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Drogue à Bordeaux: prison avec sursis pour un trafiquant

Drogue à Bordeaux:  prison avec sursis pour un trafiquant 

Un verdict qui en dit long sur le fossé entre les discours de lutte contre la drogue et les mesures concrètes. Un quadragénaire pratiquant le chemsex a été condamné lundi à Bordeaux à dix mois de prison dont neuf avec sursis pour trafic de stupéfiants.

Le prévenu, resté un mois en détention provisoire, est ressorti libre du tribunal correctionnel. Le parquet avait requis trois ans d’emprisonnement dont 18 mois avec sursis.

En épluchant ses comptes bancaires et son compte Telegram intitulé «Astrotrip», les enquêteurs ont retrouvé la trace de 42.000 euros de virements reçus et d’une centaine de clients. «C’est un problème de santé publique majeur et on le voit à Bordeaux», a déclaré la représentante du ministère public Marion Mare dans ses réquisitions. «On joue aux apprentis chimistes sans rien contrôler, on est sur une dangerosité maximum de dérapage qui peut conduire à la mort.» Cette affaire est jugée après les décès de trois hommes pratiquant le chemsex depuis la mi-mars à Bordeaux. Le parquet n’a établi «aucun lien» entre ces dossiers, ni avec celui jugé lundi.

 

Taxe sur les milliardaires : rebelote avec la dimension mondiale de Bruno Le Maire !

Taxe sur les milliardaires : rebelote avec la dimension mondiale de Bruno Lemaire !

 

Alors qu’on cherche un peu partout des gisements d’économie pour boucher les trous du budget qui dérive de plus en plus, on ressort évidemment la fiscalité sur les plus riches. Le problème c’est que le ministre de l’économie refait le coup de la dimension mondiale. Comme précédemment il affirme son soutien à une taxe sur les très riches mais à condition qu’elle soit mondiale. Or on a la certitude qu’elle ne sera jamais mondiale. Une manière pour le ministre de l’économie de balayer la proposition.

Exemple de l’hypocrisie dans ce domaine: l’accord sur la taxation des multinationales signé après d’âpres et longs débats en 2021. Mais cet outil qualifié « d’historique » à l’époque n’est toujours pas en application dans de nombreux pays.

Présidé par le Brésil de Lula, le G20 a déjà commencé à aborder ce dossier lors des précédentes réunions de février. Accompagné par la France, l’ancien syndicaliste brésilien compte obtenir un consensus des pays les plus riches de la planète d’ici juillet. Il s’agit de « parfaire la transformation de la fiscalité internationale pour la rendre plus juste et plus efficace », a expliqué Bruno Le Maire, toujours opposé à une hausse de la fiscalité sur les « superprofits » en France. Dans le viseur de Bercy, « ce sont les personnes les plus fortunées qui échappent à l’impôt par des montages fiscaux légaux mais sont inacceptables moralement », a détaillé le ministre. Il ne s’agit pas de viser « les personnes à l’impôt sur le revenu », a déclaré de manière très ambiguë le ministre

À ce stade, les contours de ce nouvel impôt mondial sont encore flous sachant qu’il n’y a pas de consensus dans les pays du G20. «

Europe : l’élargissement n’est pas compatible avec l’approfondissement

Europe : l’élargissement n’est pas compatible avec l’approfondissement

 

L’adhésion de l’Ukraine, de la Moldavie, de la Géorgie et des pays des Balkans occidentaux encouragera le dumping social intra-européen, regrette, dans une tribune au « Monde », Emmanuel Maurel, eurodéputé. Si ce « grand basculement » était engagé, les Français devraient être consultés par référendum.

L’Europe est confrontée à des défis sans précédent. Une guerre est à ses portes depuis deux ans et une autre, dans son voisinage proche, depuis octobre 2023. Elle subit une concurrence féroce et déloyale de toutes parts. Elle paie la sortie de l’inflation d’une probable récession. Elle a un très gros problème énergétique et elle accumule les retards technologiques. Dans le même temps les écarts de richesse explosent et la cohésion sociale se délite.

C’est dans ce contexte que les dirigeants européens ont accéléré le processus d’adhésion de l’Ukraine, en ajoutant au passage la Moldavie et la Géorgie. Avec les pays des Balkans occidentaux (Albanie, Bosnie, Macédoine du Nord, Monténégro, Serbie), la liste des impétrants compte désormais huit pays, soit plus de… 60 millions d’habitants. « Nous allons parachever l’unité du continent », clament-ils en chœur – et c’est vrai que ça sonne bien.

