Archive pour le Tag 'auteur'

Incendie criminel de Nice : un auteur reconnaît avoir été payé

Incendie criminel de Nice : un auteur reconnaît avoir été payé

Dans l’affaire de l’incendie mortel dans un immeuble de Nice (Alpes-Maritimes), qui a provoqué la mort de sept personnes dont trois enfants le 18 juillet au petit matin. Le quatrième suspect, arrêté le 30 juillet, a reconnu son implication, et avoué avoir été rémunéré pour son implication dans l’incendie, a annoncé le parquet de Nice dans un communiqué ce jeudi soir 1er août.

 

L’individu, âgé de 17 ans et sans profession, domicilié en Seine-Saint-Denis, n’a jamais été condamné mais est notamment connu des services de police pour trafic de stupéfiants. Interpellé dans un bus en direction de la France à la frontière espagnole, le jeune homme avait «pris la décision de rentrer et de se rendre», après «quelques jours de fuite en Espagne », d’après le procureur de la République de Nice, Damien Martinelli.

 

Mort de Thomas à Crépol: un premier auteur des menaces à la maire de Romans condamné

Mort de Thomas à Crépol: un premier auteur des menaces à la maire de Romans condamné

La maire de Romans-sur-Isère, Marie-Hélène Thoraval, annonce ce mercredi 6 novembre la condamnation « de l’auteur des appels pour l’intimider » à 8 mois de prison ferme. L’homme âgé d’une trentaine d’années et originaire du Pas-de-Calais, d’après le procureur de Valence, a déjà été condamné à « plus de 20 reprises ». On ignore les motifs de ces précédentes condamnations mais on s’en doute compte tenu du profil récurrent de ces délinquants. Il a été interpellé à Marseille en début de semaine. En plus des huit mois de prison ferme, l’individu a été condamné à verser 500 euros de dommages et intérêts à la maire de Romans-sur-Isère.

Marie-Hélène Thoraval se réjouit ce mercredi 6 décembre sur X (ex-Twitter) de l’interpellation « de l’auteur des appels pour l’intimider ». Jugé en comparution immédiate ce mercredi, il a été condamné à 8 mois de prison ferme. Une information confirmé par le parquet de Valence à l’AFP.

« Merci à la police pour sa célérité et son efficacité, à la justice pour sa fermeté », déclare l’édile.

Interpellé à Marseille en début de semaine, l’homme né en 1990 a été condamné en comparution immédiate par le tribunal correctionnel de Valence dans la Drôme pour « outrages par paroles ou menaces » à l’encontre de l’édile et a été incarcéré dans la foulée.

Sept jours plus tôt, la maire de Romans-sur-Isère, où était scolarisé en lycée le jeune Thomas, tué au couteau lors d’un bal de village mi-novembre, avait déposé plainte après avoir reçu des menaces par téléphone et sur les réseaux sociaux, dont une de mort « par décapitation », selon l’édile.

Elle souligne que « l’auteur des ces menaces de mort » n’a quant à lui pas encore été « appréhendé ». Une enquête disjointe se poursuit.

Marie-Hélène Thoraval explique « avoir reçu deux appels anonymes qui ont été opérés auprès du standard de la mairie avec un message plutôt qui relevait de l’intimidation, [lui] demandant si [elle] disposait d’une kalachnikov chez [elle] et si [elle] avait des gardes du corps ».

C’est pour ces faits, que l’homme condamné ce mercredi comparaissait devant le tribunal. Il a toutefois été relaxé des faits d’ »appels téléphoniques malveillants ». En garde à vue comme devant le tribunal il a contesté les faits, affirmant que quelqu’un d’autre avait utilisé son téléphone !

Un marginal, sans emploi, auteur des fausses menaces à la bombe à Versailles

Un marginal, sans emploi, auteur des fausses menaces à la bombe à Versailles

Un abruti de 37 ans, sans emploi, sera jugé ce lundi 23 octobre devant le tribunal judiciaire de Versailles. Il est l’auteur des fausses informations concernant les menaces de bombes à Versailles.

Toujours d’après les informations de BFMTV, l’homme a reconnu les faits. Il a expliqué avoir vu les informations dans les médias sur les alertes à la bombe successives, et s’être dit : »Pourquoi pas moi ? », résume une source proche de l’enquête.

Le suspect, âgé de 37 ans, vit chez ses parents, est sans emploi et n’a pas d’antécédents judiciaires. Il souffre de schizophrénie mais selon une source judiciaire, il est accessible à une sanction pénale.

