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Les banques profitent aussi de l’inflation

Les banques profitent aussi de l’inflation

La profitabilité (ROE) moyenne est désormais proche de 11%, selon les chiffres de l’EBA (European Banking Authority), contre… 2,5% il y a trois ans ! Les banques ont en effet bénéficié à la fois d’une liquidité qui est restée très abondante et d’une remontée rapide des taux d’intérêt, ce qui a eu un effet, mécanique et quasi-instantané, sur les revenus. La marge nette d’intérêt, longtemps proche de zéro, voire négative, oscille désormais entre 1,2% et 2,6 %, soit 1,6 % en moyenne agrégée, selon l’EBA.

Ce qui fait la force du secteur bancaire européen est la grande stabilité de ses dépôts à vue. Le ratio prêt sur dépôt, un indicateur très suivi, est inférieur à 100%, compris entre 70 et 80%. Une exception cependant, les banques françaises qui affichent un ratio supérieur à 100%, en raison notamment de la centralisation d’une partie de l’épargne réglementée auprès de la Caisse des dépôts.

En clair, les banques peuvent prêter à taux variable sur une ressource, les dépôts, qui leur coûtent en moyenne que… 27 points de base, autant dire, rien.

Le ménage européen optimise peu son épargne, contrairement aux ménages américains. Moins de 10% des dépôts à vue ont été réalloués en un an par les ménages vers des produits d’épargne plus rémunérateurs, avance ainsi Allianz GI.

Concrètement cela repose évidemment la question de la rémunération des dépôts à vue qui aujourd’hui ne rapportent rien à l’épargnant tandis que évidemment les banques se servent de ces sommes immenses de manière presque gratuite. Du coup, les profits augmentent encore quand l’inflation progresse. Une inflation qui permet discrètement d’augmenter encore les taux d’intérêt

Immobilier : le taux d’endettement maximum autorisé tue aussi la solvabilité, un nouveau frein au crédit

Immobilier : le taux d’endettement maximum autorisé tue aussi la solvabilité, un nouveau frein au crédit

Les taux d’intérêt assomme évidemment le pouvoir d’achat immobilier. Il renchérit considérablement le crédit au point d’éjecter du marché nombre de candidats à la propriété. S’y ajoute aussi le ^lafonf d’emprunt maximum à 35 %.

Le pouvoir d’achat immobilier est complètement massacré. Ainsi par exemple un ménage pouvant gagner autour de 5000 € par mois qui pouvaient emprunter 350 000 € ne peut plus obtenir de crédit supérieur à 270 000 €.

Les deux phénomènes évoqués ci-dessus constituent une sorte de terrible mécanisme d’exclusion de couches moyennes ne disposant pas de patrimoine personnel.

Les demandes d’emprunt immobilier s’est à peine réduite au deuxième semestre 2023, en baisse de 16,8% sur un an.

« La baisse de la demande est moins importante qu’au 1er semestre (20,3%). Cependant, elle ne s’arrête pas et est même en forte progression depuis cet été », constate Maël Bernier, porte-parole de Meilleurtaux.com.

Aujourd’hui, « quatre dossiers sur dix sont refusés », alerte notamment le courtier. La crise de l’immobilier ne s’améliore pas, suivant logiquement la hausse des taux directeurs opérée par la Banque centrale européenne. Pour rappel, cette dernière a entamé un marathon haussier depuis l’été 2022, dans l’espoir de juguler l’inflation. Elle a ainsi relevé onze fois ses taux. Ils atteignent désormais une fourchette entre 4% et 4,75%, soit un plus haut depuis la création de la monnaie unique en 1999.

« Il y a un an, aucun ménage ne se retrouvait avec des taux d’intérêts au-dessus 2,7% sur 20 ans. Aujourd’hui, 70% des dossiers sont au-dessus des 4,10%-4,5% sur 20 ans (hors assurance et avant négociation) », rappelle la représentante de Meilleurtaux, précisant que le taux moyen d’un crédit immobilier, situé en octobre à 4,3%, n’a pas été observé depuis 2012, dernière crise immobilière.

En conséquence, la capacité d’emprunt des ménages se réduit. Meilleurtaux donne notamment l’exemple d’un ménage gagnant 10.000 euros par mois, pouvant emprunter 705.000 euros, sur 20 ans, en janvier 2022. Ils doivent aujourd’hui se limiter à 540.000. Sacrée baisse de pouvoir d’achat immobilier.

