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Bitcoin : attention à la correction

Bitcoin : attention à la correction   

 

“L’achat/vente et l’investissement en bitcoins s’effectuent à ce jour en dehors de tout marché réglementé. Les investisseurs s’exposent par conséquent à des risques de perte très élevés en cas de correction”, déclarent l‘Autorité des marchés financiers (AMF) et l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR), le superviseur des établissements financiers.  Vendredi, le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, avait de même mis en garde contre tout investissement dans le bitcoin, qualifié d’“actif spéculatif”. Le bitcoin est retombé autour de 11.000 dollars lundi après avoir atteint la veille un nouveau record à près de 11.800, alors qu‘il s’échangeait autour de 10.000 dollars début 2017.Notons que le bitcoin valait seulement quelques centimes en 2009 ! le bitcoin constitue sans doute une crypto monnaie moderne qui permet de faire des économies de gestion sur les transactions financières  mais de tels rendements sont évidemment surréalistes.

Les Républicains : attention à la secte (Sarkozy)

Les Républicains : attention à la secte (Sarkozy)

 

Sarkozy  qui officieusement soutient Vauquiez met cependant ce dernier en garde : le parti risque de devenir une secte s’il se radicalise de manière excessive. En clair les républicains risquent de perdre leurs partisans du centre et les libéraux. . Vendredi soir à Nancy, Nicolas Sarkozy, qui remettait la Légion d’honneur à Valérie Debord, y est aussi allé de sa petite phrase. « Celui qui ne rassemble pas, qui pense qu’une famille politique c’est une secte, ne peut pas défendre ses convictions », a-t-il déclaré, comme le rapporte Le Parisien samedi. Un peu plus loin, l’ancien président a poursuivi avec une métaphore : ‘La famille, ça ne marche pas à tous les coups, mais on a besoin de la famille pour vivre. »  « Ce n’est pas une critique, mais c’est plutôt un encouragement à rassembler », a commenté dans les colonnes du journal Brice Hortefeux. Selon un ténor LR proche de Laurent Wauquiez et de l’ex-président cité par le quotidien, « Nicolas Sarkozy lui donne des conseils, mais je ne suis pas sûr que Laurent les suive ». L’exclusion récente du parti de plusieurs leaders des Constructifs a accentué les tensions à droite. Plusieurs voix se sont élevées contre la bienveillance accordée dans le même temps au président de Sens commun, Christophe Billand, malgré sa main tendue à Marion Maréchal-Le Pen. « Le parti Les Républicains fait [...] honte aux valeurs du gaullisme et du rassemblement », a récemment considéré Christian Estrosi, alors que Fabienne Keller a déploré « le sectarisme », « maladie de notre système politique ».

 

JO 2024 : bonne nouvelle mais attention aux dérapages financiers

JO 2024 : bonne nouvelle mais attention aux dérapages financiers

 

C’est évidemment une bonne nouvelle sportive, sociale et même sociétale, c’est  en tout cas ce que pensent les Français. . Selon un sondage Ifop JDD publié dimanche, 83% des personnes interrogées estiment que cette attribution attendue est une “bonne nouvelle». reste  cependant à maîtrise les coûts. Pour répondre à cet objectif la France a proposé des jeux low-cost d’un cout de moins de 7 milliards. Un coût peut-être théorique si l’on se fie aux différents jeux olympiques dont le coût a dépassé plusieurs dizaines de milliards dans certains cas et aussi donné lieu à de graves phénomènes de corruption. difficile aussi de mesurer les retombées économiques et sociales. Si les jeux par exemple de Barcelone se sont révélés particulièrement bénéfiques sur tous les plans,  il en a été différemment dans d’autres villes notamment à Rio. Pour la France,  le coût a été évalué à 6,8 milliards d‘euros (3,8 milliards pour l‘organisation, trois milliards pour les investissements et les infrastructures) et près de 40 sites ont été sélectionnés. Les organisateurs font valoir que la capitale française pourra s‘appuyer sur des infrastructures déjà en service, dont celles rénovées à l‘occasion de l‘Euro de football, organisé en France en juin et juillet 2016. Ce compromis avait été présenté comme “triplement gagnant” par l‘instance internationale, soulagée de tenir avec Paris et Los Angeles deux candidatures “de qualité” alors que l‘organisation des Jeux attire moins les convoitises de villes échaudées par les dépassements de budgets de ces dernières olympiades. Ces dernières décennies, les Jeux ont systématiquement donné lieu à des dérapages financiers, parfois dans des proportions spectaculaires, comme à Pékin où le budget final a dépassé les 30 milliards d‘euros. La France a assuré que les JO de 2024 seraient “transparents”.  “Nous avons la responsabilité d’être aussi transparents que possible car nous savons qu’il y a des critiques dans la population”, a 

