Archive pour le Tag 'aumône'

100 millions pour les transports urbains dee province : une aumône

100 millions pour les transports urbains de province : une aumône !

Le ministre des Transports, Clément Beaune a annoncé le déblocage de 300 millions d’euros pour les autorités organisatrices de mobilité, soit 200 millions prévus pour Île-de-France Mobilités, mais 100 millions d’euros pour les autorités de province.

Il est clair que 100 millions pour les autorités organisatrices de transport de province constituent en faite une aumône. Cela représente à peu près 1 million par département et quelques centaines de milliers d’euros par grande ville. Dans le même temps et a juste titre ce sont des milliards et des milliards qui sont consacrés au transport parisien. Encore une fois cette politique porte ses fruits puisqu’une majorité de parisiens ne possède pas d’automobile et utilise les transports en commun.

Il en va différemment dans les villes de province ou le niveau et la qualité des transports ne sont pas,et de loin ,à la hauteur de la demande en particulier pour les déplacements domicile travail

Pour autant, ce ne sont pas les élus locaux qui vont donner au ministre des Transports les listes des autorités organisatrices de mobilité concernées, mais les services de Clément Beaune qui vont y travailler. « On saura tout début janvier ce que ça donne », estime le maire de Toulouse et président de Toulouse Métropole.

« Le modèle économique a été très secoué par la crise sanitaire, avant d’être réattaqué par l’inflation et la crise énergétique. Le modèle est à bout de souffle », insiste Jean-Luc Moudenc,Maire de Toulouse.

À titre personnel, le maire de Toulouse propose, lui, que les avances remboursables de la crise Covid soient transformées en subventions et plaide pour le déplafonnement du versement mobilité, aujourd’hui limité à 2%, exception faite d’Île-de-France Mobilités qui peut monter jusqu’à 2,9%. « Il faut autoriser un déplafonnement raisonnable, limité dans le temps et ciblé selon des critères. Cela nous donnerait des moyens d’agir », ajoute-t-il.

« Alors que l’Etat ne cesse de nous supprimer des impôts économiques, comme la cotisation sur la valeur ajoutée (CVAE) et les impôts de production, il nous impose des contraintes, type zone à faibles émissions-mobilité (ZFE-m). Personne ne les conçoit sérieusement sans investir davantage dans les transports en commun », poursuit Jean-Luc Moudenc.

L’édile de la Ville Rose en sait quelque chose. Conformément à ses engagements de campagne municipale, un premier marché public de 1,100 milliard d’euros a été attribué il y a dix jours dans le cadre de la réalisation d’une troisième ligne de métro. Une nouvelle infrastructure qui coûtera à terme près de 4,2 milliards d’euros. « C’est le plus gros investissement en France hors Grand Paris Express et LGV Bordeaux-Toulouse ».Évidemment ce ne sont pas les 100 millions pour les transports de province qui participeront beaucoup à ce financement.

Chèque carburant : une aumône ridicule

Chèque carburant : une aumône ridicule

Le gouvernement se vante d’avoir substitué à des mesures bouclier une mesure ciblée avec le chèque carburant 100 €. Un gouvernement qui sans doute oublie qu’à travers la fiscalité le carburant a fait rentrer des ressources très importantes dans le budget.Il est même probable que ce chèque ne sera même pas réclamé par une grande partie des bénéficiaires avec le coût du temps passé et des formalités pouvant parfois dépasser le bénéfice.Il aurait été plus efficace et plus rapide d’encourager les entreprises à augmenter les allocations transport notamment pour les bas salaires. Ce n’est pas à l’Etat de gérer directement des questions de pouvoir d’achat. À quand un chèque pour le pain ou la viande ?

Il faut noter le cas des parisiens qui pourront toucher cette prime bien que plus de la moitié n’utilise pas leur voiture pour se rendre au travail. Environ dix millions de Français, «les plus modestes», pourront bénéficier de ce chèque de 100 euros. Ce dernier d’adresse aux travailleurs, comme les salariés, les fonctionnaires ou les indépendants. Seule condition : le revenu fiscal de référence par part ne doit pas dépasser 14.700 euros en 2021. Selon les estimations de Bercy, une personne seule ne doit pas avoir gagné plus de 1314 euros nets par mois l’année dernière. Un couple avec un enfant ou une femme seule avec deux enfants ou un couple avec deux enfants auront le même plafond de revenus de 3285 euros mensuels. Enfin, un couple avec trois enfants doit avoir déclaré 5255 euros par mois comme revenu fiscal de référence en 2021. À noter que si deux adultes sont imposables, l’aide pourra être doublée à 200 euros pour l’ensemble du ménage.

Pour recevoir le chèque, il faudra s’inscrire directement sur le site des impôts, où un espace dédié sera mis en ligne «dès le 16 janvier», selon le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire. Vous devrez renseigner votre numéro fiscal, votre plaque d’immatriculation et remplir une déclaration sur l’honneur indiquant que vous utilisez bien votre voiture pour vous rendre au travail. Une fois la demande validée, les 100 euros seront crédités huit jours plus tard en une seule fois directement sur votre compte bancaire.

