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Ligue 1 foot: Compte tenu de la médiocrité aucun candidat pour téléviser

Ligue 1 foot: Compte tenu de la médiocrité aucun candidat pour téléviser


La ligue de football le français espérait une recette d’un milliard pour la télévision des matchs mais aucun candidat n’a voulu prendre le risque de répondre à l’appel d’offres. La preuve que la médiocrité générale du football français qui n’attire pas vraiment les mordus du sport a des conséquences économiques.

Sans discussion possible le spectacle offert par le championnat français n’a rien à voir avec d’autres championnats notamment évidemment le championnat anglais .

Le foot français joue aujourd’hui en deuxième division au plan des clubs loin derrière les Anglais, les Allemands, l’Espagne et même l’Italie.

La France joue en deuxième division comme le prouve d’ailleurs les résultats particulièrement médiocres dans les différentes compétitions européennes. En règle générale, tous les clubs français sont à peu près éliminé de ces compétitions vers la fin de l’année.

Il y a une vraie réflexion engagée à propos de la faiblesse du niveau du football français en club. On objectera que les résultats de l’équipe de France, eux, sont notoirement plus satisfaisants. Sans doute en raison du fait que la plupart des joueurs jouent précisément dans les grands championnats étrangers avec notamment un autre engagement physique.

L’absence de candidat pour télévisé les matcha constitue un camouflet pour le foot français. « Aucun des cinq lots » des droits TV de la Ligue 1 pour la période 2024-2029 n’a été attribué aux enchères mardi, a annoncé la Ligue de football professionnel (LFP), précisant que le « processus de commercialisation » allait se poursuivre. « Après avoir reçu plusieurs offres qualitatives et dispositifs de garantie financière sur l’ensemble des lots 1 à 5, LFP Media indique qu’aucun des cinq lots n’a été attribué ce jour, conformément aux dispositions de l’appel à candidatures Ligue 1 », écrit la LFP dans un communiqué.

Des négociations de gré à gré entre la LFP et les médias intéressés vont désormais commencer, et pourraient durer plusieurs semaines. Parmi les candidats pressentis, Prime Vidéo, beIN Sports, la plateforme de streaming sportif DAZN ou encore Apple. Canal+ pourrait aussi se réinviter dans la danse, alors que le président du directoire du groupe Maxime Saada avait prévenu la Ligue que la chaîne cryptée ne participerait pas aux enchères, fin septembre.

Leurs conditions « ont achevé de nous convaincre que votre seul objectif était d’en écarter Canal+ et de favoriser Amazon », avait-il écrit dans le courrier révélé par L’Equipe. « Vous n’avez eu de cesse de pénaliser Canal+ ». Ces enchères infructueuses sont un premier revers pour le président de la LFP, Vincent Labrune. Il avait dit espérer, cet été, atteindre un milliard d’euros de droits TV à redistribuer aux clubs professionnels, en comptant la vente des droits vers l’étranger – dont l’appel d’offres a été lancé le 6 octobre.

(avec AFP)

Chauffage- « Interdire les chaudières à gaz n’a aucun sens » (Benoit Bazin, Saint-Gobain)

Chauffage- « Interdire les chaudières à gaz n’a aucun sens » (Benoit Bazin, Saint-Gobain)


Le patron de Saint-Gobain est contre l’idée qu’on n’impose brutalement la fin les chaudières à gaz et se prononce plutôt pour une rénovation énergétique de balle, juste et efficace.

« J’appelle le gouvernement à cibler une transition juste, en rénovant en premier les bâtiments F et G, car ce sont les plus émetteurs de gaz à effet de serre et les prochains à sortir de la location en 2025 et 2028 », a asséné Benoit Bazin, directeur général de Saint-Gobain, invité ce samedi de La Tribune aux Rencontres économiques d’Aix-en-Provence.

D’autant qu’en parallèle, le gouvernement mène une consultation, d’ici au 28 juillet, sur une possible interdiction des chaudières à gaz en 2026. « Je suis contre l’idée que l’on force les ménages à passer du gaz à l’électricité, avec des pompes à chaleur. Il faut d’abord pister les pertes énergétiques et isoler le bâtiment pour baisser la consommation d’énergie », a souligné le fabricant et distributeur français de matériaux de construction.