Une limite, destinée à protéger les emprunteurs du surendettement, est à présent au cœur de la frustration des courtiers : le taux d’endettement maximum. Cette part maximale que peut représenter un emprunt (et toutes les charges associées) dans les revenus totaux d’un ménage a été plafonnée à 35% par le Haut Conseil de Stabilité Financière (HCSF), depuis janvier 2022. En février 2023, cette règle ne posait pas de difficultés. En effet, aucun dossier, ou presque, ne dépassait les 35% en février 2023. En revanche, près de 40% des emprunteurs voient aujourd’hui la part de leur crédit sur leurs revenus se situer au-dessus de ce taux.

Imploré par les professionnels du crédit, le HCSF a examiné un éventuel assouplissement de ce taux d’endettement, le 26 septembre dernier. L’autorité a finalement maintenu ce plafond, au motif que les banques ont le droit de déroger à cette règle pour 20% de leurs dossiers.

Or, « la production de crédits « non conformes » relevant de cette flexibilité ne représente que 13,8 % de la production totale des crédits, au deuxième trimestre 2023 », déclarait l’organisme, fin septembre.

Fin de la NUPES aussi pour le PS ?

Fin de la NUPES aussi pour le PS ?

C’est mardi soir que se décidera ou non la fin de la collaboration du parti socialiste avec le parti de Mélenchon dans le cadre de la Nupes.

En fait, les reproches sont de plusieurs natures. Les socialistes comme d’ailleurs les communistes voire les écologistes reprochent l’hégémonie de LFI sur l’alliance. Ils considèrent en général que l’environnement politique s’est modifié et que cette mise en tutelle de la gauche par Mélenchon n’est plus justifiée en l’état des rapports de force. Le parti socialiste comme d’ailleurs les autres membres de la gauche espèrent une redistribution des cartes en leur faveur. En clair ils espèrent surtout un affaiblissement des Insoumis.

Le schisme pourrait aussi être justifié par la fuite en avant depuis plusieurs mois de certains leaders de LFI mais de Jean-Luc Mélenchon en particulier qui sur tous les terrains pratique la fuite en avant gauchiste.

Le Parti socialiste réunira ce mardi soir son conseil national afin de discuter d’une éventuelle sortie de l’alliance de gauche Nupes en raison des positions de La France insoumise sur le Hamas, a-t-on appris dimanche auprès du parti.

Il devait avoir lieu samedi, mais le premier secrétaire Olivier Faure avait finalement décidé de le reporter, « compte tenu du contexte dramatique lié à l’assassinat » d’un enseignant par un ancien élève radicalisé, vendredi à Arras.

Ce conseil national, qui réunira environ 300 cadres du parti, se tiendra à partir de 19h30.

Tous les opposants internes à Olivier Faure, hostiles à la Nupes, se sont exprimés pour réclamer la sortie du PS de cette coalition, largement dominée par LFI.

C’est notamment le cas de la présidente de la région Occitanie, Carole Delga, qui parle de « faillite morale », la maire de Paris Anne Hidalgo, qui évoque « une mésalliance », ou encore le maire de Rouen et rival interne d’Olivier Faure, Nicolas Mayer-Rossignol, qui en fait « une question de principe ».

Mais Olivier Faure, fervent défenseur de l’union de gauche, n’entend pas laisser la Nupes à Jean-Luc Mélenchon.

Après avoir jugé dans Libération que le positionnement de LFI sur la guerre entre Israël et le Hamas aurait « des conséquences lourdes » sur l’avenir de l’alliance, il souhaite que la Nupes puisse être rééquilibrée, dénonçant « la méthode Mélenchon », qui « ne cherche jamais le centre de gravité du rassemblement de la gauche » mais vise la radicalisations des positions.

La pression s’accentue aussi depuis que le PCF a semblé lui aussi faire un pas vers la sortie de la coalition, après avoir voté dimanche, lors de son propre conseil national, une résolution actant que la Nupes était devenue « une impasse » et appelant à « un nouveau type d’union » de la gauche.

Bourse et Conjoncture: La baisse aussi du luxe

Bourse et Conjoncture: La baisse du luxe

Forte dégradation de près de 8 % de LVMH en bourse. En cause un chiffre d’affaires inférieurs aux espérances. Une situation encore largement positive mais qui constitue un indicateur sur la conjoncture mondiale affectée d’une part par la hausse des taux et par un affaiblissement économique général y compris et peut-être surtout en Chine.

