Archive pour le Tag 'augmentation'

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Immobilier : augmentation du taux d’endettement ?

Immobilier : augmentation du taux d’endettement ?


D’ici la fin de l’année le nombre de crédits ce sera sans doute écroulé de près de 50 %. Du coup, le gouvernement recherche des solutions pour relancer l’accession à la propriété. Face à la montée des taux d’intérêt, il n’y a guère de perspectives favorables. Au contraire la capacité d’endettement ne cesse de diminuer par exemple un candidat ne peut plus emprunter que 150 000 € au lieu de 200 000 du fait des frais liés aux intérêts. La seule solution envisagée serait de « relever le taux d’endettement maximal des ménages » actuellement fixé à 35% des revenus .

Un desserrement des conditions de crédit « permettrait de débloquer de nombreuses situations individuelles et de donner un nouveau souffle bienvenu aux constructions ou aux rénovations de logement », jugent-ils.Le problème c’est qu’on risque d’endetter dangereusement certains candidats à l’accession à la propriété surtout si la tendance baissière des prix se confirme et s’amplifie.

Notons qu’il irait aussi des risques pour les banques qui alors pourraient détenir des actifs pourris

Reste que le ministre de l’Economie avait totalement exclu un relèvement du taux d’endettement maximal en mai dernier: « Ce que je ne veux pas, (c’est) régler la crise du logement en endettant massivement les Français et de manière déraisonnable. Cela créerait de l’instabilité et des risques financiers, c’est une mauvaise option », avait justifié le locataire de Bercy.

Augmentation des prix de l’alimentaire: Les mensonges du gouvernement

Augmentation des prix de l’alimentaire: Les mensonges du gouvernement


Contrairement aux affirmations du gouvernement et en particulier du ministre de l’économie les prix dans l’alimentaire (et autres produits courants) n’ont nullement commencé à diminuer à partir de l’été. L’inflation se maintient même à haut niveau et si l’on tient compte de l’évolution des prix réels, l’augmentation aura été de 20 % depuis deux ans avec même des hausses de 30 à 50 % sur certains produits.

D’une certaine manière, le ministre de l’économie et pris dans le piège de ses contradictions. D’une part il s’oppose au relèvement significatif des salaires et des pensions en retard maintenant d’environ 10 % sur deux ans. D’autre part il ne veut pas imposer de négociations entre les distributeurs et les industriels. Pas davantage de taxation des profits exceptionnels alors que les dividendes atteignent des records, Pas non plus une baisse de la fiscalité sur le carburant qui flambe aussi
Pour le ministre de l’économie le fiasco est total non seulement en raison de l’incapacité à maîtriser l’inflation et le pouvoir d’achat mais aussi en raison d’une dérive budgétaire exceptionnelle qui va encore alourdir une dette abyssale.

Enfin le gouvernement estdécidé à en finir avec le «quoi qu’il en coûte» et le «bouclier tarifaire» qui ont protégé les Français depuis le début de la pandémie ; un gouvernement promettant en même temps, depuis des mois, que les prix alimentaires, en forte hausse depuis mars 2022, atteindront vite leur pic et baisseront rapidement.

Pour Bruno le maire l’échec est total dans tous les domaines.


Contrairement aux affirmations du gouvernement et en particulier du ministre de l’économie les prix dans l’alimentaire (et autres produits courants) n’ont nullement commencé à diminuer à partir de l’été. L’inflation se maintient même à haut niveau et si l’on tient compte de l’évolution des prix réels, l’augmentation aura été de 20 % depuis deux ans avec même des hausses de 30 à 50 % sur certains produits.

D’une certaine manière, le ministre de l’économie et pris dans le piège de ses contradictions. D’une part il s’oppose au relèvement significatif des salaires et des pensions en retard maintenant d’environ 10 % sur deux ans. D’autre part il ne veut pas imposer de négociations entre les distributeurs et les industriels. Pas davantage de taxation des profits exceptionnels alors que les dividendes atteignent des records, Pas non plus une baisse de la fiscalité sur le carburant qui flambe aussi
Pour le ministre de l’économie le fiasco est total non seulement en raison de l’incapacité à maîtriser l’inflation et le pouvoir d’achat mais aussi en raison d’une dérive budgétaire exceptionnelle qui va encore alourdir une dette abyssale.