Benoit Bazin recommande six gestes successifs à réaliser dans cet ordre : les ouvrants, l’isolation, les combles, la façade, le chauffage, et enfin, la ventilation, si nécessaire. Pour y parvenir, il pousse à la création d’un « passeport rénovation ». Celui-ci permettrait d’obtenir des subventions croissantes, en fonction du calendrier de réalisation des travaux. « Il faut encourager chacun à réaliser ces efforts globaux dont les bénéfices sont perceptibles à court terme avec de vraies économies à la clef », conclut le DG de l’entreprise cotée.

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Crise bancaire : « aucun risque » en France ?

Crise bancaire : « aucun risque » en France ?

Évidemment comme d’habitude les élites économiques et financières se veulent très rassurants à propos d’une éventuelle contagion de la crise bancaire constatée au États-Unis ( dautres banques seront touchées) et en Suisse. Un peu le même raisonnement que lors du nuage de Tchernobyl qui a pollué toute l’Europe sauf la France !.

Certes, personne ne souhaite que le système financier éclate car les déposants seraient les principales victimes sans parler des autres conséquences sur l’inflation et les changes. Il est vrai que les règles de gouvernance des banques sont particulièrement sévères en France et les risques donc minimisés.

Reste que la finance est largement mondialisée et que la situation de chaque pays dépend bien entendu des politiques économiques, budgétaires mais aussi monétaires internationales. Les capitaux eux-mêmes sont largement interdépendants et s’insèrent dans une organisation systémique à l’échelle mondiale.

Dans les circonstances actuelles. On peut effectivement affirmer que le risque de contagion de la crise vers la France est peu crédible. Cependant tout est question d’ampleur et de nature de la crise. D’une certaine manière la crise a déjà commencé avec l’explosion de l’inflation qui en quelque sorte n’est que le rétablissement de l’équilibre entre la masse monétaire et la richesse réelle qu’on fait payer surtout aux consommateurs finaux. Contrairement aux affirmations des experts patentés, l’inflation va continuer et même si elle devait légèrement se tasser le niveau des prix ne va pas diminuer sauf dramatique récession.

Si la conjoncture économique et sociale devait brutalement et très fortement se dégrader, le système français bien que protégé ne pourrait résister à un mouvement de panique. Les banques seraient bien dans l’incapacité de rembourser la totalité des avoirs déposés par les clients. D’ailleurs la garantie de remboursement en cas de crise n’est que très partielle et vise surtout les comptes courants.

Tout dépendra de la persistance de l’inflation qui de fait a dévalorisé nombreux d’actifs des banques mais aussi des particuliers. Tout dépendra aussi de la gestion des équilibres entre actions monétaires et actions budgétaires. Une action budgétaire brutale- conjuguée avec la montée actuelle des taux d’intérêt- pourrait provoquer une récession grave et nourrir un climat de défiance voire de panique.

De ce point de vue les conditions d’une confiance inébranlable dans le système financier n’est sans doute pas totale en France compte tenu de la crise et de la chienlit qui s’installent. affirme le président de la Fédération bancaire française

Pour Philippe Brassac, Président de la fédération des banques également directeur général de Crédit agricole, affirme qu’en France les banques sont solides du fait de leur régulation et il n’y a pas de mécanisme, comme par le passé, de propagation. »

Covid France 11 août 2022 : aucun cas officiel ces dernières 24 heures

Covid France 11 août 2022 : aucun cas officiel ces dernières 24 heures

On enregistre mercredi 10 août 2022 : aucun cas officiel ces dernières 24 heures , 152.910 morts au total, +88 morts supplémentaires. Le nombre de décès en EHPAD et EMS fait état de 29.062 (+8) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 123.848 (+80 en 24h).

Le taux de reproductivité R est de 0,62 le taux d’incidence à 309,62 et la tension hospitalière à 20,9 %. Le taux de positivité est à 0,0 %.

La France compte actuellement 17.729 (-442) personnes hospitalisées et 1.057 (-35) malades en réanimation.

