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« Sarkozy : d’immenses qualités mais aussi d’immenses défauts » ( Juppé)

« Sarkozy : d’immenses qualités mais aussi  d’immenses défauts » ( Juppé)

Juppé pose toujours ses conditions pour accepter le verdict des primaires de l’UMP et il n’exclut toujours pas de se présenter s’il lui parait que ces élections ont été bidonnées. Alain Juppé a estimé dimanche être un « concurrent sérieux » et craint par Nicolas Sarkozy pour l’investiture de l’UMP en vue de l’élection présidentielle de 2017. Dans le cadre d’une émission-portrait qui lui était consacrée sur France 2, le maire de Bordeaux a redit sa détermination à aller jusqu’au bout de la procédure de désignation du candidat de la droite et son espoir de l’emporter sur Nicolas Sarkozy. « C’est une personnalité qui ne laisse pas indifférent (…) avec son énergie, sa volonté de puissance », a-t-il dit.   »Je crois qu’il a vis-à-vis de moi aussi des sentiments mêlés d’amitié et, peut-être, un peu de crainte, parce qu’il pense que je suis un concurrent potentiel sérieux. Il a raison d’ailleurs », a ajouté l’ancien Premier ministre. Il a estimé que Nicolas Sarkozy avait « d’immenses qualités et d’immenses défauts », comme lui. « Ce qui va compter, c’est projet contre projet et, c’est vrai aussi, personnalité contre personnalité », a-t-il fait valoir. Il a réaffirmé que cela dépendrait aussi de l’organisation d’une primaire qu’il souhaite la plus large possible. Dans Le Journal du Dimanche, Nicolas Sarkozy, qui juge l’alternance politique en marche, trois ans après avoir été battu par le socialiste François Hollande, promet une primaire élargie au moins à l’UDI centriste. Alain Juppé a fixé pour sa part à trois millions d’électeurs le seuil satisfaisant — un chiffre atteint, a-t-il rappelé, par les primaires du PS pour la présidentielle de 2012.  Si cette « condition sine qua non » est respectée, il assure qu’il respectera le verdict de telles primaires à droite. « S’il y a 500.000 électeurs, je pense qu’elles n’auront pas de signification véritable parce que c’est le remake (…) de l’élection à la présidence de l’UMP », a expliqué le maire de Bordeaux. « Et ce n’est pas ça qui permet de choisir le champion de l’ensemble de la droite et du centre. » Prié de dire s’il ferait confiance à Nicolas Sarkozy pour redresser la France, il a répondu, non sans ambiguïté : « Je lui ai fait confiance en 2007. » Il a dit vouloir pour sa part relancer la croissance en allégeant les contraintes des entreprises, reconstruire un secteur public « efficace » et un « Etat fort dans ses fonctions régaliennes », rebâtir le système éducatif et réconcilier les Français avec l’Europe. Autant d’objectifs qu’il entend traduire en une dizaine de propositions de réformes « très claires ».  Il a également réitéré sa volonté de tendre la main au centre gauche : « Aujourd’hui, entre un social-démocrate européen (…) et beaucoup de mes amis de l’UMP, il y a la possibilité, peut-être, d’envisager un jour de faire des réformes ensemble pour sortir ce pays du marasme (…) Ça ne peut se faire que sur un projet et je crois que ce sera l’enjeu de la prochaine élection présidentielle. »

 

Après Habitat, Arnaud Montebourg aussi dans l’informatique…et Valls dans la quincaillerie ?

Après Habitat, Arnaud Montebourg aussi dans l’informatique…et Valls dans la quincaillerie ?

 

La politique mène à tout, même à rien ( en termes de résultats pour les Français)  sauf si on en profite pour se reclasser dans les affaires ( certains cependant s’y noient !)  Montebourg, lui,  après trois semaines de formation économique en août 2014 et son éviction de son poste de redresseur économique ministériel a d’abord été nommé Président de France Habitat et aujourd’hui il devient aussi conseiller informatique d’Alcatel Lucent. De quoi réconforter  Valls qui a près la déculottée aux départementales pourra toujours se reconvertir dans la quincaillerie comme PDG ou comme vendeur d’illusion. Vendre des enclumes  ou des promesses politiques,  c’est un peu le même métier. Il faut le faire avec conviction et même d’autorité. Après Habitat, Arnaud Montebourg se lance donc aussi dans l’informatique. Arnaud Montebourg, qui est récemment devenu vice-président de la compagnie française d’ameublement Habitat, va aussi conseiller la société de services informatiques Talan avec également Michel Combes, directeur général de l’équipementier en télécommunication Alcatel-Lucent.  Les deux hommes « auront pour mission de conseiller les dirigeants sur la stratégie de croissance et d’apporter des idées nouvelles », mais « n’auront pas de mission opérationnelle au sein du groupe ». Fervent défenseur du « made in France », l’ancien ministre du Redressement productif poursuit sa volonté de « faire rayonner la marque France à l’international » comme il l’avait annoncé lors de sa nomination à la vice-présidence du groupe Habitat. Le comité d’orientation stratégique de Talan, qui comprend également les cinq dirigeants actuels du groupe, se réunira trois fois par an, la première date étant fixée au lundi 30 mars. Talan, qui revendique un chiffre d’affaires de 100 millions d’euros en 2014, se fixe pour objectif d’atteindre le milliard d’euros, sans indiquer à quelle échéance.

