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Inflation-Prix Immobilier: la baisse des prix va se répandre en France

Inflation-Prix Immobilier: la baisse des prix va se répandre en France

Comme c’était visible, l’immobilier risque de connaître une crise particulièrement grave à la fois dans le domaine du neuf comme de l’occasion. Les candidats à l’accession à la propriété sont coincés entre des prix complètement excessifs, des taux d’intérêt qui montent est une solvabilité atteinte par la baisse du pouvoir d’achat. Dans la location la situation et neutraliser du fait des coûts exorbitants nécessaires pour la mise aux normes des appartements et autres logements ( en moyenne 30 à 40 000 euros). Conséquence la baisse des prix se répand un peu partout en France mais ce n’est qu’un début. Certains pensent qu’elle pourrait atteindre jusqu’à 20 % ici un an ou deux ans.

Pour la première fois depuis 2015, les prix immobiliers ont reculé pour les ventes dans le logement ancien. Après Paris, les régions sont désormais touchées par le phénomène.

«L’immobilier est entré dans une nouvelle ère.» Fini les crédits qui se décrochent aisément et les logements qui se vendent en quelques jours. Sauf pour ceux qui sont exceptionnels. Mais tout le monde n’a pas les moyens de s’en offrir un. En effet, la plupart des ménages n’arrivent plus à acquérir un logement: à cause de la hausse des taux, leur capacité d’emprunt moyenne est passée, en dix-huit mois, de 200.000 euros sur 20 ans à 150.000 euros, selon le courtier Meilleurtaux.

Conséquence: les ventes immobilières ont chuté de plus de 10% en un an et demi. À cette allure-là, la barre symbolique du million de transactions, dépassée ces 4 dernières années, sera franchie à la baisse. «On a l’habitude de dire que l’année (immobilière) se fait au printemps. Ce principe est à reconsidérer», analyse Me Élodie Frémont, présidente de la commission statistique des notaires du Grand Paris.

Prix Immobilier: la baisse des prix va se répandre en France

Prix Immobilier: la baisse des prix va se répandre en France

Comme c’était visible, l’immobilier risque de connaître une crise particulièrement grave à la fois dans le domaine du neuf comme de l’occasion. Les candidats à l’accession à la propriété sont coincés entre des prix complètement excessifs, des taux d’intérêt qui montent est une solvabilité atteinte par la baisse du pouvoir d’achat. Dans la location la situation et neutraliser du fait des coûts exorbitants nécessaires pour la mise aux normes des appartements et autres logements ( en moyenne 30 à 40 000 euros). Conséquence la baisse des prix se répand un peu partout en France mais ce n’est qu’un début.

Pour la première fois depuis 2015, les prix immobiliers ont reculé pour les ventes dans le logement ancien. Après Paris, les régions sont désormais touchées par le phénomène.

«L’immobilier est entré dans une nouvelle ère.» Fini les crédits qui se décrochent aisément et les logements qui se vendent en quelques jours. Sauf pour ceux qui sont exceptionnels. Mais tout le monde n’a pas les moyens de s’en offrir un. En effet, la plupart des ménages n’arrivent plus à acquérir un logement: à cause de la hausse des taux, leur capacité d’emprunt moyenne est passée, en dix-huit mois, de 200.000 euros sur 20 ans à 150.000 euros, selon le courtier Meilleurtaux.

Conséquence: les ventes immobilières ont chuté de plus de 10% en un an et demi. À cette allure-là, la barre symbolique du million de transactions, dépassée ces 4 dernières années, sera franchie à la baisse. «On a l’habitude de dire que l’année (immobilière) se fait au printemps. Ce principe est à reconsidérer», analyse Me Élodie Frémont, présidente de la commission statistique des notaires du Grand Paris.

Politique et Baisse fiscalité: Le retour de l’argent magique

Politique et Baisse fiscalité: Le retour de l’argent magique


Par Philippe Baillot, membre du Cercle des fiscalistes dans l’Opinion

L’annonce présidentielle de « deux milliards de baisse d’impôts pour les classes moyennes » relève, en l’absence de toute réduction de la dépense publique, de la plus pure novlangue. Elle constitue une nouvelle et parfaite illustration de la définition de l’Etat de Frédéric Bastiat : « cette grande fiction par laquelle tout le monde s’efforce de vivre aux dépens de tout le monde ». La diminution d’un impôt non gagée par la suppression d’une dépense ou de la hausse équivalente d’un autre prélèvement accroît à l’euro près notre déficit public. Ainsi, la promesse présidentielle consiste-t-elle à substituer à un prélèvement aux cibles identifiées, et donc portées à demander des comptes – en l’occurrence « les classes moyennes » – un déficit qui pèsera sur les générations à venir et surtout selon une répartition ignorée de tous. Cette caractéristique exclut de facto toute volonté sérieuse de contrôle.