Bilan des régions:

  • Ile-de-France : 4.727 (-162) hospitalisées, 339 (-13) en réanimation et +13 décès en 24h
  • Grand Est : 1.288 (-17) hospitalisés, 85 (+1) en réanimation et +5 décès en 24h
  • Hauts de France : 1.521 (-80) hospitalisés, 97 (-7) en réanimation et +12 décès en 24h
  • Auvergne Rhône Alpes : 1.735 (-64) hospitalisés, 78 (-2) en réanimation et +6 décès en 24h
  • Provence-Alpes Côte d’Azur : 1.751 (-2) hospitalisé, 74 (-4) en réanimation et +10 décès en 24h
  • Bretagne: 633 (-13) hospitalisés, 37 (-1) en réanimation et +6 décès en 24h
  • Normandie : 1.011 (-3) hospitalisés, 38 (+1) en réanimation et +2 décès en 24h
  • Nouvelle-Aquitaine : 1.331 (-17) hospitalisés, 76 (0) en réanimation et +7 décès en 24h
  • Pays de la Loire : 384 (-18) hospitalisés, 33 (-3) en réanimation et +3 décès en 24h
  • Occitanie: 1.358 (-37) hospitalisés, , 82 (-7) en réanimation et +7 décès en 24h
  • Centre-Val de Loire : 817 (-19) hospitalisés, 42 (+1) en réanimation et +3 décès en 24h
  • Bourgogne-Franche-Comté : 715 (-1) hospitalisés, 38 (-2) en réanimation et +3 décès en 24h

Covid France 9 août 2022 : aucun cas nouveau confirmé en 24 heures

 

Covid France 9 août 2022 : aucun cas nouveau confirmé en 24 heures 

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Par La rédaction · Publié le 9 août 2022 à 01h00
Découvrez les derniers chiffres concernant l’épidémie de covid-19 en France. D’après le dernier bilan de Santé Publique France, la France fait état de +109 morts supplémentaires au total. On recense ce lundi 8 août 2022, 152.711 morts au total et 0 nouveaux cas confirmés en 24h.

En France, le dernier bilan fourni par les autorités sanitaires concernant la pandémie de Covid-19, fait état d’au moins 0 cas confirmés soit 0 en 24h.

On enregistre lundi 8 août 2022 :  aucun cas nouveau confirmé en 24 heures ,  152.711 morts au total, +109 morts supplémentaires. Le nombre de décès en EHPAD et EMS fait état de 29.054 (0) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 123.657 (+109 en 24h).

Le taux de reproductivité R est de 0,65 le taux d’incidence à 325,62 et la tension hospitalière à 22,2 %. Le taux de positivité est à 0,0 %.

La France compte actuellement 18.648 (-45) personnes hospitalisées et 1.121 (-26) malades en réanimation.

 

Bilan des régions:

  • Ile-de-France : 4.936 (-96) hospitalisées, 359 (-12) en réanimation et +19 décès en 24h
  • Grand Est : 1.333 (+8) hospitalisés, 82 (-4) en réanimation et +5 décès en 24h
  • Hauts de France : 1.613 (-6) hospitalisés, 106 (-2) en réanimation et +6 décès en 24h
  • Auvergne Rhône Alpes : 1.836 (-22) hospitalisés, 80 (-6) en réanimation et +14 décès en 24h
  • Provence-Alpes Côte d’Azur : 1.810 (+17) hospitalisé, 78 (-3) en réanimation et +11 décès en 24h
  • Bretagne: 638 (-1) hospitalisés, 37 (+6) en réanimation et +6 décès en 24h
  • Normandie : 1.059 (-2) hospitalisés, 39 (-8) en réanimation et +4 décès en 24h
  • Nouvelle-Aquitaine : 1.376 (-28) hospitalisés, 85 (-4) en réanimation et +19 décès en 24h
  • Pays de la Loire : 430 (+9) hospitalisés, 40 (+3) en réanimation et +3 décès en 24h
  • Occitanie: 1.436 (+28) hospitalisés, , 91 (-2) en réanimation et +9 décès en 24h
  • Centre-Val de Loire : 865 (+10) hospitalisés, 41 (0) en réanimation et +5 décès en 24h
  • Bourgogne-Franche-Comté : 757 (+26) hospitalisés, 40 (+2) en réanimation et +6 décès en 24h

Covid France 11 juin 2022: aucun cas en 24 heures !!!

 

santé-Covid France 11 juin 2022: aucun cas en 24 heures !!!

En France, le dernier bilan fourni par les autorités sanitaires concernant la pandémie de Covid-19, fait état d’au moins 732.043 cas confirmés soit 0 en 24h.