LVMH a affiché un chiffre d’affaires en hausses de 9% entre le deuxième et le troisième trimestre contre 11% attendus.

« Il s’agit du premier trimestre en dessous des attentes depuis plusieurs années et, surtout, de la première fois depuis 2020 que la société n’affiche pas une hausse de chiffre d’affaires à deux chiffres », alerte Antoine Fraysse-Soulier, analyste financier chez le courtier eToro.

Ni une, ni deux, le titre a été sanctionné et a dévissé de 8% à l’ouverture de la Bourse, ce mercredi, avant de limiter sa perte à 6,8% vers 16h30, à 686 euros. « Il y avait tellement d’ordres de vente à l’ouverture de la Bourse que la cotation du titre a été retardée de 2-3 minutes ce matin », détaille l’analyste. En revanche, pour une fois, le CAC 40 a fait preuve de résistance face à la chute de ce poids lourds de la cote.

La nervosité des marchés financiers s’explique en grande partie par les rendements assez exceptionnels des obligations. En clair le transfert de placements financiers des actions vers les emprunts d’État ou d’entreprises beaucoup plus rémunérateurs.

La moindre nouvelle concernant la remise en question des résultats d’entreprises provoquent des sortes de panique qui ne sont pas justifiées. De ce point de vue le pire est sans doute à venir avec en particulier l’impact de la crise de l’immobilier qui ne fait que commencer et la dégradation de la conjoncture économique.

« L’inflation, couplée aux hausses de taux, et au ralentissement économique menace de faire un effet ciseau sur les entreprises (et de diminuer leurs ventes et leurs marges, ndlr) », explique Alexandre Baradez, responsable des analyses de marchés chez le courtier IG France

Conflit Israël : des risques aussi au Liban

Conflit Israël : des risques aussi au Liban

Il est probable que les palestiniens étaient est une nouvelle fois instrumentalisée par l’Iran pour créer une crise en Israël et au-delà en Occident. L’Iran connaît en effet une crise économique, politique et sociétal assez grave et la guerre du Hamas contre Israël lui permet de détourner l’attention interne et internationale. Les victimes de cette manipulation sont évidemment les Israéliens mais aussi les palestiniens qui vont subir à Gaza de terribles restrictions sans parler évidemment du nombre de victimes.

Le hamas en dépit de son renforcement militaire né absolument pas en capacité d’affronter Israël sauve de faire des coups spectaculaires qui en faite se retournent contre la population de Gaza.

Pour alimenter la déstabilisation dans la région, l’Iran pourrait donc être tenté de manipuler maintenant le bol à de créer un nouveau front au sud du Liban.

Le problème c’est que le Liban est déjà complètement usé par la crise politique et par la catastrophe économique qui affecte ce pays depuis plusieurs années. Une guerre importante pourrait même mettre fin définitivement à ce pays qui certes dispose des terroristes du Hezbollah mais qui est complètement sous-équipée militairement.

« Nous sommes profondément inquiets que le Hezbollah ne prenne la mauvaise décision et n’ouvre un deuxième front dans ce conflit », a déclaré un responsable à Washington, cité par l’AFP.

L’armée israélienne a indiqué que « des soldats de Tsahal ont tué plusieurs suspects armés qui s’étaient infiltrés sur le territoire israélien depuis le territoire libanais ».

En 2006, une guerre dévastatrice avait opposé le Hezbollah à Israël, faisant plus de 1.200 morts côté libanais, en majorité des civils, et 160 côté israélien, des militaires pour la plupart.

Politique–pourquoi se rapprocher aussi vite de l’Angleterre qui n’a cessé de torpiller l’union économique

Politique–pourquoi se rapprocher aussi vite de l’Angleterre qui n’a cessé de torpiller l’union économique

Le luxe assez optionnel dépensé pour la visite du Charles III en France serait justifié par le besoin de se rapprocher de l’Angleterre. Mais l’urgence et la nécessité de ce rapprochement peut largement se discuter. Notons tout d’abord que sur le plan diplomatique et en cas de conflit, les Anglais sont des les alliés qui font rarement défaut aux occidentaux. Reste surtout la question économique avec maintenant le souhait d’un maximum d’Anglais, des conservateurs et des travaillistes, de renégocier l’accord poste brexit. Un accord qui a accouché dans la douleur après notamment des attaques complètement incongrues de l’Angleterre vis-à-vis de l’union européenne et de la France en particulier. L’Angleterre se rend compte aujourd’hui que le break site était une erreur fondamentale reposant notamment sur les mensonges du monde politique conservateur.

