Archive pour le Tag 'aujourd’hui'

Réforme des retraites: Réunion de tous les syndicats aujourd’hui

Réforme des retraites: Réunion de tous les syndicats aujourd’hui

Les syndicats seront tous réunis aujourd’hui au siège de la FSU afin de déterminer une ligne stratégique face à la réforme des retraites du gouvernement. Les oppositions sont différentes selon les syndicats mais par contre il sont tout fermement opposés au symbole politique du report de l’âge à 64 ou 65 ans.La difficulté pour le pouvoir sera de gérer en même temps cette difficile réforme des retraites est la question cruciale du pouvoir d’achat en période de forte inflation.

La problématique est évidemment sociale, financière mais aussi et surtout politique. Le pouvoir a absolument besoin d’une réforme pour prouver son immobilité sur bien d’autres sujets ou ses contradictions (voir la question de l’énergie par exemple).

La CFDT nottament , syndicat majoritaire France, n’est pas contre une réforme des retraites dont elle admet le déséquilibre financier au moins à terme .
Par contre, elle s’oppose aux symboles très politiques des 65 ou 64 ans considérant qu’un âge moyen pour tous est particulièrement injuste.

Injuste et ridicule à la fois comment peut-on en effet comparer les conditions de travail d’un couvreur par exemple avec celle d’un employé municipal d’ailleurs qui ne sera pas concerné puisque fonctionnaire !

Certes des métiers du tertiaire peuvent être aussi affectés par des conditions de travail difficiles y compris chez certains cadres mais pas tous et pas partout.
Les syndicats seront tous réunis aujourd’hui au siège de la FSU afin de déterminer une ligne stratégique face à la réforme des retraites du gouvernement. Les oppositions sont différentes selon les syndicats mais par contre il sont tout fermement opposé au symbole politique du report de l’âge à 64 ou 65 ans.

La problématique est évidemment sociale, financière mais aussi et surtout politique. Le pouvoir a absolument besoin d’une réforme pour prouver son immobilité sur bien d’autres sujets ou ses contradictions (voir la question de l’énergie par exemple).

L’idée générale qui devrait prévaloir est donc d’adapter le départ de la retraite en fonction de la pénibilité et aussi de la durée de cotisation. Bref, une réforme fine qui vise l’efficacité et la justice sociale.

Dans certains métiers et dans certaines fonctions, on peut sans dommage continuer de travailler jusqu’à 64 ou 65 ans mais dans d’autres c’est complètement invraisemblable. Pas étonnant si la moitié des futurs retraités entre 60 et 65 ans ont déjà quitté le marché du travail. Cela d’autant plus que rien n’est fait pour jouer sérieusement sur le travail des seniors.Le projet de réforme des retraites sera présenté le 15 décembre aux partenaires sociaux. Il contient notamment un « report progressif » de l’âge légal de départ à 64 ou 65 ans.

Voitures électriques : objectifs 2 millions en 2030 pour 40 à 50 millions d’automobiles aujourd’hui !

Voitures électriques : objectifs 2 millions en 2030 pour 40 à 50 millions d’automobiles aujourd’hui !

Macron annonce un objectif volontariste de 2 millions de voitures électriques produites en 2030. À comparer évidemment avec le parc existant de 40 à 50 millions d’automobiles en ce moment. À ce rythme de tortue on voit mal comment et quand l’ensemble du parc sera totalement électrifié. Il faut rappeler que l’Union économique et la France bien entendu interdiront la vente de voitures à moteur thermique à partir de 2035.

Même avec cet objectif « volontariste », il faudra de 20 à 40 ans pour renouveler l’ensemble du parc automobile. D’ici là il, se pourrait d’ailleurs que la voiture électrique actuelle soit devenue caduque du fait par exemple de la montée en puissance de la filière hydrogène; le président français préconise un « soutien fort » et le « plus vite possible » à la filière automobile européenne face à la Chine et aux Etats-Unis. « Je défends fortement une préférence européenne sur ce volet et un soutien fort à la filière automobile. Il faut l’assumer et cela doit advenir le plus vite possible », avance-t-il.