On n’  enregistrerait Vendredi 10 juin 2022 aucun cas ces dernières 24 heures. Un chiffre assez surprenant davantage sans doute un problème statistiques qu’un constat des réalités. Cela d’autant plus que ces derniers jours les contaminations nouvelles étaient de l’ordre  de 30 à 50 000 par 24 heures.

La situation vendredi 10 juin 2022 : 148.749 morts au total, +39 morts supplémentaires. Le nombre de décès en EHPAD et EMS fait état de 28.881 (+1) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 119.868 (+38 en 24h).

Le taux de reproductivité R est de 1,08 le taux d’incidence à 251,59 et la tension hospitalière à 17,2 %. Le taux de positivité est à 13,1 %.

La France compte actuellement 14.028 (-130) personnes hospitalisées et 869 (-7) malades en réanimation.

Bilan des régions :

  • Ile-de-France : 3.884 (+38) hospitalisées, 287 (+4) en réanimation et +5 décès en 24h
  • Grand Est : 970 (-10) hospitalisés, 77 (-5) en réanimation et +3 décès en 24h
  • Hauts de France : 1.238 (-10) hospitalisés, 84 (+3) en réanimation et +4 décès en 24h
  • Auvergne Rhône Alpes : 1.355 (-12) hospitalisés, 77 (+1) en réanimation et +3 décès en 24h
  • Provence-Alpes Côte d’Azur : 1.111 (-21) hospitalisé, 56 (-1) en réanimation et +2 décès en 24h
  • Bretagne: 481 (-6) hospitalisés, 27 (-3) en réanimation et +4 décès en 24h
  • Normandie : 1.045 (-1) hospitalisés, 32 (-2) en réanimation et +2 décès en 24h
  • Nouvelle-Aquitaine : 901 (-35) hospitalisés, 50 (-2) en réanimation et +5 décès en 24h
  • Pays de la Loire : 243 (-8) hospitalisés, 12 (+3) en réanimation et +2 décès en 24h
  • Occitanie: 1.108 (-19) hospitalisés, , 59 (-3) en réanimation et +1 décès en 24h
  • Centre-Val de Loire : 642 (-5) hospitalisés, 35 (+2) en réanimation et +2 décès en 24h
  • Bourgogne-Franche-Comté : 514 (-9) hospitalisés, 33 (-3) en réanimation et +4 décès en 24h

Covid France 11 juin 2022: aucun cas en 24 heures !!!

En France, le dernier bilan fourni par les autorités sanitaires concernant la pandémie de Covid-19, fait état d’au moins 732.043 cas confirmés soit 0 en 24h.

Onn’  enregistrerait Vendredi 10 juin 2022 aucun cas ces dernières 24 heures. Un chiffre assez surprenant davantage sans doute un problème statistique qu’un constat des réalités. Cela d’autant plus que ces derniers jours les contaminations nouvelles étaient de l’ordre  de 30 à 50 000 par 24 heures.

La situation vendredi 10 juin 2022 : 148.749 morts au total, +39 morts supplémentaires. Le nombre de décès en EHPAD et EMS fait état de 28.881 (+1) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 119.868 (+38 en 24h).

Le taux de reproductivité R est de 1,08 le taux d’incidence à 251,59 et la tension hospitalière à 17,2 %. Le taux de positivité est à 13,1 %.

La France compte actuellement 14.028 (-130) personnes hospitalisées et 869 (-7) malades en réanimation.

Bilan des régions :

  • Ile-de-France : 3.884 (+38) hospitalisées, 287 (+4) en réanimation et +5 décès en 24h
  • Grand Est : 970 (-10) hospitalisés, 77 (-5) en réanimation et +3 décès en 24h
  • Hauts de France : 1.238 (-10) hospitalisés, 84 (+3) en réanimation et +4 décès en 24h
  • Auvergne Rhône Alpes : 1.355 (-12) hospitalisés, 77 (+1) en réanimation et +3 décès en 24h
  • Provence-Alpes Côte d’Azur : 1.111 (-21) hospitalisé, 56 (-1) en réanimation et +2 décès en 24h
  • Bretagne: 481 (-6) hospitalisés, 27 (-3) en réanimation et +4 décès en 24h
  • Normandie : 1.045 (-1) hospitalisés, 32 (-2) en réanimation et +2 décès en 24h
  • Nouvelle-Aquitaine : 901 (-35) hospitalisés, 50 (-2) en réanimation et +5 décès en 24h
  • Pays de la Loire : 243 (-8) hospitalisés, 12 (+3) en réanimation et +2 décès en 24h
  • Occitanie: 1.108 (-19) hospitalisés, , 59 (-3) en réanimation et +1 décès en 24h
  • Centre-Val de Loire : 642 (-5) hospitalisés, 35 (+2) en réanimation et +2 décès en 24h
  • Bourgogne-Franche-Comté : 514 (-9) hospitalisés, 33 (-3) en réanimation et +4 décès en 24h

