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La Bourse de Paris au plus haut, comme le chômage !

La Bourse de Paris au plus haut, comme le chômage

Il ya les informations économiques et les informations sociales ; deux domaines qui s’ignorent. La preuve, la bourse est au plus haut comme le chômage ; d’une certaine manière les valeurs boursières grimpent d’autant plus que le chômage progresse ; C’est la grande cohérence sans doute d’une société en perdition qui confond la spéculation avec la santé économique réelle.  La Bourse de Paris a terminé en hausse jeudi (+0,64%) et a atteint son plus haut niveau de l’année en clôture, dans un marché une nouvelle fois peu actif et privé de nouvelle économique majeure. L’indice CAC 40 a pris 25,83 points à 4.064,32 points, dans un volume d’échanges très faible de 1,090 milliard d’euros. La veille, il avait gagné 0,15%.

 

Le chômage et la bourse au plus haut !

Le chômage et la bourse  au plus haut !

 

Le Dow Jones aux Etats-Unis, comme le CAC, comme les autres bourses sont au plus haut, comme le chômage ! Plus le chômage augmente et plus la bourse grimpe, de quoi s’interroger sur la corrélation entre la valeur des entreprises et la situation socio-économique. En réalité, il y a longtemps que la bourse est déconnectée des réalités économiques. La financiarisation de l’économie portée à l’extrême conduit en fait à valoriser à partir d’anticipations de cours et non de résultats, jusqu’au jour où la bulle éclate ! Ce n’est pas pour l’immédiat grâce aux masses de liquidités consenties par la BCE aux banques (qui continuent de spéculer) ;  mais une BCE qui ne sait pas comment prêter aux entreprises  (un des enjeux centraux de la relance pourtant). . Le CAC 40 a franchi le cap symbolique des 4000 points vendredi, au plus haut depuis près de deux ans, dopé par les chiffres de l’emploi américain. Wall Street et Francfort s’envolent vers de nouveaux records historiques. La Bourse de Paris, qui a fait mieux que résister aux mauvaises nouvelles économiques cette semaine au point de renouer avec les 4.000 points, va digérer dans les prochains jours ce seuil en comptant sur le soutien encore indéfectible des banques centrales.  Sur la semaine écoulée, l’indice CAC 40 a pris 1,20% pour terminer vendredi à 4.001,27 points. Depuis le 1er janvier, ses gains atteignent désormais 9,89%.  Vendredi, il a dépassé les 4.000 points pour la première fois depuis début juillet 2011 soit avant les secousses de la crise de la dette en zone euro.   »La conjoncture macroéconomique est loin de donner des signes de reprise en Europe et le marché tient avec la confirmation que les banques centrales vont rester à la manœuvre pendant un moment », résume Bertrand Lamielle, directeur de la gestion chez B*Capital (groupe BNP Paribas).  Les banques centrales aux Etats-Unis et au Japon, ainsi que dans plusieurs pays émergents, font tout pour relancer leur économie, inondant le système financier de liquidités pour réamorcer la pompe de la croissance.  Plus timide sur les rachats d’actifs, la Banque centrale européenne (BCE) n’en a pas moins baissé son taux directeur début mai à un nouveau plus bas historique.  Du coup, le marché parisien, comme les autres places boursières, a encaissé sans coup férir la confirmation de la récession en zone euro dont l’activité a reculé pour le sixième trimestre consécutif et qui n’épargne plus la France.  Reste à savoir si la Bourse de Paris a les moyens de poursuivre sa marche en avant et d’aller durablement au-delà des 4.000 points.   »C’est un seuil symbolique mais qui pourrait aider à alimenter encore un peu la hausse. On a retrouvé cette logique dans les récents records des indices américains », souligne M. Lamielle.   »Le seuil des 4.000 points peut marquer les esprits parmi les investisseurs d’autant qu’il faut rappeler que ce n’est pas un record pour le CAC 40 qui est loin de ses plus hauts historiques », à près de 7.000 points en septembre 2000, renchérit M. Mourier.  Selon lui, « les facteurs de soutien pourraient s’estomper un peu dans les prochains mois notamment aux Etats-Unis où les débats au sein de la banque centrale sont de plus en plus vifs sur la politique monétaire ».  C’est la raison pour laquelle les investisseurs passeront au peigne fin la publication mercredi prochain des minutes de la dernière réunion de la Fed ainsi qu’un discours de son président Ben Bernanke.  Ils essaieront de déceler d’éventuels changements à venir dans la politique monétaire menée aux Etats-Unis qui leur est très favorable.