Inflation: Une aumône de 100 euros pour les pauvres

Inflation: Une aumône de  100 euros pour les pauvres

 

 

Alors qu’on s’oriente officiellement vers une inflation de leur de 10 % ( inflation sous-estimée par l’INSEE du fait de l’évolution structurelle de la consommation notamment des ménages dans les dépenses contraintes ne cessent  d’augmenter, le gouvernement envisage une aumône de 100 € pour les pauvres.

 

Au rythme actuel, l’inflation moyenne en Europe aura atteint et même dépassé les 10 % d’ici la fin de l’année . Après avoir grimpé de 7,4% en avril à 8,1% en mai, l’inflation atteint désormais 8,6% en moyenne dans les 19 pays ayant adopté la monnaie unique. ). En cause d’abord l’envol les prix des matières premières, ensuite l’effet de la guerre en Ukraine, enfin la spéculation. D’après Michel Édouard Leclerc la hausse de la moitié des prix ne serait pas justifiée. Producteurs et intermédiaires profitent de la conjoncture augmentée indûment leurs tarifs en organisant au besoin une certaine rétention.

 

En France, , l’indice des prix à la consommation a grimpé à 5,8% au mois de juin après 5,2 % en mai. On sera sans doute proche de 10 % vers la fin d’année. Bilan pour les ménages dont le revenu moyen et de l’ordre de 2000 €, une perte de 200 € par mois. Une perte que ne pourront compenser l’augmentation des salaires et de la redistribution.

À défaut de mesures structurelles susceptibles de modifier de manière durable le fonctionnement des marchés et de peser sur l’inflation, les pauvres devront se contenter pour l’instant d’un chèque de 100 €. «On souhaite prévoir une indemnité alimentaire d’urgence de 100 euros par foyer et 50 euros par enfant pour 9 millions de personnes et on travaille en complément sur un chèque alimentaire plus qualitatif pour accéder à des produits bio, frais et locaux», a déclaré Olivia Grégoire , la porte-parole du gouvernement.

 

 

Le projet de loi pouvoir d’achat devrait être présenté le 6 juillet en Conseil des ministres. «On a déjà engagé 25 milliards d’euros depuis le mois d’octobre sur ces mesures de soutien aux Français et on mettra à peu près la même somme dans les mois qui viennent», a commenté Olivia Grégoire, en disant également espérer la mise en place «à la rentrée un dispositif spécifique pour les gros rouleurs qui sont obligés de prendre leur voiture pour aller travailler».

 

Inflation: Une aumône de 100 euros pour les pauvres

Inflation: Une aumône de  100 euros pour les pauvres

 

 

La hausse des prix continue sa vive progression en France . En juin, elle a atteint 5,8 % sur un an après 5,2 % au mois de mai, selon l’estimation provisoire publiée ce jeudi par l’Insee.

Les moins favorisés sont les plus grandes victimes compte tenu de l’ampleur de leurs dépenses contraintes.

De ce point de vue, le gouvernement aurait été bien avisé de décider d’analyser de près l’évolution des prix dont la moitié serait douteux d’après Michel-Edouard Leclerc . En clair nombre de producteurs profitent de la crise pour opérer des rétentions  favorables à l’emballement des prix.
Du coup,  hausse des prix continue sa vive progression en France . En juin, elle a atteint 5,8 % sur un an après 5,2 % au mois de mai, selon l’estimation provisoire publiée ce jeudi par l’Insee.

Poussés par la guerre en Ukraine et la spéculation , les prix de l’énergie , des produits alimentaires continuent leur course en avant : ils sont respectivement en hausse de 33 % et de 5,7 % sur un an. Mais au-delà, l’inflation se diffuse dans l’économie. Les prix des services augmentent ainsi de 3,2 %, comme en mai. Dans l’ensemble, les prix des biens manufacturés progressent quant à eux de 2,6 %, une hausse plus modérée qu’en mai essentiellement liée au début des soldes d’été.

Poussés par la guerre en Ukraine, les prix de l’énergie et des produits alimentaires continuent leur course en avant : ils sont respectivement en hausse de 33 % et de 5,7 % sur un an. Mais au-delà, l’inflation se diffuse dans l’économie. Les prix des services augmentent ainsi de 3,2 %, comme en mai. Dans l’ensemble, les prix des biens manufacturés progressent quant à eux de 2,6 %, une hausse plus modérée qu’en mai essentiellement liée au début des soldes d’été.

À défaut de mesures structurelles susceptibles de modifier de manière durable le fonctionnement des marchés et de peser sur l’inflation, les pauvres devront se contenter pour l’instant d’un chèque de 100 €. «On souhaite prévoir une indemnité alimentaire d’urgence de 100 euros par foyer et 50 euros par enfant pour 9 millions de personnes et on travaille en complément sur un chèque alimentaire plus qualitatif pour accéder à des produits bio, frais et locaux», a déclaré Olivia Grégoire lors d’un déplacement à La Chapelle-sur-Erdre, près de Nantes.