La clé de voûte de notre système de finances publiques, conçu en opposition à l’arbitraire royal, réside dans l’article 14 de notre Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 : « Tous les citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d’en suivre l’emploi, et d’en déterminer la quotité, l’assiette, le recouvrement et la durée ». Or, avec l’« argent magique », nul n’est plus réellement intéressé à suivre l’emploi, la pertinence ou l’efficacité de la dépense publique.

Le montant de notre dette publique (2 950 milliards d’euros) a conduit notre Prix Nobel, Jean Tirole, à observer que « la France était à la merci des marchés financiers ». Un point de hausse des taux représentant un surcoût de 40 milliards d’euros à l’horizon de dix ans, selon la Banque de France. A cet égard, il est remarquable de noter que le programme de stabilité 2023-2027, adressé fin avril à la Commission européenne, prévoit – avec ses lunettes roses – de voir les seules charges d’intérêts de notre dette publique passer de 1,7 % du PIB cette année à 2,4 % à l’horizon 2027 !

Notre tradition démocratique de contrôle renaîtra-t-elle avant que la seule charge de la dette devienne de très loin le premier budget de l’Etat, devant l’Education ou notre Défense, ou faudra-t-il une procédure européenne pour déficits excessifs ?

Pour mettre un terme aux dérives parlementaires observées sous la IVe République, les rédacteurs de notre constitution ont prévu que (sauf à être gagés « à due concurrence ») « les propositions et amendements formulés par les membres du Parlement ne sont pas recevables lorsque leur adoption aurait pour conséquence soit une diminution des ressources publiques, soit la création ou l’aggravation d’une charge publique » (article 40). Selon la même logique, après plus de quatre décennies de déficits publics, ne serait-il pas temps de mettre un terme aux dérives de nos gouvernants et, pour le moins, de leur interdire d’infantiliser les contribuables en masquant la réalité des prélèvements effectués et de nos dépenses.

A l’origine de la démocratie parlementaire se trouve le lien entre « contribution » et « représentation », avec la réunion « des Etats Généraux ». Ce lien républicain est menacé par l’occultation organisée de la réalité – immédiate et à terme – de la contribution de chaque citoyen. Sa mise en lumière s’accompagnerait mécaniquement d’une salutaire exigence renouvelée, en termes de pertinence et d’efficacité, de notre dépense publique. La courbe actuelle des taux longs est clairement de nature à mettre un terme au temps de « l’argent magique ». Le renouvellement de notre conscience citoyenne en hâterait utilement la fin.

Philippe Baillot, membre du Cercle des fiscalistes

Baisse fiscalité: Le retour de l’argent magique

Baisse fiscalité: Le retour de l’argent magique


Par Philippe Baillot, membre du Cercle des fiscalistes dans l’Opinion

L’annonce présidentielle de « deux milliards de baisse d’impôts pour les classes moyennes » relève, en l’absence de toute réduction de la dépense publique, de la plus pure novlangue. Elle constitue une nouvelle et parfaite illustration de la définition de l’Etat de Frédéric Bastiat : « cette grande fiction par laquelle tout le monde s’efforce de vivre aux dépens de tout le monde ». La diminution d’un impôt non gagée par la suppression d’une dépense ou de la hausse équivalente d’un autre prélèvement accroît à l’euro près notre déficit public. Ainsi, la promesse présidentielle consiste-t-elle à substituer à un prélèvement aux cibles identifiées, et donc portées à demander des comptes – en l’occurrence « les classes moyennes » – un déficit qui pèsera sur les générations à venir et surtout selon une répartition ignorée de tous. Cette caractéristique exclut de facto toute volonté sérieuse de contrôle.

La clé de voûte de notre système de finances publiques, conçu en opposition à l’arbitraire royal, réside dans l’article 14 de notre Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 : « Tous les citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d’en suivre l’emploi, et d’en déterminer la quotité, l’assiette, le recouvrement et la durée ». Or, avec l’« argent magique », nul n’est plus réellement intéressé à suivre l’emploi, la pertinence ou l’efficacité de la dépense publique.

Le montant de notre dette publique (2 950 milliards d’euros) a conduit notre Prix Nobel, Jean Tirole, à observer que « la France était à la merci des marchés financiers ». Un point de hausse des taux représentant un surcoût de 40 milliards d’euros à l’horizon de dix ans, selon la Banque de France. A cet égard, il est remarquable de noter que le programme de stabilité 2023-2027, adressé fin avril à la Commission européenne, prévoit – avec ses lunettes roses – de voir les seules charges d’intérêts de notre dette publique passer de 1,7 % du PIB cette année à 2,4 % à l’horizon 2027 !

Notre tradition démocratique de contrôle renaîtra-t-elle avant que la seule charge de la dette devienne de très loin le premier budget de l’Etat, devant l’Education ou notre Défense, ou faudra-t-il une procédure européenne pour déficits excessifs ?