Côté production, le chef de l’Etat dit viser un million de véhicules électriques produits en France d’ici 2027, 2 millions d’ici 2030, avec le passage au tout électrique en 2035.
Enfin, la location de voitures à 100 euros par mois pour les foyers les plus modestes devrait être lancée au deuxième semestre 2023.

La Bourse: nouvelle chute ?

La Bourse: nouvelle chute ?

 

Les marchés boursiers pourraient connaître une nouvelle chute. En faite les bourses s’inscrivent dans des mouvements de yo-yo avec des fluctuations qui varient en fonction de la situation en Ukraine et des espoirs de paix. Reste que la tendance est structurellement à la baisse compte tenu surtout de l’impact sur l’inflation et sur la croissance mondiale.

La Bourse de Hongkong chutait de plus de 3% dans les premiers échanges mardi 14 mars, dans le sillage de la veille, minée par une forte baisse des actions du secteur technologique à la suite du confinement de Shenzen, centre technologique de la Chine. Les marchés s’inquiètent également d’éventuelles sanctions à l’encontre de la Chine si Pékin répond favorablement à la demande d’aide militaire et économique de Moscou afin de mener la guerre en Ukraine.

École : en grève quasi totale aujourd’hui

École : en grève quasi totale aujourd’hui

 

La paralysie risque d’être quasi totale  suite à l’appel des syndicats d’enseignants qui protestent surtout contre la complexité et l’inefficacité du protocole Covid.

Majoritaire dans le primaire, le Snuipp-FSU a lancé vendredi dernier un appel à la grève nationale pour le 13 janvier afin d’«obtenir les conditions d’une école sécurisée sous Omicron». Il a été rejoint par la plupart des autres syndicats enseignants, SE-Unsa, Snes-FSU, Snalc, CGT Educ’action, SUD Éducation, FO et le Sgen-CFDT.

«Non seulement le protocole actuel ne protège pas les élèves, les personnels et leurs familles mais de plus il désorganise complètement l’école. Ainsi, contrairement aux affirmations gouvernementales répétées, ce n’est pas l’école qui est ouverte mais une forme de  »garderie »», dénonce le Snuipp-FSU.

Selon le syndicat, «dans les conditions actuelles, les élèves ne peuvent pas apprendre correctement, leur nombre étant très fluctuant et l’enseignement hybride entre présentiel et distanciel impossible à mettre en œuvre». Le Snuipp-FSU pointe aussi «le non-remplacement des enseignants et enseignantes malades qui devient intenable».

Ainsi, il dit qu’il «mettra tout en œuvre pour que le gouvernement entende enfin la colère des personnels. Après le 13 janvier, si besoin, il proposera de nouvelles mobilisations unitaires face au mépris gouvernemental, pour la sécurité sanitaire de l’école et le nécessaire recrutement de personnels». «Cette colère des personnels n’est pas un épiphénomène conjoncturel mais prend racine à la fois dans l’incapacité doublée d’incompétence à gérer la crise sanitaire à l’école et aussi plus globalement dans la politique éducative conduite depuis cinq ans qui abîme l’école et méprise les personnels», assure le syndicat.

Société–Consommation de pain : de 1 kg avant 1900 à 100 g par jour aujourd’hui !

Société–Consommation de pain : de 1 kg avant 1900 à 100 g par jour aujourd’hui  !

 

 

Un peu avant 1900 on consommait  pratiquement 1 kg de pain par jour et par habitant. Aujourd’hui, c’est de l’ordre de 100 g !  En cause évidemment les conditions générales de vie relative aux conditions de travail et à l’alimentation. Précédemment, le pain constituait l’aliment de base. Aujourd’hui, il est devenu presque anecdotique et en plus décliné dans des dizaines et des dizaines de formules qui d’ailleurs n’ont plus grand-chose à voir avec le pain traditionnel.( Accessoirement avec des prix 5 à 10 fois plus chers).  Il est loin  le temps du pain de huit livres, de quatre livres ou même de deux livres qui aujourd’hui fait nettement moins de 500 g!