Macron : Attention aux décalages et aux reniements

Macron : Attention aux décalages et aux   reniements

Emmanuel Macon est le premier ministre Édouard Philippe bénéficient  encore d’un très large soutien de l’opinion publique mais soutien qui provient essentiellement de l’image de renouvellement lié au président de la république. Désormais le gouvernement entre dans le dur et on ne peut pas dire que les discours aussi bien de Macron au congrès ou de Philippe à l’Assemblée nationale aient  particulièrement convaincu (dans un sondage ils bénéficient seulement de 27 % de soutien dans l’opinion). Une opinion qui aura été un peu surprise du décalage entre la volonté mainte fois réaffirmée de réforme et la timidité des orientations dans certaines ont été remise à plus tard. En particulier l’exonération de taxe d’habitation pour 80 % des ménages. Une orientation pourtant majeure qui viserait à soutenir le pouvoir d’achat des Français les moins favorisés. En effet en moyenne cette taxe est de l’ordre de 1000 € par an, une somme considérable pour certains qui en plus s’ajoute  aussi à une somme de même ampleur pour la taxe foncière avec de très gros écarts selon les zones. D’autres réformes sont aussi décalées dans le temps ; décalage qu’on peut  éventuellement admettre mais pas  des renoncements. Le gouvernement doit être attentif, il bénéficie d’uen certaine bienveillance actuellement mais pas d’un soutien actif.  . En clair les Français veulent donner sa chance à Macron, ils attendent des résultats. Il   ne faudrait pas que ce changement se traduise  un maintien voire par une augmentation globale de la fiscalité.

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Moscovici : attention aux 3% de déficit !

Moscovici : attention aux 3% de déficit !

 

Un rappel finalement savoureux de la part du commissaire européen Moscovici. Ce commissaire qui a été un bien transparent ministre de l’économie de la France rappelle à Macron  l’impérative nécessité de ne pas dépasser 3 % de déficit par rapport au PIB. Notons que la France n’a jamais été capable de passer sous cette barre fatidique de 3 % quand Moscovici occupait les fonctions de gestion de finances françaises.  rappelons pour mémoire que ce sont des Français qui ont inventé ce concept de 3 %, un concept dont ils ont rarement tenu compte. Pourquoi 3 % personne n’en sait rien, ce qui est sûr c’est que dans toute gestion l’équilibre au moins à terme doit être atteint. Peut-être Moscovici veut-elle veut-il faire oublier à la commission qu’il est français et qu’il a même été un mauvais ministre de l’économie. D’où les recommandations un peu surréaliste de la part d’un ancien mauvais élève de l’Europe « Ce qu’on attend de la France, c’est qu’elle fasse les réformes pour être plus compétitive, qu’elle soit solide sur ses finances publiques et ait une force de proposition dans les institutions européennes. » La Commission européenne a en effet souhaité insister sur la nécessité, pour la France de maintenir son déficit public en dessous de la barre des 3%. Dans des prévisions semestrielles publiées le 9 juin, la Banque de France anticipe un déficit public à 3,1% du PIB cette année après 3,4% en 2016, alors que la France s’est engagée à le ramener sous la barre des 3% en 2017. « Dès lors qu’on est proche des 3%, il faut les faire, c’est jouable, il existe les techniques budgétaires pour les faire. [...] C’est dans l’intérêt du pays, de sa crédibilité économique et de sa crédibilité politique d’être conforme à ses engagements. » Et d’ajouter: « c’est en 2018 qu’on constatera si la France est ou pas sortie de la procédure des déficits excessifs. » Pour parvenir à ces objectifs, le commissaire européen s’est montré plus encourageant qu’avec le précédent quinquennat, notant que la France n’aurait pas besoin pour autant d’alourdir la pression fiscale, comme ce fut le cas au début du précédent quinquennat. « On n’a pas besoin, me semble-t-il, (…) de faire un coup de pression fiscale comme nous avons été obligés de faire en 2012 pour être dans les clous. C’est aussi ce qu’a annoncé le Premier ministre, qu’il n’y aurait pas de loi de finance rectificative. Je pense que c’est sans doute sage. »

Le protectionnisme de Trump : attention au boomerang !