Placé sous contrôle judiciaire, il comparaîtra libre ce lundi 23 octobre. La comparution immédiate aura lieu à 14 heures au tribunal judiciaire de Versailles. L’audience sera publique. L’homme risque deux ans de prison et 30.000 euros d’amende.

Terrorisme islamiste : encore un abruti auteur de deux meurtres à Bruxelles

Terrorisme islamiste : encore un abruti auteur de deux meurtres à Bruxelles

Encore une fois un abruti qui se réclame de la religion a fait deux meurtres à Bruxelles. Toujours le même processus le héros s’en prend sans aucun danger sur des civils évidemment désarmés et innocents. Le courage des lâches et des abrutis qui utilisent la religion pour masquer leur propre échec par la violence.

Un message vidéo de revendication a été posté sur les réseaux sociaux par un homme « se présentant comme l’assaillant et se disant inspiré par l’Etat islamique », a précisé le porte-parole du parquet fédéral.

L’homme dit également « avoir vengé les musulmans », possible référence à l’embrasement récent du conflit israélo-palestinien après l’attaque terroriste du Hamas qui a fait plus de 1.400 morts côté israélien.

« Nous vivons pour notre religion, nous mourrons pour notre religion, dieu merci », clame le suspect dans l’une des vidéos « Dieu merci, votre frère Abdesalam a vengé les musulmans, j’ai tué trois Suédois à l’instant », affirme-t-il plus loin alors que le bilan provisoire fait état de deux morts.

Auteur de l’ attentat préfecture : employé modèle ou terroriste ?

Auteur de l’  attentat préfecture : employé modèle ou terroriste ?

Après la communication ratée de l’incendie de Rouen, c’est une vraie faillite de la communication sur l’affaire de l’attentat de la préfecture. Difficile de comprendre la communication du gouvernement qui est passé du profil d’un employé modèle à celui de terroriste pour  l’auteur des attentats de la préfecture de Paris. Pour parler clair le procureur du parquet national anti terroriste a dit à peu près le contraire du ministre de l’intérieur Christophe qui Castaner avait déclaré jeudi que le suspect n’avait jamais présenté de signe d’alerte.

Le procureur du parquet national antiterroriste, Jean-François Ricard indiqué que l’auteur s’était converti à l’islam depuis une dizaine d’années. L’analyse de son téléphone a en outre permis de “faire apparaître des contacts (avec) plusieurs individus susceptibles d’appartenir à la mouvance islamiste salafiste”, a indiqué Jean-François Ricard, ajoutant que “plusieurs témoignages ont fait apparaître qu’il aurait adhéré à une vision radicale de l’islam”.

L’ensemble de ces éléments, a conclu le procureur, explique que le Parquet national antiterroriste se soit saisi vendredi de l’enquête et que les faits aient été requalifiés en “assassinat sur personne dépositaire de l’autorité publique en relation avec une entreprise terroriste” et “association de malfaiteurs terroriste criminelle”.

Réforme droits d’auteur : remède pour le fric contre la liberté

Réforme droits d’auteur : remède pour le fric contre la liberté

 

En apparence uen réforme votée par le parlement européen pour protéger le droit d’auteur mais qui en définitive va surtout protéger les auteurs et médias connus, renforcer les GAFA et restreindre la liberté d’expression. Bref un bel exemple de corporatisme des auteurs et médias  patentés. Guillaume Champeau, le directeur Éthique et affaires juridiques de Qwant, déplore ainsi, dans un billet au vitriol, une « victoire du court-termisme« . Selon lui, les articles 11 et 13 vont finir par renforcer la domination des Gafa sur les médias. L’article 13, par exemple, impose aux Gafa de mettre en place des outils techniques pour détecter des œuvres protégées par le droit d’auteur. Pour l’ancien fondateur du pure-player Numerama, il s’agit ni plus ni moins que d’une « nouvelle barrière à l’entrée pour les concurrents des Gafa« : Passons sur les problèmes qu’un tel dispositif pose pour la liberté d’expression, et imaginons que les outils techniques de détection des œuvres protégées par le droit d’auteur sont d’une fiabilité et d’une performance telles qu’ils savent aussi reconnaître les parodies ou autres critiques couvertes par des exceptions légales. Qui a aujourd’hui les bases de données des œuvres à identifier ? Qui a les moyens financiers et technologiques de développer les outils de détection ? Les Gafa. « Les éditeurs exigent que Google et Facebook les financent en payant pour chaque extrait d’article cité sur leur service. Mais quand les revenus du Monde ou du Figaro dépendront des revenus de Google ou de Facebook, combien de temps encore pourrons-nous lire dans ces journaux des critiques de ces géants ? Plutôt que de s’adapter, les éditeurs de presse préfèrent renoncer entièrement à leur indépendance », déplore l’association dans un communiqué. 