Valls, un crétin … les autres aussi (Michel Onfray)

Valls, un crétin … les autres aussi (Michel Onfray)

 

Hier sur dans le grand journal de Canal plus Michel Onfray n’a pas démenti ses propos, Valls est bien un crétin . Pas seulement lui, la plus grande partie de la classe politique ; une oligarchie  concentrée sur l’apparent, l’immédiat, le dérisoire. Même Juppé s’est fait piégé en avouant qu’il n’avait pas  lu le coran.( et le  le regrettant «  j’ai faat de très longues études effectivement je ne l’ai jamais lu »). Et pourtant c’est loin d’être le  moins inculte de la classe politique. Effectivement  c’est pas facile de parler d’islam et de laïcité quand on ne connait pas les textes ! Mais c’est la même ignorance dans le domaine économique, social, environnemental , sociétal et plus généralement culturel.   Le rejet de la classe politique peut s’expliquer de plusieurs façons. Bien entendu la crise systémique constitue un facteur explicatif fondamental. La  nature, l’ampleur, la durée de cette crise bouleversent les analyses classiques et rendent  obsolètes les vieilles recettes politiciennes. La complexité de cette crise, ses interactions, son champ  géographie supposeraient une approche multisectorielle, économique, bien sûr mais également sociale , environnementale et même culturelle. Une vision à long terme surtout.   Dit autrement cette crise implique une  approche un peu intellectuelle ; or ce sont des technocrates qui nous gouvernent avec forcément une  approche non pas technique mais techniciste. Autrement dit une approche de marchands de chiens surtout soutenue par la com. qui dégouline de tous les propos. Inutile de tourner autour du pot notre classe politique actuelle est globalement inculte, elle n’a pas lu un livre depuis trente ans disait un expert en la matière. Ce n’est pas Fleur Pellerin  , ministre de la culture, qui fait exception Un des derniers intellos  était sans doute Rocard ;Mitterrand aussi ( ce qui prouve cependant que la culture ne fait pas tout ! ). L a com. a pris le pas sur la réflexion et sur le  long terme. La politique est réduite à la réaction et non à l’action stratégique. C’est la posture qui compte,  pas la position de fond et les médias contribuent largement à réduire la sphère de l’action politique en privilégiant l’accessoire voire l’insignifiant. Du coup,  les responsable nationaux en jouent et en surjouent. Les politiques sont devenus des comédiens ,  des marchands de boniments, de poncifs et de contrevérités. Valls ( qu’il ne faut surtout pas attaquer car c’est encore le chouchou des médias), avec ses colères  simulées de Clemenceau d’opérette , ses incantations permanentes à l’autorité, ses hymnes à la responsabilité est sans doute l’un des plus pathétique car il masque en réalité toute velléité de réforme structurelle aux enjeux essentiels. Hollande, Sarko, Lepen, la plupart des grands leaders s’inscrivent dans la mouvance dialectique énarchique. Parler pour ne rien dire en donnant l’impression de connaitre les dossiers. Mais en surfant  sur les vagues « sondagières » , ce qui rend toute compréhension et toute cohérence impossibles. Ils  auraient du mal à penser par eux-mêmes car la plupart sont incultes. Et cette langue de bois les rassure , en tout cas masque le vide sidéral de leur pensées, ne parlons pas de leurs vraies convictions qui se limitent  à leur avenir personnel. Seconde insuffisance tragique, la méconnaissance du réel. Tous sont des bourgeois, certains même de très grands bourgeois,  qui ne peuvent avoir la moindre idée des réalités sociales et culturelles. Quand ils vont sur le terrain ( comme il disent,)  c’est pour  rencontrer des notables ou serrer des mains de manière furtive. Que connaissent-il du chômage, des inégalités, de la pauvreté, des prisons, de l’  immigration ou même des écoles(  leurs enfants ne sont pas dans l’école du quartier et ou ne préparent pas un bac pro qui mène tout droit à pôle emploi). Du coup, ils privilégient  une  approche virtuelle de la société en soumettant le réel à la déformation du prisme  de leur vision. Pas étonnant que sur l’école, la violence ou le terrorisme par exemple, on aboutisse à des plans ridicules. Même chose en matière d’économie et là essentiellement du fait que l’oligarchie ignore tout de cette étrange planète. Pas étonnant,  ce sont presque tous des fonctionnaires. Dernier  élément de  cette caricature de la classe politique :  son incompétence pour les raisons déjà évoquées. Comment appliquer des thérapies de choc quant on ignore le nature et l’ampleur des pathologies. On soigne donc  les cancers sociétaux avec des dolipranes. Evidemment le paysage politique ne changera avec un changement de majorité, il faudra bien autre chose, une révolution culturelle non pas violente mais radicale pour transformer une  sociologie politique  complètement obsolète surtout au sommet des partis et des institutions. Aussi un autre contenu de la démocratie.

