Archive pour le Tag 'augmenter'

Prix Electricité : Barnier renonce à augmenter davantage les tarifs

Prix Electricité : Barnier renonce à augmenter davantage les tarifs

Il est bien difficile de s’y retrouver à travers les différentes déclarations des uns et des autres, celle du gouvernement, celle des oppositions et même celle des experts. Barnier déclare qu’il renonce à augmenter les tarifs de l’électricité. En réalité ces tarifs vont augmenter mais moins que prévu pour revenir au niveau d’avant Covid. 

« J’ai décidé de ne pas augmenter les taxes sur l’électricité dans le projet de loi de finances 2025″, « cela permettra une baisse des prix de l’électricité de 14%, qui ira donc bien au-delà de la baisse de 9% prévue initialement », affirme le Premier ministre dans un entretien au Figaro(Nouvelle fenêtre).

Concrètement, il s’agit d’un  »retour au tarif avant bouclier tarifaire », précise Matignon. Instaurée en octobre 2021 face à la flambée des prix liée à la crise du Covid, cette mesure devait prendre fin au 1er février. Mais le gouvernement souhaitait initialement aller au-delà, et relever la fiscalité sur l’électricité à un niveau supérieur, pour engranger au total 3,4 milliards d’euros. Mardi, Michel Barnier avait cependant ouvert la porte à des « concessions ».

Electricité : Barnier renonce à augmenter davantage les tarifs

Electricité : Barnier renonce à augmenter davantage les tarifs

Il est bien difficile de s’y retrouver à travers les différentes déclarations des uns et des autres, celle du gouvernement, celle des oppositions et même celle des experts. Barnier déclare qu’il renonce à augmenter les tarifs de l’électricité. En réalité ces tarifs vont augmenter mais moins que prévu pour revenir au niveau d’avant Covid. 

« J’ai décidé de ne pas augmenter les taxes sur l’électricité dans le projet de loi de finances 2025″, « cela permettra une baisse des prix de l’électricité de 14%, qui ira donc bien au-delà de la baisse de 9% prévue initialement », affirme le Premier ministre dans un entretien au Figaro(Nouvelle fenêtre).

Concrètement, il s’agit d’un  »retour au tarif avant bouclier tarifaire », précise Matignon. Instaurée en octobre 2021 face à la flambée des prix liée à la crise du Covid, cette mesure devait prendre fin au 1er février. Mais le gouvernement souhaitait initialement aller au-delà, et relever la fiscalité sur l’électricité à un niveau supérieur, pour engranger au total 3,4 milliards d’euros. Mardi, Michel Barnier avait cependant ouvert la porte à des « concessions ».

Immobilier : les frais de notaire vont encore augmenter

Immobilier : les frais de notaire vont encore augmenter

Alors que le secteur immobilier est en pleine crise, Michel Barnier a décidé de faire un cadeau financier aux départements qui se disent exsangues financièrement. La dégringolade des ventes a causé des dégâts dans leurs comptes: le manque à gagner dépasse les trois milliards d’euros ces trois dernières années. Et à environ deux milliards ces 12 derniers mois, selon les prévisions de l’association Départements de France .

Une nouvelle taxe concernerait  les droits de mutation, plus connus à tort sous l’appellation «frais de notaire». Ils sont généralement payés par les acheteurs lors d’une vente immobilière. Ces frais pèsent entre 7% et 8% du prix d’un logement ancien (entre 2 et 3% pour l’achat d’un logement neuf), soit environ 19.000 euros pour un bien à 250.000 euros. Les départements réclament, à cor et à cri, que leur part, fixée à 4,5% maximum, augmente pour améliorer leur situation financière.

Michel Barnier vient d’exaucer le vœu des départements, lors des assises de l’association Départements de France. Le premier ministre a certes annoncé une hausse de «seulement» 0,5 point des droits de mutation, et non pas d’un point comme le souhaitaient les départements. Mais cette augmentation sera valable durant trois ans. Elle équivaut à 1250 euros pour un ménage qui achète un logement à 250.000 euros. «

La «stretchflation»: Technique commerciale pour augmenter les prix en douce

La  «stretchflation»: Technique commerciale pour augmenter les prix en douce

Après la «shrinkflation» , consistant à réduire la quantité d’un produit vendu au même prix, c’est aussi  la «stretchflation», qui consiste certes le poids le  poids mais encore davantage le prix. 