Enfin le gouvernement estdécidé à en finir avec le «quoi qu’il en coûte» et le «bouclier tarifaire» qui ont protégé les Français depuis le début de la pandémie ; un gouvernement promettant en même temps, depuis des mois, que les prix alimentaires, en forte hausse depuis mars 2022, atteindront vite leur pic et baisseront rapidement.

Pour Bruno le maire l’échec est total dans tous les domaines.

Augmentation des prix de l’alimentaire: Les mensonges du gouvernement

Augmentation des prix de l’alimentaire: Les mensonges du gouvernement


Contrairement aux affirmations du gouvernement et en particulier du ministre de l’économie les prix dans l’alimentaire (et autres produits courants) n’ont nullement commencé à diminuer à partir de l’été. L’inflation se maintient même à haut niveau et si l’on tient compte de l’évolution des prix réels, l’augmentation aura été de 20 % depuis deux ans avec même des hausses de 30 à 50 % sur certains produits.

D’une certaine manière, le ministre de l’économie et pris dans le piège de ses contradictions. D’une part il s’oppose au relèvement significatif des salaires et des pensions en retard maintenant d’environ 10 % sur deux ans. D’autre part il ne veut pas imposer de négociations entre les distributeurs et les industriels. Pas davantage de taxation des profits exceptionnels alors que les dividendes atteignent des records, Pas non plus une baisse de la fiscalité sur le carburant qui flambe aussi
Pour le ministre de l’économie le fiasco est total non seulement en raison de l’incapacité à maîtriser l’inflation et le pouvoir d’achat mais aussi en raison d’une dérive budgétaire exceptionnelle qui va encore alourdir une dette abyssale.

Enfin le gouvernement estdécidé à en finir avec le «quoi qu’il en coûte» et le «bouclier tarifaire» qui ont protégé les Français depuis le début de la pandémie ; un gouvernement promettant en même temps, depuis des mois, que les prix alimentaires, en forte hausse depuis mars 2022, atteindront vite leur pic et baisseront rapidement.

Pour Bruno le maire l’échec est total dans tous les domaines.

Budget 2024 : Augmentation de 30 milliards du coût de la dette et 43 000 Euros par habitant

Budget 2024 : Augmentation de 30 milliards du coût de la dette et 43 000 Euros par habitant


Selon les « Echos », à l’horizon 2027, la charge de la dette ( autour de 3000 milliards !) pourrait coûter 10 milliards d’euros supplémentaires. Une augmentation mécanique puisque la France augmentée empruntait à 0 % en 2021 et en 2023 autour de 3%. Conséquence l’endettement coûtera 30 milliards de plus.

Rappelons qu’en 2000 la dette ne représentait que 60% du PIB. Elle représente maintenant 112,5% du PIB, ce qui représente 44.300 euros par Français.

À titre indicatif, à fin 2022, la dette française représentait une charge de 43.060 euros par habitant (+ 1.843 euros pour la seule année 2022, soit nettement supérieur à l’endettement moyen du citoyen européen qui a augmenté de 1.191 euros sur la même période).

Bercy estimait à 20 milliards d’euros la hausse de la charge d’endettement entre 2022 et 2027 mais selon les dernières prévisions, le montant pourrait être de 30 milliards d’euros, soit 10 milliards d’euros de plus que prévu, d’après des informations ressortant du programme de stabilité, citées par Les Echos.

La Cour des comptes avait pourtant alerté « le retournement marqué de la charge de la dette », en forte hausse « après une décennie de quasi-stabilité ou de légère baisse ». De fait, l’inflation joue, une partie des obligations françaises étant indexées sur l’évolution des prix.

Plombée par son endettement public à 111,6 % du PIB, la France reste fortement exposée à une remontée des taux. Début 2021, Paris se finançait à un taux proche de 0 % pour ses emprunts à 10 ans. Las, il tourne autour de 3% actuellement (avec un pic à plus de 3 % en janvier et en mars). La charge de la dette publique française risque de peser lourd dans les années qui viennent. D’où, aussi, la nécessité de trouver des pistes de réduction de la dépense publique. Le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, notamment, planche sur la question.

Budget 2024 : Augmentation de 30 milliards du coût de la dette

Budget 2024 : Augmentation de 30 milliards du coût de la dette


Selon les « Echos », à l’horizon 2027, la charge de la dette ( autour de 3000 milliards !) pourrait coûter 10 milliards d’euros supplémentaires. Une augmentation mécanique puisque la France augmentée empruntait à 0 % en 2021 et en 2023 autour de 3%. Conséquence l’endettement coûtera 30 milliards de plus.