Pour mettre un terme aux dérives parlementaires observées sous la IVe République, les rédacteurs de notre constitution ont prévu que (sauf à être gagés « à due concurrence ») « les propositions et amendements formulés par les membres du Parlement ne sont pas recevables lorsque leur adoption aurait pour conséquence soit une diminution des ressources publiques, soit la création ou l’aggravation d’une charge publique » (article 40). Selon la même logique, après plus de quatre décennies de déficits publics, ne serait-il pas temps de mettre un terme aux dérives de nos gouvernants et, pour le moins, de leur interdire d’infantiliser les contribuables en masquant la réalité des prélèvements effectués et de nos dépenses.

A l’origine de la démocratie parlementaire se trouve le lien entre « contribution » et « représentation », avec la réunion « des Etats Généraux ». Ce lien républicain est menacé par l’occultation organisée de la réalité – immédiate et à terme – de la contribution de chaque citoyen. Sa mise en lumière s’accompagnerait mécaniquement d’une salutaire exigence renouvelée, en termes de pertinence et d’efficacité, de notre dépense publique. La courbe actuelle des taux longs est clairement de nature à mettre un terme au temps de « l’argent magique ». Le renouvellement de notre conscience citoyenne en hâterait utilement la fin.

Philippe Baillot, membre du Cercle des fiscalistes

Immobilier: la baisse des prix se répand en France

Immobilier: la baisse des prix se répand en France

Comme c’était visible, l’immobilier risque de connaître une crise particulièrement grave à la fois dans le domaine du neuf comme de l’occasion. Les candidats à l’accession à la propriété sont coincés entre des prix complètement excessifs, des taux d’intérêt qui manque est une solvabilité atteinte par la baisse de leur pouvoir d’achat. Dans la location la situation et neutraliser du faîte des coûts exorbitants nécessaires pour la mise aux normes des appartements et autres logements. Conséquence la baisse des prix se répand un peu partout en France mais ce n’est qu’un début.

Pour la première fois depuis 2015, les prix immobiliers ont reculé pour les ventes dans le logement ancien. Après Paris, les régions sont désormais touchées par le phénomène.

«L’immobilier est entré dans une nouvelle ère.» Fini les crédits qui se décrochent aisément et les logements qui se vendent en quelques jours. Sauf pour ceux qui sont exceptionnels. Mais tout le monde n’a pas les moyens de s’en offrir un. En effet, la plupart des ménages n’arrivent plus à acquérir un logement: à cause de la hausse des taux, leur capacité d’emprunt moyenne est passée, en dix-huit mois, de 200.000 euros sur 20 ans à 150.000 euros, selon le courtier Meilleurtaux.

Conséquence: les ventes immobilières ont chuté de plus de 10% en un an et demi. À cette allure-là, la barre symbolique du million de transactions, dépassée ces 4 dernières années, sera franchie à la baisse. «On a l’habitude de dire que l’année (immobilière) se fait au printemps. Ce principe est à reconsidérer», analyse Me Élodie Frémont, présidente de la commission statistique des notaires du Grand Paris.

Prix immobilier: tendance à la baisse

Prix immobilier: tendance à la baisse

Plusieurs villes commencent à afficher des prix en baisse, un phénomène qui pourrait s’amplifier géographiquement et devenir plus significatif. En cause, des prix trop élevés et un manque de solvabilité des candidats à l’achat. Besançon, Avignon, Nîmes, Le Mans et Antibes sont les cinq villes qui ont subi les plus fortes baisses des prix de l’immobilier en mai. Si la chute est encore minime, elle devrait s’accentuer dans les semaines à venir note le JDD.

Semaine après semaine, le secteur de l’immobilier plonge dans un ralentissement général de son activité, conséquence directe d’un marché du crédit bancaire totalement bloqué, avec des taux d’intérêt qui dépassent les 3 %. Face à cela, les prix commencent à baisser mais dans des proportions insuffisantes pour compenser la perte de capacité d’emprunt des ménages, et principalement des primo-accédants.

Pour saisir l’ampleur de cette baisse, le JDD suit, chaque mois, les villes qui subissent les plus importantes chutes des prix des biens. D’après Meilleurs Agents, les cinq diminutions les plus fortes concernent des communes disséminées sur tout le territoire. Besançon est la ville qui connaît la plus grande décrue au 1er mai (- 1,61 %) à 2 329 euros le mètre carré, suivi d’Avignon (- 1,54 %), Nîmes (- 1,52 %), Le Mans (- 1,51 %) et Antibes (- 1,49 %). Ces cinq municipalités se tiennent dans un mouchoir de poche et les baisses restent encore très limitées. Pour l’instant ce qui caractérise le marché c’est le manque de transactions.

