Archive pour le Tag 'autour'

IA: Une association de huit pays autour de la France

IA: Une association de huit pays autour de la France

 

La France s’associe à huit pays, des associations et des entreprises pour lancer une initiative pour une intelligence artificielle (IA) «d’intérêt général», parrainée par 11 dirigeants de la tech, selon un communiqué publié dimanche, à la veille de l’ouverture d’un sommet sur l’IA à Paris.

Baptisé «Current AI», ce partenariat, espère lever au total 2,5 milliards de dollars sur les cinq prochaines années afin de développer l’accès à des bases de données privées et publiques dans des domaines comme la santé et l’éducation, et investir dans des outils et des infrastructures en source ouverte pour rendre l’IA plus «transparente et sécurisée», précise le communiqué.

Parmi les pays fondateurs du partenariat figurent le Chili, la Finlande, le Nigeria, le Maroc, le Kenya, l’Allemagne, la Slovénie et la Suisse. Côté entreprises, Google, l’éditeur de logiciel Salesforce ou encore le groupe AI Collaborative du fondateur d’eBay Pierre Omidyar participent à l’initiative.

Cette annonce intervient en amont de l’ouverture du sommet pour l’action sur l’intelligence qui réunit lundi et mardi à Paris dirigeants politiques et chefs d’entreprise pour évoquer les grands enjeux de cette technologie qui bouleverse la société.

Démission de Macron: autour de 60% pour

 Démission de Macron: autour de 60% pour

 59 % des Français souhaitent son départ, selon un sondage CSA pour CNews, Europe 1 et le JDD. En revanche, 40 % s’y opposent, tandis que 1 % ne se prononce pas. À titre de comparaison, fin novembre, avant le vote de la motion de censure, ce chiffre atteignait 62 %.

À droite, l’opinion est plus partagée : 46 % des sympathisants sont favorables à sa démission, contre 54 % qui s’y opposent. Chez Les Républicains, le score chute à 32 %. Enfin, chez les nationalistes, 85 % souhaitent la démission d’Emmanuel Macron, dont 84 % des partisans du RN.

Dette publique : Autour de 50 000 € par Français et 100 000 Euros par actif

Dette publique : Autour de 50 000 € par Français et 100 000 Euros par actif

 

  La dette publique française a atteint 3228,4 milliards d’euros au deuxième trimestre 2024, d’après les derniers chiffres de l’Insee parus ce vendredi. L’endettement public du pays, qui s’est massivement accru depuis la crise sanitaire, a donc augmenté de près de 69 milliards d’euros entre mars et juin pour atteindre 112% du PIB, contre 110,7% à la fin du premier trimestre. Une dette qui représente environ 50 000 € par Français ou encore environ 100 000 € par actif.

L’année dernière, les «engagements financiers de l’État» figuraient à la seconde place des dépenses derrière l’éducation (82 milliards d’euros), avec quelque 62,4 milliards d’euros dépensés en 2023, dont 53,9 milliards d’euros au titre de la «Charge de la dette et trésorerie de l’État». Loin devant la Défense, et son budget de 54,8 milliards d’euros en 2023.

Le  nouveau ministre du Budget a tiré la sonnette d’alarme ce mercredi. «La situation de nos finances publiques est grave, et je n’irai pas par quatre chemins: en 2024, le déficit public risque de dépasser les 6% du PIB» contre 5,1% initialement attendus, a-t-il annoncé devant la Commission des Finances de l’Assemblée nationale.

 

Dette publique : Autour de 50 000 € par Français

Dette publique : Autour de 50 000 € par Français

  La dette publique française a atteint 3228,4 milliards d’euros au deuxième trimestre 2024, d’après les derniers chiffres de l’Insee parus ce vendredi. L’endettement public du pays, qui s’est massivement accru depuis la crise sanitaire, a donc augmenté de près de 69 milliards d’euros entre mars et juin pour atteindre 112% du PIB, contre 110,7% à la fin du premier trimestre. Une dette qui représente environ 50 000 € par Français ou encore environ 100 000 € par actif.

L’année dernière, les «engagements financiers de l’État» figuraient à la seconde place des dépenses derrière l’éducation (82 milliards d’euros), avec quelque 62,4 milliards d’euros dépensés en 2023, dont 53,9 milliards d’euros au titre de la «Charge de la dette et trésorerie de l’État». Loin devant la Défense, et son budget de 54,8 milliards d’euros en 2023.

Le  nouveau ministre du Budget a tiré la sonnette d’alarme ce mercredi. «La situation de nos finances publiques est grave, et je n’irai pas par quatre chemins: en 2024, le déficit public risque de dépasser les 6% du PIB» contre 5,1% initialement attendus, a-t-il annoncé devant la Commission des Finances de l’Assemblée nationale.