Bercy estimait à 20 milliards d’euros la hausse de la charge d’endettement entre 2022 et 2027 mais selon les dernières prévisions, le montant pourrait être de 30 milliards d’euros, soit 10 milliards d’euros de plus que prévu, d’après des informations ressortant du programme de stabilité, citées par Les Echos.

La Cour des comptes avait pourtant alerté « le retournement marqué de la charge de la dette », en forte hausse « après une décennie de quasi-stabilité ou de légère baisse ». De fait, l’inflation joue, une partie des obligations françaises étant indexées sur l’évolution des prix.

Plombée par son endettement public à 111,6 % du PIB, la France reste fortement exposée à une remontée des taux. Début 2021, Paris se finançait à un taux proche de 0 % pour ses emprunts à 10 ans. Las, il tourne autour de 3% actuellement (avec un pic à plus de 3 % en janvier et en mars). La charge de la dette publique française risque de peser lourd dans les années qui viennent. D’où, aussi, la nécessité de trouver des pistes de réduction de la dépense publique. Le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, notamment, planche sur la question.

Budget : Augmentation de 30 milliards du coût de la dette

Budget : Augmentation de 30 milliards du coût de la dette


Selon les « Echos », à l’horizon 2027, la charge de la dette ( autour de 3000 milliards !) pourrait coûter 10 milliards d’euros supplémentaires. Une augmentation mécanique puisque la France augmentée empruntait à 0 % en 2021 et en 2023 autour de 3%. Conséquence l’endettement coûtera 30 milliards de plus.

Bercy estimait à 20 milliards d’euros la hausse de la charge d’endettement entre 2022 et 2027 mais selon les dernières prévisions, le montant pourrait être de 30 milliards d’euros, soit 10 milliards d’euros de plus que prévu, d’après des informations ressortant du programme de stabilité, citées par Les Echos.

La Cour des comptes avait pourtant alerté « le retournement marqué de la charge de la dette », en forte hausse « après une décennie de quasi-stabilité ou de légère baisse ». De fait, l’inflation joue, une partie des obligations françaises étant indexées sur l’évolution des prix.

Plombée par son endettement public à 111,6 % du PIB, la France reste fortement exposée à une remontée des taux. Début 2021, Paris se finançait à un taux proche de 0 % pour ses emprunts à 10 ans. Las, il tourne autour de 3% actuellement (avec un pic à plus de 3 % en janvier et en mars). La charge de la dette publique française risque de peser lourd dans les années qui viennent. D’où, aussi, la nécessité de trouver des pistes de réduction de la dépense publique. Le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, notamment, planche sur la question.

Dividendes : Encore en augmentation de 12 % au premier trimestre

Dividendes : Encore en augmentation de 12 % au premier trimestre


Encore une augmentation de 12 % des dividendes au premier trimestre au plan mondial ; un niveau exceptionnel et un record évidemment en contradiction avec les pertes de pouvoir d’achat des salariés face à l’inflation ( En France en moyenne par exemple les salariés ont perdu 5 % de pouvoir d’achat sur deux ans).

Les versements de dividendes exceptionnels ont atteint 28,8 milliards de dollars au premier trimestre, « leur deuxième niveau le plus élevé de tous les temps » (après le premier trimestre 2014) », selon le rapport du gestionnaire d’actifs Janus Henderson. « Ford et Volkswagen ont représenté près d’un tiers des dividendes extraordinaires » des trois premiers mois de l’année et les dividendes versés par le secteur automobile ont été dix fois plus importants » que l’année dernière

En France, ce sont les groupes de luxe Hermès et Kering qui ont contribué à porter la croissance des dividendes, hors exceptionnels, à 11,6 %, avec 2,8 milliards d’euros, sur un total de 3 milliards de dollars versés par les sociétés françaises, loin d’un record, au cours d’un trimestre habituellement calme en termes de dividende. Le champion des dividendes du premier trimestre a été le groupe danois du transport maritime Moller Maersk, qui a distribué 11,7 milliards de dollars, « dont un peu plus de la moitié sous forme de dividende extraordinaire », ce qui reflète un bénéfice net record enregistré en 2022, grâce à la hausse des prix du fret de conteneurs.

Pour l’année 2023 dans son ensemble, les dividendes globaux devraient s’élever à 1.640 milliards de dollars, ce qui équivaut à une croissance globale de 5,2% ». Autre moyen de rémunérer les actionnaires, les rachats d’actions ont aussi atteint un record en 2022.