Les industriels n’hésitent pas à utiliser cette technique légale mais peu honnête envers les consommateurs. Concrètement, elle consiste à augmenter le poids d’un produit, tout en appliquant une plus forte hausse de prix en parallèle.

Un groupe industriel explique avoir conçu «un nouveau portefeuille simplifié et de nouveaux formats» en mai dernier. «Sans modifier les dimensions des paquets actuels, la quantité  augmente, ce qui permet de réduire l’espace vide et de garantir plus de générosité, de partage et de convivialité . Cette évolution est indiquée d’une manière claire et transparente sur les packs concernés avec une mention cette  évolution des formats s’accompagne d’une augmentation du prix au kilogramme permettant ainsi à la marque de mieux structurer son offre et de revaloriser son positionnement, tout en restant accessible».

 

Augmenter la fiscalité comme la TVA : une erreur

La France est dans le viseur des agences de notation et de la Commission européenne pour sa gestion de ses finances publiques. Le déficit a atteint 5,5 % en 2023, il est prévu à 4,4 % pour 2024. La marche est très haute et pose de nouveau la question du bien-fondé des grands principes de la politique économique d’Emmanuel Macron.

 

L’économiste Alain Trannoy constate, dans une tribune au « Monde », que les baisses d’impôt n’ont pas atteint leurs objectifs, et préconise des hausses temporaires et ciblées en évitant tout « choc fiscal ».

 

Celui-ci a mis en œuvre une politique de l’offre en privilégiant la réduction des charges et des impôts pour les entreprises. Elle a encore pesé en 2023 avec la baisse des impôts de production (3,7 milliards d’euros) et la dernière étape de la suppression de la taxe d’habitation (2,5 milliards). Faut-il faire machine arrière et revenir à une augmentation générale des grands impôts ? Cela nous semblerait un contresens majeur, alors que la France stagne depuis trois trimestres. En revanche, on peut songer à une hausse temporaire des impôts ciblant certains comportements ou certains revenus particuliers, sans affecter encore plus la conjoncture.

Le diagnostic est connu. La France est handicapée par le déséquilibre de sa balance commerciale, avec un recul considérable de ses parts de marché par rapport à ses concurrents européens sur le marché intérieur. En sept ans, la politique d’Emmanuel Macron a incontestablement produit des effets : le taux de chômage a baissé de 3 points, et 1,2 million d’emplois ont été créés dans le secteur privé. Le capital-risque nécessaire pour créer des start-up a été au rendez-vous et la France est redevenue attractive pour les investisseurs étrangers. L’investissement des entreprises a augmenté jusqu’au troisième trimestre 2023. L’emploi dans l’industrie manufacturière a recommencé à croître et la France a cessé de perdre des parts de marché.

Cette politique de l’offre aurait dû se traduire par une performance macroéconomique supérieure de la France par rapport à ses voisins – c’est d’ailleurs le cas vis-à-vis de l’Allemagne et de la Grande-Bretagne. Les prévisions économiques de Bercy ont, jusqu’à fin 2023, traduit cet optimisme, avec pour corollaire des anticipations de rentrées fiscales plus abondantes. Le dogme de ne pas avoir à augmenter les impôts se serait trouvé ainsi vérifié ex post.

 

 

Assurance chômage : Une étatisation complète qui va encore augmenter le trou financier

Assurance chômage : Une étatisation complète qui va encore augmenter le trou financier

Si l’État était un bon gestionnaire on le saurait ; témoin la dérive régulière des déficits des budgets et la catastrophe de l’endettement. Même chose pour les institutions et les organisations sous tutelle totale de l’État. En cause d’une certaine irresponsabilité, une insuffisance de compétence et le résultat d’injonctions contradictoires qui déresponsabilisent les dirigeants. Dernière initiative de l’État la volonté de reprendre en main l’ASSEDIC précédemment gérée par les acteurs sociaux.

L’objectif du gouvernement est de réaliser des économies significatives sur le régime d’assurance chômage.