Droit d’auteur : sauvetage de la culture ou corporatisme ?

Droit d’auteur : sauvetage de la culture ou corporatisme ?

On peut légitimement s’interroger sur la nature de la tribune de Françoise Nyssen, que publie le JDD et signée par 200 artistes. S’agit-il vraiment de défendre la culture ou dune réaction corporatiste d’artistes reconnus. . La ministre de la Culture en appelle à l’Europe pour sauver le droit d’auteur menacé par les Gafa, les grands groupes du numérique que sont Google, Apple, Facebook et Amazon. « Ce droit est au cœur de notre culture et de notre modèle de société », écrit la ministre soutenue par quatre de ses prédécesseurs, mais aussi de nombreux artistes renommés, comme Jean-Jacques Goldman, Iam, Françoise Hardy, Daniel Auteuil, Kad Merad, Costa-Gavras ou encore Marie Desplechin.

« La France est le pays du droit d’auteur. C’est ici qu’il est né et c’est ici qu’il est enrichi depuis plus de deux cent ans, avec la plus grande ferveur et la plus grande inventivité, pour être en phase avec les évolutions de la société.Il a permis à notre patrimoine culturel de grandir et de se renouveler. Il a permis à des générations d’auteurs de composer, d’écrire, de peindre, de tourner ou encore de photographier avec la garantie de se voir reconnus et rétribués à la hauteur du travail signé.Ce droit est au cœur de notre culture et de notre modèle de société. Aussi élémentaire et fondamental qu’il puisse paraître aujourd’hui, ce droit ne peut être tenu pour acquis. La révolution numérique appelle de nouvelles adaptations. Le numérique ouvre de nombreuses opportunités aux citoyens, il offre un accès plus large et permanent aux contenus culturels. Mais ce qui constitue une chance pour le public ne doit pas être une menace pour les créateurs. Aujourd’hui, des milliers d’œuvres circulent sur internet sans que leurs auteurs ne soient rémunérés pour cette exploitation, ou ne le soient suffisamment. En clair,  on réclame uen taxe dont profiteraient les artistes. Mais comme le souligne  Bruno Alomar est économiste, ancien haut fonctionnaire à la Commission européenne, la directive droits d’auteur sous ses aspects séduisants constitue en fait uen entrave à la liberté  et à la  création. « On veut obliger les plateformes d’hébergement de contenu à signer des accords avec les titulaires de droits (de la musique, du cinéma, du livre, de la photographie, bref, de tout ce qui est protégeable) ou en l’absence d’accord, à mettre en œuvre un dispositif de filtrage empêchant la mise en ligne de tout contenu potentiellement protégé. L’article apparaît louable dans l’intention : celle de protéger les créateurs et les auteurs et leur garantissant que leurs droits, dont ils vivent parfois, ne sont pas lésés. Toutefois, au-delà de cette volonté, les effets collatéraux de cet article méritent une analyse approfondie tant ils pourraient se révéler contreproductifs. La surveillance automatique des contenus apparaît ainsi disproportionnée, en termes de restriction des libertés, par rapport au but poursuivi. Soyons concrets : une telle mesure supposerait que les plateformes signent des accords avec les titulaires de droits pour l’intégralité des œuvres existantes dans le monde. Outre le fait qu’il n’existe aucune base de données répertoriant l’ensemble des œuvres existant sur cette planète, des contenus pouvant relever du statut de l’œuvre sont créés chaque seconde (ce texte en est le parfait exemple) et l’on comprend donc assez difficilement vers qui les plateformes devraient se tourner pour signer de tels accords leur garantissant une immunité juridique.

La grande force du Web a été sa capacité à transcender les barrières et les frontières, à favoriser la création, le partage de connaissances, la mise en relation des individus

. Lorsqu’il n’y aura pas d’accord possible, le texte est clair : il s’agira pour les plateformes de mettre en place des logiciels de filtrage pour prévenir la mise en ligne de ce qui n’aura pas pu faire l’objet d’un accord. La situation semble ubuesque : si une plateforme n’est pas en capacité de signer des accords faute de pouvoir identifier toutes les œuvres protégées, comment pourrait-elle prévenir la mise en ligne des mêmes œuvres sans les avoir identifiées ? Et si d’aventure un contenu protégé passait à travers les mailles de ce gigantesque chalut, le texte prévoit que la plateforme aurait immédiatement à répondre de cette violation du droit d’auteur. De quoi inciter ces mêmes plateformes à restreindre au maximum ce qui pourra être autorisé, et à bannir pour de bon les parodies et autres « mêmes », ou plus simplement toute photographie sur Instagram devant un monument protégé ou toute citation sur Twitter de son auteur favori. »