Sondage impôts: en augmentation pour 42 % des Français

Sondage impôts: en augmentation pour 42 % des Français

Selon un sondage Elabe pour « Les Echos » et l’Institut Montaigne , 42 % des Français on impression que la fiscalité a augmenté

Seul un peu plus d’un quart des Français (28 %) estime payer moins d’impôts. Petite consolation pour le chef de l’Etat : c’est le cas de la majorité de ses électeurs (61 %) alors que ceux de Jean-Luc Mélenchon jugent majoritairement qu’ils sont davantage taxés qu’auparavant. « C’est un élément du bilan d’Emmanuel Macron qui n’imprime pas », relève Vincent Thibault, directeur conseil opinion chez Elabe.

Derrière le scepticisme des personnes interrogées, une autre critique s’élève : plus de trois quarts considèrent que l’argent du contribuable est mal dépensé. Un sentiment persistant qui a conduit le gouvernement à lancer mi-avril la campagne « En avoir pour mes impôts » visant en particulier les classes moyennes, qui ont des « doutes » sur l’utilisation qui en est faite. L’enquête montre l’ampleur du chantier.

Plus d’un sur deux (53 %) pensent contribuer au système plus qu’ils n’en bénéficient. Si ce sentiment a nettement reflué depuis la crise des « gilets jaunes », « le gouvernement n’est pas parvenu à inverser la tendance », constate Vincent Thibault. Seules 8 % des personnes se disent gagnantes.

Croissance France : légère augmentation au deuxième trimestre

Croissance France : légère augmentation au deuxième trimestre

Entre avril et juin, le produit intérieur brut (PIB) serait « en légère hausse » par rapport au premier trimestre où il avait augmenté de 0,2 %.

En avril, l’activité a progressé dans les trois grands secteurs : industrie, services et bâtiment », a indiqué Olivier Garnier, directeur général des statistiques, des études et de l’international au sein de l’instance en présentant l’enquête mensuelle de conjoncture de La banque de France.

L’activité se stabiliserait ensuite en mai dans les services, tandis que l’industrie et le bâtiment se replieraient, des anticipations attribuables pour partie aux congés plus nombreux. Pour l’ensemble de l’année, la Banque de France table toujours sur une croissance du PIB de 0,6 %, inférieure à celle prévue par le gouvernement (1 %) et bien moindre que celle de 2,6 % enregistrée en 2022.

Sondage fiscalité : en augmentation pour 42 % des Français

Sondage fiscalité : en augmentation pour 42 % des Français

Selon un sondage Elabe pour « Les Echos » et l’Institut Montaigne , 42 % des Français on impression que la fiscalité a augmenté

Seul un peu plus d’un quart des Français (28 %) estime payer moins d’impôts. Petite consolation pour le chef de l’Etat : c’est le cas de la majorité de ses électeurs (61 %) alors que ceux de Jean-Luc Mélenchon jugent majoritairement qu’ils sont davantage taxés qu’auparavant. « C’est un élément du bilan d’Emmanuel Macron qui n’imprime pas », relève Vincent Thibault, directeur conseil opinion chez Elabe.

Derrière le scepticisme des personnes interrogées, une autre critique s’élève : plus de trois quarts considèrent que l’argent du contribuable est mal dépensé. Un sentiment persistant qui a conduit le gouvernement à lancer mi-avril la campagne « En avoir pour mes impôts » visant en particulier les classes moyennes, qui ont des « doutes » sur l’utilisation qui en est faite. L’enquête montre l’ampleur du chantier.

Plus d’un sur deux (53 %) pensent contribuer au système plus qu’ils n’en bénéficient. Si ce sentiment a nettement reflué depuis la crise des « gilets jaunes », « le gouvernement n’est pas parvenu à inverser la tendance », constate Vincent Thibault. Seules 8 % des personnes se disent gagnantes.