Le protectionnisme de Trump : attention au boomerang !

 

 

Le pire danger pour les les États-Unis et pour Trump  lui-même , cest sans doute cet hymne au  protectionnisme qui risque de retomber sur la tête des Américains. Première observation si effectivement la balance commerciale des États-Unis est déséquilibrée, c’est parce que nombre de films américaines ont délocalisé tout ou partie de leur production notamment en Chine. En outre la complexité du système de production est telle que les États-Unis ne peuvent se passer des intrants des pays extérieurs. C’est notamment le cas pour tout ce qui touche à l’informatique. Par ailleurs pour nombre de productions importées les États-Unis n’ont pas alternative car la rentabilité d’une production locale seraient insuffisante pour intéresser les investisseurs. Produire local conduit inévitablement au renchérissement tarifaire et viendra amputer le pouvoir d’achat des Américains. Enfin les pays victimes   de droits de douane exorbitants seront conduits à prendre des mesures de rétorsion qui nuiront au commerce international y  compris aux États-Unis. Le principal risque auquel est exposée la croissance américaine est donc celui de voir Donald Trump tenir ses promesses en matière de protectionnisme, montre mercredi une enquête de Reuters, qui suggère que les économistes sont loin d’être gagnés par l’exubérance qui a porté les marchés financiers en novembre et décembre. Pendant sa campagne et après son élection, le milliardaire républicain s’est engagé à modifier en profondeur la politique commerciale et d’immigration des Etats-Unis, a menacé d’imposer des droits de douane élevés sur les importations depuis la Chine et proposé des réductions massives d’impôts. Si les marchés financiers se sont repliés ces derniers jours, le rendement des bons du Trésor à dix ans est encore en hausse de plus de 25% depuis les élections du 8 novembre et les actions américaines ont inscrit des records fin décembre. Pourtant, plus de deux tiers des économistes interrogés au cours de la semaine écoulée ont jugé que la politique protectionniste promise par Donald Trump constituait pour l’économie américaine la principale menace en 2017. « Il ne fait aucun doute que dans le haut de la liste des risques à la baisse figure la possibilité de voir mise en application la rhétorique anti-libre-échange », explique Jim O’Sullivan, de High Frequency Economics. « Je pars du principe que l’administration (Trump) sera pragmatique en la matière ». La vigueur du dollar, qui a touché au début du mois son plus haut niveau depuis 14 ans face à un panier d’autres devises de référence et s’est apprécié de près de 6% depuis l’élection, constitue un risque supplémentaire à court terme. La perspective d’allègements fiscaux massifs pour les entreprises et les particuliers, comme celle de dépenses publiques d’infrastructures, n’améliorent en rien les perspectives de croissance des Etats-Unis, estiment en outre les économistes, alors même que Donald Trump a dit vouloir porter la croissance du pays à 3,5% par an. Plus de 80% des économistes qui se sont prononcés sur ce point ont jugé que le moment n’était pas opportun pour de tels allègements de la fiscalité, l’économie étant proche du plein emploi. L’enquête montre que la croissance américaine devrait avoir ralenti à 2,2% en rythme annualisé au quatrième trimestre, après 3,5% au troisième. Pour 2017, les économistes prévoient en moyenne une croissance annualisée de 2,1% à 2,5% pour chaque trimestre, soit seulement 0,1 point de plus que dans l’enquête précédente. La médiane des prévisions pour l’ensemble de cette année est à 2,3%. Un peu moins d’un tiers des experts interrogés ont revu en hausse leurs prévisions pour 2017, pour la plupart en se fondant sur l’hypothèse que Donald Trump ne tiendra pas ses promesses en matière de commerce international et qu’il privilégiera le soutien à l’activité.