Référons-nous à la devise européenne – « Unie dans la diversité ». Davantage d’unité sortira-t-elle de cette nouvelle couche de diversité ? Tout porte à croire que cet élargissement-là n’apportera que le contraire. Souvenons-nous que le précédent élargissement aux pays d’Europe centrale et orientale avait profondément modifié la structure d’un édifice pensé au départ pour la seule Europe de l’Ouest.
Le centre de gravité de l’Union s’était déplacé vers l’est, au profit de l’Allemagne et au détriment de la France et de l’Europe du Sud. Menée en parallèle d’un euro dévalué pour l’Allemagne et surévalué pour la France et l’Italie, l’entrée de onze pays avait provoqué une vague de délocalisations sans précédent, dont nous avons, nous, Français, fait les frais. Notre voisin germanique avait littéralement raflé l’économie des nouveaux venus pour en faire des sous-traitants de son puissant appareil industriel.

 

Dans les pays de l’Est eux-mêmes, les résultats sont contrastés. Economiquement, la réussite est incontestable – leur PIB a grimpé au rythme des exportations allemandes –, mais les salaires et les conditions sociales restent médiocres. On y vit évidemment mieux que dans les années 1990, mais le salaire minimum hongrois ou tchèque dépasse péniblement les 600 euros, celui de la Bulgarie s’élève à 400 euros. En Roumanie, le revenu moyen est inférieur de 67 % au revenu moyen français. Le dumping social fonctionne toujours à plein régime en Europe.

Corruption Renault : accusée, Rachida Dati contre-attaque avec culot

Corruption Renault : accusée,  Rachida Dati contre-attaque avec culot

L’ex-ministre de la Justice de Nicolas Sarkozy et ex-députée européenne est mise en examen pour corruption et trafic d’influence passif par personne investie d’un mandat électif public depuis juillet 2021, dans l’enquête sur des contrats noués par une filiale de Renault-Nissan quand Carlos Ghosn en était le PDG. A l’origine de cette affaire : un flou entre les activités d’avocate et de députée européenne de Rachida Dati. Les soupçons portent sur les 900.000 euros que lui a versés entre 2010 et 2012 RNBV, filiale néerlandaise de l’alliance Renault-Nissan, alors qu’elle était avocate et députée européenne. Les investigations ont cherché à déterminer si ses honoraires correspondaient à des activités précises ou s’il s’agissait d’un emploi de complaisance ayant pu masquer un lobbying au Parlement européen, interdit pour les eurodéputés. L’ancienne garde des Sceaux qui conteste les accusations estime de son côté que l’affaire est prescrite !Rachida Dati n’hésite pas à contre-attaquer et à faire citer en justice le PDG actuel de Renault Dominique Sénart.

Dans la citation, le conseil de Rachida Dati affirme que « le but recherché par Jean-Dominique Senard était d’accabler Carlos Ghosn dans une volonté générale de dénigrement et de critique des choix de son prédécesseur (avec) une volonté claire d’omerta, destinée à accabler artificiellement Madame Rachida Dati pour atteindre Carlos Ghosn ».

 

Rachida Dati a saisi le tribunal correctionnel de Nanterre via la procédure dite de « citation directe » afin de faire comparaître Jean-Dominique Senard le 23 mai.

Politique agricole commune: En contradiction avec l’environnement

 Politique agricole commune: En contradiction avec l’environnement

 

D’après une récente étude, globalement la politique agricole commune serait contradictoire avec les objectifs environnementaux. Surtout concernant les aides à l’élevage.
« Nous avons mis en évidence que la Pac soutient de manière disproportionnée les produits carnés au détriment des productions végétales », indique son autrice principale de l’étude, Anniek Kortleve, de l’université néerlandaise de Leiden.
Dans le détail, les subventions directes aux éleveurs représentent la moitié des aides, qui se sont élevées à 57 milliards d’euros en 2013, selon les chercheurs. Le reste est en grande partie constitué de subventions en soutien à l’élevage, particulièrement à la production d’aliments, selon l’étude. En incluant l’aliment pour le bétail, les aides à l’élevage bovin passent ainsi de 71 centimes d’euro par kilo à 1,42 euro.