Une augmentation de 10% des salaires nécessaires pour compenser l’inflation

Une augmentation de 10% des salaires nécessaires pour compenser l’inflation

Macron a soigneusement évité de parler de façon précise et concrète de la question centrale du pouvoir d’achat des ménages lors de son allocution télévisée. Contrairement aux affirmations du gouvernement et de certains experts, l’inflation ne ralentit pas et va même se maintenir à peu près autour de 6 % sur un an cours de l’année 2023. À peu près le même chiffre de progression des prix qu’en 2022.Les deux progressions des prix évidemment se cumulent. Sur deux ans, ce sera donc une augmentation supérieure à 13 %. À noter en plus l’augmentation particulière de l’alimentaire qui atteint officiellement 15 % et dont les professionnels pensent qu’elle ira jusqu’à 20 %.Officiellement , les augmentations moyennes des salaires auraient progressé de 4 % en 2022. Avec la nouvelle inflation de 2023, on est donc loin du compte. Pour ramener les salaires au même niveau qu’en 2021, il faudrait donc augmenter les salaires d’environ 10 %.

Bref, face à une augmentation officielle des prix de 6 % le SMIC sera augmenté d’environ 30 €, c’est trop !

La vérité c’est que face à l’emballement exceptionnel de l’inflation il aurait fallu augmenter les salaires de l’ordre de 10 % en 2023 le pouvoir d’achat. En attendant environ 40 % des plus défavorisés sont contraints de diminuer le nombre de repas ou leur importance.

Compte tenu du niveau de l’inflation qui a atteint 5,7% en mars sur un an, le salaire minimum va de nouveau augmenter d’environ 30 euros net au 1er mai.

Salaires: il faudrait une augmentation de 10% nécessaires pour compenser l’inflation

Salaires: il faudrait une augmentation de 10% nécessaires pour compenser l’inflation

Macron a soigneusement évité de parler de façon précise et concrète de la question centrale du pouvoir d’achat des ménages lors de son allocution télévisée. Contrairement aux affirmations du gouvernement et de certains experts, l’inflation ne ralentit pas et va même se maintenir à peu près autour de 6 % sur un an cours de l’année 2023. À peu près le même chiffre de progression des prix qu’en 2022.Les deux progressions des prix évidemment se cumulent. Sur deux ans, ce sera donc une augmentation supérieure à 13 %. À noter en plus l’augmentation particulière de l’alimentaire qui atteint officiellement 15 % et dont les professionnels pensent qu’elle ira jusqu’à 20 %.Officiellement , les augmentations moyennes des salaires auraient progressé de 4 % en 2022. Avec la nouvelle inflation de 2023, on est donc loin du compte. Pour ramener les salaires au même niveau qu’en 2021, il faudrait donc augmenter les salaires d’environ 10 %.

Bref, face à une augmentation officielle des prix de 6 % le SMIC sera augmenté d’environ 30 €, c’est trop !

La vérité c’est que face à l’emballement exceptionnel de l’inflation il aurait fallu augmenter les salaires de l’ordre de 10 % en 2023 le pouvoir d’achat. En attendant environ 40 % des plus défavorisés sont contraints de diminuer le nombre de repas ou leur importance.

Compte tenu du niveau de l’inflation qui a atteint 5,7% en mars sur un an, le salaire minimum va de nouveau augmenter d’environ 30 euros net au 1er mai.

Salaires: augmentation de 10% nécessaire pour compenser l’inflation

Salaires: augmentation de 10% nécessaire pour compenser l’inflation

Macron a soigneusement évité de parler de façon précise et concrète de la question centrale du pouvoir d’achat des ménages lors de son allocution télévisée. Contrairement aux affirmations du gouvernement et de certains experts, l’inflation ne ralentit pas et va même se maintenir à peu près autour de 6 % sur un an cours de l’année 2023. À peu près le même chiffre de progression des prix qu’en 2022.Les deux progressions des prix évidemment se cumulent. Sur deux ans, ce sera donc une augmentation supérieure à 13 %. À noter en plus l’augmentation particulière de l’alimentaire qui atteint officiellement 15 % et dont les professionnels pensent qu’elle ira jusqu’à 20 %.Officiellement , les augmentations moyennes des salaires auraient progressé de 4 % en 2022. Avec la nouvelle inflation de 2023, on est donc loin du compte. Pour ramener les salaires au même niveau qu’en 2021, il faudrait donc augmenter les salaires d’environ 10 %.

Bref, face à une augmentation officielle des prix de 6 % le SMIC sera augmenté d’environ 30 €, c’est trop !

La vérité c’est que face à l’emballement exceptionnel de l’inflation il aurait fallu augmenter les salaires de l’ordre de 10 % en 2023 le pouvoir d’achat. En attendant environ 40 % des plus défavorisés sont contraints de diminuer le nombre de repas ou leur importance.

Compte tenu du niveau de l’inflation qui a atteint 5,7% en mars sur un an, le salaire minimum va de nouveau augmenter d’environ 30 euros net au 1er mai.