Eclatement de la zone euro : attention à la facture (Draghi)

Eclatement de la zone euro : attention à la facture (Draghi)

 

 

Les velléités de quitter l’union économique voir la zone euro ne cesse de progresser dans certains programmes électoraux. Certain considérant qu’il suffit de quitter la monnaie unique pour résoudre les problèmes économiques internes. À juste titre,  le président de la banque centrale européenne indique que la facture risque d’être lourde pour ceux qui seraient tentés de partir par exemple de la zone euro. En effet la banque centrale européenne détient en effet une masse de dettes de pays en difficulté financière qu’il faudrait bien rembourser d’une manière ou d’une autre dans l’hypothèse d’un départ. Certes certains illusionnistes préconisent de ne plus rien rembourser du tout. Mais on se demande alors comment les pays concernés pourraient emprunter et à quel taux puisque  ces pays au déficit structurel ne peuvent fonctionner sans emprunt. Un détail sur lesquels les démagogues passent rapidement. À défaut d’emprunt,  il faudrait pour équilibrer les comptes mettre en place un plan d’austérité sans précédent qui amputerait le pouvoir d’achat de 20 à 30 %. Une conséquence sur laquelle certains font aussi l’impasse Tout pays qui souhaiterait quitter la zone euro devrait donc au préalable solder ses comptes avec le système de paiements commun, a expliqué le président de la Banque centrale européenne (BCE), Mario Draghi, dans une lettre à deux députés européens italiens. « Si un pays devait quitter l’Eurosystème, ses avoirs sur ou ses dettes à la BCE devraient d’abord être réglés en totalité », a-t-il écrit. Pour l’Italie, par exemple, un tel solde représenterait 358,6 milliards d’euros à payer sur la base des données à fin novembre du système de paiements Target 2, qui enregistre tous les flux de paiements entre les pays membres de la zone euro. La menace de défauts sur des dettes transfrontalières est souvent citée comme un facteur de cohésion de la zone euro. Les paiements n’étant généralement pas soldés, les économies les plus faibles, dont font partie l’Italie, l’Espagne et la Grèce, ont accumulé d’importants soldes débiteurs envers Target 2, alors que l’Allemagne, à l’opposé, affiche un solde créditeur de 754,1 milliards d’euros. Dans sa lettre aux deux élus italiens, Mario Draghi réaffirmé que ces déséquilibres sont dus en partie aux achats d’obligations de la BCE, une part importante de ces achats étant effectués auprès de vendeurs basés en Allemagne.

Macron : deux nouveaux soutiens Avec Cavada et Lepage, attention aux crocodiles !

Macron : deux nouveaux soutiens Avec Cavada et Lepage, attention aux crocodiles !

 

 

Comme c’était prévisible certains responsables politiques au vu des sondages vont rejoindre Macron. Macro qui avait déjà enregistré mardi le ralliement de l’économiste très renommé, Jean Pisani-Ferry.  Aujourd’hui Jean-Marie Cavada et Corinne ont décidé aussi de le soutenir. Il y aura vraisemblablement bien d’autres soutiens pour Macron pour conforter sa dynamique dans la perspective de 2017.  Reste qu’on peut s’interroger sur le ralliement de certains crocodiles de la politique notamment des nomades qui ont traversé plusieurs formations et qui sont en mal existentiel. Macron serait bien avisé d’accepter évidemment ses soutiens mais en conservant dans son équipe les jeunes actuels qui l’entourent ainsi que les experts. En effet les vieux crocodiles risquent de polluer sa stratégie de renouveau en même temps que ses orientations. Les deux derniers recrutements ne manquent pas d’interroger sur leur intérêt réel aussi bien pour le renouvellement du personnel politique que pour leur apport sur le fond ou leur charisme. Les deux Derniers en date: ceux de la patronne de Cap21/Le Rassemblement citoyen Corinne Lepage et du président de Génération citoyen Jean-Marie Cavada, révélés par Le Point quelques heures seulement avant le premier débat télévisé de la primaire socialiste. Contacté pour confirmer cette information, l’entourage de l’ancien ministre de l’Économie restait injoignable ce jeudi en fin d’après-midi.  Cofondatreurs d’une «Primaire des Français» censée désigner un candidat issu de la société civile à la présidentielle, l’ancienne ministre et le député européen semblent avoir revu leurs plans et décidé de revenir dans le sérail politique. Idem pour le communicant Claude Posternak, qui s’était associé à leur projet, mais aurait lui aussi, selon Le Lab d’Europe 1, choisi de rejoindre le navire d’En Marche!Mercredi, déjà, ce sont le président de France Stratégie Jean Pisani-Ferry, l’ex-journaliste Laurence Haïm, et l’ancien sondeur Denis Delmas, qui avaient rallié l’ancien banquier d’affaires.