Rugby-France -Pays de Galles (13-20), toujours aussi ennuyeux

France -Pays de Galles (13-20), toujours aussi ennuyeux

 

Il y a longtemps que le XV de France ne fait plus rêver notamment depuis l’arrivée de l’entraineur Philippe St André. Manque de vitesse, de fluidité et surtout d’invention. Avec en plus des maladresses et des points laissés en route. En fait l’équipe est corsetée par un jeu stéréotypé , prévisible pour l’adversaire ; l’ impression que les jouer sont corsetés. Bref du jeu à la galloise mais en moins bien. On attend que cette équipe se libère, qu’elle innove, qu’elle offre du jeu, qu’elle prenne du plaisir aussi ; Avec St André pas question, le jeu est triste à mourir comme St André lui-même qui donne l’impression de pleurnicher quand il parle. Pas de quoi vraiment motiver uen équipe. On va sûrement attendre que l’équipe touche le fond pour changer enfin d’entraineur.  Les Bleus se sont donc  faits bousculés par le Pays de Galles au Stade de France (13-20) Et une bronca pour finir ! L’équipe de France s’est de nouveau inclinée à domicile face au pays de Galles (13-20). Comme il y a deux ans donc. Voilà quatre fois de suite que les Bleus tombent face au XV du Poireau. Déjà battue en Irlande (18-11), la France peut dire adieu à ses rêves de victoire finale dans le Tournoi. «Ce qui a fait notre force, la défense, nous a aujourd’hui fait défaut, déplore Thierry Dusautoir, le capitaine tricolore. On n’a pas réussi à concrétiser toutes nos pénalités. On termine à moins sept. La différence est courte mais bien présente. C’est encore une grosse déception». Menés 6-3 à la pause, les Bleus étaient déjà retournés au vestiaire sous les sifflets parce que Camille Lopez venait de totalement manquer une deuxième pénalité. Auparavant, le public n’avait eu que deux occasions de se réchauffer. La première sur une passe du pied de Lopez qu’Huget ne volleyait pas assez fort pour Dulin (13e). La seconde sur un essai d’Huget, finalement refusé logiquement pour un léger en-avant de Lopez (34e). Après le repos, Morgan Parra prenait à son compte la première pénalité française. Sans plus de réussite que Lopez (42e). Mais les Bleus semblaient enfin vouloir accélérer. Ils se faisaient surprendre sur un essai de Biggar (60e). Halfpenny passait une nouvelle pénalité pour porter le score à 17-6 (65e). Au plus mal, les Français réagissaient enfin et Dulin concluait dans l’en-but un mouvement intense (13-17, 68e). L’espoir était de courte durée. Halfpenny réussissait en effet une nouvelle pénalité (20-13, 74e). Les Bleus cherchaient en vain à arracher le match nul. Comme si cela ne suffisait pas, une autre mauvaise nouvelle était venue un peu plus tôt d’Ecosse où l’Italie s’est imposée sur le fil (22-19). Le rendez-vous du 15 mars, à Rome, chez le premier adversaire de la Coupe du monde s’annonce plus périlleux que jamais.

 

 

Ukraine : Poutine toujours aussi énigmatique

Ukraine : Poutine toujours aussi énigmatique

 