« L’État n’a tiré aucun enseignement de la première vague du virus (Frédéric Valletoux -FHF)

 

 

Frédéric Valletoux, président de la Fédération hospitalière de France FHF et maire (Agir) de Fontainebleau, estime que l’État n’a tiré aucun enseignement de la première vague du virus dans une interview à la Tribune.

Les annonces d’Emmanuel Macron de reconfinement nocturne avec le couvre-feu en Île-de-France et 8 métropoles vont-elles dans le bon sens pour les hôpitaux ?

Frédéric Valletoux : Ces annonces reflètent l’inquiétude face aux indicateurs de contamination qui repartent à la hausse. Elles ont l’avantage de mettre en œuvre des mesures graduées selon l’intensité des situations dans chaque métropole et territoire, contrairement aux mesures prises au printemps. Les nouvelles mesures annoncées par Emmanuel Macron ont pour objectif d’endiguer cette deuxième vague mais il faudra qu’elles soient appliquées de manière cohérente et responsable. Dès la fin de la première vague, la FHF avait pourtant proposé des pré-requis pour éviter d’en revenir à une telle situation : nous demandions notamment une plus grande transparence sur les projections épidémiologiques afin de poser une règle générale sur les capacités de réanimation. Nous avions également préconisé la mise en place de circuits COVID / non-COVID dans l’ensemble des établissements afin de garantir la continuité des soins hors coronavirus. Il nous semblait enfin essentiel de prendre en compte les besoins des professionnels de santé et l’organisation de renforts pour garantir congés et reprise d’activité. Alors oui, ces mesures vont dans le bon sens. Elles arrivent sans doute un peu tard et ne se substituent pas à aux mesures que je viens de citer qui auraient dû être prises dès l’été par les autorités sanitaires.

Les hôpitaux sont-ils bien préparés à l’arrivée de cette deuxième vague de contamination ?

Oui, car la question cruciale du manque d’équipements de protection est résolue, les stocks ont été reconstitués. Mais l’État n’a pas été assez vigilant pour tirer toutes les leçons de la première séquence, peut-être par manque de retour d’expérience. Aujourd’hui, beaucoup de questions sur lesquelles on aurait pu avancer en préparation de cette rentrée n’ont pas été traitées. Je pense à la coordination entre la médecine de ville et la médecine hospitalière, ou entre les hôpitaux et les cliniques.

Veolia-Suez : « aucun risque de perte d’emploi » le gros mensonge d’Antoine Frérot

Veolia-Suez  : « aucun risque de perte d’emploi » le gros mensonge d’Antoine Frérot

 

L’énorme mensonge du patron de Veolia à propos de l’OPA hostile sur Suez : « il n’y aura aucun risque de perte de l’emploi ! « . Ce qu’ont affirmé la plupart des dirigeants pour tenter de faire passer leur projet de rapprochement. Et pourtant quelques années plus tard des centaines ou des milliers d’emplois voire la totalité ont été supprimés.

 

Dernier exemple en date celui d’Alstom .  General Electric a annoncé 9 septembre la restructuration de deux divisions en Europe. Le plan prévoirait la suppression de 753 postes en France. « Ces plans sociaux d’aubaine ne sont pas acceptables et nous ne les laisserons pas passer », a dénonce ce jeudi le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire. En plein débat sur la relance et la relocalisation industrielle, General Electric a annoncé ce mercredi 9 septembre la restructuration de deux divisions en Europe, celles des équipements pour barrages et réseaux électriques, laissant augurer de nouvelles suppressions d’emplois en France de la part du géant américain. Pourtant dans ce sulfureux dossier de cession de l’activité électrique d’Alstom à GE ( soutenue par Macron)  les mêmes assurances que celle de frérot avait été donnée en matière de maintien de l’emploi.

