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Ukraine : Poutine toujours aussi énigmatique

Ukraine : Poutine toujours aussi énigmatique

 

Finalement on se demande si le déplacement de Merkel et de Hollande à Moscou aura servi à quelque chose. Poutine toujours aussi insaisissable déclare qu’il n’est en guerre contre personne. Merkel et Hollande eux ne sont pas d’un optimisme  débordant. Dès lors que la Russie déclare n’être en guerre contre personne toute tentative de médiation devient de fait obsolète. En attendant les affrontements continuent dans l’Est de l’Ukraine. Poutine, le sphinx, n’est par ailleurs pas mécontent d’entretenir un foyer nationaliste pour cacher l’écroulement de sa propre économie, (rouble, matières premières, fuite des capitaux etc.).  Après la rencontre vendredi à Moscou entre Angela Merkel, Vladimir Poutine et François Hollande – négociations jugées «constructives» qui ont duré cinq heures – le sort de l’Ukraine est toujours en suspens. Dimanche, les trois leaders et le président ukrainien Porochenko doivent à nouveau se parler au téléphone afin de sceller ou non un accord. En attendant, la journée de samedi a été ponctuée à distance de petites phrases des uns et des autres.  Depuis son fief de Tulle, en Corrèze, où il était en déplacement pour poser la première pierre d’un cinéma, c’est François Hollande qui a lancé la première salve. «Je pense que c’est une des dernières chances. (…) Si nous ne parvenons pas à trouver un accord durable de paix, nous connaissons parfaitement le scénario: il a un nom, il s’appelle la guerre», a déclaré le président à propos de la réunion téléphonique prévue dimanche.  De son côté, la chancelière allemande Angela Merkel, en déplacement à Munich où elle a rencontré le président ukrainien Porochenko a affirmé son scepticisme quant à l’issue des pourparlers de paix. Il n’est «pas certain» que les négociations aboutissent mais il faut essayer, a t-elle déclaré, se montrant extrêmement prudente sur la possibilité d’un accord à court terme.  La chancelière s’est dite également opposée à la livraison d’armes occidentales à Kiev. «Je suis intimement convaincue que ce conflit ne peut être réglé militairement (..) Les progrès dont l’Ukraine a besoin ne peuvent être atteints avec plus d’armes».  Une heure après Angela Merkel, le ministre des Affaires étrangères russe Sergueï Lavrov s’est d’abord montré optimiste. «Il est tout à fait possible» de trouver un accord pour «dénouer le conflit», a-t-il assuré. Mais dans la suite de son propos, il s’est montré beaucoup plus inflexible: la Russie continuera de soutenir les séparatistes. «Ils vivent sur leur terre, ils se battent pour leur terre, leur cause est juste», a-t-il assuré en renvoyant la responsabilité de la dégradation de la situation aux Occidentaux. «Les Etats-Unis et l’Union européenne ont cherché l’escalade à chaque moment», a-t-il accusé. Le conflit en Ukraine repose, aux yeux de la Russie, sur le droit des minorités russes de choisir librement leur avenir, a-t-il insisté en rappelant provocateur, que le rattachement de l’Allemagne de l’Est à l’Allemagne de l’Ouest s’était fait sans référendum. Plus tôt dans la matinée, le général américain Philip Breedlove, commandant des troupes de l’Otan en Europe, avait défendu pour sa part «l’option militaire» aux côtés de la diplomatie et des sanctions, plus spécifiquement l’envoi d’armes visant à contrebalancer les faiblesses de Kiev en matière «d’artillerie et de communication».

Croissance: l’Allemagne plonge aussi

 