 

Concernant les prix, selon les chiffres de l’Institut national de la statistique et des études économiques, en janvier 2020 une baguette – de 250 grammes donc – coûte 0,88 euro, soit un prix au kilo de 3,52 euros. 20 ans plus tôt, ce prix était de 0,63 euro, soit 2,53 euros par kilo.

 

Selon la dernière étude de la FEB, la Fédération des Entreprises de Boulangeries, si 87% des interrogés déclarent avoir toujours du pain chez eux, ils déclarent en consommer en moyenne 105 grammes par jour en semaine contre 114 grammes en 2015, soit un recul de près de 8%.

Si la quantité moyenne baisse, la quête de qualité progresse. En 2021, les trois critères d’achat du pain sont le goût, la fabrication traditionnelle et la fraîcheur. 65% des Français perçoivent une amélioration de la qualité du pain et les labels rassurent. 96% sont satisfaits du pain qu’ils achètent.

Le pain 100% français est plébiscité par la majorité des personnes interrogées. 52% sont sensibles à l’origine du blé et 73% trouvent important un pain fabriqué à base de blé cultivé en France.

Qui dit pain, dit baguette pour les Français, et ce produit demeure en tête des préférences pour 41% des Français dans sa version « tradition ». La baguette classique arrive juste derrière. Les consommatrices préfèrent quant à elles la baguette aux céréales (22% contre 9% des hommes).

En dehors des baguettes, ce sont le pain complet, le pain de campagne et aux céréales qui remportent la faveur des consommateurs.

Chantiers de l’Atlantique-Fincantieri: projet inutile au départ et encore davantage aujourd’hui

  • Chantiers de l’Atlantique-Fincantieri: projet inutile au départ et encore davantage aujourd’hui
  • Le projet d’absorption de chantier de l’Atlantique par l’italien Fincantieri  au départ inutile l’est encore davantage aujourd’hui compte tenu de l’environnement conjoncturel. En effet ,pendant plusieurs années la demande de croisières va être affectée par la situation sanitaire même si les investissements dans ce domaine ne se décident pas du jour au lendemain et s’inscrivent dans le temps.
  • Il n’y avait aucune nécessité d’envisager ce regroupement à moins de donner des gages politiques à l’Italie pour permettre à d’autres opérateurs français de prendre des participations voire d’absorber certaines entreprises italiennes. Les chantiers de l’Atlantique disposent  de deux atouts actes assez considérables d’abord des atouts  technologiques indiscutables et une bonne productivité. Enfin le carnet de commandes des chantiers de l’Atlantique était bien garni et permettait d’espérer une bonne activité et un maintien de l’emploi.
  • Il paraît évident que la crise sanitaire va affecter pendant assez longtemps le secteur du tourisme de loisirs par bateau de croisière. Il faudra en effet des années pour que le virus disparaisse complètement notamment dans les pays un peu exotiques visités par les bateaux de croisière. Aujourd’hui ni la France ni même l’Italie insiste beaucoup sur ce projet qui risque de s’enterrer de lui-même.

La victoire de Biden confirmée aujourd’hui

La victoire de Biden confirmée aujourd’hui

 

Le collège électoral s’apprête à confirmer la victoire de Biden, malgré les protestations de Trump

Les 538 grands électeurs devraient confirmer la nette victoire de Biden.

Biden a remporté le nombre record de 81,28 millions de voix, soit 51,3%, contre 74,22 millions et 46,8% au président républicain sortant. Cependant Trump conteste toujours l’élection qu’il considère comme truquée.

.«Comment des États et des responsables politiques peuvent-ils confirmer une élection où la fraude et les irrégularités ont été démontrées?», a-t-il même demandé. Or, son camp n’a pas été en mesure d’apporter le moindre élément probant pour étayer ses accusations, et ses recours en justice ont quasiment tous été rejetés.

L’Union européenne : accords aujourd’hui sur le plan de relance ?

