Archive pour le Tag 'avec la'

Fed : réduction de la politique accommodante avec la reprise

Fed : réduction de la politique accommodante avec la reprise

Comme anticipé par les investisseurs, la Fed a un peu plus diminué son soutien à l’économie américaine. L’institution a décidé de faire passer ses rachats d’actifs mensuels de 75 milliards de dollars à 65 milliards, selon un communiqué publié ce mercredi 29 janvier à l’issue de la dernière réunion présidée par Ben Bernanke, qui passera la semaine prochaine le témoin à Janet Yellen. Dans le détail, la Fed n’acquerra plus, chaque mois, que 30 milliards de dollars de titres de créances hypothécaires et 35 milliards de bons du Trésor américain.  Dans son communiqué, l’institution explique qu’elle s’attend « à ce que l’activité économique croît à un rythme modéré et que le taux de chômage chute au niveau que [son] comité de politique monétaire juge cohérent avec son mandat ». Déjà en repli avant le communiqué de la Fed, les marchés actions américains ont accéléré leur recul après la publication du communiqué. Vers 20h30, le Dow Jones cédait 1,04% et le Nasdaq 0,90%.  La Fed, comme en décembre dernier, affirme que la réduction de ce programme de rachat d’actif s’effectuera « par étapes mesurées au cours des prochaines réunions » si le marché de l’emploi continue de s’améliorer et si l’inflation se rapproche de son objectif de 2%. « La surprise est que le communiqué est nettement plus optimiste sur les perspectives économiques », souligne Paul Ashworth, économiste chez Capital Economics. Ainsi le comité de politique monétaire de la Fed note que la croissance « s’est accélérée au cours des récents trimestres » et que la consommation des ménages et l’investissement des entreprises « ont progressé plus rapidement ces récents mois ». Cette décision, bien que largement anticipée par les marchés, risque d’affaiblir un peu plus les devises des pays émergents qui depuis plus d’une semaine sont attaquées. Le rouble russe a notamment atteint, ce mercredi, son plus faible niveau face à l’euro. L’action de la Fed a, en effet, pour conséquence de précipiter des rapatriements de capitaux des pays émergents vers les économies matures, ce qui in fine provoque la chute du cours des devises de ces mêmes pays émergents. La banque centrale turque a tenté de réagir en faisant passer de 4,4% à plus de 10% son taux directeur, mardi soir, et la banque centrale sud-africaine a également relevé ses taux ce mercredi. Ce phénomène ne semble pas alarmé la Réserve fédérale puisque ce « problème n’a même pas été mentionné dans le communiqué », remarque Paul Ashworth.

Fonctionnaires : moins d’absentéisme avec la journée de carence

Fonctionnaires : moins d’absentéisme avec la journée de carence

 

. Selon une étude révélée par « Les Echos », le jour de carence instauré fin 2011 par le gouvernement Fillon a entraîné, en 2012, une chute vertigineuse de l’absentéisme d’une journée dans les collectivités territoriales : - 43%. Une baisse est également observée, mais moins spectaculaire, pour les arrêtes de deux jours (-18%) et ceux de trois jours (-12,2%).  Faut-il en conclure que l’introduction d’un jour de carence avait un puissant effet dissuasif sur l’absentéisme ? Et donc que sa suppression par la majorité actuelle aura pour effet inverse de faire repartir l’absentéisme à la hausse ? Précisons d’abord que les premiers résultats de cette étude déjà connus au mois de juin, avant le vote des députés, qui se sont donc prononcés en connaissance de cause. « Il y a une impression de déjà vu », note Guy Barbier, secrétaire général de l’UNSA Fonction Publique, « et cette étude provient d’un groupe d’assurance qui n’a pas que des intérêts neutres. »  Le syndicaliste rappelle surtout les autres résultats, non moins intéressants, de cette même étude. Elle indique que en effet que l’absentéisme global, c’est-à-dire de courte et de longue durée, a, lui, encore augmenté : entre 2011 et 2012, la durée des arrêts maladie de 15 jours et plus à augmenté de 35%. « Quand on ne s’arrête pas un jour ou deux pour un coup de pompe, on peut s’exposer à des pathologies beaucoup plus lourdes », estime le secrétaire général de l’UNSA Fonction Publique. Autre chiffre qui prête à interprétation : l’absentéisme à la journée aurait notamment reculé de 41% dans les hôpitaux. Faut-il s’en réjouir ? Pour le syndicaliste, certainement pas : « Avec la carence, les petits salaries refusaient de perdre un jour et venaient travailler à l’hôpital avec un gros rhume, exposant les autres, dont les patients, à cette pathologie. Il n’est pas certain que ce soit du gagnant-gagnant ! » Pour ce pourfendeur du jour de carence, l’organisation du travail influe sur les pathologies. A ce titre, la hausse des arrêts de longue durée peut être comprise comme le signe d’une pression grandissante dans l’emploi public : « Nous sommes à flux tendu dans de nombreux secteurs. Toute absence se traduit par des tensions supplémentaires. » Un point de vue partagé par le ministère de la Fonction publique où, dès le mois de février, Marylise Lebranchu rappelait que les arrêts maladies sont avant tout liés aux conditions de travail.