 

Croissance économique: Autour de 1 % espéré en 2024

Croissance économique:  Autour de 1 % espéré en 2024

 

Dans sa note de conjoncture dévoilée ce mardi, l’institut de statistiques table sur une croissance du produit intérieur brut (PIB) de 1,1%, comme en 2023. 

L’indice des prix à la consommation a reflué sur un an passant de 4,5% à 2,1%, soit un niveau très proche de la cible de la Banque centrale européenne (2%). Après avoir grimpé vers des sommets, l’inflation alimentaire et celle des produits agricoles se sont stabilisées. Dorénavant, ce sont plutôt les services qui poussent l’inflation. Les hausses de salaires restant « modérées », il n’y a pas de « boucle prix salaire », souligne l’Insee. « Les ménages réengrangent un peu de pouvoir d’achat après deux années de vaches maigres », note Dorian Roucher.

Malgré cette légère embellie, « la hausse ne compense pas les pertes cumulées sur les deux années », nuance Clément Bortoli, Chef de la division Synthèse conjoncturelle. À l’exception du salaire minimum indexé sur l’inflation, la plupart des revenus réels des travailleurs ont décroché depuis l’éclatement de la guerre en Ukraine. Dans le secteur privé par exemple, les salaires réels ont reculé de près de 1% (0,8%) en 2023. Résultat, la consommation des ménages, traditionnel moteur de la croissance, a flanché en 2022 et 2023. Les économistes s’attendent néanmoins à une consommation des ménages plus favorable cette année (+1,3% contre 0,9% en 2023), supérieure même au niveau de croissance (1,1%).
L’investissement des entreprises, lui, reste à la peine. Après avoir fortement rebondi dans le sillage du Covid, la courbe d’opinion des chefs d’entreprise n’a cessé de chuter. Concernant les marges, les entreprises ont pu limiter la casse malgré les différentes crises. « Cette bonne tenue des marges s’explique par une baisse des salaires réels. Lors des précédents chocs pétroliers, les salaires réels avaient augmenté », rappelle l’économiste. Reste à savoir comment la conjoncture va évoluer au courant de l’été particulièrement brûlant politiquement.

 

 

 

Croissance: Autour de 1 % espéré en 2024

Croissance:  Autour de 1 % espéré en 2024

 

Dans sa note de conjoncture dévoilée ce mardi, l’institut de statistiques table sur une croissance du produit intérieur brut (PIB) de 1,1%, comme en 2023. 

L’indice des prix à la consommation a reflué sur un an passant de 4,5% à 2,1%, soit un niveau très proche de la cible de la Banque centrale européenne (2%). Après avoir grimpé vers des sommets, l’inflation alimentaire et celle des produits agricoles se sont stabilisées. Dorénavant, ce sont plutôt les services qui poussent l’inflation. Les hausses de salaires restant « modérées », il n’y a pas de « boucle prix salaire », souligne l’Insee. « Les ménages réengrangent un peu de pouvoir d’achat après deux années de vaches maigres », note Dorian Roucher.

Malgré cette légère embellie, « la hausse ne compense pas les pertes cumulées sur les deux années », nuance Clément Bortoli, Chef de la division Synthèse conjoncturelle. À l’exception du salaire minimum indexé sur l’inflation, la plupart des revenus réels des travailleurs ont décroché depuis l’éclatement de la guerre en Ukraine. Dans le secteur privé par exemple, les salaires réels ont reculé de près de 1% (0,8%) en 2023. Résultat, la consommation des ménages, traditionnel moteur de la croissance, a flanché en 2022 et 2023. Les économistes s’attendent néanmoins à une consommation des ménages plus favorable cette année (+1,3% contre 0,9% en 2023), supérieure même au niveau de croissance (1,1%).
L’investissement des entreprises, lui, reste à la peine. Après avoir fortement rebondi dans le sillage du Covid, la courbe d’opinion des chefs d’entreprise n’a cessé de chuter. Concernant les marges, les entreprises ont pu limiter la casse malgré les différentes crises. « Cette bonne tenue des marges s’explique par une baisse des salaires réels. Lors des précédents chocs pétroliers, les salaires réels avaient augmenté », rappelle l’économiste. Reste à savoir comment la conjoncture va évoluer au courant de l’été particulièrement brûlant politiquement.

 

 

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L’étau des pays du Moyen-Orient se resserre autour d’Israël

L’étau des pays du Moyen-Orient se resserre autour d’Israël

L’assaut mené par le Hamas le 7 octobre et l’opération déclenchée en représailles par Israël a causé des dommages majeurs aux intérêts israéliens et américains au Moyen-Orient. L’image de force, voire d’invulnérabilité de l’armée israélienne a volé en éclats, et le rapprochement du pays avec l’Arabie saoudite, qui s’était accéléré ces derniers mois, semble désormais relever de l’histoire ancienne ; les États-Unis, pour leur part, se retrouvent dans une position très délicate, leur volonté de se désengager du Proche-Orient entrant en contradiction directe avec leur soutien militaire à Israël – un soutien qui, là aussi, implique une nette montée des tensions avec les pays de la région.