A limage de la croissance mondiale, l’activité de l’Allemagne se tasse sérieusement. La production industrielle allemande de décembre a légèrement déçu avec une hausse minime de 0,1% sur un mois, plus faible que prévu. Les analystes interrogés par le fournisseur de services financiers Factset misaient eux sur une progression plus marquée, de 0,5%. L’industrie est un secteur très important en Allemagne, première économie de la zone euro. Sa production avait faibli lors de l’été 2014 puis repris de la vigueur à l’automne, mais elle a quasiment stagné sur les deux derniers mois de 2014. En Chine , éprès celui de l’activité manufacturière c’est l’indicateur des services qui est décevant. - Le secteur des services a progressé en janvier au rythme le plus lent de ces six derniers mois, selon l’indice PMI/HSBC des services publié mercredi. L’indice s’établit à 51,8, bien en deçà des 53,4 enregistré en décembre. Un indice supérieur à 50 témoigne d’une croissance de l’activité; sous ce seuil, on entre dans une phase de contraction  L’usine du monde tourne au ralenti du fait de l’atonie de la demande mondiale. Le ralentissement se fait même sentir aux Etats-Unis Après deux trimestres très dynamiques, la croissance américaine a déçu sur les trois derniers mois de 2014. Le Produit Intérieur Brut (PIB) a progressé sur un rythme annualisé de 2,6 % (soit une croissance réelle de 0,65 %) entre octobre et décembre, selon les statistiques publiées, vendredi 30 janvier, par le Département du commerce. La production manufacturière chinoise, elle,  s’est contractée en janvier, selon HSBC qui a publié aujourd’hui son indice PMI des directeurs d’achat pour la Chine, un jour après que le gouvernement eut aussi annoncé une contraction. L’activité de la deuxième économie mondiale reste confrontée à une « détérioration », a souligné la banque en commentant ce chiffre morose. L’indice PMI calculé par HSBC s’établit à 49,7, contre 49,6 en décembre. Avant décembre, il fallait remonter à mai pour trouver un niveau plus mauvais, à 49,4. Un chiffre supérieur à 50 marque une expansion de l’activité manufacturière, tandis qu’un indice inférieur à ce seuil signale une contraction.  Hier, le gouvernement avait déjà annoncé un indice PMI des directeurs d’achat de 49,8, contre 50,1 en décembre. Il s’agit de la première contraction en 27 mois rapportée par le Bureau national des statistiques (BNS).  »Nous estimons que la demande dans le secteur manufacturier reste faible », a souligné Qu Hongbin, économiste chez HSBC. La Chine a vu sa croissance économique ralentir fortement en 2014, à 7,4%, glissant à un niveau plus vu depuis près d’un quart de siècle, selon des chiffres gouvernementaux.

 

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Terrorisme : La banalisation de la violence aussi en cause

Terrorisme : La banalisation de la violence aussi en cause

 

Comme  déjà indiqué dans c site les facteurs explicatifs sont nombreux (situation sociale globale, ghettoïsation de certains  quartiers, laxisme de la justice, montée internationale de l’islamisme, engagement un peu inconsidéré la France dans certains conflits, contestation de l’autorité partout, perte des valeurs de civilités, individualisme, responsabilité des parents, faillite de l’école etc.). Des facteurs explicatifs interactifs qui ont favorisé l’émergence de fondamentalistes et de terroristes potentiels. La banalisation de la violence constate aussi un élément d’explication .Il suffit de voir combien cette violence est présente dans les jeux vidéo, à la télévision, dans les films. D’une certaine manière c’est un peu le concours Lépine de la violence. Plus il y a de tueries, plus c’est « tendance ce sont plus dangereux chez des jeunes sans éducation et surtout sans repère. Du coup certain ont du mal à faire le distinguo entre ce monde virtuel et la réalité. D’où peut-être la nécessité d’une réflexion sur le rôle des jeux, de la télé, du cinéma ou d’Internet quant à la banalisation de cette violence. Dans un sondage très récent pour le JDD 5%des Français se prononcent pour une limitation de la liberté d’expression. Ils ont sans doute rayon car pour assurer la sécurité tous il faut accepter d’en payer le prix en terme dérégulation de certaines libertés. Mais ceci devrait valoir pour tous les supports. Ce n’est pas forcément la loi qui est nectaire pour réguler les ces évoqués mais peut être la mise en place de comités de déontologie dans chacun des médias et supports évoqués. Le CSA a abordé avec une certaine prudence cette question “la télévision d’être la cause de la violence et de tous les maux de la société est un procès trop facile. Il revient à confondre la cause avec le symptôme. Télévision et violence s’inscrivent moins dans une relation proprement causale que dialectique et mimétique : la télévision est un miroir déformant et grossissant de la société. Elle nous présente une société caricaturée et la société se met à ressembler à sa caricature. Comme un écho à la violence réelle, la télévision participe à une banalisation de la violence du monde. Bon nombre de conclusions d’experts l’attestent, cette banalisation de la violence n’est pas sans effet sur les jeunes, plus vulnérables, qui différencient mal le réel du virtuel. La violence des images peut perturber leur socialisation, générer de l’anxiété, de la peur, et provoquer de l’agressivité face à un monde représenté comme dangereux. C’est pourquoi nous ne pouvons nous laisser aller à l’inertie et à l’immobilisme” (CSA). Certes la télévision est un miroir déformant  de la société mais l’image qu’on en donne  dans l’audiovisuel  contribue à structurer , à influencer cette société.