Pascal Boulanger, le président de la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI), prévient, de manière plus pressante que «l’année 2023 sera catastrophique». Début avril, Olivier Salleron, le président de la Fédération française du bâtiment (FFP), avait, lui, souligné que «100.000 emplois étaient menacés dans la construction». De fait, la crise est globale et affecte tout le secteur, depuis l’achat dans le neuf et l’ancien à la location.

Témoin de cette crise la baisse considérable du nombre de crédits accordés qui pourraient atteindre 40 % en 2023.

Climat : encore un plan bidon du gouvernement pour la baisse des émissions de CO2

Climat : encore un plan bidon du gouvernement pour la baisse des émissions de CO2

Encore un nouveau plan pour la planification écologique dont le détail sera précisé lundi; en réalité ,il ne s’agit nullement d’un nouveau plan mais simplement d’un point d’étape sur l’avancement des mesures en cours. Des mesures en général assez anecdotiques. La France est en effet en retard ses objectifs. Ainsi elle a émis 408 millions de tonnes équivalents CO2 de l’an dernier loin de l’objectif de 270 millions à atteindre en 2030.( Alors que le GIEC recommande 200 millions)

Parmi les mesures qui vont être à nouveau annoncées , on va encore inciter davantage les Français à acheter des voitures électriques dont le coût est inaccessible à la grande majorité et dont l’efficacité écologique reste à démontrer.

On va encore inciter les voyageurs à utiliser les transports collectifs mais cela ne vaut que dans les très grandes métropoles. La voiture reste particulièrement dominante sur tous les autres types de trajets.

Dans l’industrie ,on va pousser à utiliser moins d’énergie et à économiser les matières premières. On parlera aussi de l’agriculture mais mezza voce pour ne pas froisser les agriculteurs; il y aura un mot sur les énergies renouvelables et surtout sur le nucléaire après le changement total de stratégie du gouvernement. Enfin l’État va inciter à rationaliser les déchets.

Autant de mesures assez partielles et qui ne sont pas à la hauteur de l’enjeu. Par ailleurs des mesures déjà en cours comme par exemple le changement de chaudière au fioul qui constitue souvent un investissement difficilement supportable pour certaines couches sociales.

Notons que de toute façon le gouvernement ne pourra pas présenter un véritable plan d’action s’appuyant sur une loi dans la mesure où il ne pourrait trouver une majorité sur cette problématique écologique globale. Selon une source à Matignon, Elisabeth Borne présentera le « plan d’actions » du gouvernement pour réduire les émissions secteur par secteur (industrie, transport, bâtiments, agriculture, énergie, déchets).

les émissions de gaz à effet de serre ont reculé seulement de 2,5% en France en 2022

Le mensonge de la baisse des impôts des couches moyennes

Le mensonge de la baisse des impôts des couches moyennes

Macron en peine dans les sondages a décidé d’inonder les médias de promesses. Ainsi il met notamment le phare sur la diminution de la fiscalité des couches moyennes. Un double mensonge. D’une part parce que les institutions financières françaises ou européennes considèrent que cet exercice est impossible compte tenu de l’état dramatique des finances du pays. D’autre part parce que Macron hypocritement indique que ces diminutions interviendront » dès que les conditions budgétaires du pays le permettront », c’est-à-dire sans doute aux calendes grecques. Cela d’autant plus que les agences de notation internationales vont bientôt encore procéder un nouvel abaissement de la note de la France. Une décision sur laquelle pourra s’appuyer le gouvernement pour décaler sa promesse de réduction d’impôt. Notons enfin que l’État risque de prendre d’une main ce qu’il donne de l’autre. En effet grâce à l’inflation, les recettes de l’État augmentent alors que le pouvoir d’achat diminue. Notons enfin la modestie de l’éventuelle ristourne qui représenterait de l’ordre de 20 € pour les bénéficiaires potentiels !

La Commission européenne note En effet que l’endettement baisse quasiment partout: il devrait passer en-dessous de 83% du PIB dans l’Union, rester à 91,6 % dans la zone euro. Forcément, le quoi qu’il en coute pèse encore sur les économies. Et notamment la France.

Le Commissaire à l’Économie, Paolo Gentiloni, se félicite que la plupart des pays se soit inscrit dans une tendance à la baisse de la dette publique, mais en la matière, il note des trajectoires très disparates entre les pays. Et l’Hexagone fait office de mauvais élève, avec une dette devrait atteindre près de 112% du PIB.

Entre fin 2021 et fin 2022, la France a, certes, réduit sa dette de 1,3% du PIB, mais nos voisins ont fait mieux : -3,3% dans la zone euro, -3% en Allemagne, ou même 5% de moins en Espagne, 5,5 % de moins en Italie. Des pays où l’inflation était pourtant plus forte que dans l’Hexagone.