 Compte tenu de l’importance de la PAC dans le budget de l’UE, les auteurs de l’étude estiment qu’elle met donc à mal les objectifs du continent européen en matière d’atténuation et d’adaptation au réchauffement climatique. Selon Paul Behrens, professeur associé à l’université de Leiden, à l’échelle mondiale, « les émissions du système alimentaire suffisent à nous emmener au-delà de 1,5 degré »: la limite de hausse des températures fixée par l’accord de Paris sur le climat de 2015 par rapport à l’époque préindustrielle.

Selon le professeur, réserver des étendues de terres aux animaux d’élevage et à leurs aliments empêche également la reforestation et d’autres pratiques qui pourraient permettre le retour de davantage d’espèces végétales et animales et une meilleure absorption du carbone. Il appelle à « réinventer ».

L’Union européenne semble toutefois avoir pris plutôt la direction opposée. La semaine dernière, au grand dam des ONG écologistes, les 27 Etats-membres ont approuvé une révision de la PAC proposée par la Commission européenne,  assouplissant une partie des critères « verts » que la nouvelle Politique agricole commune impose depuis 2023 aux exploitations. Les agriculteurs en souhaiteraient encore davantage.

Trump : jugé mi-avril avec une amende réduite à 175 millions

 Trump : jugé  mi-avril avec une amende réduite à 175 millions

 

La justice a tranché, le candidat républicain voit son amende de 500 millions environ réduite à 125 et sera jugée au pénal mi-avril

 

Il est accusé d’avoir maquillé les comptes de son groupe immobilier Trump Organization . La caution dûment acquittée lui permettrait de faire appel du jugement imposé à l’issue de son procès pour fraudes à New York par le juge Arthur Engoron. L’adversaire de Joe Biden avait été reconnu coupable d’avoir systématiquement surévalué ses biens et son empire immobilier, la Trump Organization, entre 2011 et 2021, afin d’obtenir des prêts plus avantageux auprès des institutions financières.

Voitures âgées : Les pauvres encore autorisés à circuler avec leurs voitures après 2025

Voitures âgées : Les pauvres encore autorisés à circuler avec leurs voitures après 2025

 

L’État autorise Marseille, Strasbourg et Rouen à laisser circuler les véhicules Crit’Air 3 dans leurs ZFE au-delà du 1er janvier 2025, a annoncé mardi le ministère de la Transition écologique.  Considérant qu’il y a amélioration de la qualité de l’air le calendrier (ZFE sera reporté sauf pour deux villes Paris et Lyon qui dépassent les normes). 15 métropoles françaises – dont Nîmes, Reims, Clermont-Ferrand ou encore Grenoble – dépassaient régulièrement les seuils réglementaires en termes d’émissions de dioxyde d’azote en 2016, elles n’étaient plus que 10 en 2020 (Reims, Grenoble, Lyon, Marseille, Montpellier, Nice, Paris, Rouen, Strasbourg et Toulouse), 5 en 2022 (Lyon, Marseille, Paris, Rouen et Strasbourg) et 2 en 2023 (Lyon et Paris).

Seules les villes de Lyon et Paris seront tenues d’appliquer le calendrier» de durcissement des mesures liées aux zones à faibles émissions (ZFE). C’est-à-dire que ce seront les deux seules métropoles où les véhicules Crit’air 3 seront interdits. «

D’ici à la fin de la décennie, les normes de pollution seront également abaissées en Europe pour passer de 40 µg/m3 de d’oxyde d’azote à 20 µg/m3. «On doit continuer à faire des efforts», a rappelé le ministre. À ce stade, un peu moins de la moitié des 43 agglomérations concernées par les ZFE sont sous ce seuil, qui entrera en vigueur en 2030.

L’interdiction des véhicules Crit’Air 3 au 1er janvier prochain à Paris et Lyon concerne toute de même plus de 1,5 million de véhicules, dont 1,3 dans la région parisienne.

Accord commercial CETA avec le Canada : rejet du Sénat

Accord commercial CETA  avec le Canada : rejet du Sénat

Les sénateurs ont rejeté à 211 voix contre 44 l’article du projet de loi relatif à ce traité, appliqué provisoirement depuis 2017, mais jamais soumis à la chambre haute. Ils ont confirmé ce rejet quelques minutes plus tard par un vote définitif.