…. L’idée est en effet séduisante pour l’industrie musicale : prendre le meilleur de ce que les plateformes ont pu lui apporter (le chiffre d’affaires des trois plus grosses majors a augmenté d’un milliard de dollars entre 2016 et 2017 grâce au streaming) tout en excluant à terme les contenus postés par monsieur tout le monde, lesquels ne rapportent rien. «  La ministre et les pétitionnaires veulent  une rémunération juste et proportionnelle pour les créateurs, le problème est que cela ne concernerait que les artistes reconnus et que les autres producteurs seraient exclus de diffusion. Une atteinte intolérable à la liberté.

 

Droit d’auteur sur internet: une forme de censure

Droit d’auteur sur internet: une forme de censure

La cour de justice européenne reconnaît le droit d’auteur des photographies. En clair, elle interdit la reproduction sans accord de l’auteur. Certes on comprend que des œuvres intellectuelles et artistiques doivent être protégées mais systématiser cette protection pour toutes les productions relève de la censure. En effet, si cela concerne pour l’instant la photographie, cette décision pourrait être éventuellement étendue à l’information écrite. On pourra toujours démontrer qu’un article s’est inspiré d’un auteur. Cela va évidemment à l’encontre de la liberté initiale d’Internet non seulement maintenant confisquée par les grandes plates-formes mais aussi par des intérêts mercantiles. Cet arrêt pourrait marquer le début d’une vaste série de recours.
Les juges européens étaient saisis par la justice allemande d’un contentieux entre un photographe et les autorités régionales du Land de Rhénanie du Nord-Westphalie. Le photographe, Dirk Renckhoff, avait autorisé un site consacré aux voyages à publier une de ses photos de la ville de Cordoue. Une lycéenne l’a téléchargée à partir de ce site (où il était librement accessible) pour illustrer un exposé. La photo a ensuite été reproduite sur le site internet de son établissement scolaire sans autorisation de son auteur. Dans son arrêt rendu mardi, la Cour européenne juge que “la mise en ligne sur un site internet d’une photographie librement accessible sur un autre site internet avec l’autorisation de l’auteur nécessite une nouvelle autorisation de cet auteur. . Une conception qu’on peut défendre pour des productions vraiment artistiques mais qui pour les autres laissent dégager une forte odeur de corporatisme et d’argent.

L’ auteur attentat en Isère : un raté !

L’ auteur attentat en Isère : un raté !

Comme dans la plupart des  l’auteur de l’attentat en Isère est un être associal, un raté qui habille sa violence et sa révolte avec un masque idéologique, celui de la religion. En fait il ne  travaillait que depuis quelques mois et n’a pas du supporter les exigences du travail ( la livraison de colis, un secteur très tendu ou la rentabilité est très faible et les conditions de travail difficiles). Il aurait eu une altération avec son patron. ). Bien sûr la crise économique est un facteur explicatif mais fondamentalement les terroristes sur le sol français ( ou d’autres pays) sont le plus souvent des  individus incapables de s’intégrer et qui trouvent  une  légitimité à leurs crimes par le biais de convictions religieuses tout aussi simplistes que brutales.   L’homme accusé de l’attentat commis vendredi à Saint-Quentin Fallavier, dans l’Isère, a donc  reconnu avoir tué son patron et a envoyé une photo macabre à un Français parti en Syrie, a-t-on appris dimanche de sources proches du dossier. Le numéro destinataire de la photographie qu’il a prise avec la tête de sa victime a été identifié comme étant celui d’un dénommé Sébastien-Younès, un Français parti l’année dernière en Syrie, a-t-on précisé. Le chauffeur-livreur de 35 ans, identifié sous le nom de Yassin Salhi, est accusé d’avoir assassiné Hervé Cornara, 54 ans, dont le corps décapité a été retrouvé dans l’enceinte de l’entreprise. « Il prétend l’avoir tué sur un parking », a-t-on dit dimanche de source proche du dossier.Yassin Salhi, interpellé par des pompiers sur le site de l’usine Air Products visée par l’attaque et placé ensuite en garde à vue à Lyon, avait gardé le silence jusqu’à samedi mais a commencé dimanche à « s’expliquer sur les circonstances des faits », a-t-on dit de source judiciaire.




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