Wall Street et les bourses : attention au retour de bâton

Wall Street et les bourses : attention au retour de bâton

 

Les bourses se portent bien avec  les actions qui s’envolent au États-Unis et qui montent  aussi ailleurs. Ainsi le CAC 40 finira sans doute autour des 4800 points. Fin décembre, il aura ainsi enregistré un profit de 6 % sur 12 mois. Des taux de progression en décalage toutefois avec les résultats des les entreprises y compris aux États-Unis où les bénéfices des sociétés du SP 500 ont juste renoué avec la croissance au troisième trimestre. En cause les masses de liquidités déversées par les banques centrales qui ont davantage servi à la spéculation qu’au soutien économique. Aussi des taux  insignifiant qui ont conduit nombre d’investisseurs à délaisser le marché des obligations. Mais la donne pourrait changer en 2017. D’abord parce qu’il faut s’attendre à une croissance économique internationale encore plus faible qu’en 2016. Ensuite parce que le processus de relèvement des taux est engagé par la banque centrale américaine et qu’il y aura contagion dans les autres banques centrales. C’est les fins de l’argent bon marché qui s’engage. Enfin parce qu’il faut s’attendre à une correction de la bulle du marché des actions. Pour le CAC 40 curieusement en moyenne les journalistes prévoient une valeur de 5000 fin  2017 mais 80 % pronostiquent en même temps une baisse du marché des actions. Aux États-Unis,  la hausse du dollar et des rendements obligataires risque de gâcher la fête à Wall Street, où les principaux indicateurs de tendance enchaînent les records dans l’anticipation de mesures de relance du président élu Donald Trump. L’indice Standard & Poor’s 500, référence des gérants américains, a gagné plus de 8% depuis l’élection du 8 novembre en prévision d’une politique inflationniste de la future administration. Les valeurs financières ont mené la hausse avec un gain de plus de 17% pour leur indice sectoriel. « Potentiellement on jette de l’huile sur le feu, car il ne s’est encore rien passé et tout le monde fait comme si c’était déjà acté », note Richard Bernstein, fondateur du cabinet de conseil Richard Bernstein Advisors à New York. Ces anticipations et la politique plus velléitaire de la Réserve fédérale en matière de taux d’intérêt ont aussi eu pour effet de renforcer le dollar et de pousser à la hausse les rendements des obligations souveraines. La Fed a relevé ses taux directeurs mercredi pour la première fois depuis un an et laissé prévoir trois nouveaux tours de vis en 2017, plus que ce qu’attendait le marché. Dans la foulée, le billet vert a atteint un plus haut de 14 ans face à un panier de devises et contre l’euro, se rapprochant de la parité avec la monnaie unique, tandis que les rendements des Treasuries ont aligné une sixième semaine consécutive de gains avec un taux d’environ 2,60% vendredi soir pour le papier à 10 ans, référence du marché. Le dollar fort, avertissent les analystes, risque d’amputer les bénéfices des multinationales américaines alors que les profits des sociétés du S&P-500 ont tout juste renoué avec la croissance au troisième trimestre. « L’idée est que l’économie est suffisamment forte pour supporter une hausse des taux et que les résultats (des entreprises) iront en s’améliorant ; c’est pour cela que les actions continuent de monter », dit Paul Nolte, gérant de portefeuille chez Kingsview Asset Management à Chicago. « Cela étant dit, la vigueur du dollar et la hausse des taux d’intérêt finiront par affecter les résultats. Le tout est de savoir quand et comment. »