Premièrement, l’attaque du 7 octobre achève de briser la réputation d’invincibilité de l’armée israélienne, réputation qui s’était déjà érodée à la suite de la guerre du Liban de 2006. La publication du rapport Winograd en 2008 avait mis en lumière les vulnérabilités psychologiques d’une armée dotée d’un outil militaire puissant et technologiquement avancé mais qui, dans ses affrontements avec le Hezbollah durant la guerre de 2006 puis en 2014 avec le Hamas à Gaza a perdu la maîtrise du combat d’infanterie et du combat urbain.

par Lina Kennouche, Université de Lorraine dans The Conversation

L’attaque du 7 octobre, quand les commandos du Hamas n’ont eu aucune difficulté à franchir la barrière de sécurité « en 29 points » après avoir neutralisé les « unités d’observation longue distance », a illustré de façon spectaculaire les limites de la stratégie de bunkerisation de l’armée israélienne et la fragilité intrinsèque d’un modèle analysé par l’anthropologue américain Jeff Halper dans son livre War Against the People : Israel, the Palestinians and Global Pacification (Pluto Press, 2015). L’auteur y explique que :

« L’occupation représente une ressource pour Israël dans deux sens : économiquement, elle fournit un terrain d’essai pour le développement d’armes, de systèmes de sécurité, de modèles de contrôle de la population et de tactiques sans lesquels Israël serait incapable d’être compétitif sur les marchés internationaux de l’armement et de la sécurité ; mais, et ce n’est pas moins important, le fait d’être une puissance militaire majeure au service d’autres services militaires et de sécurité dans le monde entier confère à Israël un statut international parmi les hégémons mondiaux qu’il n’aurait pas eu autrement. »

Or si, jusqu’à présent, de nombreuses entreprises voulaient « avoir le Mossad chez elles » du fait des capacités de cybersécurité d’Israël, l’épisode du 7 octobre montre les limites de la « politique de sécurité » d’Israël et de ses systèmes de surveillance sophistiqués. Cette attaque a remis en cause l’idée de « sûreté » d’un État qui se présente comme un pôle de ralliement des diasporas juives, et pourrait à plus long terme, nuire au secteur technologique israélien, « déjà confronté à un ralentissement en 2023 ».

Par ailleurs, le 7 octobre illustre également l’échec cuisant de l’approche américaine consistant à promouvoir la désescalade et l’intégration régionale à travers les accords de normalisation tout en ignorant la question palestinienne dans un Moyen-Orient rétrogradé en visibilité. Dans cette région, Washington, dont les préoccupations stratégiques se cristallisent ces dernières années sur la Chine et la Russie, a opté pour la gestion quotidienne de la vie des populations à travers une diplomatie du chéquier.

En Cisjordanie, l’Autorité palestinienne, maintenue sous perfusion, reçoit une assistance financière de la part de Washington pour aider la population à survivre dans un contexte d’intensification de la colonisation qui sape tout espoir d’une solution politique au conflit. Selon l’OCDE :

« L’aide aux Palestiniens s’est élevée à plus de 40 milliards de dollars entre 1994 et 2020. La majeure partie de cette aide (35,4 %) a servi à soutenir le budget de l’Autorité palestinienne, tandis que le reste a été alloué à divers services et secteurs économiques dans les territoires palestiniens. La majeure partie de l’aide – près de 72 % – provient de dix donateurs : l’Union européenne (18,9), les États-Unis (14,2), l’Arabie saoudite (9,9), l’Allemagne (5,8), les Émirats arabes unis (5,2), la Norvège (4,8), le Royaume-Uni (4,3), la Banque mondiale (3,2), le Japon (2,9) et la France (2,7). »

Dans le même temps, l’assistance à Israël demeure une constante de la politique américaine. Comme le notait en juillet 2020 une étude du think tank américain Quincy Institute :

« Le soutien militaire inconditionnel des États-Unis à Israël a facilité la poursuite de l’occupation du territoire palestinien (qui pourrait culminer avec l’annexion de la Cisjordanie) et réduit les incitations à rechercher une solution pacifique au conflit […]. La politique américaine au Moyen-Orient est souvent justifiée par la nécessité de protéger le statu quo pour préserver la stabilité, mais les politiques actuelles compromettent clairement la stabilité régionale et la sécurité des États-Unis. »

De son côté, le Hamas recevait depuis plusieurs années une aide financière du Qatar pour gérer la bande de Gaza, avec l’aval des États-Unis et d’Israël. Ces dernières années, la question de la résolution du conflit était l’objet d’un désintérêt croissant de la part des États-Unis, mais reculait également dans les préoccupations régionales des pays arabes, qui se sont engagés dans la voie de la normalisation avec Israël.