« Nous gardons une durée d’indemnisation la plus longue parmi les pays développés : dix-huit mois. La responsabilité des partenaires sociaux, ce sont les salariés. La responsabilité de l’État, ce sont tous ceux qui sont au chômage. Pour ma part, je considère que l’État devrait reprendre la main sur l’assurance chômage de manière définitive », a indiqué Bruno Le Maire dans un entretien au quotidien Le Monde.

Une option loin de sortir du chapeau puisqu’elle était inscrite dans le programme d’Emmanuel Macron lors de la campagne des élections présidentielle de 2017.

Pour rappel, le régime est actuellement piloté par l’Unedic, un organisme paritaire. Les partenaires sociaux renégocient les règles tous les deux à trois ans pour tenir compte des évolutions du marché du travail, celles-ci étant formalisées dans une convention que l’État valide. Mais depuis 2018, leurs marges de manœuvre sont restreintes car le gouvernement leur adresse en amont une « lettre de cadrage » qui fixe des objectifs (notamment d’économies) à atteindre. Sans accord, l’État reprend la main avec un « décret de carence ».

Le  Premier ministre, Gabriel Attal ,  a déclaré qu’il réunirait « à la mi-mars » un séminaire gouvernemental « dédié à la question du travail » pour notamment « préparer les grandes décisions » à prendre en la matière. Il s’est dit « prêt » à prendre des « décisions difficiles » pour « inciter au travail » et atteindre le plein emploi, c’est-à-dire réduire le taux de chômage à 5% d’ici à 2027, contre plus de 7% aujourd’hui.

Pour Michel Beaugas (FO), « il paraît de plus en plus évident que le gouvernement veut récupérer l’assurance-chômage » et que pour y arriver « il nous imposera des contraintes impossibles à tenir ».

Catastrophes climatiques : Augmenter les assurances ?

Catastrophes climatiques : Augmenter les assurances ?

Pour que les pouvoirs publics donnent la priorité à la prévention des destructions environnementales, il conviendrait d’augmenter leurs conséquences financières, notamment par la hausse de l’impôt et des primes d’assurance, estime l’économiste Philippe Askenazy dans sa chronique au Monde .

En clair l’économiste milite pour une augmentation de la couverture et du prix des assurances. Un point de vue qui peut se discuter du fait qu’on ne peut assurer la totalité des risques et que dans certains cas la solidarité nationale vaut mieux que le recours aux assurances . NDLR

Tempêtes, inondations ou incendies génèrent des pertes humaines et destructions de biens et d’infrastructures, auxquelles s’ajoutent des dégradations environnementales à long terme, notamment de la qualité de l’eau. Malgré ces bilans, dans les pays avancés, il est difficile de cerner une mobilisation générale des populations des zones exposées sur l’enjeu des émissions de gaz à effet de serre qui accroissent la fréquence et l’intensité de ces catastrophes. Cette atonie pourrait s’expliquer par la nature et l’ampleur des conséquences économiques des catastrophes.

Une très vaste littérature empirique s’est attachée à saisir l’impact des catastrophes pour les économies locales voire nationales. Les résultats sont contrastés, mais certaines conclusions émergent pour les cyclones, inondations, sécheresses ou incendies. L’économie des zones sinistrées des pays en développement est souvent durablement affectée. Dans les pays avancés, non seulement le bilan humain est moins dramatique, mais aussi croissance et emploi semblent bien moins touchés. Les sécheresses prolongées (hors incendie) ne réduiraient significativement que l’activité agricole, sans impact sur la croissance agrégée.

Pour les tempêtes, tornades, inondations ou incendies, la plupart des travaux trouvent une baisse de l’activité dans les jours qui suivent la catastrophe ; cependant, très vite, l’emploi se redresse et la croissance retrouve son rythme antérieur. Cet apparent retour à la normale cache des gagnants et des perdants. Au niveau des individus, seuls les plus sinistrés mal assurés, et les plus pauvres, voient leur situation financière nettement se dégrader.

De même, les conséquences sectorielles sont hétérogènes. Un article de la revue Monthly Labor Review vient ainsi d’évaluer l’impact sur l’emploi des centaines d’incendies majeurs en Californie depuis le début du siècle. Le résultat est intuitif : la stabilité globale de l’emploi est portée par une hausse nette dans le secteur de la (re)construction et celui des services aux entreprises ; à l’opposé, bien que non statistiquement significatif, on note un repli de l’emploi dans les loisirs et le tourisme. Les créations d’emplois dans la construction sont d’autant plus grandes que l’incendie a été destructeur ; elles peuvent ainsi atteindre 10 %, douze à dix-huit mois après la catastrophe.