L’Union européenne : accords aujourd’hui sur le plan de relance ?

Il faudra que les uns les autres fassent encore des concessions sérieuses pour parvenir aujourd’hui à mettre au point le fameux plan de relance européen. Il s’agit de contribuer à un redressement économique d’une zone menacée de dépression avec une perspective de baisse du PIB de 7 à 8 % en 2020. Une baisse de l’activité qui se traduirait aussi par une grave crise sociale et éventuellement politique dans certains pays.

 

 Il y a encore des divergences à surmonter. En effet les pays dits vertueux du nord  sont toujours très réticents à accorder des subventions et des prêts aux pays considérés comme laxistes, en gros les pays du Sud ,France comprise. Les pays du nord  voudraient réduire l’enveloppe notamment celle des dotations non remboursables et assortir l’ensemble du dispositif d’une contrainte de gestion plus rigoureuse en matière budgétaire.

De toute manière l’Europe est condamné à trouver un accord non seulement au regard de l’enjeu économique mais aussi pour renforcer l’image d’une union menacée politiquement par la montée souverainiste. La dernière en date dont on ne mesure pas bien encore les conséquences étant bien sûr celle du Bexit. Le plan européen serait aussi une manière de répondre aux attaques permanentes des États-Unis qui rêvent d’un éclatement de l’union.( Comme les Chinois d’ailleurs).

 

Chaussures André : manif aujourd’hui

Chaussures André : manif aujourd’hui

Les salariés de l’enseigne de chaussures André vont donner de la voix ce mardi. Les salariés de l’entreprise, placée en redressement judiciaire en raison de la crise du Covid-19, ont en effet été appelés à faire grève dans tous les magasins par l’intersyndicale.

Des rassemblements sont notamment prévus ce mardi à Paris (devant le magasin André Haussmann à partir de 11h), à Lille, à Cannes mais aussi dans de nombreuses autres villes, détaille la CGT au Figaro.

L’enseigne de chaussures, rachetée en 2018 par le site de vente en ligne Spartoo, se trouve actuellement en très mauvaise posture. Suite au confinement, la marque avait dû fermer tous ses magasins. «Nous perdons 250.000 euros par jour de chiffre d’affaires» depuis la décision gouvernementale de fermer les commerces «non essentiels», avait alors expliqué Boris Saragaglia, le PDG de Spartoo.

Après avoir perdu près de 4 millions d’euros en quinze jours, l’entreprise avait déposé le bilan le 23 mars avant d’être placée en redressement judiciaire le 1er avril. Pour rappel, en 2019 déjà, l’entreprise avait essuyé des pertes de 10 millions d’euros malgré un chiffre d’affaires de 100 millions.

Au total, André dispose d’environ 150 points de vente employant 600 salariés. «Les salariés ont été placés en redressement judiciaire mais ils n’ont aucune information sur l’avenir. Ils n’ont aucune nouvelle», explique au Figaro Élodie Ferrier, secrétaire fédérale CGT Commerce et Services. Au total, «on serait à 450 suppressions de postes», poursuit-elle. Dans un autre communiqué, l’intersyndicale déclare qu’«André existe depuis 120 ans» et que «la stratégie de Spartoo l’a conduit à sa perte en 18 mois». Les syndicats en appellent au gouvernement pour «éviter la casse sociale».

Gouvernement d’union nationale «ça n’a aucun sens aujourd’hui»

Gouvernement d’union nationale «ça n’a aucun sens aujourd’hui»

Il est clair que le gouvernement de Macron est aux abois et qu’il n’a pas réussi à surmonter son énorme impopularité. Du coup, l’idée d’un gouvernement d’union nationale lancée par Macon constitue une sorte de sauvetage politique de la majorité mais aussi du président lui-même de moins en moins certains de l’emporter en 2022. Cette idée d’union nationale n’a guère de sens pour la plupart des responsables de l’opposition. Même Manuel Valls qui pourtant partage des idées de Macon n’y est pas favorable. Il n’y a guère que quelques hauts responsables écolos qui pourraient envisager cette éventualité. Une manière de récupérer comme d’habitude quel que écolos bobos en recherche de reconnaissance ministérielle.