Le yuan chinois devient monnaie officielle du FMI : attention aux secousses

Le yuan chinois devient monnaie officielle du  FMI : attention aux secousses

C’est sans doute davantage pour des raisons politiques économiques que le fonds monétaire international vient de reconnaître le yuan chinois comme monnaie officiel comme l’euro ou le dollar.  Depuis longtemps la Chine réclamait ce statut. Reste à savoir si le yuan sera si significativement intégré dans le système financier. En cause plusieurs interrogations. D’abord la richesse réelle sur laquelle est supposée s’appuyer la monnaie chinoise. De ce point de vue,  nombre d’experts s’interroge depuis des années sur la mesure de l’activité en Chine. Les statistiques chinoises présentent en effet un caractère très politique, témoin par exemple cette croissance de 7 % annuels décrétés  par l’État et atteintes dans les statistiques officielles. Une croissance qui d’après nombre d’experts devrait être divisée par deux depuis des années. Autre interrogation celle de l’endettement ;  un endettement qui affecte les entreprises publiques dont l’offre est en  surcapacité structurelle et dont les déficits s’ajoutent aux déficits. Un endettement qui concerne aussi les collectivités publiques notamment locales mais aussi les particuliers. Des perspectives de bulle financière ne sont pas à écarter. Une intégration trop rapide du yuan pourrait être de nature à accélérer une guerre des monnaies déjà largement engagées. Avant de devenir une monnaie officielle réellement utilisée, il faudra un peu plus de transparence financière et économique en Chine.   Depuis le 1er octobre, la devise chinoise est en donc officiellement partie intégrante de l’unité de compte du Fonds monétaire international, les droits de tirage spéciaux (DTS), où elle a rejoint les monnaies américaine et européenne mais également la livre britannique et le yen japonais. C’est une « étape historique » pour Pékin, a affirmé la directrice générale du FMI Christine Lagarde, ajoutant que cette décision allait accélérer « l’intégration de l’économie chinoise dans le système financier et monétaire international ». Concrètement, le changement ne devrait pas bousculer le rapport de forces sur le globe où le billet vert reste de loin le plus utilisé (41% des transactions mondiales) devant l’euro (30,8%) ou la livre (8,7%), selon la société financière Swift. Le renminbi (l’autre nom du yuan, ndlr) devrait toutefois en profiter pour poursuivre son internationalisation naissante et pourra désormais atterrir dans les caisses des pays placés sous assistance financière du FMI.pas de quoi vraiment rassurer les pays en cause.  Après un long examen, l’organe de direction du Fonds, qui représente ses 189 Etats membres, a donné son feu vert en novembre 2015 en assurant que le yuan remplissait deux grands critères: être massivement présent dans les transactions internationales et être « librement utilisable ». La dernière modification de son panier de devises remontait à 2000 quand l’euro avait remplacé le franc et le deutsche mark.

(Avec AFP)

Start-ups technologiques : attention retour de bâton

Start-ups technologiques : attention retour de bâton

 

Les nouvelles start-ups technologiques sont évidemment à la mode, certaines start-ups apportent réellement des innovations et créent de la valeur ajoutée tandis que d’autres  se limitent  à pomper celle des autres en précarisant au passage le travail. Ces derniers temps certaines start-ups dites technologiques ont vu leur valorisation exploser. Mais ces entreprises – devraient bientôt connaître un retour de bâton. En cause la recherche de rendement irraisonné pour compenser dés placements qui ne sont plus rémunérateurs  du fait de  baisse de taux d’intérêt.  L’une des illustrations les plus frappantes en est la multiplication et la valorisation des « licornes », ces entreprises jeunes et pas encore cotées dont la valorisation dépasse le milliard de dollars. Tandis qu’on en comptait 4 pour une valeur globale de 13 milliards de dollars en 2009, elles seraient aujourd’hui 124 pesant 468 milliards de dollars. Les levées de fonds record sur la base de valorisations astronomiques semblent s’enchaîner à un rythme effréné. Cette recherche de haut rendement pourrait se justifier si les entreprises dites technologiques apportaient une réelle innovation et si la croissance était au rendez-vous. Encore une fois si certaines start-ups technologiques apportent une réelle innovation, d’autres ne sont que de simples applications Internet qui se contentent de détourner la valeur ajoutée d’opérateurs déjà sur le marché (qui sont les vrais créateurs de cette valeur ajouté). Des applications qui par ailleurs rendent possible un détournement des contraintes fiscales et sociales. L’exemple le plus récent concerne Uber pour le transport des personnes ;  encore plus récemment Uber vient de s’attaquer sur le même modèle économique au transport express de la même manière Uber ou d’autres start-ups numériques pourraient s’interposer entre les processus de production et de distribution concernant notamment certains autres marchés des particuliers. À terme certaines start-ups qui n’apportent pas de réelle valeur ajoutée(ou à valeur ajoutée faible)  pourraient donc avec la crise financière voir leur valorisation s’écrouler surtout aussi si les pouvoirs publics mettent en place une régulation visant à empêcher les détournements de réglementation fiscale ou sociale.