Et la France a de quoi s’inquiéter car la dette lui coûte de plus en plus cher du fait de la hausse des taux. Sa charge augmente. Il y aurait donc urgence à réduire encore plus les dépenses publiques. Le chef de l’État l’a redit dans une interview au quotidien l’Opinion, ce dimanche 14 mai, il entend baisser les impôts des classes moyennes (pour ceux qui gagnent entre 1.500 et 2.500 euros par mois) cet été.

Une politique publique qui étonne Bruxelles et ne manque pas de faire débat en interne en France. Ainsi, dans sa lettre au Président de la République, le gouverneur de la banque de France, François Villeroy de Galhau exhorte-t-il le gouvernement à mettre fin aux baisses d’impôts non financées. Car cela revient à creuser la dette.

Une recommandation qui a également été faite par la Cour des Comptes en France inquiète de la dérive des comptes et du non financement des baisses d’impôts

Fiscalité–Baisse des impôts des couches moyennes : du pipeau !

Fiscalité–Baisse des impôts des couches moyennes : du pipeau !

Macron en peine dans les sondages a décidé d’inonder les médias de promesses. Ainsi il met notamment le phare sur la diminution de la fiscalité des couches moyennes. Un double mensonge. D’une part parce que les institutions financières françaises ou européennes considèrent que cet exercice est impossible compte tenu de l’état dramatique des finances du pays. D’autre part parce que Macron hypocritement indique que ces diminutions interviendront » dès que les conditions budgétaires du pays le permettront », c’est-à-dire sans doute aux calendes grecques. Cela d’autant plus que les agences de notation internationales vont bientôt encore procéder un nouvel abaissement de la note de la France. Une décision sur laquelle pourra s’appuyer le gouvernement pour décaler sa promesse de réduction d’impôt. Notons enfin que l’État risque de prendre d’une main ce qu’il donne de l’autre. En effet grâce à l’inflation, les recettes de l’État augmentent alors que le pouvoir d’achat diminue. Notons enfin la modestie de l’éventuelle ristourne qui représenterait de l’ordre de 20 € pour les bénéficiaires potentiels !

La Commission européenne note En effet que l’endettement baisse quasiment partout: il devrait passer en-dessous de 83% du PIB dans l’Union, rester à 91,6 % dans la zone euro. Forcément, le quoi qu’il en coute pèse encore sur les économies. Et notamment la France.

Le Commissaire à l’Économie, Paolo Gentiloni, se félicite que la plupart des pays se soit inscrit dans une tendance à la baisse de la dette publique, mais en la matière, il note des trajectoires très disparates entre les pays. Et l’Hexagone fait office de mauvais élève, avec une dette devrait atteindre près de 112% du PIB.

Entre fin 2021 et fin 2022, la France a, certes, réduit sa dette de 1,3% du PIB, mais nos voisins ont fait mieux : -3,3% dans la zone euro, -3% en Allemagne, ou même 5% de moins en Espagne, 5,5 % de moins en Italie. Des pays où l’inflation était pourtant plus forte que dans l’Hexagone.

Et la France a de quoi s’inquiéter car la dette lui coûte de plus en plus cher du fait de la hausse des taux. Sa charge augmente. Il y aurait donc urgence à réduire encore plus les dépenses publiques. Le chef de l’État l’a redit dans une interview au quotidien l’Opinion, ce dimanche 14 mai, il entend baisser les impôts des classes moyennes (pour ceux qui gagnent entre 1.500 et 2.500 euros par mois) cet été.

Une politique publique qui étonne Bruxelles et ne manque pas de faire débat en interne en France. Ainsi, dans sa lettre au Président de la République, le gouverneur de la banque de France, François Villeroy de Galhau exhorte-t-il le gouvernement à mettre fin aux baisses d’impôts non financées. Car cela revient à creuser la dette.

Une recommandation qui a également été faite par la Cour des Comptes en France inquiète de la dérive des comptes et du non financement des baisses d’impôts

Baisse des impôts des couches moyennes : du pipeau !

Baisse des impôts des couches moyennes : du pipeau !

Macron en peine dans les sondages a décidé d’inonder les médias de promesses. Ainsi il met notamment le phare sur la diminution de la fiscalité des couches moyennes. Un double mensonge. D’une part parce que les institutions financières françaises ou européennes considèrent que cet exercice est impossible compte tenu de l’état dramatique des finances du pays. D’autre part parce que Macon hypocritement indique que ces diminutions interviendront » dès que les conditions budgétaires du pays le permettront », c’est-à-dire sans doute aux calendes grecques. Cela d’autant plus que les agences de notation internationales vont bientôt encore procéder un nouvel abaissement de la note de la France. Une décision sur laquelle pourra s’appuyer le gouvernement pour décaler sa promesse de réduction d’impôt. Notons enfin que l’État risque de prendre d’une main ce qu’il donne de l’autre. En effet grâce à l’inflation, les recettes de l’État augmentent alors que le pouvoir d’achat diminue. Notons enfin la modestie de l’éventuelle ristourne qui représenterait de l’ordre de 20 € pour les bénéficiaires potentiels !