Finalement on se demande si le déplacement de Merkel et de Hollande à Moscou aura servi à quelque chose. Poutine toujours aussi insaisissable déclare qu’il n’est en guerre contre personne. Merkel et Hollande eux ne sont pas d’un optimisme  débordant. Dès lors que la Russie déclare n’être en guerre contre personne toute tentative de médiation devient de fait obsolète. En attendant les affrontements continuent dans l’Est de l’Ukraine. Poutine, le sphinx, n’est par ailleurs pas mécontent d’entretenir un foyer nationaliste pour cacher l’écroulement de sa propre économie, (rouble, matières premières, fuite des capitaux etc.).  Après la rencontre vendredi à Moscou entre Angela Merkel, Vladimir Poutine et François Hollande – négociations jugées «constructives» qui ont duré cinq heures – le sort de l’Ukraine est toujours en suspens. Dimanche, les trois leaders et le président ukrainien Porochenko doivent à nouveau se parler au téléphone afin de sceller ou non un accord. En attendant, la journée de samedi a été ponctuée à distance de petites phrases des uns et des autres.  Depuis son fief de Tulle, en Corrèze, où il était en déplacement pour poser la première pierre d’un cinéma, c’est François Hollande qui a lancé la première salve. «Je pense que c’est une des dernières chances. (…) Si nous ne parvenons pas à trouver un accord durable de paix, nous connaissons parfaitement le scénario: il a un nom, il s’appelle la guerre», a déclaré le président à propos de la réunion téléphonique prévue dimanche.  De son côté, la chancelière allemande Angela Merkel, en déplacement à Munich où elle a rencontré le président ukrainien Porochenko a affirmé son scepticisme quant à l’issue des pourparlers de paix. Il n’est «pas certain» que les négociations aboutissent mais il faut essayer, a t-elle déclaré, se montrant extrêmement prudente sur la possibilité d’un accord à court terme.  La chancelière s’est dite également opposée à la livraison d’armes occidentales à Kiev. «Je suis intimement convaincue que ce conflit ne peut être réglé militairement (..) Les progrès dont l’Ukraine a besoin ne peuvent être atteints avec plus d’armes».  Une heure après Angela Merkel, le ministre des Affaires étrangères russe Sergueï Lavrov s’est d’abord montré optimiste. «Il est tout à fait possible» de trouver un accord pour «dénouer le conflit», a-t-il assuré. Mais dans la suite de son propos, il s’est montré beaucoup plus inflexible: la Russie continuera de soutenir les séparatistes. «Ils vivent sur leur terre, ils se battent pour leur terre, leur cause est juste», a-t-il assuré en renvoyant la responsabilité de la dégradation de la situation aux Occidentaux. «Les Etats-Unis et l’Union européenne ont cherché l’escalade à chaque moment», a-t-il accusé. Le conflit en Ukraine repose, aux yeux de la Russie, sur le droit des minorités russes de choisir librement leur avenir, a-t-il insisté en rappelant provocateur, que le rattachement de l’Allemagne de l’Est à l’Allemagne de l’Ouest s’était fait sans référendum. Plus tôt dans la matinée, le général américain Philip Breedlove, commandant des troupes de l’Otan en Europe, avait défendu pour sa part «l’option militaire» aux côtés de la diplomatie et des sanctions, plus spécifiquement l’envoi d’armes visant à contrebalancer les faiblesses de Kiev en matière «d’artillerie et de communication».

Croissance: l’Allemagne plonge aussi

 

A limage de la croissance mondiale, l’activité de l’Allemagne se tasse sérieusement. La production industrielle allemande de décembre a légèrement déçu avec une hausse minime de 0,1% sur un mois, plus faible que prévu. Les analystes interrogés par le fournisseur de services financiers Factset misaient eux sur une progression plus marquée, de 0,5%. L’industrie est un secteur très important en Allemagne, première économie de la zone euro. Sa production avait faibli lors de l’été 2014 puis repris de la vigueur à l’automne, mais elle a quasiment stagné sur les deux derniers mois de 2014. En Chine , éprès celui de l’activité manufacturière c’est l’indicateur des services qui est décevant. - Le secteur des services a progressé en janvier au rythme le plus lent de ces six derniers mois, selon l’indice PMI/HSBC des services publié mercredi. L’indice s’établit à 51,8, bien en deçà des 53,4 enregistré en décembre. Un indice supérieur à 50 témoigne d’une croissance de l’activité; sous ce seuil, on entre dans une phase de contraction  L’usine du monde tourne au ralenti du fait de l’atonie de la demande mondiale. Le ralentissement se fait même sentir aux Etats-Unis Après deux trimestres très dynamiques, la croissance américaine a déçu sur les trois derniers mois de 2014. Le Produit Intérieur Brut (PIB) a progressé sur un rythme annualisé de 2,6 % (soit une croissance réelle de 0,65 %) entre octobre et décembre, selon les statistiques publiées, vendredi 30 janvier, par le Département du commerce. La production manufacturière chinoise, elle,  s’est contractée en janvier, selon HSBC qui a publié aujourd’hui son indice PMI des directeurs d’achat pour la Chine, un jour après que le gouvernement eut aussi annoncé une contraction. L’activité de la deuxième économie mondiale reste confrontée à une « détérioration », a souligné la banque en commentant ce chiffre morose. L’indice PMI calculé par HSBC s’établit à 49,7, contre 49,6 en décembre. Avant décembre, il fallait remonter à mai pour trouver un niveau plus mauvais, à 49,4. Un chiffre supérieur à 50 marque une expansion de l’activité manufacturière, tandis qu’un indice inférieur à ce seuil signale une contraction.  Hier, le gouvernement avait déjà annoncé un indice PMI des directeurs d’achat de 49,8, contre 50,1 en décembre. Il s’agit de la première contraction en 27 mois rapportée par le Bureau national des statistiques (BNS).  »Nous estimons que la demande dans le secteur manufacturier reste faible », a souligné Qu Hongbin, économiste chez HSBC. La Chine a vu sa croissance économique ralentir fortement en 2014, à 7,4%, glissant à un niveau plus vu depuis près d’un quart de siècle, selon des chiffres gouvernementaux.