 

Signé fin 2016, adopté par le Parlement européen fin 2017 et appliqué provisoirement depuis, le CETA n’est toujours pas ratifié par l’ensemble des parlements nationaux de l’UE. L’Assemblée nationale l’avait, de son côté, approuvé de justesse le 23 juillet 2019 par 266 voix contre 213, suscitant à l’époque un taux d’abstention record dans les rangs macronistes.

Les appréciations du monde agricole sont assez divergentes selon les secteurs d’activité. Certains l’approuvent, d’autres le dénoncent.

Ce rejet du Sénat ne suffit pas à lui seul à dénoncer l’accord à l’échelle européenne.

Dans la foulée du vote au Sénat, les députés communistes ont annoncé ce jeudi leur intention d’inscrire le traité à l’ordre du jour de l’Assemblée nationale le 30 mai, lors de leur journée réservée dans l’hémicycle.

« La confirmation par l’Assemblée nationale du rejet du Ceta permettra de mettre fin à son application », ont-ils jugé.

Le ministre chargé des relations avec le Parlement, Franck Riester, a dénoncé une « manœuvre grossière », avant d’ajouter « vous envoyez un très mauvais signal à nos agriculteurs, nos exportateurs et aux Canadiens ».

« En six ans, les exportations vers le Canada ont bondi de 33 % et l’excédent des filières agricoles et agroalimentaires a été multiplié par trois, à 578 millions d’euros », a-t-il déclaré. « Le CETA, c’est +24 % d’exportations vers le Canada pour le vin, +60 % pour le fromage, +106 % pour les produits sidérurgiques, +142 % pour les textiles et chaussures. Nos gains ont aussi été considérables en matière de services (+71 %) », a détaillé le ministre. Pour l’élevage, « nous n’avons pas été envahis par le bœuf canadien, défend Franck Riester. L’effet du CETA a été quasi nul : les importations du Canada représentent 0,0034 % de notre consommation de bœuf. C’est moins de 0,001 % pour la volaille et le porc ! »

Un point de vue qui rejoint celui du commissaire européen à l’économie Paolo Gentiloni, qui, dans un entretien à La Tribune, mercredi, affirmait que « l’accord est en place depuis plus de six ans et je n’ai vu aucun désastre. »

« Au contraire, le commerce entre le Canada et l’Union européenne a augmenté de plus de 30%. Cet accord a soutenu 700.000 emplois en Europe. Les avantages sont donc très clairs pour l’Union européenne et pour la France. Avant l’introduction de l’accord, certains pays avaient des doutes. Mais objectivement, ce n’est pas une perspective menaçante », a-t-il assuré.

Un bilan du CETA, publié en janvier par l’Institut Veblen, dresse, en effet, un « tableau mitigé pour le commerce ». Celui-ci montre que, en volume, les exportations européennes ont augmenté « de 8% entre 2016 et 2020 » et « de seulement 0.7 % entre 2017 et 2022 », contre une augmentation de « 34 % en quantité entre 2012 et 2017 », avant l’application provisoire de l’accord.

 

Les pauvres encore autorisés à circuler avec leurs voitures après 2025

Les pauvres encore autorisés à circuler avec leurs voitures après 2025

 

L’État autorise Marseille, Strasbourg et Rouen à laisser circuler les véhicules Crit’Air 3 dans leurs ZFE au-delà du 1er janvier 2025, a annoncé mardi le ministère de la Transition écologique.  Considérant qu’il y a amélioration de la qualité de l’air le calendrier (ZFE sera reporté sauf pour deux villes Paris et Lyon qui dépassent les normes). 15 métropoles françaises – dont Nîmes, Reims, Clermont-Ferrand ou encore Grenoble – dépassaient régulièrement les seuils réglementaires en termes d’émissions de dioxyde d’azote en 2016, elles n’étaient plus que 10 en 2020 (Reims, Grenoble, Lyon, Marseille, Montpellier, Nice, Paris, Rouen, Strasbourg et Toulouse), 5 en 2022 (Lyon, Marseille, Paris, Rouen et Strasbourg) et 2 en 2023 (Lyon et Paris).

