Archive pour le Tag 'avoue'

Macron avoue en creux qu’il est inefficace

Macron avoue en creux qu’il est inefficace

Le président atellement insisté que 2024 seraiet l’année des résultats qu’il a sans doute oublié que cette insistance constituait un aveu d’inefficacité jusque-là. Les deux seules grandes réformes qui auront été menées conduisent en effet contre un mur.

Il y a d’abord la réforme des retraites déjà obsolète et qu’il faudra reprendre sitôt le prochain quinquennat compte tenu en particulier des déséquilibres démographiques ( la France est de moins en moins d’enfants et n’a pas de politique de natalité.). Quant à la loi immigration elle sera d’une part désossée par le conseil constitutionnel et de toute manière inappliquée car la France est incapable d’une part d’arrêter les flux ( on va les répartir au plan européen), d’autre part d’assurer le retour dans leur pays des immigrés auteurs de crimes et délits.

Quant aux autres réformes, c’est assez anecdotique hormis les quelques intentions de transformation soutenue justement par Attal. Le président a oublié les questions qui fâchent comme l’inflation, la sécurité, la drogue est encore davantage le manque de compétitivité du pays. Macron a parlé de tout mais mal et de façon allusive.
Exemple pour les otages du Hamas.
« Nous ne les oublions pas », a déclaré le chef de l’État. « 41 Français ont été assassinés, et je pense ce soir à leurs familles comme je pense aux familles de nos compatriotes encore retenus en otage », a-t-il ajouté.

Sur le plan de la politique étrangère des propos très flous. ( Notons qu’il n’y a pas un mot sur l’Afrique !): le conflit au Proche-Orient, la guerre en Ukraine et les élections européennes. « Nous aurons à faire le choix d’une Europe plus forte et plus souveraine à la lumière de l’héritage de Jacques Delors », a-t-il dit, et choisir entre « affirmer la force de nos démocraties libérales ou céder aux mensonges qui sèment le chaos ». Des propos complètement fumeux.

Des réformes « impopulaires » assumées. Emmanuel Macron a dit « assumer » les réformes « impopulaires » comme la réforme des retraites. Il « remercie la Première ministre et son gouvernement », alors qu’une rumeur de remaniement circule pour le mois de janvier.

Le président a aussi promis « réarmement civique » aux contours encore flous après « le réarmement économique » et « le réarmement de l’Etat et de nos services publics ».

Le concept de réarmement n’est pas forcément très s’adapté d’un point de vue sémantique d’une part parce que le président n’a pas jugé bon de s’engager et de faire son service militaire, pas davantage que de s’engager dans une organisation de base avant d’accéder directement à la magistrature suprême. Un président qui manque sérieusement d’expérience en matière d’armement militant.

Sur le climat, Macron avoue des erreurs

Sur le climat, Macron avoue des erreurs

 

 

 

Mea culpa de Macron à propos de sa politique climatique trop brutale et qui faisait trop l’impasse sur la nécessité d’une transition intégrant la justice sociale. Un acte de contrition notamment destiné un peu tardivement aux gilets jaunes.

Cette confession intervient parce que le président se trouve un peu coincé en ce moment entre d’une part des exigences écologiques parfois radicales de la part de certains et une demande de prise en compte des réalités économiques et sociales. Il est clair que cette reconnaissance de culpabilité de Macron aurait été utile pour éclairer une loi climat dont le contenu est à la fois floue, ambiguë voire contradictoire.

« Si vous allez à la Maison Blanche ou au palais de l’Elysée pour dire : maintenant, il va falloir vous adapter et payer plus cher, je peux vous assurer que vous accroîtrez les inégalités sociales. J’ai moi-même fait une erreur de ce genre, en 2018, lorsque nous avons sous-estimé les effets de ce type de mesures sur la classe moyenne », a-t-il souligné.

 

« Il faut accepter d’investir de l’argent public dans ces transitions pendant plusieurs années » et « changer les modèles économiques et le comportement des investisseurs afin de financer les investissements verts et de pénaliser ceux qui ne suivent pas ce mouvement », a embrayé le chef de l’Etat. « Cependant, pour que cette révolution ait lieu, nous devons aider les classes moyennes et les foyers modestes à nous suivre. Je peux vous dire en toute humilité que j’en suis d’autant plus convaincu que j’ai moi-même fait des erreurs auparavant », a-t-il insisté.