Départementales : « un carnage aussi pour l’UMP »

Départementales : «  un carnage aussi pour l’UMP »

 

C’est Nadine Morano qui le prédit pour l’UMP dans les zones rurales. Certes il y a de la part de la rancœur puisqu’en fait elle a été écartée de la nouvelle direction de l’UMP au profit de personnalités comme NKM. Pas sûr que Morano ait tort et que le coté BCBG de NKM Vauquiez soient de nature à renforcer la crédibilité d’un parti qui (comme le PS) se cherche un positionnement politique. Théoriquement le mode de scrutin est favorable à l’UMP mais effectivement la réforme territoriale bâclée ( et qui risque d’accentuer la désertification)du gouvernement pourrait aussi sanctionner le parti de Nadine Morano.  Nadine Morano, qui fut ­ministre chargée de l’Apprentissage et de la Formation professionnelle dans le gouvernement Fillon III et qui est aujourd’hui députée européenne, ne décolère pas. Comment Nicolas Sarkozy, pour qui elle s’est battue depuis toujours et par tous les temps, a-t-il pu la laisser sur le bord du chemin à l’heure de la refondation de l’UMP, ne lui proposant (et encore : avec retard) qu’un poste de secrétaire nationale tandis que NKM accédait, elle, vertigineusement à la vice-présidence du parti? Ce titre de secrétaire nationale, Nadine Morano ne l’a pas seulement refusé (« Chez moi, en Lorraine, on ne déshonore pas les gens. Il me doit autant que je luis dois ») ; elle répète depuis, car sa colère n’est pas retombée, qu’elle a dit au nouveau président de l’UMP ses quatre vérités. Et les murs ont tremblé. Pour faire bonne mesure, la militante Morano – qui parle carré, n’a jamais aimé les salons bourgeois et achève un récit où elle a décidé de livrer, loin de ceux qui la moquent ou la sous-estiment, sa part de vérité – a dit sur RTL, l’air de rien, qu’Alain Juppé était un homme d’État et qu’après tout, le jour venu, entre Sarkozy et le maire de Bordeaux… C’est peu de dire que Nicolas Sarkozy n’a pas apprécié. ­D’autant qu’elle ajoute maintenant que le retour de Sarkozy a « ressoudé la gauche ». Bigre! Nadine Morano – qui a déposé en 2012 les statuts d’un petit parti dont elle n’est pas peu fière, le Rassemblement pour le peuple de France – assure que « la politique politicienne l’insupporte au plus haut point », qu’elle en a marre « des cire-pompes », qu’elle ne comprend pas « le management de l’UMP », qu’elle veut parler du « fond » et que les prochaines élections risquent d’être, ­notamment en milieu rural, « un ­carnage » car on sous-estime, selon elle, ce qui se passe du côté du FN. Le poids de l’amertume?

Bygmalion : Balkany impliqué aussi !

Bygmalion : Balkany impliqué aussi !

 

 

Un petit contrat de 200 000 euros pour un « relookage » invisible d’un site internet de la mairie de Levallois par Bygmalion ; une ville qui possède déjà un service de com. de 35 personnes !  D’après  Le Point, l’Association des contribuables de Levallois-Perret s’interroge sur un contrat de 192.000 euros réglé par la ville à l’agence Bygmalion, et a décidé de porter plainte pour « détournement de fonds publics ». Selon les informations de l’hebdomadaire, ce contrat vieux de deux ans s’intègre dans le cadre d’une campagne pour la refonte du site Web de la ville et de sa promotion sur les réseaux sociaux. Or, l’association émet des doutes sur la réalité de la prestation : ainsi, le relooking à grands frais du site internet a été tellement « subtil » que personne à Levallois n’a pu détecter le changement. Même son de cloche pour le compte Twitter, créé en septembre 2011 et utilisé la première fois en janvier 2013, alors que le contrat entre Bygmalion et la mairie date de février 2012. Isabelle Balkany balaye ces accusations d’un revers de main : « Nous étions largués sur les réseaux sociaux, Bygmalion nous a aidés à rattraper notre retard », a-t-elle précisé. « Nous nous sommes déjà expliqués sur ce point lors d’un conseil municipal avant l’été. » Certains dans le 92 s’interrogent pourtant. Pourquoi la ville, qui dispose d’un pléthorique service de communication de 35 personnes, a-t-elle eu besoin de recourir à l’expertise de Bygmalion ? Les soupçons de « petits arrangements » entre amis sont renforcés par la présence au conseil municipal de Pierre Chassat, directeur adjoint du cabinet de Copé à l’UMP et désormais adjoint en charge de la communication à Levallois-Perret mis en en examen pour « faux et usage de faux » dans le cadre de l’enquête sur le financement de la campagne présidentielle de 2012.