Seules les villes de Lyon et Paris seront tenues d’appliquer le calendrier» de durcissement des mesures liées aux zones à faibles émissions (ZFE). C’est-à-dire que ce seront les deux seules métropoles où les véhicules Crit’air 3 seront interdits. «

D’ici à la fin de la décennie, les normes de pollution seront également abaissées en Europe pour passer de 40 µg/m3 de d’oxyde d’azote à 20 µg/m3. «On doit continuer à faire des efforts», a rappelé le ministre. À ce stade, un peu moins de la moitié des 43 agglomérations concernées par les ZFE sont sous ce seuil, qui entrera en vigueur en 2030.

L’interdiction des véhicules Crit’Air 3 au 1er janvier prochain à Paris et Lyon concerne toute de même plus de 1,5 million de véhicules, dont 1,3 dans la région parisienne.

Russie: Poutine élu avec 80 % des voix

Russie: Poutine élu avec 80 % des voix

 

On connaît par avance les résultats de l’élection russe, un score sans doute encore sans précédent. Rien d’étonnant à cela le score est déjà fixé avant le  avant le dépouillement. En cause, évidemment l’interdiction aux vrais candidats de position de se présenter. Et des candidats fantoches pour donner l’impression d’une démocratie dans un pays devenu totalitaire depuis que le voyou criminel Poutine a pris le pouvoir.

Pour lui,  le résultat est aussi existentiel. En effet la stratégie du dictateur est de créer un climat de tension permanent avec l’extérieur pour entretenir le nationalisme récurrent en Russie quitte à faire accepter des conditions de vie encore plus dures.

C’est grâce à ce climat guerrier que Poutine peut maintenir un état d’exception et la loi martiale permanente. Sans parler évidemment des exactions de l’ancien KGB (FSB aujourd’hui) qui permet d’éliminer, d’empoisonner et de tuer les opposants présents en Russie et même à l’étranger.

De toute manière même si Poutine était élu avec 100 % des voix, personne ne s’en étonnerait tellement cette consultation est complètement bidon. Le pire évidemment c’est que cette posture illibérale inspire nombre de pays dits du sud global dont les responsables contestent en réalité la démocratie qui menace leur place.

Immobilier: une goutte d’eau avec la construction de 10 000 logements intermédiaires

Immobilier: une goutte d’eau avec la construction de 10 000 logements intermédiaires

Alors que le logement connaît une crise catastrophique, le gouvernement réagit très mollement en annonçant la construction de 10 000 logements à loyer intermédiaire. En réalité ce n’est qu’une goutte d’eau quand on sait que la France n’a même pas construit 300 000 logements en 2023 et que les besoins sont autour de 500 000 par an .
Près d’un milliard d’euros vont être mobilisés «dans les mois qui viennent» pour réaliser 10.000 logements intermédiaires, destinés aux classes moyennes, ont annoncé les ministres de l’Economie et du Logement jeudi. Sur cette somme, 400 millions d’euros seront «fournis par 14 assureurs» et «250 millions d’euros fournis par la Caisse des dépôts et consignations» (CDC), tandis que l’État «mobilisera des fonds propres», a précisé le ministre de l’Economie Bruno Le Maire à l’issue d’une réunion avec la fédération des assureurs et la CDC.

Crise du logement : une goutte d’eau avec la construction de 10 000 logements intermédiaires

Crise du  logement : une goutte d’eau avec la construction de 10 000 logements intermédiaires

Alors que le logement connaît une crise catastrophique, le gouvernement réagit très mollement en annonçant la construction de 10 000 logements à loyer intermédiaire. En réalité ce n’est qu’une goutte d’eau quand on sait que la France n’a même pas construit 300 000 logements en 2023 et que les besoins sont autour de 500 000 par an .
Près d’un milliard d’euros vont être mobilisés «dans les mois qui viennent» pour réaliser 10.000 logements intermédiaires, destinés aux classes moyennes, ont annoncé les ministres de l’Economie et du Logement jeudi. Sur cette somme, 400 millions d’euros seront «fournis par 14 assureurs» et «250 millions d’euros fournis par la Caisse des dépôts et consignations» (CDC), tandis que l’État «mobilisera des fonds propres», a précisé le ministre de l’Economie Bruno Le Maire à l’issue d’une réunion avec la fédération des assureurs et la CDC.