 

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Terrorisme : La banalisation de la violence aussi en cause

Terrorisme : La banalisation de la violence aussi en cause

 

Comme  déjà indiqué dans c site les facteurs explicatifs sont nombreux (situation sociale globale, ghettoïsation de certains  quartiers, laxisme de la justice, montée internationale de l’islamisme, engagement un peu inconsidéré la France dans certains conflits, contestation de l’autorité partout, perte des valeurs de civilités, individualisme, responsabilité des parents, faillite de l’école etc.). Des facteurs explicatifs interactifs qui ont favorisé l’émergence de fondamentalistes et de terroristes potentiels. La banalisation de la violence constate aussi un élément d’explication .Il suffit de voir combien cette violence est présente dans les jeux vidéo, à la télévision, dans les films. D’une certaine manière c’est un peu le concours Lépine de la violence. Plus il y a de tueries, plus c’est « tendance ce sont plus dangereux chez des jeunes sans éducation et surtout sans repère. Du coup certain ont du mal à faire le distinguo entre ce monde virtuel et la réalité. D’où peut-être la nécessité d’une réflexion sur le rôle des jeux, de la télé, du cinéma ou d’Internet quant à la banalisation de cette violence. Dans un sondage très récent pour le JDD 5%des Français se prononcent pour une limitation de la liberté d’expression. Ils ont sans doute rayon car pour assurer la sécurité tous il faut accepter d’en payer le prix en terme dérégulation de certaines libertés. Mais ceci devrait valoir pour tous les supports. Ce n’est pas forcément la loi qui est nectaire pour réguler les ces évoqués mais peut être la mise en place de comités de déontologie dans chacun des médias et supports évoqués. Le CSA a abordé avec une certaine prudence cette question “la télévision d’être la cause de la violence et de tous les maux de la société est un procès trop facile. Il revient à confondre la cause avec le symptôme. Télévision et violence s’inscrivent moins dans une relation proprement causale que dialectique et mimétique : la télévision est un miroir déformant et grossissant de la société. Elle nous présente une société caricaturée et la société se met à ressembler à sa caricature. Comme un écho à la violence réelle, la télévision participe à une banalisation de la violence du monde. Bon nombre de conclusions d’experts l’attestent, cette banalisation de la violence n’est pas sans effet sur les jeunes, plus vulnérables, qui différencient mal le réel du virtuel. La violence des images peut perturber leur socialisation, générer de l’anxiété, de la peur, et provoquer de l’agressivité face à un monde représenté comme dangereux. C’est pourquoi nous ne pouvons nous laisser aller à l’inertie et à l’immobilisme” (CSA). Certes la télévision est un miroir déformant  de la société mais l’image qu’on en donne  dans l’audiovisuel  contribue à structurer , à influencer cette société.

Départementales : « un carnage aussi pour l’UMP »

Départementales : «  un carnage aussi pour l’UMP »

 

C’est Nadine Morano qui le prédit pour l’UMP dans les zones rurales. Certes il y a de la part de la rancœur puisqu’en fait elle a été écartée de la nouvelle direction de l’UMP au profit de personnalités comme NKM. Pas sûr que Morano ait tort et que le coté BCBG de NKM Vauquiez soient de nature à renforcer la crédibilité d’un parti qui (comme le PS) se cherche un positionnement politique. Théoriquement le mode de scrutin est favorable à l’UMP mais effectivement la réforme territoriale bâclée ( et qui risque d’accentuer la désertification)du gouvernement pourrait aussi sanctionner le parti de Nadine Morano.  Nadine Morano, qui fut ­ministre chargée de l’Apprentissage et de la Formation professionnelle dans le gouvernement Fillon III et qui est aujourd’hui députée européenne, ne décolère pas. Comment Nicolas Sarkozy, pour qui elle s’est battue depuis toujours et par tous les temps, a-t-il pu la laisser sur le bord du chemin à l’heure de la refondation de l’UMP, ne lui proposant (et encore : avec retard) qu’un poste de secrétaire nationale tandis que NKM accédait, elle, vertigineusement à la vice-présidence du parti? Ce titre de secrétaire nationale, Nadine Morano ne l’a pas seulement refusé (« Chez moi, en Lorraine, on ne déshonore pas les gens. Il me doit autant que je luis dois ») ; elle répète depuis, car sa colère n’est pas retombée, qu’elle a dit au nouveau président de l’UMP ses quatre vérités. Et les murs ont tremblé. Pour faire bonne mesure, la militante Morano – qui parle carré, n’a jamais aimé les salons bourgeois et achève un récit où elle a décidé de livrer, loin de ceux qui la moquent ou la sous-estiment, sa part de vérité – a dit sur RTL, l’air de rien, qu’Alain Juppé était un homme d’État et qu’après tout, le jour venu, entre Sarkozy et le maire de Bordeaux… C’est peu de dire que Nicolas Sarkozy n’a pas apprécié. ­D’autant qu’elle ajoute maintenant que le retour de Sarkozy a « ressoudé la gauche ». Bigre! Nadine Morano – qui a déposé en 2012 les statuts d’un petit parti dont elle n’est pas peu fière, le Rassemblement pour le peuple de France – assure que « la politique politicienne l’insupporte au plus haut point », qu’elle en a marre « des cire-pompes », qu’elle ne comprend pas « le management de l’UMP », qu’elle veut parler du « fond » et que les prochaines élections risquent d’être, ­notamment en milieu rural, « un ­carnage » car on sous-estime, selon elle, ce qui se passe du côté du FN. Le poids de l’amertume?