Le « grand soir » social annoncé par Sarkozy ….. Attention aux gueules de bois du lendemain matin !

Le  « grand soir » social annoncé par Sarkozy …..  Attention aux gueules de bois du lendemain matin !

 

Le grand soir de Sarkozy c’est surtout la reprise de ce qui existe, est dans les tuyaux amis  avec en plus la chasse aux syndicats. Certes des syndicats pas tous très modernistes et même souvent archaïques CFDT exceptée notammen t ; t mais auquel on ne peut faire le reproche d’uen manque de représentativité du faat des résultats aux élections et du nombre d’adhérents bien supérieurs à celui des parti politiques.  Dans un entretien accordé au quotidien Les Echos daté du 30 septembre, le président du parti « Les Républicains » veut tout revoir : la durée légale du travail, la définition du licenciement économique, le rôle des syndicats, le fonctionnement de l’assurance chômage. Il milite pour un grand chambardement afin de relancer l’économie et créer des emplois. Mais, dans son élan, Nicolas Sarkozy « oublie » que nous ne sommes plus en 2007 où en 2012. Plusieurs de ses préconisations s’appliquent en fait déjà, notamment depuis les récentes lois Rebsamen sur le dialogue social et Macron sur la croissance. Et nombre de ses suggestions ne résistent pas à la réalité du terrain, notamment sur la place des syndicats. En réalité, on a l’impression que les propos de l’ancien président de la République s’adressent davantage aux futurs électeurs de la primaire du centre et de la droite, dans la perspective de l’élection présidentielle de 2017, qu’aux professionnels ou acteurs des relations sociales. Nicolas Sarkozy, François Fillon et Alain Juppé – dans une moindre mesure – se livrent à une sorte de course à l’échalote. C’est à qui sera le plus « réformateur »…parfois aux dépens de la réalité du terrain. Décryptage des propos de Nicolas Sarkozy sur les sujets sociaux. « Le dialogue social ne fonctionne plus en France. La négociation sociale doit désormais se dérouler d’abord dans l’entreprise, plutôt qu’au niveau de la branche ou du confédéral (…). Quand un accord dans l’entreprise n’est pas possible entre les partenaires sociaux, ce sont les salariés de cette même entreprise qui doivent pouvoir trancher par referendum à la majorité simple. «Justement c’est cela la réforme Valls en cours !  Ainsi, Nicolas Sarkozy veut donner la priorité à la négociation d’entreprise au détriment de l’accord de branche. En affirmant cela, il ne fait que surfer sur le débat – très en vogue en ce moment – sur la place à accorder aux différentes normes (loi, accord de branche, accord d’entreprise). C’est tout l’objet du fameux rapport Combrexelle - du nom du président de la chambre sociale du Conseil d’Etat – remis récemment au Premier ministre et qui va donner lieu à un projet de loi. L’ancien président de la République « oublie » que 98% des entreprises ont moins de cinquante salariés, il y a donc une impossibilité de négocier et de signer un accord.

UMP : Lavrilleux exclu, attention à la grande lessive !!

UMP : Lavrilleux exclu, attention à la grande lessive !!