 

Pollution à Paris : aussi nocive que la cigarette

Pollution à Paris : aussi nocive  que la cigarette

Paris accumule les pics de pollution, des pics de pollution mortels puisqu’aussi dangereux que la cigarette. Principal responsable : la circulation automobile. Paradoxe cette hyper concentration urbaine n’empêche pas d’envisager une ville encore plus concentrée : le Grand Paris. La folie conjointe des urbanistes et des politiques. Aussi des économistes qui louent la « croissance endogène » des zones très agglomérées (en clair les zones idéales pour le businesse où il faut payer pour tout !). Dans Paris en plein pic de pollution est aussi néfaste que de se trouver dans une pièce de 20m² où huit cigarettes seraient allumées en même temps. Voilà l’image, éloquente, choisie par des chercheurs du CNRS pour illustrer la gravité de la situation dans une étude publiée ce lundi. Ils en concluent donc que le niveau de pollution de l’air parisien est comparable à du tabagisme passif.  Principal danger de cette forte pollution: les particules fines, qui ont atteint des taux nettement plus élevés qu’en temps normal à Paris. Jusqu’à 30 fois plus, précisément, le 13 décembre 2013, selon les données récoltées grâce au ballon de Paris pendant dix-huit mois, au-dessus du parc André-Citroën.   « Les grosses particules s’arrêtent dans la gorge et le nez. Les petites vont jusqu’aux poumons et les alvéoles. Les plus petites vont dans le sang et peuvent alors provoquer des maladies cardio-vasculaires », a expliqué sur RTL Jérôme Giacomoni, le créateur du ballon Générali utilisé pour cette étude.  « La pollution de l’air représente un risque environnemental majeur pour la santé, estime l’OMS. En diminuant les niveaux de pollution atmosphérique, les pays peuvent réduire la charge de morbidité imputable aux accidents vasculaires cérébraux, aux cardiopathies, au cancer du poumon et aux affections respiratoires, chroniques ou aiguës, y compris l’asthme. »  « En 2012, on estimait à 3,7 millions le nombre de décès prématurés provoqués dans le monde par la pollution ambiante (de l’air extérieur) dans les zones urbaines et rurales », explique par ailleurs l’organisme sur son site.

Sivens : Valls auusi responsable (Duflot)

Sivens : Valls aussi responsable (Duflot)

Cécile Duflot estime à juste titre que Valls a une part de responsabilités dans les événements de Sivens du fau faiat de son autoritarisme et de ses coups de mentons médiatiques ; Dans une interview au Monde publiée vendredi, après la mort d’un manifestant à Sivens, l’ancienne ministre du Logement estime qu’il a « dégradé la situation » sur place. « En septembre, le Premier ministre s’est rendu dans le Tarn pour dire ‘nous avons tenu bon à Sivens’, avec le ton martial et cette capacité à surjouer l’autorité qui le caractérisent. Je pense que cette déclaration de Manuel Valls, alors que le rapport des experts était en cours, a dégradé la situation », explique-t-elle.  La députée écolo, estime également que le chef du gouvernement propose « une synthèse libérale autoritaire alors que la modernité est démocratique et écologiste ». « Plus profondément, c’est la question de la façon de faire qui est posée à la politique. Ce ne peut pas être des sachants, fussent-ils élus, qui imposent tout avec autorité. Cette soi-disant autorité étant d’ailleurs toujours affirmée contre les plus faibles : les Roms ou des pacifistes. Le pays a besoin de réconciliation, de concorde, de dialogue et d’écoute. Nous pouvons faire émerger une démocratie participative qui élabore collectivement. Il n’y a pas besoin de confrontation ni d’agitation médiatique pour faire avancer mieux les choses », ajoute-t-elle dans une allusion transparente à l’omniprésence médiatique du Premier ministre. Elle ne veut pas dire si elle fait encore partie de la majorité. L’ancienne ministre estime qu’il s’agit « d’une question désuète ». « Une majorité ne se décrète pas par principe, mais parce qu’elle répond à des valeurs et à un projet commun. Aujourd’hui, le gouvernement nous a quittés lorsqu’il défend un projet contraire à ce pourquoi nous avons été élus. Au-delà de ces aspects politiciens, c’est le devoir d’une génération que de redonner du sens à la politique », assure-t-elle