Or l’assaut du 7 octobre vient rappeler qu’aucune stabilisation du Moyen-Orient n’est possible sans solution au conflit. Le prince héritier d’Arabie saoudite Mohamad Ben Salmane, engagé dans des pourparlers avec les États-Unis depuis plusieurs mois et qui déclarait explicitement en septembre dernier « chaque jour, nous nous rapprochons » de la conclusion d’un accord avec Israël, a publiquement affirmé son soutien aux Palestiniens et rappelé sa position en faveur de la solution des deux États. Une nouvelle fois, les alliés régionaux s’écartent politiquement de Washington (divergence de vues qui s’était déjà exprimée dans le contexte de la guerre en Ukraine et le refus de sanctionner la Russie).

En dépit des pressions américaines, l’Égypte a rejeté le plan du ministère du Renseignement israélien visant à transférer les 2,3 millions d’habitants de la bande de Gaza dans la péninsule égyptienne du Sinaï, redoutant « qu’un afflux massif de réfugiés de Gaza hypothèque la cause nationaliste palestinienne ».

Le roi Abdallah de Jordanie a ouvertement critiqué la communauté internationale pour son inaction, et son épouse a dénoncé, dans une interview donnée à CNN, le deux poids deux mesures des puissances occidentales.

Le soutien inconditionnel des puissances occidentales à Israël – qui, malgré quelques déclarations, ne s’embarrasse guère de considérations humanitaires – pèse aujourd’hui de plus en plus dans les représentations des pays du Sud global, consternés par la situation à Gaza qualifiée par le secrétaire général de l’ONU de « cimetière pour les enfants ».

Cette inadéquation entre la posture des puissances occidentales et celle du reste du monde pourrait entraîner des conséquences durables dans les relations avec les pays du Sud. Elle risque également de nourrir, au sein des sociétés arabes, un puissant ressentiment qui pourrait se révéler un important levier de mobilisation pour les acteurs non étatiques armés, à la fois relais de l’influence iranienne dans la région et dotés de leur propre agenda sécuritaire et politique. L’autre danger pour les États-Unis serait de voir les acteurs régionaux transcender leurs anciennes rivalités, notamment leurs alliés qui ont longtemps perçu l’Iran comme une puissance déstabilisatrice, pour converger sur le règlement de la question palestinienne, perçue de nouveau comme la condition indispensable d’une stabilisation régionale.

Enfin, alors que les États-Unis ont cherché depuis plusieurs années à réduire leur empreinte militaire au Moyen-Orient pour se focaliser sur leurs priorités stratégiques en Asie-Pacifique, la crainte d’un nouvel enlisement de Washington dans la région est aujourd’hui réelle.

Les Américains ont envoyé en Méditerranée orientale le porte-avions Gerald R. Ford – une surréaction inédite. En 1973, après l’attaque-surprise d’Israël par l’Égypte et la Syrie, les États-Unis avaient établi un pont aérien pour venir en aide à leur allié organique engagé sur deux fronts, mais ils n’ont jamais envoyé de porte-avions.

Cette fois, la donne a changé. Le 15 octobre, le porte-parole du Conseil de sécurité nationale américain, John Kirby, a publiquement affirmé que « les États-Unis sont prêts à agir si un acteur hostile à Israël envisage d’essayer d’intensifier ou d’élargir cette guerre ». Même si l’effet recherché par cette déclaration est dissuasif, la mobilisation de puissants moyens militaires est révélatrice à la fois de l’absence de stratégie américaine au Moyen-Orient, mais également du risque pour Washington de s’embourber dans une région qui ne figurait plus au premier ordre des préoccupations stratégiques.

Comme l’a rappelé le 3 novembre dernier l’ancien président du Council on Foreign Relations, Richard Haas :

« Pour les États-Unis, tout cela augmente les risques et les coûts de cette crise inattendue et non désirée. La présence militaire américaine dans la région a été renforcée pour faire face aux menaces potentielles de l’Iran contre les forces américaines en Syrie et en Irak, et elle a déjà abattu des missiles tirés par les rebelles houthis soutenus par l’Iran au Yémen. La dernière chose dont les États-Unis ont besoin est une crise prolongée au Moyen-Orient, étant donné l’impératif stratégique d’aider l’Ukraine contre la Russie et de renforcer leur capacité de dissuasion et, le cas échéant, de défense contre la Chine qui s’attaque à Taïwan. »

La guerre israélienne contre Gaza pourrait engendrer une recomposition régionale aux conséquences importantes pour Tel-Aviv et Washington.