Je veux dire aux salariés de Suez que non seulement ils n’ont rien à perdre, mais tout à gagner ! Il n’y aura aucune perte d’emplois. Au sein du futur groupe, bien sûr, mais c’est valable aussi pour les repreneurs des activités en France que nous devrons céder pour des raisons de concurrence. Chaque salarié sera repris, avec l’intégralité de ses avantages sociaux actuels. La question n’est pas seulement celle de la reprise des salariés mais de la pérennité de ces emplois sans parler du transfert de l’activité eau à un fonds d’investissement ( Meridian) qui lui n’a même pas donné les mêmes assurances.

 

Coronavirus: Aucun nouveau mort en Espagne

Aucun nouveau mort en Espagne. Le ministre espagnol de la Santé a annoncé lundi 1er juin qu’aucun nouveau mort dû au Covid-19 n’avait été signalé en 24 heures dans le pays. Le bilan reste donc inchangé avec 27 127 morts. Le nombre de nouvelles infections avait augmenté de 71 cas, dimanche, portant le total à 239 638.

Corona virus Royaume-Uni.  111 décès supplémentaires et tassement. Le nombre de cas officiellement confirmés a atteint 276 332, en augmentation de 1 570 contaminations, soit la plus faible depuis le 25 mars. Lundi, le déconfinement a franchi une nouvelle étape avec la réouverture des écoles et de certains commerces en Angleterre.

Chiffres encourageants en Italie. L’Italie a enregistré sa plus faible hausse quotidienne de nouveaux cas depuis le 26 février, a indiqué la Protection civile dans un communiqué. Le nombre de nouveaux cas a ainsi augmenté de 178 en 24 heures, portant le total à 233 197. A titre de comparaison, le nombre quotidien de nouveaux cas était de 516 vendredi, 416 samedi et 355 dimanche. Le nombre de décès au cours des dernières 24 heures est également en baisse par rapport à la moyenne des derniers jours avec 60 victimes enregistrées dans toute l’Italie pour un total de 33 475 morts.

Gouvernement d’union nationale «ça n’a aucun sens aujourd’hui»

Gouvernement d’union nationale «ça n’a aucun sens aujourd’hui»

Il est clair que le gouvernement de Macron est aux abois et qu’il n’a pas réussi à surmonter son énorme impopularité. Du coup, l’idée d’un gouvernement d’union nationale lancée par Macon constitue une sorte de sauvetage politique de la majorité mais aussi du président lui-même de moins en moins certains de l’emporter en 2022. Cette idée d’union nationale n’a guère de sens pour la plupart des responsables de l’opposition. Même Manuel Valls qui pourtant partage des idées de Macon n’y est pas favorable. Il n’y a guère que quelques hauts responsables écolos qui pourraient envisager cette éventualité. Une manière de récupérer comme d’habitude quel que écolos bobos en recherche de reconnaissance ministérielle.

L’ancien premier ministre Manuel Valls, gsoutien d’Emmanuel Macron, a estimé jeudi que «ça n’avait aucun sens» d’entrer dans un gouvernement d’union nationale «aujourd’hui» alors que la France est «en pleine guerre» contre le coronavirus.

 «Si je comprends bien, on irait chercher les gens qui sont partis très loin, l’une à New York (l’ancienne ministre sarkozyste Nathalie Kosciusko-Morizet, NDLR) et l’autre à Barcelone. Honnêtement je pense que tout cela est indécent à ce niveau-là», a affirmé sur RMC l’ancien socialiste, parti en vain en 2018 à la conquête de la mairie de Barcelone, où il est aujourd’hui conseiller municipal. «On est en pleine guerre contre le virus, la pandémie est là, on n’en est pas sortis, on n’est pas sortis du confinement et les uns et les autres on se pousserait du col en disant “et moi et moi”? Ça ne fait aucun sens», a ajouté l’ancien député apparenté LREM.

 «J’ai dit que ma patrie c’est la France, que j’avais la chance d’avoir des identités différentes (…) Évidemment si je pouvais à un moment ou l’autre aider mon pays, je peux le faire de mille manières. Mais honnêtement ça n’a aucun sens aujourd’hui», a poursuivi l’ancien premier ministre, en soulignant le «besoin de forces et d’unité» pour «faire face» à l’épidémie.

