Archive pour le Tag 'attaquent'

Violence–Deux hommes masqués attaquent une professeure à l’école

Violence–Deux hommes masqués attaquent une professeure à l’école


Dans un lycée d’Angoulême jeudi 18 janvier deux hommes vêtus de noir, masque sur le visage, tentent de s’introduire dans une classe. Une enseignante les repère aussitôt et essaye de les repousser. L’un d’eux la frappe violemment sous le regard stupéfait des élèves, puis son complice asperge la classe de gaz lacrymogène. La professeure d’éducation physique réussit à faire fuir les agresseurs. « L’altercation conduit à ce qu’elle reçoive un coup de poing au visage », résume la procureure de la République de la Charente, Stéphanie Aouine.

Paris 2024 : dix travailleurs sans papiers attaquent des géants du BTP devant les prud’hommes

Paris 2024 : dix travailleurs sans papiers attaquent des géants du BTP devant les prud’hommes

Dix travailleurs sans papiers, ayant travaillé sur les chantiers des Jeux olympiques de Paris 2024, assignent des géants du BTP devant le conseil de prud’hommes de Bobigny (Seine-Saint-Denis), selon les informations de franceinfo mardi 20 juin.

Originaires du Mali ou de République démocratique du Congo, ils vivent en France depuis plusieurs années. Ils demandent des comptes à leurs anciens employeurs directs, huit sociétés sous-traitantes, mais également aux quatre géants du BTP, Vinci, Eiffage, Spie Batignolles et GCC, les donneurs d’ordre des chantiers sur lesquels ils travaillaient.

« Tout le monde savait que je n’avais pas de papiers. Et c’est Spie Batignolles qui commande sur le chantier », témoigne Moussa, l’un des travailleurs. « Un jour, j’avais mal au genou. J’ai demandé à mon patron si je pouvais prendre un ou deux jours de repos. Il m’a dit : ‘Si tu n’es pas là lundi, tu prends tes affaires’. J’ai dû continuer à travailler malgré la souffrance. La France n’est pas mieux que le Qatar. »

Selon la CGT qui défend ces travailleurs, les entreprises donneuses d’ordre, comme Vinci ou Eiffage, sont responsables, car le code du travail impose aux donneurs d’ordre de contrôler ce qui se passe sur le chantier. « On nous avait promis des chantiers des JO exemplaires, rappelle Richard Bloch, de la CGT. Finalement c’est pire qu’ailleurs, car il y a un impératif politique : il faut que les chantiers soient livrés en temps et en heure. Donc les sociétés mettent en œuvre tous les moyens légaux ou illégaux pour livrer dans les temps. » Le syndicat évalue à une centaine le nombre d’ouvriers dans cette situation. Mais la Solidéo, la Société de livraison des ouvrages olympiques, parle de moins d’une centaine de cas repérés malgré 850 contrôles.

Sephora: des salariés attaquent les syndicats du commerce en justice

Sephora: des salariés attaquent les syndicats du commerce en justice

 

Cent-un salariés du magasin Sephora des Champs-Elysées ont assigné vendredi en référé les syndicats du commerce de Paris, qui ont obtenu en justice lundi la fermeture à 21H00 du parfumeur, propriété du groupe LVMH. La juge des référés du tribunal de grande instance (TGI) de Paris a toutefois mis l’accent sur le fait que l’affaire avait été jugée en appel et que le référé n’était pas « une juridiction de recours », a constaté une journaliste de l’AFP.  Les avocats respectifs des salariés et de la direction de Sephora ont fait valoir que le personnel travaillant le soir allait subir « une atteinte immédiate au contrat de travail » à cause de l’action de l’intersyndicale du commerce, le Clic-P (CGT, CFDT, FO, Seci-Unsa, SUD et CGC).  Dans la salle d’audience, dite « chambre des criées », une soixantaine de salariés étaient venus assister aux plaidoiries, vêtus de leur uniforme, un tee-shirt noir avec la marque inscrite au dos. Une trentaine de représentants syndicaux étaient également présents.  Les avocats ont également contesté la légitimité des syndicats du commerce, leur reprochant de n’avoir aucun représentant parmi les salariés du magasin des Champs-Elysées. Ils demandent au tribunal « condamnation des organisations syndicales à 100.000 euros d’astreinte par jour et par organisation pour tout acte direct et indirect susceptible d’entraîner la modification de leur contrat de travail ».  De leur côté, les avocats des syndicats ont jugé cette demande « farfelue » et estimé que Sephora « utilisait des salariés pour faire une opération de communication ».  La juge des référés s’est elle interrogée sur la « demande précise » des plaignants.   »On ne comprend pas la décision de la cour d’appel, nous demandons juste de pouvoir continuer à travailler », a affirmé lors de l’audience Olivier Martin, porte-parole de la CFTC, premier syndicat chez Sephora.  De son côté, Karl Ghazi, de la CGT du commerce, a regretté l’action des personnels de Sephora qui « sont là sur un affreux malentendu ». « C’est l’ensemble des salariés du commerce qui est concerné par cette décision. Il s’agit bien de l’intérêt collectif des salariés et pas de la somme d’intérêts particuliers », a-t-il ajouté.  L’affaire a été mise en délibéré.

 




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