Climat: Une raison supplémentaire pour faire augmenter le prix des assurances

Climat: Une raison supplémentaire pour faire augmenter le prix des assurances

Les risques climatiques représentaient environ 2 milliards d’euros par an sur la période 2010-2015, puis 4 milliards d’euros en 2016-2021, avant d’atteindre un pic de 10 milliards en 2022. Certains risques, comme la fissuration des bâtiments liée au retrait et gonflement des sols argileux (consécutif à des épisodes de sécheresse de plus en plus fréquent et intense), donnent le vertige : une facture de l’ordre de 45 à 50 milliards d’euros pour réparer les maisons concernées, alors que le chiffre d’affaires total de l’assurance dommages s’élèvent à 60 milliards. Sans compter que l’aléa devient de plus en plus une certitude, ce qui remet en cause le principe même de l’assurance. La conséquence au plan mondial sera une augmentation sensible du prix de l’assurance.

La loi «Plein emploi» va augmenter mécaniquement le chômage

La loi «Plein emploi» va augmenter mécaniquement le chômage

Paradoxalement la nouvelle loi plein-emploi va faire mécaniquement augmenter le chômage puisque désormais les 2 millions de bénéficiaires du RSA non-inscrit figureront désormais dans les statistiques des chômeurs saufs exception.

La nouvelle loi en effet mécaniquement prévoit d’intégrer tous les bénéficiaires du RSA dans les statistiques de chômeurs.( Sauf exception). Le problème c’est que cette inscription de tous les bénéficiaires du RSA va coïncider avec la baisse de la croissance et donc de l’emploi à partir du début de l’année prochaine. Conséquence directe la forte détérioration des statistiques de l’emploi et un éventuel impact sur le moral économique.

Ce mouvement massif pourrait résulter de la loi plein-emploi qui est passée en examen cette semaine au Sénat avant d’être présentée aux députés à l’automne. Le texte prévoit notamment la création d’un nouvel opérateur national de l’emploi à partir du 1er janvier 2024. Ce dernier, dénommé France Travail, viendrait remplacer Pôle emploi.

En réalité une fausse réforme car pour l’essentiel,  » France travail » effectuera les mêmes missions que pôle emploi avec d’ailleurs aussi peu de succès pour des questions de méconnaissance du marché du travail.

« Augmenter les salaires et changer le travail »

« Augmenter les salaires et changer le travail »

par Maëlezig Bigi Sociologue

La sociologue Maëlezig Bigi observe, dans une tribune au « Monde », que les travailleurs français sont, en Europe, ceux qui ont le moins le sentiment d’être « bien payés » pour l’effort fourni.

En France, la proportion de salariés estimant ne pas recevoir « le respect et l’estime que mérite leur travail » oscille entre un tiers et un quart entre 2013 et 2019, selon les enquêtes « Conditions de travail » de la direction de la recherche du ministère du travail. A peine un peu plus de la moitié d’entre eux jugeaient satisfaisants leur salaire ou leurs perspectives de promotion en regard du travail effectué. Le sentiment d’être « bien payé pour les efforts fournis » est particulièrement dégradé. En 2021, seuls 45 % des travailleurs français exprimaient cette opinion, la proportion la plus faible au sein de l’Union européenne, selon l’enquête Eurofound (2021) sur les conditions de travail.

Ces chiffres témoignent tout d’abord des fortes attentes des Français à l’égard du travail comme activité permettant le développement de soi et l’intégration économique et sociale. A rebours des thèmes de la « grande démission », de la « démission silencieuse », ou même de la « flemme » des salariés français, toutes les grandes enquêtes quantitatives et qualitatives depuis plusieurs décennies démontrent la stabilité de la très grande importance accordée au travail dans notre pays.

