de la formule de calcul ou en y dérogeant. Le taux de rémunération du livret A est fixé à 3 % depuis le 1er février 2023, un pic depuis 2009.

Forte baisse du moral des patrons dans l’industrie

Forte baisse du moral des patrons dans l’industrie

Conséquence de la crise économique mais aussi des incertitudes politiques, l’indice synthétique du climat des affaires dans l’industrie en France ressort à 92,4 points en octobre 2024, a indiqué l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) à 8h45. Ainsi, le moral des industriels s’est détérioré de 6,7 points sur un mois.

L’indice se situant nettement au-dessous de sa moyenne de longue période (100), l’opinion des chefs d’entreprises dans l’industrie sur la conjoncture est donc très mauvaise.

En septembre, l’indice était de 99,1 points (chiffre qui vient d’être révisé par l’Insee), en hausse de 0,2 point sur un mois.

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