L’approche américaine a atteint ses limites. La déconnexion actuelle entre la posture des puissances occidentales et celles pays du sud global qui réprouvent le soutien inconditionnel à Israël dans l’offensive en cours, de même que le refus réitéré des alliés régionaux des États-Unis de se rallier à leurs vues témoignent d’un contexte géopolitique profondément transformé. Sur ce point, l’article « The new Middle East » du même Richard Haas publié en 2006, apparaît aujourd’hui comme étant prophétique :

« Un peu plus de deux siècles après l’arrivée de Napoléon en Égypte, qui a annoncé l’avènement du Moyen-Orient moderne, et quelque 80 ans après la disparition de l’Empire ottoman, 50 ans après la fin du colonialisme et moins de 20 ans après la fin de la guerre froide, l’ère américaine au Moyen-Orient, la quatrième de l’histoire moderne de la région, a pris fin. »

Tarification Electricité : un prix « autour de 70 euros » du MWh

Tarification Electricité : un prix « autour de 70 euros » du MWh

Après de longs mois de négociations, l’Etat et EDF sont parvenus à un accord garantissant le prix de l’électricité nucléaire moyen « autour de 70 euros » le mégawattheure, a annoncé, mardi 14 novembre, le ministre de l’Economie et des Finances Bruno Le Maire. Un accord déjà contesté par le grand patronat qui s’attend déjà à des hausses et critique la complexité du système. Mais un accord qui permet quand même de se désengager du mécanisme européen de fixation des prix de l’électricité en fonction de ceux du gaz et qui revient sur la vente à perte par EDF d’électricité à des organisations intermédiaires souvent parasites . L’objectif est aussi et peut-être surtout de donner les moyens financiers à EDF pour son redressement et les énormes investissements à venir.

L’accord fixe donc un niveau de prix moyen autour de 70 euros le MWh pour l’électricité nucléaire, à partir de 2026 et pour 15 ans. Dans ce mécanisme, les éventuels revenus supplémentaires engrangés par EDF en cas de dérapage des prix sur le marché, seront reversés pour partie aux consommateurs.

Cet accord, a promis Bruno Le Maire, permettra au consommateur une « protection permanente » sur les prix de l’électricité, aux entreprises de préserver leurs « atouts de compétitivité », et à EDF de « garantir le financement de ses investissements futurs, en particulier dans les nouveaux réacteurs nucléaires ».

« Une bonne négociation est une négociation où tout le monde est satisfait du résultat final. Je pense que c’est le cas », s’est félicité, ce matin, le ministre de l’Economie et des Finances Bruno Le Maire, lors d’une conférence de presse présentant l’accord entre EDF et l’exécutif sur la nouvelle régulation encadrant le prix de l’électricité nucléaire.

Cet accord intervient après de longs mois de négociations sous haute tension entre l’électricien historique et le gouvernement, alors que le mécanisme actuel de l’Arenh, qui contraint EDF à vendre une grande partie de son électricité nucléaire à prix cassé (42 euros du mégawattheure), va s’arrêter fin 2025.

La déclaration du locataire de Bercy a de quoi faire grincer des dents Frank Roubanovitch, le président de la CLEEE, une association d’entreprises grandes consommatrices d’énergie issues de secteurs variés, allant de l’industrie métallurgique à l’agroalimentaire, en passant par les semi-conducteurs, l’automobile, les télécoms ou encore les grands transporteurs et l’hôtellerie. Loin d’être satisfaite par cet accord, la CLEEE dénonce, au contraire, « un grand pas en arrière pour les entreprises françaises ».

« EDF est une entreprise nationalisée », mais « EDF doit être rentable, nous ne sommes pas en Union soviétique », a souligné le ministre, qui se refusait à voir le groupe vendre son électricité à « prix cassé ».

Cet accord s’inscrit dans la continuité d’un accord sur la réforme du marché européen de l’électricité, « qui vise à déconnecter le prix de l’électricité du prix des énergies fossiles, notamment celui du gaz », a expliqué la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher.

Dans le mécanisme actuel, depuis 2012, EDF était contraint de vendre une partie de son électricité au prix cassé de 42 euros le MWh à ses concurrents fournisseurs alternatifs, qui devaient le répercuter sur les factures des consommateurs finaux. Or, EDF a toujours considéré que ce système le privait de revenus, son ancien PDG Jean-Bernard Lévy le qualifiant même de « poison ». Alors qu’une partie de la production nucléaire était exposée à la volatilité des marchés, le nouveau cadre couvrira l’intégralité de cette production.

Concrètement, cette nouvelle organisation reposera sur « un mécanisme de plafonnement des prix pour protéger les consommateurs », qui sera activé « dès lors que les prix d’EDF seraient significativement supérieurs au prix d’équilibre moyen de 70 euros le MWh », a expliqué la ministre de la Transition énergétique. Dès que le prix moyen dépassera les 78 à 80 euros le MWh, 50% des revenus supplémentaires engrangés par EDF au-delà de ce seuil iront « à la collectivité », donc aux consommateurs. Et si le prix moyen dépasse 110 euros, la captation de ces revenus excédentaires sera de 90%.

Le système du tarif réglementé de vente de l’électricité pour les particuliers et les petites entreprises sera « étendu » à toutes les Très petites entreprises (TPE), a annoncé mardi le ministre de l’Economie et des Finances.