 

Russie: Poutine élu avec 120 % des voix

Russie: Poutine élu avec 120 % des voix

 

On connaît par avance les résultats de l’élection russe, un score sans doute encore sans précédent. Rien d’étonnant à cela le score est déjà fixé avant le  avant le dépouillement. En cause, évidemment l’interdiction aux vrais candidats de position de se présenter. Et des candidats fantoches pour donner l’impression d’une démocratie dans un pays devenu totalitaire depuis que le voyou criminel Poutine a pris le pouvoir.

Pour lui,  le résultat est aussi existentiel. En effet la stratégie du dictateur est de créer un climat de tension permanent avec l’extérieur pour entretenir le nationalisme récurrent en Russie quitte à faire accepter des conditions de vie encore plus dures.

C’est grâce à ce climat guerrier que Poutine peut maintenir un état d’exception et la loi martiale permanente. Sans parler évidemment des exactions de l’ancien KGB (FSB aujourd’hui) qui permet d’éliminer, d’empoisonner et de tuer les opposants présents en Russie et même à l’étranger.

De toute manière même si Poutine était élu avec 120 % des voix, personne ne s’en étonnerait tellement cette consultation est complètement bidon. Le pire évidemment c’est que cette posture illibérale inspire nombre de pays dits du sud global dont les responsables contestent en réalité la démocratie qui menace leur place.

Logement : une goutte d’eau avec la construction de 10 000 logements intermédiaires

Logement : une goutte d’eau avec la construction de 10 000 logements intermédiaires

Alors que le logement connaît une crise catastrophique, le gouvernement réagit très mollement en annonçant la construction de 10 000 logements à loyer intermédiaire. En réalité ce n’est qu’une goutte d’eau quand on sait que la France n’a même pas construit 300 000 logements en 2023 et que les besoins sont autour de 500 000 par an .
Près d’un milliard d’euros vont être mobilisés «dans les mois qui viennent» pour réaliser 10.000 logements intermédiaires, destinés aux classes moyennes, ont annoncé les ministres de l’Economie et du Logement jeudi. Sur cette somme, 400 millions d’euros seront «fournis par 14 assureurs» et «250 millions d’euros fournis par la Caisse des dépôts et consignations» (CDC), tandis que l’État «mobilisera des fonds propres», a précisé le ministre de l’Economie Bruno Le Maire à l’issue d’une réunion avec la fédération des assureurs et la CDC.

 

Une trentaine de projets de RER : avec quel financement

Une trentaine de projets de RER : avec quel financement

Le président de la république avait lancé l’idée d’une dizaine de projets RER en province. Une idée qui fait son chemin puisqu’il y a maintenant une trentaine de projets dans ce domaine. L’idée générale est évidemment de privilégier les transports collectifs afin de contribuer à la transition énergétique et à la qualité de l’environnement. Reste cependant la cruelle question du financement qui n’a jamais été abordée par le président de la république. Demeurent aussi des questions techniques dans la mesure où nombre de projets ne pourront utiliser leur rail existant pour structurer leurs futurs réseaux urbains.

Le ministre, également élu local à Dunkerque, plaide pour « pragmatisme et efficacité » dans le choix des dessertes comme des modes de transports retenus pour conjuguer intermodalité, massification des flux et lignes de rabattement. « Un SERM c’est un projet d’aménagement et d’urbanisme ! », conclut Patrice Vergriete. « Et c’est aux élus locaux de dire quelle vision et quel schéma ils portent collectivement pour le territoire. » Une manière polie d’écarter les candidatures d’opportunité puisque le ministre ajoute « l’esprit du SERM peut tout à fait vivre au niveau local sans l’Etat , on n’est pas obligé d’attendre tout de l’Etat ». Comprendre : il n’y aura pas nécessairement de financements de l’Etat pour tout le monde.

 

Les élus locaux n’auront donc pas obtenu plus de certitudes sur le financement mais ils connaissent au moins le calendrier des prochains mois avec une grande conférence nationale réunissant tous les acteurs mi-avril.

« On va sans doute fonctionner en deux temps, identifier les premières labellisations au cours de ce premier semestre 2024, c’est-à-dire identifier des projets déjà avancés, des territoires qui travaillent depuis longtemps et où les principes politiques du SERM sont enclenchés au niveau local, précise Patrice Vergriete. Ensuite, il y aura un travail un peu plus fin avec les services de l’État pour arriver à l’arrêté définitif que j’espère avant la fin de l’année 2024. »

 

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