Salaires: il faut un augmentation de 10%

Salaires: il faut un augmentation de 10%

Macron a soigneusement évité de parler de façon précise et concrète de la question centrale du pouvoir d’achat des ménages lors de son allocution télévisée. Contrairement aux affirmations du gouvernement et de certains experts, l’inflation ne ralentit pas et va même se maintenir à peu près autour de 6 % sur un an cours de l’année 2023. À peu près le même chiffre de progression des prix qu’en 2022.Les deux progressions des prix évidemment se cumulent. Sur deux ans, ce sera donc une augmentation supérieure à 13 %. À noter en plus l’augmentation particulière de l’alimentaire qui atteint officiellement 15 % et dont les professionnels pensent qu’elle ira jusqu’à 20 %.Officiellement , les augmentations moyennes des salaires auraient progressé de 4 % en 2022. Avec la nouvelle inflation de 2023, on est donc loin du compte. Pour ramener les salaires au même niveau qu’en 2021, il faudrait donc augmenter les salaires d’environ 10 %.

Bref, face à une augmentation officielle des prix de 6 % le SMIC sera augmenté d’environ 30 €, c’est trop !

La vérité c’est que face à l’emballement exceptionnel de l’inflation il aurait fallu augmenter les salaires de l’ordre de 10 % en 2023 le pouvoir d’achat. En attendant environ 40 % des plus défavorisés sont contraints de diminuer le nombre de repas ou leur importance.

Compte tenu du niveau de l’inflation qui a atteint 5,7% en mars sur un an, le salaire minimum va de nouveau augmenter d’environ 30 euros net au 1er mai.

La Première ministre Elisabeth Borne a assuré ce vendredi que le Smic augmenterait « d’un peu plus de 2% » au 1er mai et appelé les entreprises à « renégocier les grilles salariales » pour défendre le pouvoir d’achat après une inflation en mars un peu plus forte qu’envisagée. :

Gaz: fin des tarifs réglementés pour Engie et augmentation des tarifs

Gaz: fin des tarifs réglementés pour Engie et augmentation des prix

Engie dont la gestion est particulièrement sulfureuse notamment parce que cette entreprise a participé à la crise du gaz par des choix stratégiques très douteux. Aussi par le fait qu’elle fait le grand écart entre des activités nucléaires, des activités polluantes et de nouvelles énergies. Quant à la gestion financière , elle est jusqu’alors assez approximative.

Maintenant, elle se précipite pour s’aligner sur la concurrence organisée par l’Europe sur le marché du gaz alors que le débat bat son plein concernant la régulation énergétique dans l’espace de l’union européenne.

L’objectif est clair permettre une libéralisation qui va produire une nette augmentation des tarifs anciennement réglementés.

Le 1er juillet, le tarif réglementé de vente (TRV) du gaz sera arrêté. Cette suppression a été actée par la loi énergie climat de novembre 2019, qui visait à mettre la France en conformité avec le droit européen concernant la concurrence sur le marché du gaz.

Impossible pour l’heure de savoir si la fin du TRV se traduira par une flambée de la facture du gaz en raison de la très grande volatilité des prix de celui-ci sur les marchés de gros. «Le prix de l’offre Passerelle ( offre de transition avant complète libéralisation) varie tous les mois. Les clients éligibles ont eu, entre mars et fin avril, un prix indicatif. Celui applicable au 1er juillet sera connu mi-juin», précise Engie. Il est aujourd’hui impossible d’affirmer que les factures des clients au TRV augmenteront… ou qu’elles baisseront.De quoi nourrir encore les critiques des organisations de consommateurs


LES AVIS NÉGATIFS DE 60 MILLIONS DE CONSOMMATEURS SUR ENGIE

Les clients Engie présents sur le forum de 60 millions de consommateurs font part de mécontentements ayant trait, principalement, aux sujets suivants :

La facturation : des échéances très importantes sont à régler en ce début d’année, liées à des régularisations basées sur une estimation erronée, des problèmes de relevés de compteur trop peu fréquents suite à la pandémie…
Des prélèvements bancaires dont le montant ne correspond pas à celui indiqué sur les factures, avec, pour certaines échéances, une absence de facture ;
Une augmentation inattendue du prix du kWh ;
Des problèmes de résiliation de contrat : délais importants, difficultés à joindre le service client ;
Le temps de traitement des réclamations.

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