Bygmalion : Balkany impliqué aussi !

Bygmalion : Balkany impliqué aussi !

 

 

Un petit contrat de 200 000 euros pour un « relookage » invisible d’un site internet de la mairie de Levallois par Bygmalion ; une ville qui possède déjà un service de com. de 35 personnes !  D’après  Le Point, l’Association des contribuables de Levallois-Perret s’interroge sur un contrat de 192.000 euros réglé par la ville à l’agence Bygmalion, et a décidé de porter plainte pour « détournement de fonds publics ». Selon les informations de l’hebdomadaire, ce contrat vieux de deux ans s’intègre dans le cadre d’une campagne pour la refonte du site Web de la ville et de sa promotion sur les réseaux sociaux. Or, l’association émet des doutes sur la réalité de la prestation : ainsi, le relooking à grands frais du site internet a été tellement « subtil » que personne à Levallois n’a pu détecter le changement. Même son de cloche pour le compte Twitter, créé en septembre 2011 et utilisé la première fois en janvier 2013, alors que le contrat entre Bygmalion et la mairie date de février 2012. Isabelle Balkany balaye ces accusations d’un revers de main : « Nous étions largués sur les réseaux sociaux, Bygmalion nous a aidés à rattraper notre retard », a-t-elle précisé. « Nous nous sommes déjà expliqués sur ce point lors d’un conseil municipal avant l’été. » Certains dans le 92 s’interrogent pourtant. Pourquoi la ville, qui dispose d’un pléthorique service de communication de 35 personnes, a-t-elle eu besoin de recourir à l’expertise de Bygmalion ? Les soupçons de « petits arrangements » entre amis sont renforcés par la présence au conseil municipal de Pierre Chassat, directeur adjoint du cabinet de Copé à l’UMP et désormais adjoint en charge de la communication à Levallois-Perret mis en en examen pour « faux et usage de faux » dans le cadre de l’enquête sur le financement de la campagne présidentielle de 2012.

 

Pollution à Paris : aussi nocive que la cigarette

Pollution à Paris : aussi nocive  que la cigarette

Paris accumule les pics de pollution, des pics de pollution mortels puisqu’aussi dangereux que la cigarette. Principal responsable : la circulation automobile. Paradoxe cette hyper concentration urbaine n’empêche pas d’envisager une ville encore plus concentrée : le Grand Paris. La folie conjointe des urbanistes et des politiques. Aussi des économistes qui louent la « croissance endogène » des zones très agglomérées (en clair les zones idéales pour le businesse où il faut payer pour tout !). Dans Paris en plein pic de pollution est aussi néfaste que de se trouver dans une pièce de 20m² où huit cigarettes seraient allumées en même temps. Voilà l’image, éloquente, choisie par des chercheurs du CNRS pour illustrer la gravité de la situation dans une étude publiée ce lundi. Ils en concluent donc que le niveau de pollution de l’air parisien est comparable à du tabagisme passif.  Principal danger de cette forte pollution: les particules fines, qui ont atteint des taux nettement plus élevés qu’en temps normal à Paris. Jusqu’à 30 fois plus, précisément, le 13 décembre 2013, selon les données récoltées grâce au ballon de Paris pendant dix-huit mois, au-dessus du parc André-Citroën.   « Les grosses particules s’arrêtent dans la gorge et le nez. Les petites vont jusqu’aux poumons et les alvéoles. Les plus petites vont dans le sang et peuvent alors provoquer des maladies cardio-vasculaires », a expliqué sur RTL Jérôme Giacomoni, le créateur du ballon Générali utilisé pour cette étude.  « La pollution de l’air représente un risque environnemental majeur pour la santé, estime l’OMS. En diminuant les niveaux de pollution atmosphérique, les pays peuvent réduire la charge de morbidité imputable aux accidents vasculaires cérébraux, aux cardiopathies, au cancer du poumon et aux affections respiratoires, chroniques ou aiguës, y compris l’asthme. »  « En 2012, on estimait à 3,7 millions le nombre de décès prématurés provoqués dans le monde par la pollution ambiante (de l’air extérieur) dans les zones urbaines et rurales », explique par ailleurs l’organisme sur son site.

Sivens : Valls auusi responsable (Duflot)

Sivens : Valls aussi responsable (Duflot)