 

Emploi : recul aussi dans le commerce

Emploi : recul aussi dans le commerce

 

Après l’industrie c’est maintenant le commerce qui décline. Pas étonnant compte tenu d’une part de la baisse du pouvoir d’achat mais auusi du manque de confiance des consommateurs. « Depuis 2009, le commerce était en effet le premier créateur d’emplois, avec un solde positif de 89 000 postes », relève David Cousquer, le fondateur de Trendeo qui a rélisé l’étude . La fin de cette période constitue donc un « phénomène significatif et inquiétant », ajoute-t-il. Le mouvement est engagé depuis 2010. De trimestre en trimestre, les créations d’emplois se font plus rares, tandis que la courbe des suppressions monte régulièrement. Une évolution à relier à la crise, qui pèse de plus en plus sur le pouvoir d’achat des Français. Pour éviter de perdre trop de clients, les enseignes de la grande distribution se sont lancées depuis deux ans dans une guerre des prix. Elle comprime leurs marges. Un contexte qui ne les incite pas à embaucher massivement. De nombreuses sociétés intervenant dans le négoce et la distribution au sens large ont dû réduire la voilure. En 2013, Descours & Cabaud, un négociant lyonnais en produits pour le BTP et l’industrie, a ainsi allégé son effectif d’environ 400 personnes. Les repreneurs de La Redoute, ancienne filiale de Kering (ex-PPR), ont prévu de leur côté un plan social comportant la suppression de 1 178 postes en quatre ans. Les pertes dans le petit commerce sont moins spectaculaires mais pour cependant  importantes.

 

 

Sondage popularité Hollande : toujours aussi bas

Sondage popularité Hollande : toujours aussi bas

 

 

Hollande toujours en bas confirme son impopularité historique. Valls, lui remonte mais paradoxe perd autant de points sur sa capacité à sortir de la crise ; Autrement dit c’est parce qu’il joue perso  que Valls remonte pas sur sa politique. La cote de François Hollande est stable à un niveau très bas, 19% d’opinions favorables, tandis que celle de son Premier ministre Manuel Valls regagne quatre points à 47% dans le tableau de bord mensuel IFOP Paris Match publié mercredi. Si une très grande majorité de Français sont toujours très critiques de sa politique économique, la cote du chef de l’Etat redevient majoritaire (51%, soit +4 points) sur la question de savoir s’il défend bien les intérêts de la France à l’étranger. La popularité de Manuel Valls regagne pour sa part quatre des dix points perdus dans l’enquête de septembre. Mais le nombre de Français qui le jugent capable de sortir le pays de la crise passe d’un mois sur l’autre de 35% à 31%.  L’enquête a été réalisée les 3 et 4 octobre auprès d’un échantillon représentatif de 1.004 personnes interrogées par téléphone.

 