La Commission européenne note En effet que l’endettement baisse quasiment partout: il devrait passer en-dessous de 83% du PIB dans l’Union, rester à 91,6 % dans la zone euro. Forcément, le quoi qu’il en coute pèse encore sur les économies. Et notamment la France.

Le Commissaire à l’Économie, Paolo Gentiloni, se félicite que la plupart des pays se soit inscrit dans une tendance à la baisse de la dette publique, mais en la matière, il note des trajectoires très disparates entre les pays. Et l’Hexagone fait office de mauvais élève, avec une dette devrait atteindre près de 112% du PIB.

Entre fin 2021 et fin 2022, la France a, certes, réduit sa dette de 1,3% du PIB, mais nos voisins ont fait mieux : -3,3% dans la zone euro, -3% en Allemagne, ou même 5% de moins en Espagne, 5,5 % de moins en Italie. Des pays où l’inflation était pourtant plus forte que dans l’Hexagone.

Et la France a de quoi s’inquiéter car la dette lui coûte de plus en plus cher du fait de la hausse des taux. Sa charge augmente. Il y aurait donc urgence à réduire encore plus les dépenses publiques. Le chef de l’État l’a redit dans une interview au quotidien l’Opinion, ce dimanche 14 mai, il entend baisser les impôts des classes moyennes (pour ceux qui gagnent entre 1.500 et 2.500 euros par mois) cet été.

Une politique publique qui étonne Bruxelles et ne manque pas de faire débat en interne en France. Ainsi, dans sa lettre au Président de la République, le gouverneur de la banque de France, François Villeroy de Galhau exhorte-t-il le gouvernement à mettre fin aux baisses d’impôts non financées. Car cela revient à creuser la dette.

Une recommandation qui a également été faite par la Cour des Comptes en France inquiète de la dérive des comptes et du non financement des baisses d’impôts

Baisse de la fiscalité des couches moyennes : du pipeau !

Baisse de la fiscalité des couches moyennes : du pipeau !

Macron en peine dans les sondages a décidé d’inonder les médias de promesses. Ainsi il met notamment le phare sur la diminution de la fiscalité des couches moyennes. Un double mensonge. D’une part parce que les institutions financières françaises ou européennes considèrent que cet exercice est impossible compte tenu de l’état dramatique des finances du pays. D’autre part parce que Macon hypocritement indique que ces diminutions interviendront » dès que les conditions budgétaires du pays le permettront », c’est-à-dire sans doute aux calendes grecques. Cela d’autant plus que les agences de notation internationales vont bientôt encore procéder un nouvel abaissement de la note de la France. Une décision sur laquelle pourra s’appuyer le gouvernement pour décaler sa promesse de réduction d’impôt. Notons enfin que l’État risque de prendre d’une main ce qu’il donne de l’autre. En effet grâce à l’inflation, les recettes de l’État augmentent alors que le pouvoir d’achat diminue. Notons enfin la modestie de l’éventuelle ristourne qui représenterait de l’ordre de 20 € pour les bénéficiaires potentiels !

La Commission européenne note En effet que l’endettement baisse quasiment partout: il devrait passer en-dessous de 83% du PIB dans l’Union, rester à 91,6 % dans la zone euro. Forcément, le quoi qu’il en coute pèse encore sur les économies. Et notamment la France.

Le Commissaire à l’Économie, Paolo Gentiloni, se félicite que la plupart des pays se soit inscrit dans une tendance à la baisse de la dette publique, mais en la matière, il note des trajectoires très disparates entre les pays. Et l’Hexagone fait office de mauvais élève, avec une dette devrait atteindre près de 112% du PIB.

Entre fin 2021 et fin 2022, la France a, certes, réduit sa dette de 1,3% du PIB, mais nos voisins ont fait mieux : -3,3% dans la zone euro, -3% en Allemagne, ou même 5% de moins en Espagne, 5,5 % de moins en Italie. Des pays où l’inflation était pourtant plus forte que dans l’Hexagone.

Et la France a de quoi s’inquiéter car la dette lui coûte de plus en plus cher du fait de la hausse des taux. Sa charge augmente. Il y aurait donc urgence à réduire encore plus les dépenses publiques. Le chef de l’État l’a redit dans une interview au quotidien l’Opinion, ce dimanche 14 mai, il entend baisser les impôts des classes moyennes (pour ceux qui gagnent entre 1.500 et 2.500 euros par mois) cet été.