Il n’est pas certain qu’il soit très opportun de précipiter cette renégociation car les Anglais ont toujours eu l’art de semer la pagaille en Europe. D’abord en faisant tout pour que cette union européenne n’existe pas. Finalement ils ne l’ont rejoint que tardivement surtout pour organiser le désordre et finalement en claquant la porte avec bruit et fureur.

L’Angleterre a sans doute besoin de cette cure d’éloignement pour enfin comprendre qu’elle n’est plus cette grande puissance ( comme la France d’ailleurs) au plan international qui peut imposer sa doctrine souvent ultra libérale.

L’Angleterre a encore besoin de manger son chapeau après les intolérables insultes et attaques contre l’union économique et surtout après les désordres récurrents qu’elle n’a cessés d’organiser dans l’union économique.

Certes les Anglais ne sont pas nos ennemis, ce sont même des partenaires économiques mais qui doivent se satisfaire pour l’instant de l’accord obtenu dans une telle douleur. Les Anglais resteront nos amis. Beaucoup aiment la France, beaucoup s’y rendent et possèdent même des résidences. Les relations avec les Anglais sont en général très harmonieuses est très appréciées
.
Mais c’est autre chose de se jeter à nouveau dans la gueule du loup anti européen par principe et par conviction. Une révision du traité post brexit sera sans doute nécessaire le moment venu mais sans doute pas avant quelques années et avant que l’Angleterre elle-même ait clarifiée ces liens d’une part avec l’Écosse, d’autre part avec l’Irlande du Nord, voire avec le pays de Galles.

Service national universel : toujours aussi ridicule

Service national universel : toujours aussi ridicule

Dans sa nature, dans son ampleur et dans ses modalités, le service national dit universel est toujours aussi ridicule. D’abord il ne concerne qu’une partie infime de la population ensuite la généralisation supposée paraît complètement illusoire notamment faute de moyens. Pourtant la secrétaire d’État à la jeunesse remet à l’ordre du jour le projet de généralisation.

Dans une interview au média Brut, la secrétaire d’État chargée de la jeunesse et du SNU Prisca Thévenot a reconfirmé cette volonté de Généralisation.

La généralisation et l’obligation tiennent cependant du serpent de mer. Dès 2020, le gouvernement annonçait la généralisation de son programme pour l’horizon 2024.

Le service national dit universel n’aura impliqué selon les années que 10 000 à 20 000 jeunes alors qu’il y a 800 000 jeunes concernés chaque année. Soit aussi un coût de 2 milliards par an. Et surtout un contenu qui relève davantage de la colonie de vacances ou du scoutisme que du service militaire

Le projet avait finalement été enterré par le gouvernement durant le mouvement contre la réforme des retraites, celui-ci souhaitant « rajouter un ingrédient dans un cocktail explosif » en plein mouvement social, comme l’expliquait un conseiller ministériel à BFMTV.com.

Pourtant la secrétaire d’État confirme l’objectif de la généralisation du dispositif mais ajoute-t-elle avec prudence: « Il n’y aurait rien de pire que de forcer un jeune à aller faire le SNU, ce serait contre-productif », assurait-elle le 4 août dernier.

Bref, le service ne sera donc pas obligatoire, ni national, ni universel et ni militaire !

Prix du carburant : Le gouvernement se gave aussi

Prix du carburant : Le gouvernement se gave aussi

Le gouvernement appelle les pétroliers à un geste de solidarité pour faire baisser le prix du pétrole mais se garde bien de s’appliquer cette sollicitation à lui-même. En effet, plus le prix du carburant monte et plus les recettes fiscales en également. Le carburant est en effet affecté d’une taxe d’environ 60 % qui augmentent d’autant plus avec les prix en hausse du fait de la TVA.

En pleine remontée des cours du pétrole, soutenue par des coupes volontaires de production en Arabie saoudite et en Russie, le ministre de l’Économie Bruno Le Maire a demandé jeudi au principal distributeur, TotalEnergies, de prolonger au-delà du 31 décembre 2023 son plafonnement de tous les carburants à 1,99 euros du litre.