L’ancien premier ministre Manuel Valls, gsoutien d’Emmanuel Macron, a estimé jeudi que «ça n’avait aucun sens» d’entrer dans un gouvernement d’union nationale «aujourd’hui» alors que la France est «en pleine guerre» contre le coronavirus.

 «Si je comprends bien, on irait chercher les gens qui sont partis très loin, l’une à New York (l’ancienne ministre sarkozyste Nathalie Kosciusko-Morizet, NDLR) et l’autre à Barcelone. Honnêtement je pense que tout cela est indécent à ce niveau-là», a affirmé sur RMC l’ancien socialiste, parti en vain en 2018 à la conquête de la mairie de Barcelone, où il est aujourd’hui conseiller municipal. «On est en pleine guerre contre le virus, la pandémie est là, on n’en est pas sortis, on n’est pas sortis du confinement et les uns et les autres on se pousserait du col en disant “et moi et moi”? Ça ne fait aucun sens», a ajouté l’ancien député apparenté LREM.

 «J’ai dit que ma patrie c’est la France, que j’avais la chance d’avoir des identités différentes (…) Évidemment si je pouvais à un moment ou l’autre aider mon pays, je peux le faire de mille manières. Mais honnêtement ça n’a aucun sens aujourd’hui», a poursuivi l’ancien premier ministre, en soulignant le «besoin de forces et d’unité» pour «faire face» à l’épidémie.

 

 

« Macron refuse aujourd’hui de recommander le port du masque pour tous»

« Macron refuse aujourd’hui de recommander le port du masque pour tous»

Macron s’enfonce encore un peu plus en tentant de justifier le scandale des masques. Même aujourd’hui il confirme dans le Point son incroyable entêtement en refusant de recommander le masque pour tous. Finalement la même argumentation que pour les tests. La vérité c’est que la France doit gérer une véritable pénurie aussi bien des masques que des tests et que les pouvoirs publics tentent de donner une explication pseudo scientifique à cette insuffisance. Jugé brouillon dans sa communication sur le port du masque, recommandant un jour au grand public de les réserver aux soignants, puis apparaissant le lendemain lui-même avec un masque sur le visage, Emmanuel Macron s’explique. «Dès le début de la crise, nous faisons le choix de gérer la distribution et de prioriser les personnels soignants et les personnes les plus exposées. Je refuse aujourd’hui de recommander le port du masque pour tous et jamais le gouvernement ne l’a fait», rappelle-t-il. Pour trancher de façon lacunaire : «Si nous le recommandons, ce serait incompréhensible.»

Au sujet de la pénurie des protections faciales, il botte cette fois-ci en touche. «On me fait le procès d’il y a quinze jours, mais moi, sur les stocks, je ne ferai pas le procès de mes prédécesseurs, même si parfois ce serait plus facile…», sourit-il. Avant d’ajouter : «Et puis, sincèrement, bien malin est celui qui aurait pu annoncer qu’en Chine, l’épicentre de la production serait submergé par l’épidémie».

Henri Guaino: la fin des Républicains aujourd’hui »( Henri Guaino)

Henri Guaino: la fin des  Républicains aujourd’hui »( Henri Guaino)

Une déclaration qui ne va pas encourager ceux qui s’engagent dans l’exercice difficile du redressement des Républicains. En effet Henri Guaino l’incontournable conseiller de Sarkozy estime aujourd’hui qu’il n’y a plus de place pour les Républicains (dimanche sur BFM TV). Une opinion que pourrait bien partager Sarkozy lui-même qui fait preuve d’une grande tolérance à l’égard de Macron, voir même qui manifeste son admiration («  Macron, c’est moi en mieux » aurait-il déclaré). Peut-être faut-il voir dans ce compliment la volonté de Sarkozy de ne pas compliquer par des prises de position politiques trop tranchées des dossiers juridico- financiers délicats. Henri Guaino en profitent peut-être pour régler aussi certains comptes pour autant la question méritent d’être posé : y-a-t-il encore une place pour les républicains alors que Macron occupe tellement bien le terrain. A terme de toute façon il n’y aura pas d’autre choix pour les Républicains soit de s’allier avec le rassemblement national soit de s’allier avec Macron justement pour empêcher le front national d’accéder pouvoir. au-delà de ces calculs politiques. Il y a très peu de désaccords entre les électeurs républicains et les orientations de Macron. En l’état actuel du rapport de force les républicains risquent d’être partagés entre le ralliement à Macron ou la disparition.