 

Avion de ligne abattu. L’Iran avoue enfin

Avion de ligne abattu. L’Iran avoue enfin

 

L’Iran reconnaît enfin avoir abattu de manière accidentelle l’avion d’Ukraine Airlines qui s’est écrasé mercredi avec 176 personnes à bord  . La preuve que Téhéran semble décider à calmer le jeu face  aux représailles possibles des États-Unis. Notons d’ailleurs que la réplique de l’Iran après la mort du général Soleimani ( chef des gardiens de la révolution) avait déjà été très mesurée puisque seuls quelques missiles avaient été tirés contre des bases américaines sans pratiquement de dégâts. La vérité c’est que les responsables de la dictature chiite ont pris peur en prenant conscience que n’importe quel dirigeant pouvait être tué avec une précision chirurgicale parler les États-Unis. Ces responsables qui appellent leurs partisans à mourir ne sont sans doute pas près à mettre leur vie en danger d’autant que la plupart ont accumulé une jolie petite fortune grâce au système généralisé de corruption qui nourrit la dictature chiite . Le pire dans cette catastrophe c’est qu’elle concerne une majorité iranien ! Téhéran avait jusqu’ici nié que le Boeing 737-800 de la compagnie ukrainienne ait été frappé par un missile iranien, comme l’affirmaient le Canada et les Etats-Unis.

L’appareil s’est écrasé près de Téhéran dans les heures qui ont suivi les tirs de missiles iraniens contre des bases irakiennes abritant des troupes américaines, en représailles à la mort du général iranien Qassem Soleimani. Le commandant de la force Al Qods a été tué le 3 janvier par un drone américain à Bagdad sur ordre de Donald Trump.

“La République islamique d’Iran regrette profondément cette désastreuse erreur”, écrit le président iranien Hassan Rohani sur Twitter. “J’adresse mes pensées et mes prières aux familles endeuillées”, ajoute-t-il.

Les gardiens de la Révolution assument l’entière responsabilité de la destruction de l’avion, dit par ailleurs le commandant des forces aérospatiales du corps d’élite de l’armée iranienne, dans une déclaration mise en ligne samedi par la télévision publique.

“J’aurais préféré mourir plutôt que d’assister à un tel incident”, déclare le général Amir Ali Hajizadeh, précisant que l’avion a été pris par erreur pour un missile de croisière. L’officier dit en avoir été informé les autorités le jour-même, ce qui interroge sur les raisons pour lesquelles Téhéran a nié toute implication jusqu’à samedi.

Selon l’agence de presse iranienne Fars, l’ayatollah Ali Khamenei, guide suprême de la révolution, a été informé vendredi de la responsabilité de l’armée iranienne et a décidé de rendre les faits publics après une réunion des responsables des services de sécurité.

L’aveu des autorités iraniennes est survenu après un nouvel appel à la transparence du Canada, qui comptait 57 ressortissants parmi les 176 victimes.

L’appareil transportait 176 personnes, pour la plupart des Iraniens et des Canadiens d’origine iranienne, qui sont toutes mortes dans l’accident. Il s’est écrasé quelques minutes après son décollage de l’aéroport international de Téhéran.

Révolution sociale : Mélenchon avoue son impuissance

Révolution sociale : Mélenchon avoue son impuissance

 