« Toutes les entreprises de moins de dix personnes et de moins de 2 millions d’euros de chiffre d’affaires auront droit à un tarif régulé, quel que soit leur niveau de consommation électrique. Il n’y aura donc plus de seuil à 36 kilovoltampères (kVA) », a indiqué le ministre. Jusqu’ici, les TPE les plus consommatrices d’énergie – comme dans le secteur des artisans-boulangers – qui étaient alimentées pour une puissance supérieure à 36 kVA n’avaient pas accès à ce tarif.

Retraites moyennes: autour de 1400 euros

Retraites moyennes: autour de 1400 euros


D’après une étude de la Drees, Le montant moyen des pensions tourneraient autour de 1400 € net en 2021 ( Il y a évidemment beaucoup d’écarts autour de cette moyenne).

Les retraites constituent le premier poste de dépenses de la protection sociale , avec 338 milliards d’euros de pension versés en 2021.

Le nombre de retraités continue d’augmenter. Avec 722.000 nouveaux retraités en 2021, les différents régimes français totalisaient pratiquement 17 millions de pensionnés, soit 90.000 de plus en un an. En additionnant les réversions (versées aux veuves le plus souvent), un peu plus de 18 millions de personnes touchaient une pension de retraite fin 2021.

L’âge médian des retraités de droit direct augmente. Il atteignait 73 ans et 2 mois en 2021, contre 72 ans et 8 mois en 2020.

Dans le détail, il est de 73 ans et 5 mois pour les femmes et de 72 ans et 5 mois pour les hommes. « Les bénéficiaires d’une pension de droit direct qui ont entre 70 et 74 ans fin 2021 sont les plus nombreux, notamment car il s’agit des générations du baby-boom », explique la Drees. Ils représentent ainsi 23 % de l’ensemble des retraités de droit direct.

Fin 2021, l’Agirc-Arrco compte 13 343 000 retraités, dont 5 200 ayant-droits orphelins. Le nombre de retraités Agirc-Arrco est en hausse de 1,1% par rapport à 2020.

Des Chiffres qui recoupent ceux de l’Agirc-Arrco

En 2021, la pension moyenne tous régimes des retraités de droits directs à l’Agirc-Arrco est de 1 493 € par mois, et la pension Agirc-Arrco représentent un tiers de la pension totale, soit 491 €.

Plus d’un tiers des retraités Agirc-Arrco est poly-pensionné, ces retraités perçoivent une pension Agirc-Arrco et d’un autre régime (Ircantec, CNAVPL…).
.

Pensions moyennes: autour de 1400 euros

Pensions moyennes: autour de 1400 euros


D’après une étude de la Drees, Le montant moyen des pensions tourneraient autour de 1400 € net en 2021 ( Il y a évidemment beaucoup d’écarts autour de cette moyenne).

Les retraites constituent le premier poste de dépenses de la protection sociale , avec 338 milliards d’euros de pension versés en 2021.

Le nombre de retraités continue d’augmenter. Avec 722.000 nouveaux retraités en 2021, les différents régimes français totalisaient pratiquement 17 millions de pensionnés, soit 90.000 de plus en un an. En additionnant les réversions (versées aux veuves le plus souvent), un peu plus de 18 millions de personnes touchaient une pension de retraite fin 2021.

L’âge médian des retraités de droit direct augmente. Il atteignait 73 ans et 2 mois en 2021, contre 72 ans et 8 mois en 2020.

Dans le détail, il est de 73 ans et 5 mois pour les femmes et de 72 ans et 5 mois pour les hommes. « Les bénéficiaires d’une pension de droit direct qui ont entre 70 et 74 ans fin 2021 sont les plus nombreux, notamment car il s’agit des générations du baby-boom », explique la Drees. Ils représentent ainsi 23 % de l’ensemble des retraités de droit direct.

Fin 2021, l’Agirc-Arrco compte 13 343 000 retraités, dont 5 200 ayant-droits orphelins. Le nombre de retraités Agirc-Arrco est en hausse de 1,1% par rapport à 2020.

Des Chiffres qui recoupent ceux de l’Agirc-Arrco

En 2021, la pension moyenne tous régimes des retraités de droits directs à l’Agirc-Arrco est de 1 493 € par mois, et la pension Agirc-Arrco représentent un tiers de la pension totale, soit 491 €.

Plus d’un tiers des retraités Agirc-Arrco est poly-pensionné, ces retraités perçoivent une pension Agirc-Arrco et d’un autre régime (Ircantec, CNAVPL…).
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Hausse des taux : Autour de 50 pays proche du défaut de paiement

Hausse des taux : Autour de 50 pays proche du défaut de paiement

A ce jour, « 52 pays sont soit surendettés, soit au bord du surendettement et potentiellement en défaut de paiement », selon les Nations Unies. Or, la hausse des taux d’intérêt alourdit encore plus la charge de leur dette souveraine. De quoi les empêcher durablement – en plus de l’aggravation des troubles sociaux – d’opérer toute transition alors que le contexte de guerre en Ukraine a augmenté l’importance de l’indépendance énergétique, souligne l’ONU.