Immobilier : taux au plus bas mais demande credit aussi au plus bas

Immobilier : taux au plus bas mais demande credit aussi au plus bas  

C’est le paradoxe les taux n’ont jamais été auusi bas depuis plus de 70 ans et dans le même temps les demandes de crédit ne cessent de reculer. En cause le prix des logements beaucoup trop chers et inaccessibles (en particulier le foncier mais pas seulement.)à nombre de ménages  .). Du coup les candidats à la propriété notamment les primo-accédants n’atteignent pas les seuils de solvabilité. Il faudrait donc agir sur le niveau des prix et étaler davantage dans le temps les remboursements dont les échéances mensuelles sont trop lourdes. Comme en Allemagne par exemple où les crédits sont étalés jusqu’à 40 ou 50 ans contre au maximum 20 ans en France. En outre les organismes de crédit ont notoirement resserré les conditions de délivrance de ces crédit non seulement concernant le niveau de revenus mais aussi leur stabilité dans le temps. (Candidats avec un CDD s’abstenir !). Lentement mais sûrement, les taux des crédits immobiliers continuent de baisser. En août, les Français se sont endettés à 2,68 % en moyenne (hors assurance), contre 2,7 % en juillet, constate l’Observatoire Crédit Logement/CSA, souligne l’étude. Un niveau auquel personne ne croyait en début d’année.  La quasi-totalité des crédits (97 %) ont été accordés à un taux inférieur à 3,5 % (contre 85,2 % en 2013). Les particuliers ont emprunté sur 17,4 ans en moyenne (209 mois). Ceux qui accèdent pour la première fois à la propriété se sont endettés sur une durée plus longue: 19,9 ans pour un achat dans le neuf et 18,4 ans pour un logement ancien. Mais il faut un apport personnel de plus en plus conséquent pour pouvoir emprunter: il progresse de 0,9 % sur un an fin août, après un repli de 5,5 % en 2013. Depuis le début de l’année, les taux ont déjà perdu 0,4 %. «En août, la baisse s’est ralentie, sur un marché très tranquille durant cette période estivale», souligne toutefois, l’étude, précisant tout de même que «le mouvement de recul, qui dure depuis plusieurs mois, est inédit depuis les années 1940. Les raisons? Le taux de l’OAT, l’obligation d’Etat à 10 ans sur lequel sont indexés les prêts à taux fixe a fortement baissé depuis le début de l’année. Cette tendance s’est même amplifiée pendant l’été, l’OAT atteignant des niveaux historiquement bas (1,31 % le 3 septembre). Paradoxalement, malgré ces conditions d’emprunt exceptionnelles, le nombre de crédits accordés a reculé en août de 5,6 % sur un an. Le ralentissement constaté depuis le printemps laisse attendre une année 2014 médiocre», prévoit l’Observatoire Crédit Logement/CSA…

 

Fast-food : la crise aussi

Fast-food : la crise aussi

 

Il n’ya pas que la restauration classique qui souffre de la crise même les fast-foods sont touchés.  Ainsi McDonald’s a fait état mardi d’un bénéfice moindre que prévu au deuxième trimestre, le groupe de restauration rapide étant toujours à la peine aux Etats-Unis tandis que ses ventes ont reculé pour la première fois en Europe. Le groupe américain a également dit s’attendre à une baisse de ses ventes mondiales à restaurants comparables en juillet. Le titre recule de 1,26% vers 15h20 GMT sur le New York Stock Exchange. Le bénéfice net de McDonald’s a reculé de près de 1% au deuxième trimestre, à 1,39 milliard de dollars (1,03 milliard d’euros) ou 1,40 dollar par action, contre 1,40 milliard (1,38 dollar/action) un an plus tôt. Ses ventes mondiales ont augmenté de 1% à 7,18 milliards de dollars tandis que les ventes à restaurants comparables sont ressorties stables, a fait savoir le groupe. Aux Etats-Unis, qui génèrent environ 30% du chiffre d’affaires total de McDonald’s, les ventes des restaurants ouverts depuis plus d’un an ont reculé de 1,5%, en baisse pour le troisième trimestre d’affilée.  La fréquentation des « fast-foods » du groupe demeure en berne dans un contexte de concurrence féroce avec notamment Wendy’s, Burger King et Chick-fil-A. Les analystes anticipaient en moyenne une baisse de 0,3% des ventes à restaurants comparables aux Etats-Unis, selon le cabinet Consensus Metrix.

 

 

Il n’ya pas que la restauration classique qui souffre de la crise même les fast-foods sont touchés.  Ainsi McDonald’s a fait état mardi d’un bénéfice moindre que prévu au deuxième trimestre, le groupe de restauration rapide étant toujours à la peine aux Etats-Unis tandis que ses ventes ont reculé pour la première fois en Europe. Le groupe américain a également dit s’attendre à une baisse de ses ventes mondiales à restaurants comparables en juillet. Le titre recule de 1,26% vers 15h20 GMT sur le New York Stock Exchange. Le bénéfice net de McDonald’s a reculé de près de 1% au deuxième trimestre, à 1,39 milliard de dollars (1,03 milliard d’euros) ou 1,40 dollar par action, contre 1,40 milliard (1,38 dollar/action) un an plus tôt. Ses ventes mondiales ont augmenté de 1% à 7,18 milliards de dollars tandis que les ventes à restaurants comparables sont ressorties stables, a fait savoir le groupe. Aux Etats-Unis, qui génèrent environ 30% du chiffre d’affaires total de McDonald’s, les ventes des restaurants ouverts depuis plus d’un an ont reculé de 1,5%, en baisse pour le troisième trimestre d’affilée.  La fréquentation des « fast-foods » du groupe demeure en berne dans un contexte de concurrence féroce avec notamment Wendy’s, Burger King et Chick-fil-A. Les analystes anticipaient en moyenne une baisse de 0,3% des ventes à restaurants comparables aux Etats-Unis, selon le cabinet Consensus Metrix.