Jusque-là Mélenchon ne s’était pas résolu à accepter sa défaite aux présidentielles. Celui  qui pensait se qualifier face à Marine Le Pen avait pris un sérieux coup sur la tête. Cependant il comptait sur le mouvement social pour se réhabiliter. Son objectif était clair prendre la tête de la révolte contre les ordonnances concernant notamment le code du travail et s’opposer ainsi ce qu’il considère  comme un coup ce coup d’Etat social de Macon. Dans la foulée, il envisageait une véritable révolution, la dissolution de l’Assemblée nationale, la création d’une assemblée constituante et la création d’une nouvelle république. Rien de tout cela ne s’est produit et on peut même considérer que la tentative d’instrumentalisation du mouvement social par Mélenchon a largement contribué à son échec. Les syndicats en effet, CGT compris,  n’ont guère apprécié les velléités de mainmise politique de Mélenchon sur le mouvement social. Pour une fois, Mélenchon, qui n’est pas un réel pratiquant de la l’introspection, reconnaît cependant qu’il a échoué en faisant toutefois l’impasse sur les facteurs explicatifs de cette nouvelle défaite Lors d’un point presse organisé en marge de son déplacement en Grèce, le leader de la France Insoumise est revenu sur le «moment étrange» que traverse le pays, «parce qu’il est en état sur-critique». «Normalement, l’avalanche devrait avoir lieu… (Or) elle n’a pas lieu», constate-t-il. «Quand le président lui-même regarde le pays comme le lait sur le feu, c’est que tout le monde comprend qu’il se passe une chose hors du commun en France», ajoute-t-il ensuite, au micro de France Info notamment. «Nous étions le dernier pays de toute l’Europe qui avait un mécanisme de résistance sociale tel que, le dur de la réforme libérale qui est passé sur l’Angleterre, l’Allemagne, l’Espagne, et même le Portugal et l’Italie, n’avait pas atteint la France. Bon, là on est obligé de le constater: M. Macron (l’a fait). D’ailleurs, il s’en est vanté lors de son interview (sur TF1), il a dit: “j’y suis arrivé en 5 mois”», a rappelé le tribun de la gauche radicale. Avant d’ajouter: «Vous connaissez notre réplique, on lui a dit “bonhomme attends c’est pas terminé”». Reste que, malgré sa détermination à lutter contre la politique d’Emmanuel Macron, Jean-Luc Mélenchon reconnaît que «pour l’instant c’est lui qui a le point». «Il ne faut pas chercher à le cacher, parce que si on raconte des histoires on est pas crédible, les gens se disent mais ils parlent de choses qui n’existent pas. Donc voilà la situation», relève-t-il. «Mais on peut espérer reprendre le point… Et c’est clair que si la jeunesse se met en mouvement, ça y est c’est parti hein… Mais c’est pas le cas», constate-t-il enfin.

 

 

Moscovici avoue : « dérapage du déficit 2013″

Moscovici avoue : « dérapage du déficit 2013″

Tous les experts pensent que le déficit de 2013 sera d’au moins 4% du PIB. Le gouvernement lui s’accrochait à 3.7% car c’est la nouvelle promesse (après la précédente déjà non tenue) faite à Bruxelles ; Moscovici avoue enfin que cette prévision de 3.7 est obsolète du fait de l’absence de croissance (et des dépenses sociales). Le déficit 2013 pourrait dépasser 3,7%, c’est à dire la nouvelle prévision gouvernementale transmise à Bruxelles, reconnait Pierre Moscovici dans une interview au Wall Street Journal du 2 août. Mais le gouvernement ne prendra pas de nouvelles mesures d’économies d’ici la fin de l’année, ajoute-il.   Fin juin, la Cour des comptes avait averti que « le déficit public effectif pourrait se situer entre 3,8% et 4,1% » du PIB en fin d’année, si la croissance française était plus basse que le taux de 0,1% prévu par le gouvernement. Commentant le rapport de la Cour des comptes, le ministre du Budget, Bernard Cazeneuve, avait jugé cette estimation conforme « à la réalité de la situation ».  Concernant l’emploi, Pierre Moscovici affirme que la courbe du chômage s’inversera effectivement d’ici à la fin de l’année, comme l’a réaffirmé la semaine dernière François Hollande. «  »Ce n’est pas un slogan, c’est une prévision. Je suis convaincu que cela se produira ».    »Je reconnais que c’est en partie grâce à la montée en puissance de nos politiques en matière d’emploi et pas encore grâce à la création d’emplois dans le secteur privé, car, pour cela, il faut une croissance économique plus forte », reconnait cependant le ministre.