Selon le PNUD, environ 15% des pays à faible revenu sont en situation de « surendettement », selon le FMI. Un nombre record de 349 millions de personnes dans 79 pays sont ainsi confrontées à une « insécurité alimentaire aiguë », a écrit l’institution basée à Washington.
Or, certains pays dépensent déjà 20% de leur budget pour rembourser les intérêts de leur dette, selon l’ONU.

Le chef du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), Achim Steiner, a expliqué que la hausse chronique des taux d’intérêt épuisait les finances de pays déjà accablés par la crise du Covid-19, les conséquences de la guerre en Ukraine et leurs difficultés structurelles. La situation pour eux « en termes de dette souveraine est vraiment très sérieuse », a-t-il expliqué dans une interview à l’AFP à Doha, en marge d’un sommet des Pays les moins avancés (PMA).

Selon une étude du PNUD parue le mois dernier, « 52 pays sont soit surendettés, soit au bord du surendettement et potentiellement en défaut de paiement », a-t-il indiqué.

Et 25 de ces 52 pays utilisent « un cinquième du budget de leur gouvernement pour payer les intérêts de leur dette », a-t-il ajouté. « Ce n’est pas tenable ».

SONDAGE réforme des retraites : toujours autour de 70% contre

SONDAGE réforme des retraites : toujours autour de 70% contre

72% dans un sondage Elabe et 68 % selon un sondage Ifop sont toujours contre la réforme des retraites

Un rejet toujours massif de la réforme des retraites confirmées par un récent sondage IFOP pour le JDD 72% dans un sondage Elabe et 68 % selon un sondage Ifop sont toujours contre la réforme des retraites.
Le soutien au projet n’est majoritaire que chez les plus aisés, dotés d’un revenu supérieur à 2 500 euros mensuels par personne (50 %). Son rejet est en revanche plus marqué encore chez les femmes (71 % défavorables) que chez les hommes (65 %).

D’après le sondage de l’institut Elabe pour BFMTV , les Français sont de plus en plus nombreux à s’opposer au projet de réforme. Désormais 72% des Français rejettent le projet de réforme des retraites.

Une progression bond de six points par rapport à la mesure effectuée il y a une semaine et de 13 points par rapport à la jauge établie deux semaines en amont. Parmi ceux-ci, ils sont 40% à se dire « très opposés » au plan dévoilé, soit une flambée de 18 points en 15 jours.

L’impopularité du dispositif envisagée au sein de la population active se confirme, avec un taux d’hostilité de 78%. Mais on note un élément plus notable: le renversement de l’opinion d’une majorité de retraités. Ils sont désormais 59% à dire leur opposition au projet, après une forte hausse de 13 points en l’espace d’une semaine.
Ils sont 74% à trouver le projet « injuste » – en progression de dix points en une semaine -, 62% à en torpiller « l’inefficacité » pour établir la « pérennité du système de retraites » – en hausse de cinq points. Là encore, les retraités changent de ton. 61% d’entre eux dénoncent une réforme « injuste », soit 19 points de plus que lors de la précédente mesure. 40% des sympathisants d’Emmanuel Macron pointent eux aussi l’ »injustice » de la solution préconisée par l’équipe au pouvoir. C’est 13 points supplémentaires dans ce segment.

Contenir l’inflation autour de 2% : un vœu pieux

Contenir l’inflation autour de 2% : un vœu pieux

la BCE et la banque de France auraient pour objectif de contenir l’inflation autour de 2 %. Un vœu pieux dans la mesure où l’inflation a déjà marqué de façon considérable la conjoncture économique avec une hausse en moyenne des prix à la consommation de 5 %. Une hausse de 2021 qui va évidemment peser sur 2022. La prévision d’ailleurs très théorique est une inflation à 2,6 % supplémentaires pour 2022 .

La hausse des prix à la consommation a atteint 5% sur un an au mois de décembre dans la zone euro, son niveau le plus élevé depuis 25 ans, donc depuis le lancement de la monnaie unique. En France, cette hausse n’a atteint que 2,8% sur un an en décembre, comme en novembre, ce qui est le taux le plus élevé depuis 2008. Une sorte de miracle cependant que personne n’explique et qui est surtout due à un biais méthodologique de l’indice INSEE devenu obsolète avec la modification structurelle de la consommation en France et la sous-estimation de certaines dépenses ( logement, et dépenses contraintes notamment).

Cet objectif très théorique de contenir l’inflation autour de 2 % vise évidemment à influencer la réévaluation des revenus du travail et de l’épargne. Pour la BCE comme pour la banque de France, il s’agit de convaincre que l’inflation ne s’est envolée que de manière assez transitoire et qu’il n’est donc pas nécessaire de réajuster le pouvoir d’achat.