 

Mondial foot 2014: aussi une affaire de gros sous !

Mondial 2014: aussi une affaire de gros sous !

 

Le Mondial est bien sûr un événement sportif incontournable car le foot est le sport le plus populaire mais c’est auusi une affaire de gros sous notamment pour la FIFA. Difficile de critiquer le foot, c’est une activité qui passionne ; on aime le foot mais il fait l’aimer à tous les niveaux y compris au plan des petits clubs amateurs qui forment les joueurs et cela au prix de grands sacrifices de la part des dirigeants non seulement bénévoles mais qui sont souvent contraints de mettre la main à la poche. Rien à voir avec l’élite aux salaires démentiels. Rien à voir non plus avec les dirigeants corrompus de la FIFA.  L’organe dirigeant du football mondial est en effet la cible de critiques régulières: au Brésil, où le peuple conteste une forme de diktat de l’institution et le coût exorbitant du Mondial, mais également un peu partout dans le monde, notamment pour avoir attribué l’édition 2022 dans des conditions que l’on pourrait qualifier de floues. Pourtant, la Fifa ne s’est jamais aussi bien portée. Mercredi 11 juin, à quelques heures de la cérémonie d’ouverture du Mondial, se tenait son congrès annuel à Sao Paulo. L’occasion de dévoiler son rapport financier pour 2013, qui fait état d’un bénéfice net de 72 millions de dollars. En 2012, celui-ci était de 89 millions.  Dans le détail, la Fifa a dépensé 1,314 milliard de dollars l’an passé, en engrangeant 1,386 milliard. Les recettes proviennent en grande partie des droits TV: 630 millions de dollars pour la seule année 2013, dont 601 pour le Mondial 2014. En 2012, ils avaient déjà rapporté 553 millions à la fédération internationale. Par ailleurs, les droits marketing représentent 413 millions de dollars, dont 404 millions pour la Coupe du monde. Au rayon des dépenses, 560 millions de dollars ont été affectés à l’organisation de la Coupe du monde, 161 millions aux autres compétitions (Coupe des confédérations, Coupe du monde U20, etc.) et 36 millions pour dédommager les clubs qui laissent partir leurs joueurs en sélection. Parmi les autres postes de dépenses importants, 216 millions de dollars ont servi à faire fonctionner la Fifa. Avec le fric que brasse le foot, on pourrait au moins permettre la diffusion gratuite de tous les matchs du Mondial et peut-être même aider les petits clubs qui font tourner les écoles de foot où les clubs pros viennent piocher dès que les gamins ont une dizaine  d’années.

Ukraine : « La faute auusi aux désaccords entre les États membres », (Schulz)

Ukraine : « La faute auusi aux désaccords entre les États membres », (Schulz)

 

Confirmation que chaque Etat de l’UE joue en fonction de son propre intérêt dans l’affaire de l’Ukraine. Le candidat socialiste à la présidence de la Commission européenne estime en effet que l’Europe gagnerait en influence si elle parlait d’une même voix dans le dossier ukrainien. Épinglée pour son impuissance dans le règlement de la crise ukrainienne, l’Union européenne pâtit des « désaccords de ses États membres », estime Martin Schulz, le candidat du Parti socialiste européen à la présidence de la Commission européenne le 25 mai prochain. « L’Union européenne et Herman Von Rompuy (l’actuel président du Conseil européen, Ndlr) représentent les 28 États membres. La force de l’Europe dépend de l’unité de ses chefs de gouvernement. Or, on observe une certaine différences entre les pays de l’UE », affirme le social-démocrate allemand, qui souhaite mettre les pays devant « leurs responsabilités », regrettant les positions contradictoires des « Anglais contre le gel des avoirs russes », des « Allemands sur le gaz » et des « Français sur les navires ». À l’inverse, Jean-Claude Juncker ne considère pas que l’Union européenne soit « impuissante ». « Nous avons décidé de réagir. Nous ne souhaitons pas faire la guerre mais nous appliquerons les sanctions qui seront d’un niveau supérieur si Poutine ne change pas d’attitude », a-t-il indiqué.