La crise sanitaire n’a pas introduit de désengagement du travail, mais peut-être davantage une prise de distance vis-à-vis de ses conditions d’exercice. Le taux d’emploi a atteint, fin 2022, son plus haut niveau jamais mesuré par l’Insee, avec 68,3 % des 15-64 ans en activité. En revanche, la force du mouvement social qui s’exprime autour du passage en force de la réforme des retraites témoigne de l’inquiétude autour des conditions de travail, dont le rôle est déterminant dans le sentiment de reconnaissance, personnelle et sociale, pour les salariés comme pour les travailleurs indépendants, quels que soient les secteurs d’activité.

Appel de Veolia à préserver l’eau ou à augmenter les tarifs ?

Appel de Veolia à préserver l’eau ou à augmenter les tarifs ?

La patronne de Veolia, géant de l’eau et des déchets s’est faite l’écho d’une ambition collective portée par l’ONU sous le terme « net zéro water ». Un slogan sympathique qui semble vouloir réguler la précieuse ressource qu’ est devenue l’eau. Reste à savoir si il ne s’agit pas aussi de justifier une augmentation du tarif qui ne cesse d’augmenter.

Le champion mondial des services de l’environnement vient de communiquer de très bons résultats pour le premier trimestre 2023. Plus d’un an après sa fusion réussie avec Suez, le géant de l’eau et des déchets vient de réaliser un chiffre d’affaires de 12 milliards d’euros (+20%).

De la même manière que la France s’est engagée à atteindre la neutralité carbone en 2050 et l’entreprise la neutralité énergétique, Estelle Brachlianoff s’est faite l’écho d’une ambition collective portée par l’ONU sous le terme de « net zero water » qui consiste à restituer à la nature autant d’eau que celle prélevée.

Le gouvernement de ce côté annonce un plan au mais qui évite de traiter l’agriculture qui en utilise pourtant 60 %.

Veolia a renouvelé son contrat d’eau avec la métropole de Lille, « le premier contrat significatif sur la sobriété en eau. » Autrement dit, la société est payée si elle réussit à économiser cette ressource naturelle.

« Légitimement, le dérèglement climatique conduit à se poser beaucoup de questions sur la réduction de CO2 dans l’atmosphère. Pendant longtemps, à part dans quelques pays du Sud, le sujet de la rareté de l’eau a été peu abordé », a justifié la directrice générale de Veolia, invitée par La Tribune à préciser sa pensée.

Et de poursuivre, prêchant pour sa paroisse : « L’eau est un bien précieux dont on doit prendre soin. Eviter de prélever dans les nappes phréatiques doit être un objectif en soi. Pour les industriels, il existe beaucoup de technologies qui nous permettent de recycler l’eau pour qu’elle soit réintroduite dans les circuits de production ».

Pouvoir d’achat: il faut augmenter les salaires de 10%

Pouvoir d’achat: Augmenter les salaires de 10%

Macron a soigneusement évité de parler de façon précise et concrète de la question centrale du pouvoir d’achat des ménages lors de son allocution télévisée. Contrairement aux affirmations du gouvernement et de certains experts, l’inflation ne ralentit pas et va même se maintenir à peu près autour de 6 % sur un an cours de l’année 2023. À peu près le même chiffre de progression des prix qu’en 2022.Les deux progressions des prix évidemment se cumulent. Sur deux ans, ce sera donc une augmentation supérieure à 13 %. À noter en plus l’augmentation particulière de l’alimentaire qui atteint officiellement 15 % et dont les professionnels pensent qu’elle ira jusqu’à 20 %.Officiellement , les augmentations moyennes des salaires auraient progressé de 4 % en 2022. Avec la nouvelle inflation de 2023, on est donc loin du compte. Pour ramener les salaires au même niveau qu’en 2021, il faudrait donc augmenter les salaires d’environ 10 %.

Bref, face à une augmentation officielle des prix de 6 % le SMIC sera augmenté d »environ 30 €, c’est trop !

La vérité c’est que face à l’emballement exceptionnel de l’inflation il aurait fallu augmenter les salaires de l’ordre de 10 % en 2023 le pouvoir d’achat. En attendant environ 40 % des plus défavorisés sont contraints de diminuer le nombre de repas ou leur importance.

Compte tenu du niveau de l’inflation qui a atteint 5,7% en mars sur un an, le salaire minimum va de nouveau augmenter d’environ 30 euros net au 1er mai.