Le chômage et la bourse au plus haut !

Le chômage et la bourse  au plus haut !

 

Le Dow Jones aux Etats-Unis, comme le CAC, comme les autres bourses sont au plus haut, comme le chômage ! Plus le chômage augmente et plus la bourse grimpe, de quoi s’interroger sur la corrélation entre la valeur des entreprises et la situation socio-économique. En réalité, il y a longtemps que la bourse est déconnectée des réalités économiques. La financiarisation de l’économie portée à l’extrême conduit en fait à valoriser à partir d’anticipations de cours et non de résultats, jusqu’au jour où la bulle éclate ! Ce n’est pas pour l’immédiat grâce aux masses de liquidités consenties par la BCE aux banques (qui continuent de spéculer) mais qui ne sait pas comment prêter aux entreprises  (un des enjeux centraux de la relance pourtant). . Le CAC 40 a grimpé de 1,40 % à 3 912,95 points, au plus haut depuis près de deux ans, dopé par les chiffres de l’emploi américain. Wall Street et Francfort s’envolent vers de nouveaux records historiques. La Bourse de Paris qui avait été pratiquement insensible à la baisse des taux de la BCE jeudi a salué avec enthousiasme le recul du chômage aux États-Unis. Le CAC 40 a en effet avancé de 1,40 % à 3912,95 points, terminant ainsi au plus haut depuis juillet 2011. La veille il avait grignoté 0,05 % tandis que la banque centrale européenne avait ramené son principal taux directeur de 0,75 % à 0,5 %. Face au marasme économique persistant en zone euro, les marchés avaient largement anticipé cette décision, déjà largement intégrée dans les cours. Le Dax francfortois a grimpé de 2,02 % pour finir au jamais atteint en fin de séance de 8122,29 points. A Londres, le Footsie s’est adjugé 0,94 % pendant qu’à Wall Street le Dow Jones grimpait de 1,17 % parvenant à se hisser à plus de 15000 points, un sommet qu’il n’avait jamais atteint auparavant. Le Standard & Poor’s 500, indice de référence des gérants de fonds avançait quant à lui de 1,15 %, dépassant lui aussi un pic historique à plus de 1600 points. Outre-Atlantique, le taux de chômage officiel a reculé de 0,1 point en avril pour s’établir à 7,5 %, tombant ainsi au plus bas depuis décembre 2008. Sur l’ensemble de la semaine, le CAC 40 a encore grimpé de 2,7 % ce qui porte ses gains depuis le début de l’année à 7,47 %.

( article déjà publié le 8 mai 2013)

 

 

Le chômage et la bourse au plus haut !

Le chômage et la bourse  au plus haut !

 

Le Dow Jones aux Etats-Unis, comme le CAC, comme les autres bourses sont au plus haut, comme le chômage ! Plus le chômage augmente et plus la bourse grimpe, de quoi s’interroger sur la corrélation entre la valeur des entreprises et la situation socio-économique. En réalité, il y a longtemps que la bourse est déconnectée des réalités économiques. La financiarisation de l’économie portée à l’extrême conduit en fait à valoriser à partir d’anticipations de cours et non de résultats, jusqu’au jour où la bulle éclate ! Ce n’est pas pour l’immédiat grâce aux masses de liquidités consenties par la BCE aux banques (qui continuent de spéculer) mais qui ne sait pas comment prêter aux entreprises  (un des enjeux centraux de la relance pourtant). . Le CAC 40 a grimpé de 1,40 % à 3 912,95 points, au plus haut depuis près de deux ans, dopé par les chiffres de l’emploi américain. Wall Street et Francfort s’envolent vers de nouveaux records historiques. La Bourse de Paris qui avait été pratiquement insensible à la baisse des taux de la BCE jeudi a salué avec enthousiasme le recul du chômage aux États-Unis. Le CAC 40 a en effet avancé de 1,40 % à 3912,95 points, terminant ainsi au plus haut depuis juillet 2011. La veille il avait grignoté 0,05 % tandis que la banque centrale européenne avait ramené son principal taux directeur de 0,75 % à 0,5 %. Face au marasme économique persistant en zone euro, les marchés avaient largement anticipé cette décision, déjà largement intégrée dans les cours. Le Dax francfortois a grimpé de 2,02 % pour finir au jamais atteint en fin de séance de 8122,29 points. A Londres, le Footsie s’est adjugé 0,94 % pendant qu’à Wall Street le Dow Jones grimpait de 1,17 % parvenant à se hisser à plus de 15000 points, un sommet qu’il n’avait jamais atteint auparavant. Le Standard & Poor’s 500, indice de référence des gérants de fonds avançait quant à lui de 1,15 %, dépassant lui aussi un pic historique à plus de 1600 points. Outre-Atlantique, le taux de chômage officiel a reculé de 0,1 point en avril pour s’établir à 7,5 %, tombant ainsi au plus bas depuis décembre 2008. Sur l’ensemble de la semaine, le CAC 40 a encore grimpé de 2,7 % ce qui porte ses gains depuis le début de l’année à 7,47 %.