François Hollande : « Sortir de l’Europe, c’est sortir de l’Histoire »…. et sortir Hollande aussi ?

François Hollande : « Sortir de l’Europe, c’est sortir de l’Histoire »…. et sortir Hollande aussi ?

 Vraiment rien d’original dans la défense de l’Europe de la part de Hollande ; Et même un poncif : « sortir’ de l’Europe, c’est sortir de l’histoire » : Belle formule mais creuse, sans contenu. Certes l’Europe doit être maintenue pour maintenir la paix, c’est essentiel mais cela ne dispense pas d’une critique sévère à l’égard de la bureaucratie et de l’ inefficacité sur le plan économique et social. Ce que Hollande minimise car il ne pèse rien et ne connait rien. Question : sortir hollande, c’est auusi sortir de l’histoire ? Conscient que les élections européennes du 25 mai prochain ne passionnent pas les Français et qu’un fort sentiment eurosceptique semble gagner du terrain dans les esprits, François Hollande a donc écrit une tribune intitulée « L’Europe que je veux » publiée dans Le Monde. Le président de la République y vante les mérites de la construction européenne, démarrée au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. « Le même continent, les mêmes peuples, les mêmes nations se sont relevés et connaissent depuis lors la plus longue période de paix jamais vue dans leur histoire (…) A qui devons-nous cette résurrection inouïe ? A l’Union », assure-t-il.   »L’Europe, c’est la paix », martèle le chef de l’État, qui cite François Mitterrand en affirmant que « le nationalisme, c’est la guerre ». Face au risque de voir un Front national en tête au soir du 25 mai, le Président assure que l’Union européenne représente toujours une solution d’avenir. « Des forces cherchent à la défaire en spéculant sur la déception (…)  Ces manœuvres pernicieuses prospèrent sur un terreau fertile », déplore-t-il. Lucide sur une union qui « déçoit », François Hollande refuse toutefois de l’abandonner. « Certains veulent abandonner l’euro (…) D’autres veulent tout simplement déconstruire l’Europe (…) Sortir de l’Europe, c’est sortir de l’Histoire », prévient le président de la République.

 

Dépeçage Alstom : Toshiba veut aussi un morceau !

Dépeçage Alstom : Toshiba veut aussi un morceau !

 

Le dépeçage continue pour Alstom, Toshiba veut faire une offre à General Electric (GE) au cas où le géant américain parviendrait à acquérir le groupe français Alstom. Il souhaite reprendre une partie de la branche énergie a affirmé jeudi en une le quotidien japonais Nikkei. Selon ce journal, Toshiba est intéressé par l’activité distribution intégrée dans l’ensemble que propose de racheter General Electric. Le groupe nippon semble considérer que la priorité de GE n’est pas la partie distribution d’Alstom et que si Toshiba la prenait à sa charge, la somme à débourser pour GE en serait allégée d’autant. Toshiba, qui a déjà une activité énergie très conséquente, avec des équipements pour centrales et autres appareils, a déjà acquis il y a quelque temps pour 2,3 milliards de dollars la société suisse Landis+Gyr, spécialiste des « compteurs électriques intelligents », équipements essentiels pour les réseaux électriques de nouvelle génération. S’il complétait par l’activité distribution d’Alstom (transformateurs, systèmes de gestion…), il deviendrait puissant dans ce domaine à l’échelle mondiale. La distribution d’électricité représente un marché colossal, d’autant que les réseaux installés sont en voie d’évolution vers ce que l’on nomme généralement les « smart grids », des infrastructures qui couplent la gestion informatique à la distribution électrique stricto-sensu. Toshiba a un chiffre d’affaires dans la distribution qui plafonne actuellement à environ 300 milliards de yens (2,14 milliards d’euros) mais qui serait triplé s’il mettait la main sur la même activité d’Alstom. GE a proposé récemment à Alstom d’acquérir sa branche énergie pour 12,35 milliards d’euros.

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