 

 

Coronavirus : « Il n’y a eu aucun retard », l’énorme mensonge du gouvernement

Coronavirus : « Il n’y a eu aucun retard », l’énorme mensonge du gouvernement

Lors de la conférence de presse du Premier ministre, le ministre de la santé a honteusement affirmé que « L’anticipation a été absolue, dès le premier jour » . Notons d’abord que la compétence du ministre en matière d’infectiologie est relative puisque d’une part il est neurologue, d’autre part qu’il passe une grande partie de ses activités à la politique. Il a d’ailleurs grenouillé pendant une longue période avec le parti socialiste. Il connaît la dialectique du type : « plus c’est gros plus ça passe ». Comment en effet affirmer que l’anticipation a été absolue dès le premier jour.

Or précisément la veille de la décision du confinement alors que la crise était déjà patente depuis longtemps, le Premier ministre a décidé de maintenir le premier tour des élections municipales transformant ainsi les bureaux de vote en chambre de contamination supplémentaire. Dans une interview au JDD le ministre de la santé- vis-à-vis duquel d’ailleurs des plaintes ont été déposé en justice–persiste et signe dans son mensonge :

« Il n’y a eu aucun retard. L’anticipation a été absolue, dès le premier jour. Je suis dans la recherche de l’efficacité du matin au matin, car, en ce moment, il n’y a pas vraiment de nuits… Nous sommes dans une course effrénée face à un virus nouveau. Au départ, les seules informations venaient de Chine : nous avions très peu de données sur la contagiosité du virus, ou sur la capacité d’immunisation collective. Lors de mon premier Conseil européen, le 25 février, réuni à l’initiative de la France, nous n’étions que cinq pays, sur vingt-sept, à sérieusement considérer qu’il y avait une crise ! La prise de conscience a été longue. Je rappelle qu’au début on m’a expliqué que j’allais faire peur aux Français… Personne, aucun pays au monde, ne peut empêcher une épidémie. Les virus, dont la présence est antérieure à celle de l’homme sur terre, circulent avec beaucoup de force et de vitesse. La seule chose que l’on peut faire, c’est les ralentir, d’où le confinement. »

On notera que le ministre de la santé parle surtout de lui-même, de son action qu’il oublie d’évoquer l’action du gouvernement depuis le début. On aura d’ailleurs aussi observé que le ministre de la santé s’est nettement mis en valeur à côté du Premier ministre- un peu gêné- lors de l’intervention de ce dernier employant en permanence le » je, je » formule habituelle chez Macron. Indirectement le ministre de la santé avoue cependant  les atermoiements et les retards du gouvernement quand il déclare » on m’a expliqué que j’allais faire peur aux Français » ( si je déclarais la réalité de la crise). C’est qui  » on ». Curieusement ce sont aussi les mêmes propos employés par l’ancienne  ministre de la santé Agnès Buzyn qui elle aussi dénonce le fait de n’avoir pas été entendue par le gouvernement.

Sondage parti d’opposition: 41% aucun, 25% RN et LFI 13%.

Sondage parti d’opposition: 41% aucun, 25% RN et LFI 13%.  

D’après un sondage Elabe pour BFM, 4 Français interrogés sur 10 (41%) déclarent qu’aucun mouvement politique ne parvient à incarner l’opposition à l’exécutif à leurs yeux. Un chiffre similaire à celui enregistré en septembre 2019 par Elabe, à la même question.

Le premier parti cité à cette question est le Rassemblement National (RN). Il est pour 25% des Français interrogés (+1% par rapport au même sondage en septembre 2019), le principal groupe politique d’opposition. Le parti d’extrême droite est nettement devant La France Insoumise (LFI) à 13% (-1%). Le parti Les Républicains (LR) est lui cité par 7% (-1%) des personnes interrogées, alors qu’Europe Ecologie / Les Verts (EELV) l’est par 5% (=).

À noter que le RN de Marine Le Pen est le premier groupe politique cité comme principale force d’opposition quelle que soit la catégorie professionnelle des Français interrogés.

Il ressort que des catégories de la population sont particulièrement représentées chez certains partis. Ainsi, les personnes se sentant proches du RN sont plus nombreuses au sein des ouvriers (23%), les personnes âgées de plus de 65 ans se sentent plus proches de LaREM ou de LR (16% et 18%). LFI fédère avant tout les moins de 25 ans, et enfin les professions intermédiaires expriment une plus forte proximité avec EELV que la moyenne (14%).