Armstrong avoue … un peu

Armstrong avoue … un peu

 

Pour se préserver juridiquement, Armstrong avoue un peu  mais pas tout. De quoi aussi ne pas trop inquiéter  l’organisation du tour de France qui n’a jamais rien vu ( !) puisque ce sont les autorités américaines qui ont découvert la vérité et exclut le champion. Ces vaux partiels ne surprendront pas les spécialistes du sport de haut niveau où l’appât du gain remplace trop souvent l’enjeu de la performance. Malheureusement un phénomène de société qui ne touche pas seulement les professionnels. Le cycliste est passé pour la première fois aux aveux devant la star de la télévision américaine Oprah Winfrey, selon le site internet du quotidien américain qui cite une source anonyme.  Interrogé par l’AFP, Mark Fabiani, porte-parole de l’ancien champion américain, s’est refusé à tout commentaire. « Nous nous sommes mis d’accord avec l’équipe d’Oprah pour ne faire aucun commentaire jusqu’à la diffusion de l’interview et nous respecterons cet accord », a-t-il indiqué.  Peu après cet entretien qui doit être diffusé jeudi, Oprah Winfrey a expliqué sur son compte Twitter que la rencontre avait duré plus de deux heures et demie et qu’elle avait eu en face d’elle un Armstrong « prêt » à parler, sans donner plus de détails.  Il s’agit de la première interview d’Armstrong depuis que l’Union cycliste internationale (UCI) l’a lourdement sanctionné l’automne dernier.  Le Texan de 41 ans a été déchu de ses titres au Tour de France (1999-2005) et radié à vie après la publication d’un dossier de l’Agence américaine antidopage (Usada) l’accusant d’avoir contribué à la mise en place du « programme de dopage le plus sophistiqué jamais vu dans l’histoire du sport » au sein de l’équipe US Postal.  Depuis les sanctions de la justice sportive, Armstrong a perdu la plupart de ses sponsors et a dû couper les ponts avec Livestrong, la Fondation de lutte contre le cancer qu’il avait créée en 1997 après avoir vaincu la maladie.  Les aveux de celui qui fut pendant sept ans l’impitoyable patron du peloton du Tour de France pourraient avoir de nombreuses ramifications juridiques.  Outre l’argent de ses primes de victoire qu’il pourrait devoir rendre, il pourrait s’exposer à des poursuites pénales qui pourraient le conduire en prison, selon certains juristes.   »Le pire qui puisse lui arriver est qu’il soit reconnu coupable de parjure », explique le professeur de droit Michael McCann.  L’ancienne athlète Marion Jones, qui avait avoué s’être dopée devant Oprah Winfrey en 2008, avait passé six mois en prison pour avoir menti aux enquêteurs.  La Fondation Lance Armstrong a levé plus de 500 millions de dollars pour la lutte contre le cancer depuis sa création en 1997. Mais après les révélations de l’automne dernier, l’ancien champion a quitté mi-novembre le conseil d’administration de sa fondation.  Quelques heures avant l’interview avec Oprah Winfrey, qui a été enregistrée lundi chez l’ancien champion, la star déchue du cyclisme mondial avait présenté ses excuses auprès des membres de sa fondation.   »Lance est venu au siège de la Fondation Livestrong aujourd’hui (lundi) pour une entrevue privée avec nos membres et il s’est excusé sincèrement pour les moments pénibles qu’ils ont vécus à cause de lui », a déclaré une porte-parole de l’association de lutte contre le cancer, Rae Bazzarre, sans autres précisions.  Mme Bazzarre a ajouté que l’ancien champion cycliste, lui-même survivant du cancer, avait poussé ses membres « à poursuivre leur excellent travail pour lutter avec les personnes » atteintes par cette maladie.  De nombreux journalistes en quête d’informations avaient pris place lundi matin à Austin (Texas, sud) sur les trottoirs devant la luxueuse demeure de Lance Armstrong, entourée de hauts murs de pierre .   »Je ne me suis jamais dopé et, contrairement à nombre de mes accusateurs, j’ai fait du sport d’endurance pendant 25 ans sans pic de performance et passé près de 500 contrôles antidopage sans jamais avoir été contrôlé positif », déclarait Armstrong en juin dernier dans un communiqué à l’annonce de sa mise en accusation par l’Usada.

 




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