Le projet de loi pouvoir d’achat devrait être présenté le 6 juillet en Conseil des ministres. «On a déjà engagé 25 milliards d’euros depuis le mois d’octobre sur ces mesures de soutien aux Français et on mettra à peu près la même somme dans les mois qui viennent», a commenté Olivia Grégoire, en disant également espérer la mise en place «à la rentrée un dispositif spécifique pour les gros rouleurs qui sont obligés de prendre leur voiture pour aller travailler».

 

«Nous arrivons au pic de l’inflation. La bonne nouvelle c’est que cela devrait ensuite descendre, sans doute vers la fin de l’année et le début de l’année prochaine».

Ou peut-être  plus tard!

Une aumône de 100 euros pour les pauvres

Une aumône de  100 euros pour les pauvres

 

 

À défaut de mesures structurelles susceptibles de modifier de manière durable le fonctionnement des marchés et de peser sur l’inflation, les pauvres devront se contenter pour l’instant d’un chèque de 100 €. «On souhaite prévoir une indemnité alimentaire d’urgence de 100 euros par foyer et 50 euros par enfant pour 9 millions de personnes et on travaille en complément sur un chèque alimentaire plus qualitatif pour accéder à des produits bio, frais et locaux», a déclaré Olivia Grégoire lors d’un déplacement à La Chapelle-sur-Erdre, près de Nantes.

Le projet de loi pouvoir d’achat devrait être présenté le 6 juillet en Conseil des ministres. «On a déjà engagé 25 milliards d’euros depuis le mois d’octobre sur ces mesures de soutien aux Français et on mettra à peu près la même somme dans les mois qui viennent», a commenté Olivia Grégoire, en disant également espérer la mise en place «à la rentrée un dispositif spécifique pour les gros rouleurs qui sont obligés de prendre leur voiture pour aller travailler».

 

«Nous arrivons au pic de l’inflation. La bonne nouvelle c’est que cela devrait ensuite descendre, sans doute vers la fin de l’année et le début de l’année prochaine».

Ou peut-être  plus tard!

Le G7 et vaccin : une aumône d’un milliard de vaccins aux pauvres !

Le G7 et vaccin : une aumône d’un milliard de vaccins aux pauvres !

La démarche paraît particulièrement généreuse de la part des pays développés. En effet dans le cadre de l’organisation G7 qui réunit les pays riches, il a été décidé d’attribuer généreusement 1 milliard de vaccins aux pauvres quand il en faudrait 10 fois plus. En réalité une aumône. En effet il faut savoir que la population mondiale comprend 7,5 milliards d’habitants. Assez rapidement, il faudrait vacciner de l’ordre de 5 milliards d’habitants dans la plupart se trouve dans les pays pauvres. Cela nécessiterait de fournir 10 milliards de vaccins. Il faut en effet 2 doses pour assurer une certaine protection vaccinale. En outre va se poser des la rentrées le problème de la troisième dose pour ceux qui ont déjà été vaccinés. La plupart des laboratoires estime en effet que la vaccination va demeurer annuelle . Dernier élément et non des moindres la distribution de ces vaccins aux pauvres  sera étalée au moins jusqu’à l’été 2022.

Pourtant, alors que les pays européens allègent leurs restrictions, l’OMS les a appelé à ne pas baisser la garde. «La couverture vaccinale est loin d’être suffisante pour protéger la région d’une résurgence», a prévenu jeudi le directeur Europe de l’OMS, Hans Kluge. «Le chemin à parcourir pour atteindre une couverture d’au moins 80% de la population adulte est encore considérable», a-t-il souligné. «Nous sommes loin d’être hors de danger».

Une aumône de 200 euros aux jeunes précaires

Une aumône de 200 euros aux jeunes précaires

 

le  gouvernement a décidé d’accorder généreusement 200 € aux jeunes précaires notamment à tous ceux qui ont perdu leur petit boulot. De nombreux jeunes aussi coincés du fait du confinement et qui doivent continuer de payer leur loyer et autre charges. Bref le gouvernement accorde une aumône qui présage mal du soutien aux ménages et aux autres pour relancer une économie grandement fragilisée par la paralysie de l’offre  qui pourrait maintenant être victime d’une certaine paralysie de la demande comme en témoignent  des enquêtes  qui montrent que les français se montrent particulièrement prudents quant à leurs futures dépenses notamment d’investissement voire de services. En cause évidemment, les inquiétudes relatives à la vague de chômage qui va envahir le pays. “En raison du confinement, les restaurants universitaires ont fermé, beaucoup de jeunes ont perdu les emplois dont ils ont besoin pour se nourrir et payer leurs loyers, certains jeunes se sont retrouvés dans une situation que je sais dramatique”, a-t-il déclaré dans un discours sur la “stratégie nationale de déconfinement” devant le Sénat.

“Nous avons donc décidé de verser une aide de 200 euros à 800.000 d’entre eux”, a-t-il ajouté. “Cette somme sera versée début juin aux étudiants ayant perdu leur travail ou leur stage et aux étudiants ultramarins isolés qui n’ont pas pu rentrer chez eux. Elle sera versée mi-juin aux jeunes de moins de 25 ans, précaires ou modestes, qui touchent des APL.”




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