 

L’UMP est  sans doute en train de faire une nouvelle grosse bêtise en excluant Lavrilleux de l’UMP, cela pour lui faire porter seul le chapeau de ce qu’il fat bien appeler un détournement de fonds puisque des sommes colossales ont fait l’objet de fausses factures pour un montant de l’ordre de 17 millions. L’homme-clé de l’affaire Bygmalion sera vraisemblablement exclu de l’UMP lors du prochain bureau politique du parti. Mais il ne compte pas renoncer pour autant à son mandat européen. Ou alors il pourrait bien se mettre à table car jusqu’à maintenant il a protégé Copé et Sarkozy, nécessairement au courant et forcément soit très impliqués soit alors complètement irresponsables (ou les deux). Donc  Sauf surprise, Jérôme Lavrilleux ne sera plus membre de l’UMP la semaine prochaine. Le bureau politique du parti va être appelé à se prononcer sur son exclusion. La question sera inscrite à l’ordre du jour de la réunion du mardi 24 juin. C’est ce qu’indiquent à RTL des sources proches de la direction provisoire. Selon un de ses collègues député européen, si Jérôme Lavrilleux était exclu du parti, « il devrait en tirer les conséquences, au minimum en se mettant en retrait du groupe PPE au Parlement de Strasbourg. » Le groupe PPE rassemble les députés de la droite européenne.  Les dirigeants UMP espèrent secrètement qu’il renonce à son mandat de parlementaire. Mais Jérôme Lavrilleux n’entend pas leur donner satisfaction. Son mandat constitue aujourd’hui son unique source de revenu. Jérôme Lavrilleux n’est plus rémunéré par l’UMP. Comme trois autres salariés, il fait l’objet depuis 8 jours d’une mise à pied en vue d’un possible licenciement. Selon plusieurs membres de la direction provisoire, Jérôme Lavrilleux n’a pas formellement démissionné de son poste de directeur de cabinet de Jean-François Copé, alors que ce dernier n’est plus président de l’UMP depuis le 15 juin.  « Nous n’avons trouvé aucune lettre », s’étonne un cadre du parti. « La logique voudrait qu’il parte de lui-même. Il est en CDI. Mais pour le moment, il n’en a rien fait. »

 

FMI : attention aux actifs pourris des banques en Europe

FMI : attention aux actifs pourris des banques en Europe

 

Pour  le FMI, les banques  ont renforcé massivement leurs fonds propres, leur accès au financement s’est amélioré et les pays comme l’Italie ou l’Espagne appliquent des traitements de choc pour redresser leurs comptes publics, reconnaît la mission d’étude du FMI. Mais ce n’est pas assez. L’institution internationale juge toujours «élevés» les risques d’instabilité financière en Europe, «surtout dans le contexte d’une croissance faible et d’austérité budgétaire». Cette fois, le FMI se garde bien de chiffrer les besoins de capitaux des banques européennes. En fait, le Fonds juge les «coussins» de fonds propres mis en place à la demande de l’Autorité bancaire européenne «adéquates pour supporter des chocs macro-économiques sévères». Avec des réserves toutefois. Le FMI affiche ses doutes non pas tant sur le niveau absolu des fonds propres des banques, mais plutôt sur la qualité de leurs actifs. «Dans certains cas, il est à craindre que les créances douteuses et les provisions minimisent les pertes», s’inquiète le Fonds. Seule l’Espagne, rappelle-t-il, a commandité un bulletin de santé complet de ses banques. Sachant que la crise économique va se traduire par une montée des risques, le FMI appelle à une harmonisation des données permettant de mesurer la solidité financière des banques. Un chantier d’ailleurs lancé par l’Autorité bancaire européenne en prévision de l’entrée en vigueur, au 1er janvier 2014, de la directive européenne imposant les nouvelles règles prudentielles (dites Bâle 3). Cet effort s’avère d’autant plus nécessaire, insiste le FMI, que la BCE (Banque centrale européenne) s’apprête, à partir du 1er mars 2014, à superviser près de 200 banques de la zone euro.  Le FMI salue cette évolution, mais note que, faute de pouvoir redonner à toutes les banques concernées une licence, la BCE aurait intérêt à s’attaquer au plus vite aux maillons faibles, afin d’éviter que d’éventuels accidents n’entachent sa crédibilité.  Le FMI s’inquiète également de l’articulation des travaux entre la BCE et les superviseurs nationaux. À la demande de l’Allemagne, qui souhaite conserver la mainmise sur ses Landesbanken et Sparkassen, les banques moyennes échapperont, en effet, au contrôle direct de la BCE.

 

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