Cécile Duflot estime à juste titre que Valls a une part de responsabilités dans les événements de Sivens du fau faiat de son autoritarisme et de ses coups de mentons médiatiques ; Dans une interview au Monde publiée vendredi, après la mort d’un manifestant à Sivens, l’ancienne ministre du Logement estime qu’il a « dégradé la situation » sur place. « En septembre, le Premier ministre s’est rendu dans le Tarn pour dire ‘nous avons tenu bon à Sivens’, avec le ton martial et cette capacité à surjouer l’autorité qui le caractérisent. Je pense que cette déclaration de Manuel Valls, alors que le rapport des experts était en cours, a dégradé la situation », explique-t-elle.  La députée écolo, estime également que le chef du gouvernement propose « une synthèse libérale autoritaire alors que la modernité est démocratique et écologiste ». « Plus profondément, c’est la question de la façon de faire qui est posée à la politique. Ce ne peut pas être des sachants, fussent-ils élus, qui imposent tout avec autorité. Cette soi-disant autorité étant d’ailleurs toujours affirmée contre les plus faibles : les Roms ou des pacifistes. Le pays a besoin de réconciliation, de concorde, de dialogue et d’écoute. Nous pouvons faire émerger une démocratie participative qui élabore collectivement. Il n’y a pas besoin de confrontation ni d’agitation médiatique pour faire avancer mieux les choses », ajoute-t-elle dans une allusion transparente à l’omniprésence médiatique du Premier ministre. Elle ne veut pas dire si elle fait encore partie de la majorité. L’ancienne ministre estime qu’il s’agit « d’une question désuète ». « Une majorité ne se décrète pas par principe, mais parce qu’elle répond à des valeurs et à un projet commun. Aujourd’hui, le gouvernement nous a quittés lorsqu’il défend un projet contraire à ce pourquoi nous avons été élus. Au-delà de ces aspects politiciens, c’est le devoir d’une génération que de redonner du sens à la politique », assure-t-elle

 

Emploi : recul aussi dans le commerce

Emploi : recul aussi dans le commerce

 

Après l’industrie c’est maintenant le commerce qui décline. Pas étonnant compte tenu d’une part de la baisse du pouvoir d’achat mais auusi du manque de confiance des consommateurs. « Depuis 2009, le commerce était en effet le premier créateur d’emplois, avec un solde positif de 89 000 postes », relève David Cousquer, le fondateur de Trendeo qui a rélisé l’étude . La fin de cette période constitue donc un « phénomène significatif et inquiétant », ajoute-t-il. Le mouvement est engagé depuis 2010. De trimestre en trimestre, les créations d’emplois se font plus rares, tandis que la courbe des suppressions monte régulièrement. Une évolution à relier à la crise, qui pèse de plus en plus sur le pouvoir d’achat des Français. Pour éviter de perdre trop de clients, les enseignes de la grande distribution se sont lancées depuis deux ans dans une guerre des prix. Elle comprime leurs marges. Un contexte qui ne les incite pas à embaucher massivement. De nombreuses sociétés intervenant dans le négoce et la distribution au sens large ont dû réduire la voilure. En 2013, Descours & Cabaud, un négociant lyonnais en produits pour le BTP et l’industrie, a ainsi allégé son effectif d’environ 400 personnes. Les repreneurs de La Redoute, ancienne filiale de Kering (ex-PPR), ont prévu de leur côté un plan social comportant la suppression de 1 178 postes en quatre ans. Les pertes dans le petit commerce sont moins spectaculaires mais pour cependant  importantes.

 

 

Sondage popularité Hollande : toujours aussi bas

Sondage popularité Hollande : toujours aussi bas

 

 

Hollande toujours en bas confirme son impopularité historique. Valls, lui remonte mais paradoxe perd autant de points sur sa capacité à sortir de la crise ; Autrement dit c’est parce qu’il joue perso  que Valls remonte pas sur sa politique. La cote de François Hollande est stable à un niveau très bas, 19% d’opinions favorables, tandis que celle de son Premier ministre Manuel Valls regagne quatre points à 47% dans le tableau de bord mensuel IFOP Paris Match publié mercredi. Si une très grande majorité de Français sont toujours très critiques de sa politique économique, la cote du chef de l’Etat redevient majoritaire (51%, soit +4 points) sur la question de savoir s’il défend bien les intérêts de la France à l’étranger. La popularité de Manuel Valls regagne pour sa part quatre des dix points perdus dans l’enquête de septembre. Mais le nombre de Français qui le jugent capable de sortir le pays de la crise passe d’un mois sur l’autre de 35% à 31%.  L’enquête a été réalisée les 3 et 4 octobre auprès d’un échantillon représentatif de 1.004 personnes interrogées par téléphone.

 