La Première ministre Elisabeth Borne a assuré ce vendredi que le Smic augmenterait « d’un peu plus de 2% » au 1er mai et appelé les entreprises à « renégocier les grilles salariales » pour défendre le pouvoir d’achat après une inflation en mars un peu plus forte qu’envisagée.

Social -Pouvoir d’achat: Augmenter les salaires de 10%

Social -Pouvoir d’achat: Augmenter les salaires de 10%

Macron a soigneusement évité de parler de façon précise et concrète de la question centrale du pouvoir d’achat des ménages lors de son allocution télévisée. Contrairement aux affirmations du gouvernement et de certains experts, l’inflation ne ralentit pas et va même se maintenir à peu près autour de 6 % sur un an cours de l’année 2023. À peu près le même chiffre de progression des prix qu’en 2022.Les deux progressions des prix évidemment se cumulent. Sur deux ans, ce sera donc une augmentation supérieure à 13 %. À noter en plus l’augmentation particulière de l’alimentaire qui atteint officiellement 15 % et dont les professionnels pensent qu’elle ira jusqu’à 20 %.Officiellement , les augmentations moyennes des salaires auraient progressé de 4 % en 2022. Avec la nouvelle inflation de 2023, on est donc loin du compte. Pour ramener les salaires au même niveau qu’en 2021, il faudrait donc augmenter les salaires d’environ 10 %.

Bref, face à une augmentation officielle des prix de 6 % le SMIC sera augmenté d »environ 30 €, c’est trop !

La vérité c’est que face à l’emballement exceptionnel de l’inflation il aurait fallu augmenter les salaires de l’ordre de 10 % en 2023 le pouvoir d’achat. En attendant environ 40 % des plus défavorisés sont contraints de diminuer le nombre de repas ou leur importance.

Compte tenu du niveau de l’inflation qui a atteint 5,7% en mars sur un an, le salaire minimum va de nouveau augmenter d’environ 30 euros net au 1er mai.

La Première ministre Elisabeth Borne a assuré ce vendredi que le Smic augmenterait « d’un peu plus de 2% » au 1er mai et appelé les entreprises à « renégocier les grilles salariales » pour défendre le pouvoir d’achat après une inflation en mars un peu plus forte qu’envisagée.

Cette inflation qui a atteint 5,7%, soit légèrement plus que les 5,6% initialement prévus par l’Insee, va conduire mécaniquement « à une revalorisation du Smic au 1er mai d’un peu plus de 2% », portant à 6% son augmentation sur un an, a expliqué la cheffe du gouvernement lors d’un déplacement à Hanches, en Eure-et-Loir.

Selon le cabinet du ministre du Travail Olivier Dussopt, la hausse sera de 2,19%. Le Smic net mensuel sera ainsi revalorisé de 30 euros à 1383 euros pour un temps plein de 35 heures. Lors de la visite d’un hypermarché, qui a été interrompue à plusieurs reprises par quelques manifestants hostiles à la réforme des retraites, Elisabeth Borne a appelé les entreprises à « renégocier au plus vite les grilles salariales » pour les employés afin que les salariés qui gagnent un peu plus que le smic ne soient pas pénalisés.

Social-Augmenter les salaires de 10%

Social-Augmenter les salaires de 10%

Contrairement aux affirmations du gouvernement et de certains experts, l’inflation ne ralentit pas et va même se maintenir à peu près autour de 6 % sur un an cours de l’année 2023. À peu près le même chiffre de progression des prix qu’en 2022.Les deux progressions des prix évidemment se cumulent. Sur deux ans, ce sera donc une augmentation supérieure à 13 %. À noter en plus l’augmentation particulière de l’alimentaire qui atteint officiellement 15 % et dont les professionnels pensent qu’elle ira jusqu’à 20 %.Officiellement , les augmentations moyennes des salaires auraient progressé de 4 % en 2022. Avec la nouvelle inflation de 2023, on est donc loin du compte. Pour ramener les salaires au même niveau qu’en 2021, il faudrait donc augmenter les salaires d’environ 10 %.

Bref, face à une augmentation officielle des prix de 6 % le SMIC sera augmenté d »environ 30 €, c’est trop !