Bruno Le Maire s’est opposé par ailleurs à l’idée d’une ristourne fiscale, jugée «pas responsable» budgétairement. «Qu’est-ce qui fait monter la facture des Français ? Ce sont les énergies fossiles. Ce qui dérègle le climat ? Ce sont les énergies fossiles. Donc il y a un besoin urgent de sortir des énergies fossiles», a ensuite déclaré Agnès Pannier-Runacher.

Hausse des prix du carburant : Le gouvernement se gave aussi

Hausse des prix du carburant : Le gouvernement se gave aussi

Le gouvernement appelle les pétroliers à un geste de solidarité pour faire baisser le prix du pétrole mais se garde bien de s’appliquer cette sollicitation à lui-même. En effet, plus le prix du carburant monte et plus les recettes fiscales en également. Le carburant est en effet affecté d’une taxe d’environ 60 % qui augmentent d’autant plus avec les prix en hausse du fait de la TVA.

En pleine remontée des cours du pétrole, soutenue par des coupes volontaires de production en Arabie saoudite et en Russie, le ministre de l’Économie Bruno Le Maire a demandé jeudi au principal distributeur, TotalEnergies, de prolonger au-delà du 31 décembre 2023 son plafonnement de tous les carburants à 1,99 euros du litre.

Bruno Le Maire s’est opposé par ailleurs à l’idée d’une ristourne fiscale, jugée «pas responsable» budgétairement. «Qu’est-ce qui fait monter la facture des Français ? Ce sont les énergies fossiles. Ce qui dérègle le climat ? Ce sont les énergies fossiles. Donc il y a un besoin urgent de sortir des énergies fossiles», a ensuite déclaré Agnès Pannier-Runacher.

Catastrophe climatique aussi en Libye

Catastrophe climatique aussi en Libye


2300 personnes au moins sont mortes et plus de 10.000 sont portées disparues en Libye après le passage de la tempête Daniel qui a entraîné de très violentes inondations.

La tempête Daniel, qui avait touché plus tôt la Bulgarie et la Grèce, s’est abattue sur les côtes libyennes à l’est du pays dimanche. Celle-ci a provoqué des pluies diluviennes, notamment dans la ville de Derna où plus de 2300 personnes ont péri dans les inondations selon les secours tandis que plusieurs milliers de personnes sont toujours portées disparues.

De quartiers entiers de la ville libyenne se sont retrouvés sous les eaux, empêchant les véhicules de circuler et piégeant de nombreux habitants dans leurs foyers. Les terres agricoles, situées au sud de la ville, n’ont pas non plus été épargnées par les très fortes précipitations qui sont tombées.

« Je m’attends à ce que le nombre de morts s’élève à 10.000″, a averti lundi soir le ministre de la Santé au sein de ce gouvernement, Othman Abdeljalil, soulignant que nombreux quartiers étaient toujours inaccessibles.

Prix du carburant : Le gouvernement se gave aussi

Prix du carburant : Le gouvernement se gave aussi

Le gouvernement appelle les pétroliers à un geste de solidarité pour faire baisser le prix du pétrole mais se garde bien de s’appliquer cette sollicitation à lui-même. En effet, plus le prix du carburant monte et plus les recettes fiscales en également. Le carburant est en effet affecté d’une taxe d’environ 60 % qui augmentent d’autant plus avec les prix en hausse du fait de la TVA.

En pleine remontée des cours du pétrole, soutenue par des coupes volontaires de production en Arabie saoudite et en Russie, le ministre de l’Économie Bruno Le Maire a demandé jeudi au principal distributeur, TotalEnergies, de prolonger au-delà du 31 décembre 2023 son plafonnement de tous les carburants à 1,99 euros du litre.

Bruno Le Maire s’est opposé par ailleurs à l’idée d’une ristourne fiscale, jugée «pas responsable» budgétairement. «Qu’est-ce qui fait monter la facture des Français ? Ce sont les énergies fossiles. Ce qui dérègle le climat ? Ce sont les énergies fossiles. Donc il y a un besoin urgent de sortir des énergies fossiles», a ensuite déclaré Agnès Pannier-Runacher.

Inflation-Prix Carburant : Le gouvernement se gave aussi

Inflation-Prix Carburant : Le gouvernement se gave aussi

Le gouvernement appelle les pétroliers à un geste de solidarité pour faire baisser le prix du pétrole mais se garde bien de s’appliquer cette sollicitation à lui-même. En effet, plus le prix du carburant monte et plus les recettes fiscales en également. Le carburant est en effet affecté d’une taxe d’environ 60 % qui augmentent d’autant plus avec les prix en hausse du fait de la TVA.