Une politique publique qui étonne Bruxelles et ne manque pas de faire débat en interne en France. Ainsi, dans sa lettre au Président de la République, le gouverneur de la banque de France, François Villeroy de Galhau exhorte-t-il le gouvernement à mettre fin aux baisses d’impôts non financées. Car cela revient à creuser la dette.

Une recommandation qui a également été faite par la Cour des Comptes en France inquiète de la dérive des comptes et du non financement des baisses d’impôts

Immobilier : Tendance inévitable à la baisse des prix

Immobilier : Tendance inévitable à la baisse des prix


L’augmentation des taux d’intérêt et d’une façon plus générale l’inflation affecte durablement la solvabilité des acquéreurs potentiels. Le secteur se retrouve dans une situation de crise grave dont témoigne déjà la baisse très nette du nombre de prêts et de transactions. Tendanciellement les prix devraient diminuer pendant assez longtemps.

Dans leur dernière note de conjoncture immobilière, diffusée le 15 mai, les Notaires de France font parler les avant-contrats pour anticiper l’état du marché de l’immobilier ancien dans les mois à venir.

Le volume de transactions immobilières annuelles pourrait repasser sous la barre du million à la sortie de l’été 2023, selon les Notaires de France. (Sébastien CALVET/REA)

. Après plusieurs années de taux bas soutenant le pouvoir d’achat des ménages et les prix de l’immobilier, le retour à la normale est brutal. Dommage collatéral de la lutte contre l’inflation, le taux d’emprunt moyen a été multiplié par trois en quinze mois, passant de 1,07 % hors assurance en janvier 2022 à 3,15 % en avril dernier, d’après l’Observatoire Crédit Logement CSA.La tendance est aujourd’hui autour de 4 %

L’amoindrissement de l’effet de levier du crédit a des répercussions sur le terrain : les opérations immobilières marquent le pas. D’après la note de conjoncture des Notaires de France parue ce 15 mai, le volume de transactions en France, hors Mayotte, en cumul sur douze mois, est passé de 1.205.000 en août 2021 (le dernier pic atteint) à 1.083.000 fin février 2023.

Politique-Baisse de la fiscalité des couches moyennes : Macron ment !

Politique-Baisse de la fiscalité des couches moyennes : Macron ment !

Macron en peine dans les sondages a décidé d’inonder les médias de promesses. Ainsi il met notamment le par sur la diminution de la fiscalité des couches moyennes. Un double mensonge. D’une part parce que les institutions financières françaises ou européennes considèrent que cet exercice est impossible compte tenu de l’état dramatique des finances du pays. D’autre part parce que Macon hypocritement indique que ces diminutions interviendront » dès que les conditions budgétaires du pays le permettront », c’est-à-dire sans doute aux calendes grecques. Cela d’autant plus que les agences de notation internationales vont bientôt encore procéder un nouvel abaissement de la note de la France. Une décision sur laquelle pourra s’appuyer le gouvernement pour décaler sa promesse de réduction d’impôt. Notons enfin que l’État risque de prendre d’une main ce qu’il donne de l’autre. En effet grâce à l’inflation, les recettes de l’État augmentent alors que le pouvoir d’achat diminue

La Commission européenne note En effet que l’endettement baisse quasiment partout: il devrait passer en-dessous de 83% du PIB dans l’Union, rester à 91,6 % dans la zone euro. Forcément, le quoi qu’il en coute pèse encore sur les économies. Et notamment la France.

Le Commissaire à l’Économie, Paolo Gentiloni, se félicite que la plupart des pays se soit inscrit dans une tendance à la baisse de la dette publique, mais en la matière, il note des trajectoires très disparates entre les pays. Et l’Hexagone fait office de mauvais élève, avec une dette devrait atteindre près de 112% du PIB.

Entre fin 2021 et fin 2022, la France a, certes, réduit sa dette de 1,3% du PIB, mais nos voisins ont fait mieux : -3,3% dans la zone euro, -3% en Allemagne, ou même 5% de moins en Espagne, 5,5 % de moins en Italie. Des pays où l’inflation était pourtant plus forte que dans l’Hexagone.

Et la France a de quoi s’inquiéter car la dette lui coûte de plus en plus cher du fait de la hausse des taux. Sa charge augmente. Il y aurait donc urgence à réduire encore plus les dépenses publiques. Le chef de l’État l’a redit dans une interview au quotidien l’Opinion, ce dimanche 14 mai, il entend baisser les impôts des classes moyennes (pour ceux qui gagnent entre 1.500 et 2.500 euros par mois) cet été.

Une politique publique qui étonne Bruxelles et ne manque pas de faire débat en interne en France. Ainsi, dans sa lettre au Président de la République, le gouverneur de la banque de France, François Villeroy de Galhau exhorte-t-il le gouvernement à mettre fin aux baisses d’impôts non financées. Car cela revient à creuser la dette.