La vérité c’est que face à l’emballement exceptionnel de l’inflation il aurait fallu augmenter les salaires de l’ordre de 10 % en 2023 le pouvoir d’achat. En attendant environ 40 % des plus défavorisés sont contraints de diminuer le nombre de repas ou leur importance.

Compte tenu du niveau de l’inflation qui a atteint 5,7% en mars sur un an, le salaire minimum va de nouveau augmenter d’environ 30 euros net au 1er mai.

La Première ministre Elisabeth Borne a assuré ce vendredi que le Smic augmenterait « d’un peu plus de 2% » au 1er mai et appelé les entreprises à « renégocier les grilles salariales » pour défendre le pouvoir d’achat après une inflation en mars un peu plus forte qu’envisagée.

Cette inflation qui a atteint 5,7%, soit légèrement plus que les 5,6% initialement prévus par l’Insee, va conduire mécaniquement « à une revalorisation du Smic au 1er mai d’un peu plus de 2% », portant à 6% son augmentation sur un an, a expliqué la cheffe du gouvernement lors d’un déplacement à Hanches, en Eure-et-Loir.

Selon le cabinet du ministre du Travail Olivier Dussopt, la hausse sera de 2,19%. Le Smic net mensuel sera ainsi revalorisé de 30 euros à 1383 euros pour un temps plein de 35 heures. Lors de la visite d’un hypermarché, qui a été interrompue à plusieurs reprises par quelques manifestants hostiles à la réforme des retraites, Elisabeth Borne a appelé les entreprises à « renégocier au plus vite les grilles salariales » pour les employés afin que les salariés qui gagnent un peu plus que le smic ne soient pas pénalisés.

Augmenter les salaires de 10%

Augmenter les salaires de 10%

Contrairement aux affirmations du gouvernement et de certains experts, l’inflation ne ralentit pas et va même se maintenir à peu près autour de 6 % sur un an cours de l’année 2023. À peu près le même chiffre de progression des prix qu’en 2022.Les deux 2 progressions des prix évidemment se cumulent. Sur deux ans, ce sera donc une augmentation supérieure à 13 %. À noter en plus l’augmentation particulière de l’alimentaire qui atteint officiellement 15 % et dont les professionnels pensent qu’elle ira jusqu’à 20 %.Officiellement les les augmentations moyennes des salaires auraient progressé de 4 % en 2022. Avec la nouvelle inflation de 2023, on est donc loin du compte. Pour ramener les salaires au même niveau qu’en 2021, il faudrait donc augmenter les salaires d’environ 10 %.

Bref face à une augmentation officielle des prix de 6 % le SMIC sera augmenté d »environ 30 €, c’est trop !

La vérité c’est que face à l’emballement exceptionnel de l’inflation il aurait fallu augmenter les salaires de l’ordre de 10 % en 2023 le pouvoir d’achat. En attendant environ 40 % des plus défavorisés sont contraints de diminuer le nombre de repas ou leur importance.

Compte tenu du niveau de l’inflation qui a atteint 5,7% en mars sur un an, le salaire minimum va de nouveau augmenter d’environ 30 euros net au 1er mai.
La Première ministre Elisabeth Borne a assuré ce vendredi que le Smic augmenterait « d’un peu plus de 2% » au 1er mai et appelé les entreprises à « renégocier les grilles salariales » pour défendre le pouvoir d’achat après une inflation en mars un peu plus forte qu’envisagée.

Cette inflation qui a atteint 5,7%, soit légèrement plus que les 5,6% initialement prévus par l’Insee, va conduire mécaniquement « à une revalorisation du Smic au 1er mai d’un peu plus de 2% », portant à 6% son augmentation sur un an, a expliqué la cheffe du gouvernement lors d’un déplacement à Hanches, en Eure-et-Loir.

Selon le cabinet du ministre du Travail Olivier Dussopt, la hausse sera de 2,19%. Le Smic net mensuel sera ainsi revalorisé de 30 euros à 1383 euros pour un temps plein de 35 heures. Lors de la visite d’un hypermarché, qui a été interrompue à plusieurs reprises par quelques manifestants hostiles à la réforme des retraites, Elisabeth Borne a appelé les entreprises à « renégocier au plus vite les grilles salariales » pour les employés afin que les salariés qui gagnent un peu plus que le smic ne soient pas pénalisés.

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