Etude ELABE réalisée pour BFMTV sur un échantillon 1002 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon a été assurée selon la méthode des quotas appliquée aux variables suivantes: sexe, âge et profession de l’interviewé après stratification par région et catégorie d’agglomération. Interrogation par Internet les 4 et 5 février 2020.

Suppression ISF : aucun effet positif sur l’économie

Suppression ISF : aucun effet sur l’économie

 

Pour vendre sa réforme sur la fiscalité, Macron n’avait pas manqué de souligner les conséquences bénéfiques des mesures sur la croissance et l’emploi. En allégeant ainsi le poids des impôts des plus riches, l’argent devait s’orienter vers l’investissement productif et donc soutenir l’activité. La vérité, c’est que Macron devait renvoyer l’ascenseur au plus riches de la France qui ont soutenu sa campagne (une enquête est toujours en cours sur ce sujet et sera sans doute enterrée). En outre, l’évaluation de ce genre  de dispositifs est toujours difficile à effectuer car on ne dispose pas de période de référence. Ceci étant  d’après un rapport d’un comité indépendant (une relative indépendance car les membres ne sont jamais choisis au hasard !),  la suppression de l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF) et l’instauration d’un prélèvement forfaitaire unique (PFU) sur les revenus du capital, deux mesures décidées par Emmanuel Macron au début de son quinquennat, n’ont pour l’instant pas produit d’effet visible sur l’emploi et la croissance en France, montre un rapport publié mardi par le comité indépendant chargé de l’évaluation de ces mesures.

Ce comité d’évaluation des réformes de la fiscalité du capital a cependant constaté une forte progression des dividendes perçus par les ménages en 2018, année où ces mesures sont entrées en vigueur, et une chute du nombre de départs à l’étranger de contribuables soumis à l’ISF en 2017, année où Emmanuel Macron, candidat puis président, avait annoncé ces projets fiscaux.

Faute de recul et de données à l’égard de mesures instaurées début 2018, le comité déclare qu’il ne peut pas dès à présent fournir une évaluation complète de ces réformes, “tout simplement parce que celles-ci mettront des années à porter l’ensemble des fruits que l’on en attend”. Pour être honnête le comité d’évaluation devrait aussi préciser qu’il est possible qu’on ne voit jamais les fruits attendus saufs dans la poches des très riches.

Les réformes Macron fiscalité : aucun effet sur l’économie

Les réformes Macron fiscalité : aucun effet sur l’économie

 

Pour vendre sa réforme sur la fiscalité, Macron n’avait pas manqué de souligner les conséquences bénéfiques des mesures sur la croissance et l’emploi. En allégeant ainsi le poids des impôts des plus riches, l’argent devait s’orienter vers l’investissement productif et donc soutenir l’activité. La vérité, c’est que Macron devait renvoyer l’ascenseur au plus riches de la France qui ont soutenu sa campagne (une enquête est toujours en cours sur ce sujet et sera sans doute enterrée). En outre, l’évaluation de ce genre  de dispositifs est toujours difficile à effectuer car on ne dispose pas de période de référence. Ceci étant  d’après un rapport d’un comité indépendant (une relative indépendance car les membres ne sont jamais choisis au hasard !),  la suppression de l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF) et l’instauration d’un prélèvement forfaitaire unique (PFU) sur les revenus du capital, deux mesures décidées par Emmanuel Macron au début de son quinquennat, n’ont pour l’instant pas produit d’effet visible sur l’emploi et la croissance en France, montre un rapport publié mardi par le comité indépendant chargé de l’évaluation de ces mesures.

Ce comité d’évaluation des réformes de la fiscalité du capital a cependant constaté une forte progression des dividendes perçus par les ménages en 2018, année où ces mesures sont entrées en vigueur, et une chute du nombre de départs à l’étranger de contribuables soumis à l’ISF en 2017, année où Emmanuel Macron, candidat puis président, avait annoncé ces projets fiscaux.

Faute de recul et de données à l’égard de mesures instaurées début 2018, le comité déclare qu’il ne peut pas dès à présent fournir une évaluation complète de ces réformes, “tout simplement parce que celles-ci mettront des années à porter l’ensemble des fruits que l’on en attend”. Pour être honnête le comité d’évaluation devrait aussi préciser qu’il est possible qu’on ne voit jamais les fruits attendus saufs dans la poches des très riches.

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