 

 

Le chômage et le CAC 40 au plus haut !

Le chômage et le CAC 40 au plus haut !

 

Plus le chômage augmente et plus la bourse grimpe, de quoi s’interroger sur la corrélation entre la valeur des entreprises et la situation socio-économique. En réalité , il y a longtemps que la bourse est déconnectée des réalités économiques. La financiarisation de l’économie portée à l’extrême conduit en fait à valoriser à partir d’anticipations de cours et non de résultats, jusqu’au jour où la bulle éclate ! Ce n’est pas pour l’immédiat grâce aux masses de liquidités consenties par la BCE aux banques (qui continuent de spéculer) mais qui ne sait pas comment prêter aux entreprises  (un des enjeux centraux de la relance pourtant). . Le CAC 40 a grimpé de 1,40 % à 3 912,95 points, au plus haut depuis près de deux ans, dopé par les chiffres de l’emploi américain. Wall Street et Francfort s’envolent vers de nouveaux records historiques. La Bourse de Paris qui avait été pratiquement insensible à la baisse des taux de la BCE jeudi a salué avec enthousiasme le recul du chômage aux États-Unis. Le CAC 40 a en effet avancé de 1,40 % à 3912,95 points, terminant ainsi au plus haut depuis juillet 2011. La veille il avait grignoté 0,05 % tandis que la banque centrale européenne avait ramené son principal taux directeur de 0,75 % à 0,5 %. Face au marasme économique persistant en zone euro, les marchés avaient largement anticipé cette décision, déjà largement intégrée dans les cours. Le Dax francfortois a grimpé de 2,02 % pour finir au jamais atteint en fin de séance de 8122,29 points. A Londres, le Footsie s’est adjugé 0,94 % pendant qu’à Wall Street le Dow Jones grimpait de 1,17 % parvenant à se hisser à plus de 15000 points, un sommet qu’il n’avait jamais atteint auparavant. Le Standard & Poor’s 500, indice de référence des gérants de fonds avançait quant à lui de 1,15 %, dépassant lui aussi un pic historique à plus de 1600 points. Outre-Atlantique, le taux de chômage officiel a reculé de 0,1 point en avril pour s’établir à 7,5 %, tombant ainsi au plus bas depuis décembre 2008. Sur l’ensemble de la semaine, le CAC 40 a encore grimpé de 2,7 % ce qui porte ses gains depuis le début de l’année à 7,47 %.

 

Grèce déficit au plus bas et chômage au plus haut

Grèce déficit au plus bas et chômage au plus haut

 

L a Grèce est sauvée ou presque puisque déficit est au plus bas mais le chômage au plus haut é7% de chômeurs et plus de 50% chez les jeunes. Le déficit des comptes courants de la Grèce a été ramené l’an dernier à son plus bas niveau depuis l’entrée du pays dans la zone euro, reflétant la mise en place progressive par Athènes des mesures d’austérité drastique qui lui ont été imposées. Ce déficit a été réduit de 73% à 5,58 milliards d’euros, résultat d’une baisse des importations et des charges d’intérêt à la suite de la réduction de la dette souveraine du pays, a annoncé mardi la Banque de Grèce. Le déficit courant a été ramené à 2,9% du produit intérieur brut (PIB), contre 9,9% en 2011 et à son niveau le plus faible depuis au moins 1999, selon les données disponibles. Les importations, hors produits pétroliers, ont chuté de 12% à 41,6 milliards d’euros, selon les statistiques de la banque centrale. Les exportations de biens, hors carburants traités dans les deux raffineries du pays, ont augmenté de 3,8% sur la même période, à 13,85 milliards d’euros. La charge d’intérêts sur la dette souveraine de la Grèce a chuté après une décote de 75% imposée aux créanciers privés en mars. Le solde de ce compte a baissé de 75% à 2,16 milliards. Les revenus du tourisme, principale source de revenus du pays, ont accusé une baisse de 4,6% à 10,2 milliards d’euros.




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