Bataille culturelle autour de la maison individuelle

Bataille culturelle autour de La maison individuelle 

La ministre du logement, Emmanuelle Wargon, a critiqué un modèle qui serait un « non-sens écologique, économique et social ». Le débat entre ceux qui fustigent le « pavillon » et ceux qui le plébiscitent n’est pas nouveau.

 

 

Un papier du Monde évoque la bataille culturelle engagée autour de la condamnation de la maison individuelle avec jardin.La ministre du logement, Emmanuelle Wargon, a touché un point sensible le 14 octobre. « L’idéal plébiscité par 75 % des Français, c’est la maison individuelle. Mais le modèle d’urbanisation pavillonnaire, ce rêve construit dans les années 1970, dépourvu d’espaces publics et qui dépend de la voiture, constitue aujourd’hui un non-sens écologique, économique et social. Il n’est pas soutenable et nous mène à une impasse », a-t-elle assuré, à Paris, en clôture des concertations nationales sur le thème « Habiter la France de demain », qu’elle avait lancées en février 2021.

Des critiques acerbes ont tout de suite fusé, venues, d’abord, des constructeurs qui déplorent « la stigmatisation persistante de l’habitat individuel, à contresens des aspirations des Français », mais aussi de la droite. Valérie Pécresse, candidate à la candidature (LR) pour l’élection présidentielle, a cosigné, avec Jean-Pierre Gorges, son porte-parole également maire de Chartres (Eure-et-Loir), une tribune publiée sur le site du Journal du dimanche du 20 octobre. Ils y instruisent un procès en « indifférence qui touche au mépris » de la ministre envers « trois Français sur quatre qui rêvent justement d’une maison individuelle avec jardin, si possible »« Les technocrates qui nous gouvernent prétendent décider à notre place de notre bonheur », dénoncent-ils.


Le divorce entre certaines élites, experts ou urbanistes qui fustigent le « pavillon », terme péjoratif dans leur lexique, et les Français qui veulent une « vraie maison avec jardin, non-mitoyenne et dont on peut faire le tour » n’est pas récent. Dans l’ouvrage Anachronismes urbains (Presses de Sciences Po, 2020), l’urbaniste Jean-Marc Offner – qui a longtemps dirigé l’agence d’urbanisme de Bordeaux – rappelle que la lutte contre « l’étalement urbain, la marée pavillonnaire, l’urbanisation discontinue, le mitage » s’est engagée dès les années 1970, avec une série de lois et d’injonctions.

Densification et ville durable

La loi Solidarité et renouvellement urbain, de 2000, a scellé le lien entre densification et ville durable en imposant l’idée que le terrain est désormais une ressource rare, à préserver. Or, pour M. Offner, « ce n’est pas la maison individuelle qui pose problème, mais la maison construite dans le diffus, hors de tout aménagement, à coups de divisions parcellaires incontrôlées, qui représentent des deux tiers aux trois quarts de la production » suggérant « d’inventer enfin un urbanisme pour les maisons ».

Loin d’être une lubie égoïste, la maison offre des qualités indéniables d’habitat, d’environnement, un cadre de vie sécurisant et épanouissant où il est loisible de bricoler, décorer, jardiner. « C’est aussi la promesse d’une sociabilité apaisée, le jardin permettant de mettre à distance le voisin sans pourtant parler d’un repli », estiment la sociologue Anne-Claire Davy et la géographe Lucile Mettetal, dans leur note de mars 2020 pour l’Institut Paris Région, « La maison individuelle en Ile-de-France : je t’aime… moi non plus ».

Inflation-Hausse des prix de la consommation courante : autour de 5 % ?

Inflation-Hausse des prix de la consommation courante : autour de 5 % ?

Nielsen ,  groupe qui épluche les tickets en sortie de caisse, a ainsi chiffré la hausse théorique du panier moyen des Français, si la flambée actuelle des matières premières (huile, sucre, blé, acier, carton, transports…) était intégralement répercutée sur les prix des produits en contenant. Et ce pour un panier de 11 produits de base: 500g de spaghetti, 1 litre d’huile d’olive, 500g de café, 12 rouleaux de papier hygiénique….

une moyenne de près de 5 %

La hausse théorique atteindrait 4,7% en moyenne, soit 1,80 euro sur un panier d’environ 50 euros. En ne choisissant que des grandes marques, le client limiterait l’inflation à 3,2%. Mais en optant pour des références en marques de distributeurs (MDD), la facture atteindrait 7,2%. Et 11% pour les MDD premiers prix.

«Alors que la part des matières premières dans le prix de vente consommateur varie selon le type de marque, et que les matières premières ne subissent pas toutes la même hausse, les inflations théoriques atteindraient 2% à 23% selon les catégories. Le café et le papier hygiénique étant parmi les catégories les plus inflationnistes», précise Nielsen.

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