Une recommandation qui a également été faite par la Cour des Comptes en France inquiète de la dérive des comptes et du non financement des baisses d’impôts

Baisse de la fiscalité des couches moyennes : Macron ment

Baisse de la fiscalité des couches moyennes : Macron ment !

Macron en peine dans les sondages a décidé d’inonder les médias de promesses. Ainsi il met notamment le par sur la diminution de la fiscalité des couches moyennes. Un double mensonge. D’une part parce que les institutions financières françaises ou européennes considèrent que cet exercice est impossible compte tenu de l’état dramatique des finances du pays. D’autre part parce que Macon hypocritement indique que ces diminutions interviendront » dès que les conditions budgétaires du pays le permettront », c’est-à-dire sans doute aux calendes grecques. Cela d’autant plus que les agences de notation internationales vont bientôt encore procéder un nouvel abaissement de la note de la France. Une décision sur laquelle pourra s’appuyer le gouvernement pour décaler sa promesse de réduction d’impôt. Notons enfin que l’État risque de prendre d’une main ce qu’il donne de l’autre. En effet grâce à l’inflation, les recettes de l’État augmentent alors que le pouvoir d’achat diminue

La Commission européenne note En effet que l’endettement baisse quasiment partout: il devrait passer en-dessous de 83% du PIB dans l’Union, rester à 91,6 % dans la zone euro. Forcément, le quoi qu’il en coute pèse encore sur les économies. Et notamment la France.

Le Commissaire à l’Économie, Paolo Gentiloni, se félicite que la plupart des pays se soit inscrit dans une tendance à la baisse de la dette publique, mais en la matière, il note des trajectoires très disparates entre les pays. Et l’Hexagone fait office de mauvais élève, avec une dette devrait atteindre près de 112% du PIB.

Entre fin 2021 et fin 2022, la France a, certes, réduit sa dette de 1,3% du PIB, mais nos voisins ont fait mieux : -3,3% dans la zone euro, -3% en Allemagne, ou même 5% de moins en Espagne, 5,5 % de moins en Italie. Des pays où l’inflation était pourtant plus forte que dans l’Hexagone.

Et la France a de quoi s’inquiéter car la dette lui coûte de plus en plus cher du fait de la hausse des taux. Sa charge augmente. Il y aurait donc urgence à réduire encore plus les dépenses publiques. Le chef de l’État l’a redit dans une interview au quotidien l’Opinion, ce dimanche 14 mai, il entend baisser les impôts des classes moyennes (pour ceux qui gagnent entre 1.500 et 2.500 euros par mois) cet été.

Une politique publique qui étonne Bruxelles et ne manque pas de faire débat en interne en France. Ainsi, dans sa lettre au Président de la République, le gouverneur de la banque de France, François Villeroy de Galhau exhorte-t-il le gouvernement à mettre fin aux baisses d’impôts non financées. Car cela revient à creuser la dette.

Une recommandation qui a également été faite par la Cour des Comptes en France inquiète de la dérive des comptes et du non financement des baisses d’impôts

Baisse de la fiscalité pour les « classes moyennes » !!!!

Baisse de la fiscalité pour les « classes moyennes » !!!!

Dans son entretien fleuve à L’Opinion, le chef de l’État a défendu sa réforme des retraites en regrettant «le déni de réalité» de ses opposants. Pour autant, le chef de l’État promet, lui, une baisse de la fiscalité pour les classes moyennes. Le seul problème , c’est que les finances publiques sont dans un état pitoyable avec notamment un déficit annuel du budget de leur de 6 % du PIB, une dette qui dépasse 3000 milliards et une charge de la dette de plus de 50 milliards par an. Comment dès lors, promettre une baisse de la fiscalité -au concept de flou- des classes moyennes. En effet ces classes moyennes rassemblent environ 70 % de la population par exemple comprend les infirmières, les commerçants, les médecins, les fonctionnaires etc.

La vérité c’est que ce discours constitue un élément de la politique de communication du chef de l’État qui essaye de reprendre du crédit auprès de l’opinion. On observera d’ailleurs que le chef de l’État se montre une nouvelle fois relativement centraliste et étatiste en agissant sur le volet fiscal alors que la question est surtout économique et que salaire et rémunération doive être relevéspar les opérateurs économiques.

Sur la réforme des retraites, Emmanuel Macron ne regrette rien. Ou presque. «Si j’ai un regret, c’est que nous n’ayons pas réussi à expliquer suffisamment la nécessité de cette réforme», a-t-il expliqué dans un entretien publié dimanche par L’Opinion. Le chef de l’État estime donc que «le travail de conviction doit se poursuivre», tout en déplorant «le déni de réalité» de ses opposants. «C’est le carburant des extrêmes», a-t-il mis en garde. Le problème c’est que Macron fait aussi dans la démagogie et l’irresponsabilité

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