En pleine remontée des cours du pétrole, soutenue par des coupes volontaires de production en Arabie saoudite et en Russie, le ministre de l’Économie Bruno Le Maire a demandé jeudi au principal distributeur, TotalEnergies, de prolonger au-delà du 31 décembre 2023 son plafonnement de tous les carburants à 1,99 euros du litre.

Bruno Le Maire s’est opposé par ailleurs à l’idée d’une ristourne fiscale, jugée «pas responsable» budgétairement. «Qu’est-ce qui fait monter la facture des Français ? Ce sont les énergies fossiles. Ce qui dérègle le climat ? Ce sont les énergies fossiles. Donc il y a un besoin urgent de sortir des énergies fossiles», a ensuite déclaré Agnès Pannier-Runacher.

Sinistre au Maroc : les normes de construction aussi en cause

Sinistre au Maroc : les normes de construction aussi en cause

L’ampleur du sinistre au Maroc s’explique par l’intensité du séisme vis-à-vis duquel on ne peut pas faire grand-chose. Reste aussi que les normes de construction participent largement à l’aggravation des conséquences.

Les normes antisismiques de construction ne concernent qu’une très petite minorité le bâtiment. Pour le reste comme partout en Afrique ont construit surtout avec des parpaings auto de ciment sous dimensionné comme le ferraillage. De plus assez souvent on rajoute des étages qui n’ont pas été prévus au départ dans les fondations.

La tricherie et la corruption concernant les normes de construction et leur respect coûte cher en vies humaines.

Hausse des prix Carburant : Le gouvernement se gave aussi

Hausse des prix Carburant : Le gouvernement se gave aussi

Le gouvernement appelle les pétroliers à un geste de solidarité pour faire baisser le prix du pétrole mais se garde bien de s’appliquer cette sollicitation à lui-même. En effet, plus le prix du carburant monte et plus les recettes fiscales en également. Le carburant est en effet affecté d’une taxe d’environ 60 % qui augmentent d’autant plus avec les prix en hausse du fait de la TVA.

En pleine remontée des cours du pétrole, soutenue par des coupes volontaires de production en Arabie saoudite et en Russie, le ministre de l’Économie Bruno Le Maire a demandé jeudi au principal distributeur, TotalEnergies, de prolonger au-delà du 31 décembre 2023 son plafonnement de tous les carburants à 1,99 euros du litre.

Bruno Le Maire s’est opposé par ailleurs à l’idée d’une ristourne fiscale, jugée «pas responsable» budgétairement. «Qu’est-ce qui fait monter la facture des Français ? Ce sont les énergies fossiles. Ce qui dérègle le climat ? Ce sont les énergies fossiles. Donc il y a un besoin urgent de sortir des énergies fossiles», a ensuite déclaré Agnès Pannier-Runacher.

Rien ne justifie que le budget profite encore plus que tout autre des hausses des prix des carburants. Il serait sans doute utile de réfléchir à nouveau à une fiscalité flottante ( comme la TIPP flottante qui a existé) qui permet à l’État d’être assuré d’un volume de ressources fiscales sans pour autant participer à la spéculation actuelle.

Prix Carburant : Le gouvernement se gave aussi

Prix Carburant : Le gouvernement se gave aussi

Le gouvernement appelle les pétroliers à un geste de solidarité pour faire baisser le prix du pétrole mais se garde bien de s’appliquer cette sollicitation à lui-même. En effet, plus le prix du carburant monte et plus les recettes fiscales en également. Le carburant est en effet affecté d’une taxe d’environ 60 % qui augmentent d’autant plus avec les prix en hausse du fait de la TVA.

En pleine remontée des cours du pétrole, soutenue par des coupes volontaires de production en Arabie saoudite et en Russie, le ministre de l’Économie Bruno Le Maire a demandé jeudi au principal distributeur, TotalEnergies, de prolonger au-delà du 31 décembre 2023 son plafonnement de tous les carburants à 1,99 euros du litre.

Bruno Le Maire s’est opposé par ailleurs à l’idée d’une ristourne fiscale, jugée «pas responsable» budgétairement. «Qu’est-ce qui fait monter la facture des Français ? Ce sont les énergies fossiles. Ce qui dérègle le climat ? Ce sont les énergies fossiles. Donc il y a un besoin urgent de sortir des énergies fossiles», a ensuite déclaré Agnès Pannier-Runacher.

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