Restauration : suppression d’emplois avec la hausse de TVA

Restauration : suppression d’emplois avec la hausse de TVA

 

La saison d’été a déjà été catastrophique de dan nombreuses régions, avec la hausse de TVA de nombreux emplois seront menacés (après déjà la suppression de 2500 postes en 2 ans). . Après avoir chuté de 1,91% l’an dernier, le chiffre d’affaires de la restauration a encore baissé de 2% au premier trimestre. En juillet, la baisse s’est même établie à 13%. Les plus touchés sont les restaurants classiques avec service à table. Ils ont perdu 6,72% de chiffre d’affaires sur l’année dernière.   »J’arrivais à faire entre 80 et 110 couverts le midi. Aujourd’hui quand on en fait 50, on est heureux « , se plaint Thierry Maquet, un restaurateur niçois. Pour lui, les dégâts s’établissent à une perte de 20% de son chiffre d’affaires. En cause : les clients privilégient désormais le prix à la qualité des produits ». On a de plus en plus de concurrence. On a le snack, on a le boulanger qui fait de la restauration. On n’a pas les mêmes armes », s’enflamme le restaurateur. Les professionnels espèrent bien attirer l’attention des pouvoirs publics sur leur situation, alors que se joue actuellement les arbitrages sur les augmentations de TVA. Pour contribuer au financement du Crédit d’impôt compétitivité et emploi (CICE), le gouvernement a, en effet, prévu de faire passer le taux normal à 20% et celui intermédiaire, qui concerne la restauration, de 7% à 10%.  Or ces trois points de TVA vont encore affaiblir le secteur, met en garde Laurent Caraux, président d’honneur du syndicat national de la restauration thématique et commerciale (SNRTC). « Si nous répercutons ces trois points de TVA sur les prix, on sait très bien que les consommateurs ne pourront pas les payer. Donc on va encore faire baisser notre fréquentation. Et quand on sait que les acteurs de la restauration sont sur de marges qui se comptent à un ou deux points, on aura beaucoup de dégats », explique-t-il. Les syndicats font aussi jouer la corde de la préservation de l’emploi. En France, depuis deux ans, les restaurants traditionnels ont restreint leurs effectifs de 10%, soit 2.500 emplois.

1000 chômeurs de plus par jour avec la gauche : comme avant !

1000 chômeurs de plus par jour avec la gauche : comme avant !

 

Mardi matin, Jean-François Copé, invité d’Europe 1, a voulu prouver que la gauche au pouvoir était inefficace : « il y a aujourd’hui, depuis que François Hollande est président de la République, 1.000 chômeurs de plus par jour, et cette semaine nous allons débattre de la réforme du mode scrutin pour arranger les socialistes et avant, c’était le mariage homosexuel, quel décalage ! » . Pour vérifier, le calcul est simple : en recensant les nouveaux inscrits à Pole emploi entre mai 2012 et décembre 2012 – ce sont les derniers chiffres à disposition –, on arrive à une hausse de 244.100 demandeurs d’emplois sur les huit premiers mois de la présidence Hollande. En divisant ensuite ce nombre total par le nombre de jours écoulés durant cette période, le chiffre est bien de 1.000 chômeurs de plus quotidiennement.. A titre de comparaison, sur les quatre derniers mois de l’année 2011, donc sous la présidence de Nicolas Sarkozy, 991 personnes s’inscrivait à Pôle emploi, contre 1.007 par jour sur les quatre derniers mois de l’année 21012, époque Hollande. Un chiffre quasiment similaire donc.  Le 23 avril 2011, au micro d’Europe 1, Ségolène Royal avait tenu des propos identiques, au mot près : « depuis que Sarkozy est au pouvoir, il y a 1.000 chômeurs de plus chaque jour ».

 

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