Immobilier : taux au plus bas mais demande credit aussi au plus bas

Immobilier : taux au plus bas mais demande credit aussi au plus bas  

C’est le paradoxe les taux n’ont jamais été auusi bas depuis plus de 70 ans et dans le même temps les demandes de crédit ne cessent de reculer. En cause le prix des logements beaucoup trop chers et inaccessibles (en particulier le foncier mais pas seulement.)à nombre de ménages  .). Du coup les candidats à la propriété notamment les primo-accédants n’atteignent pas les seuils de solvabilité. Il faudrait donc agir sur le niveau des prix et étaler davantage dans le temps les remboursements dont les échéances mensuelles sont trop lourdes. Comme en Allemagne par exemple où les crédits sont étalés jusqu’à 40 ou 50 ans contre au maximum 20 ans en France. En outre les organismes de crédit ont notoirement resserré les conditions de délivrance de ces crédit non seulement concernant le niveau de revenus mais aussi leur stabilité dans le temps. (Candidats avec un CDD s’abstenir !). Lentement mais sûrement, les taux des crédits immobiliers continuent de baisser. En août, les Français se sont endettés à 2,68 % en moyenne (hors assurance), contre 2,7 % en juillet, constate l’Observatoire Crédit Logement/CSA, souligne l’étude. Un niveau auquel personne ne croyait en début d’année.  La quasi-totalité des crédits (97 %) ont été accordés à un taux inférieur à 3,5 % (contre 85,2 % en 2013). Les particuliers ont emprunté sur 17,4 ans en moyenne (209 mois). Ceux qui accèdent pour la première fois à la propriété se sont endettés sur une durée plus longue: 19,9 ans pour un achat dans le neuf et 18,4 ans pour un logement ancien. Mais il faut un apport personnel de plus en plus conséquent pour pouvoir emprunter: il progresse de 0,9 % sur un an fin août, après un repli de 5,5 % en 2013. Depuis le début de l’année, les taux ont déjà perdu 0,4 %. «En août, la baisse s’est ralentie, sur un marché très tranquille durant cette période estivale», souligne toutefois, l’étude, précisant tout de même que «le mouvement de recul, qui dure depuis plusieurs mois, est inédit depuis les années 1940. Les raisons? Le taux de l’OAT, l’obligation d’Etat à 10 ans sur lequel sont indexés les prêts à taux fixe a fortement baissé depuis le début de l’année. Cette tendance s’est même amplifiée pendant l’été, l’OAT atteignant des niveaux historiquement bas (1,31 % le 3 septembre). Paradoxalement, malgré ces conditions d’emprunt exceptionnelles, le nombre de crédits accordés a reculé en août de 5,6 % sur un an. Le ralentissement constaté depuis le printemps laisse attendre une année 2014 médiocre», prévoit l’Observatoire Crédit Logement/CSA…

 

Fast-food : la crise aussi

Fast-food : la crise aussi

 

Il n’ya pas que la restauration classique qui souffre de la crise même les fast-foods sont touchés.  Ainsi McDonald’s a fait état mardi d’un bénéfice moindre que prévu au deuxième trimestre, le groupe de restauration rapide étant toujours à la peine aux Etats-Unis tandis que ses ventes ont reculé pour la première fois en Europe. Le groupe américain a également dit s’attendre à une baisse de ses ventes mondiales à restaurants comparables en juillet. Le titre recule de 1,26% vers 15h20 GMT sur le New York Stock Exchange. Le bénéfice net de McDonald’s a reculé de près de 1% au deuxième trimestre, à 1,39 milliard de dollars (1,03 milliard d’euros) ou 1,40 dollar par action, contre 1,40 milliard (1,38 dollar/action) un an plus tôt. Ses ventes mondiales ont augmenté de 1% à 7,18 milliards de dollars tandis que les ventes à restaurants comparables sont ressorties stables, a fait savoir le groupe. Aux Etats-Unis, qui génèrent environ 30% du chiffre d’affaires total de McDonald’s, les ventes des restaurants ouverts depuis plus d’un an ont reculé de 1,5%, en baisse pour le troisième trimestre d’affilée.  La fréquentation des « fast-foods » du groupe demeure en berne dans un contexte de concurrence féroce avec notamment Wendy’s, Burger King et Chick-fil-A. Les analystes anticipaient en moyenne une baisse de 0,3% des ventes à restaurants comparables aux Etats-Unis, selon le cabinet Consensus Metrix.

 

 

Il n’ya pas que la restauration classique qui souffre de la crise même les fast-foods sont touchés.  Ainsi McDonald’s a fait état mardi d’un bénéfice moindre que prévu au deuxième trimestre, le groupe de restauration rapide étant toujours à la peine aux Etats-Unis tandis que ses ventes ont reculé pour la première fois en Europe. Le groupe américain a également dit s’attendre à une baisse de ses ventes mondiales à restaurants comparables en juillet. Le titre recule de 1,26% vers 15h20 GMT sur le New York Stock Exchange. Le bénéfice net de McDonald’s a reculé de près de 1% au deuxième trimestre, à 1,39 milliard de dollars (1,03 milliard d’euros) ou 1,40 dollar par action, contre 1,40 milliard (1,38 dollar/action) un an plus tôt. Ses ventes mondiales ont augmenté de 1% à 7,18 milliards de dollars tandis que les ventes à restaurants comparables sont ressorties stables, a fait savoir le groupe. Aux Etats-Unis, qui génèrent environ 30% du chiffre d’affaires total de McDonald’s, les ventes des restaurants ouverts depuis plus d’un an ont reculé de 1,5%, en baisse pour le troisième trimestre d’affilée.  La fréquentation des « fast-foods » du groupe demeure en berne dans un contexte de concurrence féroce avec notamment Wendy’s, Burger King et Chick-fil-A. Les analystes anticipaient en moyenne une baisse de 0,3% des ventes à restaurants comparables aux Etats-Unis, selon le cabinet Consensus Metrix.

 

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