 

Découverte : L’homo sapiens n’était pas la seule espèce, ça ne change pas aujourd’hui !

Découverte : L’homo sapiens n’était pas la seule espèce, ça ne change pas aujourd’hui !

On vient d’apprendre que l’homo sapiens n’était pas la seule espèce humaine. Une équipe pluridisciplinaire internationale a découvert une nouvelle espèce humaine, baptisée Homo luzonensis, lors de fouilles effectuées dans la grotte de Callao, située sur l’île de Luçon, dans le nord des Philippines. Plusieurs espèces humaines ont donc cohabité. C’est encore le cas aujourd’hui, les descendants de l’homo sapiens ont également des concurrents. Pour schématiser à outrance,  on pourrait considérer qu’il y a ceux qui réfléchissent et ceux qui récitent. La première catégorie de l’espèce humaine actuelle tente de réfléchir, s’interroge, doute, évolue dans son jugement. L’autre catégorie se contente de répéter les chansons à la mode. Or comme le disait Coco Chanel la mode par définition est destinée à devenir démodée. Ce qui se passe aussi dans les champs sociaux économiques où les théories les plus supportées sont parfois remises en cause. Ainsi par exemple on explique maintenant que le tout petit regain de croissance de la France en 2019 provient des mesures prises en faveur des gilets jaunes et plus généralement de la consommation. De quoi remettre en cause les théories qui condamnent par avance le devenir économique du pays si on lâche sur le pouvoir d’achat. En vérité, la question est toujours plus complexe que les apparentes convictions théoriques car tout dépend de qui bénéficie de ce pouvoir d’achat et de la manière dont il utilise. Autre exemple la fameuse théorie de la taxe carbone qui constituerait un signal prix pour dissuader l’utilisateur de l’automobile de prendre  son véhicule. Une vieille théorie des économistes qui ont récupéré l’écologie pour la monétariser. On pourrait bien mettre le litre  de carburant à deux euros que ça n’empêchera pas les automobilistes de zones délaissées par les transports en commun d’utiliser leur voiture. C’est à travers l’offre technique et les normes qu’on peut changer la situation et non avec une taxe idiote qui au surplus ne va pas en direction des investissements destinés à protéger l’environnement. On pourrait multiplier les exemples de ces théories fumeuses qui naissent chez de pseudos experts et sont reprises bêtement par les technocrates et les politiques. La Métropolisation  à outrance pour lutter contre la concurrence internationale est aussi une de ces théories tordues. Résultat on a à la fois une crise immobilière qui va exploser, parallèlement une désertification du territoire. Pour peu qu’on ajoute deux ou trois expressions anglaises pour justifier la pertinence d’une théorie, alors on touche le Graal de la catégorie concurrente de l’Homo sapiens. Exemple faire de la France une START nation ! Une expression qui ne signifie strictement rien mais tellement moderne !

 

L’homo sapiens n’était pas la seule espèce, ça ne change pas aujourd’hui !

L’homo sapiens n’était pas la seule espèce, ça ne change pas aujourd’hui !

On vient d’apprendre que l’homo sapiens n’était pas la seule espèce humaine. Une équipe pluridisciplinaire internationale a découvert une nouvelle espèce humaine, baptisée Homo luzonensis, lors de fouilles effectuées dans la grotte de Callao, située sur l’île de Luçon, dans le nord des Philippines. Plusieurs espèces humaines ont donc cohabité. C’est encore le cas aujourd’hui, les descendants de l’homo sapiens ont également des concurrents. Pour schématiser à outrance,  on pourrait considérer qu’il y a ceux qui réfléchissent et ceux qui récitent. La première catégorie de l’espèce humaine actuelle tente de réfléchir, s’interroge, doute, évolue dans son jugement. L’autre catégorie se contente de répéter les chansons à la mode. Or comme le disait Coco Chanel la mode par définition est destinée à devenir démodée. Ce qui se passe aussi dans les champs sociaux économiques où les théories les plus supportées sont parfois remises en cause. Ainsi par exemple on explique maintenant que le tout petit regain de croissance de la France en 2019 provient des mesures prises en faveur des gilets jaunes et plus généralement de la consommation. De quoi remettre en cause les théories qui condamnent par avance le devenir économique du pays si on lâche sur le pouvoir d’achat. En vérité, la question est toujours plus complexe que les apparentes convictions théoriques car tout dépend de qui bénéficie de ce pouvoir d’achat et de la manière dont il utilise. Autre exemple la fameuse théorie de la taxe carbone qui constituerait un signal prix pour dissuader l’utilisateur de l’automobile de prendre  son véhicule. Une vieille théorie des économistes qui ont récupéré l’écologie pour la monétariser. On pourrait bien mettre le litre  de carburant à deux euros que ça n’empêchera pas les automobilistes de zones délaissées par les transports en commun d’utiliser leur voiture. C’est à travers l’offre technique et les normes qu’on peut changer la situation et non avec une taxe idiote qui au surplus ne va pas en direction des investissements destinés à protéger l’environnement. On pourrait multiplier les exemples de ces théories fumeuses qui naissent chez de pseudos experts et sont reprises bêtement par les technocrates et les politiques. La Métropolisation  à outrance pour lutter contre la concurrence internationale est aussi une de ces théories tordues. Résultat on a à la fois une crise immobilière qui va exploser, parallèlement une désertification du territoire. Pour peu qu’on ajoute deux ou trois expressions anglaises pour justifier la pertinence d’une théorie, alors on touche le Graal de la catégorie concurrente de l’Homo sapiens. Exemple faire de la France une START nation ! Une expression qui ne signifie strictement rien mais tellement moderne !

 

L’avenir de l’antarctique se décide aujourd’hui

L’avenir de l’antarctique se décide aujourd’hui

C’est le cri d’alarme de climatologue Jean Jouzel, climatologue,

 

« Ce sont les gaz à effet de serre émis dans les prochaines décennies qui vont décider du sort de l’Antarctique. Si nous dépassons deux degrés ou deux degrés, cette instabilité, cette faiblesse du glacier de Thwaites (qui menace de se détacher), va se concrétiser par le détachement d’une large part de l’Antarctique de l’ouest. Si le réchauffement est important, on peut craindre une fonte d’une partie du Groenland à l’échelle millénaire. Tout cela paraît lointain, mais c’est nous qui en décidons aujourd’hui », a poursuivi le glaciologue.

L’élévation du niveau de la mer « a déjà pris 20 cm depuis le début du siècle dernier. On ira très probablement au-delà de 50 cm à un mètre d’ici la fin du siècle. »

Ce sont déjà de nombreuses villes, Tokyo, Bangkok, Miami, New York, Dakar, qui sont à risques, par rapport à une élévation du niveau de la mer. Ce sont des populations très importantes qui souffriront de l’élévation de la mer.

« Il faut tout faire pour limiter le réchauffement climatique maintenant », a martelé le scientifique. Le réchauffement climatique n’est pas « réversible »« Pour limiter cette contribution, il faut limiter le réchauffement climatique lui-même. Plus le réchauffement climatique sera important, plus les risques de fonte de ces calottes glaciaires seront là. La sagesse, c’est de regarder notre façon de nous développer. Nous disons la même chose depuis trente ans. S’adapter à un changement climatique sera pratiquement impossible dans certaines régions », a-t-il conclu.

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