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Sondage Élections Européennes : une potiche en tête chez Macron pour assumer la défaite

Sondage Élections Européennes : une potiche en tête chez Macron pour assumer la défaite

 

Sondage après sondage sondage après sondage, il se confirme que la majoritée va subir une grave défaite aux élections européennes. En moyenne les sondages donnent près de 30 % au rassemblement national et à peine 20 % pour la majorité. Les autres partis importants à savoir les insoumis, les écolos et le parti républicain pour de 8 % tandis que l’e PS approche les 12 %. La gauche retrouve particulièrement minoritaire dans le pays. Le pouvoir de son côté va recevoir une claque monumentale qui confirme le déclin inéluctable de Macron. Comme, c’était prévisible il y a bien peu de candidats pour prendre la tête de liste du camp macron aux élections européennes. En effet, la majorité s’apprête à prendre une belle déculottée avec un score qui pourrait être moitié moins important que celui du rassemblement national. Une véritable déroute en vérité d’autant que les élections européennes servent souvent de défoulement et enregistre par ailleurs des taux d’abstention record.
Du coup, on s’est rabattu sur une euro députée de 37 ans du groupe renew complètement inconnue très représentative de la sociologie politique macronienne. C’est en effet une vraie professionnelle ! Elle n’a pratiquement jamais travaillé dans l’économie réelle étant passée de poste d’assistant parlementaire à celui de responsable élu.

Bref quand la politique devient un métier et  quand les convictions se rangent derrière la carrière professionnelle.

La confirmation aussi que Macron aura été incapable au cours de ces deux mandats de faire émerger des responsables nationaux de haut niveau sauf quelques exceptions comme Attal.

Le résultat du règne sans partage du monarque républicain qui ne tolère pas la moindre contestation, la moindre concurrence.

Il faut voir par exemple en ce moment le pauvre ministre de l’agriculture ballottée entre les positions de l’Élysée et celle du Premier ministre. Un ministre de l’agriculture qui manque  de tout de compétence, de courage et de charisme.

La désignation de cette Marcheuse historique, issue du parti de centre droit UDI, doit être entérinée jeudi soir, lors d’un bureau exécutif du parti Renaissance.

Élections Européennes : une inconnue en tête chez Macron pour assumer la défaite

Élections Européennes : une inconnue en tête chez Macron pour assumer la défaite

 

Comme c’était prévisible il y a bien peu de candidats pour prendre la tête de liste du camp macron aux élections européennes. En effet, la majorité s’apprête à prendre une belle déculottée avec un score qui pourrait être moitié moins important que celui du rassemblement national. Une véritable déroute en vérité d’autant que les élections européennes servent souvent de défoulement et enregistre par ailleurs des taux d’abstention record.
Du coup, on s’est rabattu sur une euro députée de 37 ans du groupe renew complètement inconnue très représentative de la sociologie politique macronienne. C’est en effet une vraie professionnelle ! Elle n’a pratiquement jamais travaillé dans l’économie réelle étant passée de poste d’assistant parlementaire à celui de responsable élu.

Bref quand la politique devient un métier et  quand les convictions se rangent derrière la carrière professionnelle.

La confirmation aussi que Macron aura été incapable au cours de ces deux mandats de faire émerger des responsables nationaux de haut niveau sauf quelques exceptions comme Attal.

Le résultat du règne sans partage du monarque républicain qui ne tolère pas la moindre contestation, la moindre concurrence.

Il faut voir par exemple en ce moment le pauvre ministre de l’agriculture ballottée entre les positions de l’Élysée et celle du Premier ministre. Un ministre de l’agriculture qui manque  de tout de compétence, de courage et de charisme.

La désignation de cette Marcheuse historique, issue du parti de centre droit UDI, doit être entérinée jeudi soir, lors d’un bureau exécutif du parti Renaissance.

Listes Européennes : une inconnue en tête chez Macron pour assumer la défaite

Listes Européennes : une inconnue en tête chez Macron pour assumer la défaite

 

Comme c’était prévisible il y a bien peu de candidats pour prendre la tête de liste du camp macron aux élections européennes. En effet, la majorité s’apprête à prendre une belle déculottée avec un score qui pourrait être moitié moins important que celui du rassemblement national. Une véritable déroute en vérité d’autant que les élections européennes servent souvent de défoulement et enregistre par ailleurs des taux d’abstention record.

 
Du coup, on s’est rabattu sur une euro députée de 37 ans du groupe renew complètement inconnue très représentative de la sociologie politique macronienne. C’est en effet une vraie professionnelle ! Elle n’a pratiquement jamais travaillé dans l’économie réelle étant passée de poste d’assistant parlementaire à celui de responsable élu.

Bref quand la politique devient un métier et  quand les convictions se rangent derrière la carrière professionnelle.

La confirmation aussi que Macron aura été incapable au cours de ces deux mandats de faire émerger des responsables nationaux de haut niveau sauf quelques exceptions comme Attal.

Le résultat du règne sans partage du monarque républicain qui ne tolère pas la moindre contestation, la moindre concurrence.

Il faut voir par exemple en ce moment le pauvre ministre de l’agriculture ballottée entre les positions de l’Élysée et celle du Premier ministre. Un ministre de l’agriculture qui manque  de tout de compétence, de courage et de charisme.

La désignation de cette Marcheuse historique, issue du parti de centre droit UDI, doit être entérinée jeudi soir, lors d’un bureau exécutif du parti Renaissance.

Guerre en Ukraine: Assumer le coût

Guerre en Ukraine: Assumer le coût

Inévitable, le coût économique et social du soutien à l’Ukraine ne sera assumé durablement par les Français que s’il est justement réparti, faute de quoi le régime russe exploiterait nos divisions, souligne, dans une tribune au « Monde », Pascal Brice, président de la Fédération des acteurs de la solidarité.

 

 

Après trois mois de conflit, il est temps de l’assumer : nous allons aider la résistance ukrainienne dans la durée, parce que c’est aussi notre liberté qu’elle défend, et cela ne sera pas sans conséquences pour les Françaises et les Français. C’est bien la démocratie qui est en jeu. Vladimir Poutine l’a érigée en ennemie. Plutôt que l’expression démocratique du peuple, il ne connaît que la force et son usage le plus brutal, en Ukraine comme en Tchétchénie et en Syrie. Accepter qu’elle l’emporte à nouveau, c’est soumettre nos libertés à tous les diktats. 

Ce sont les Ukrainiennes et les Ukrainiens – sans oublier les opposants russes – qui en paient le prix le plus fort par les dévastations, la peur, les viols, les tortures, la mort, l’exil. Mais ne prétendons pas que ce sera sans douleur pour nous. Disons-le clairement : ce combat commun a et aura aussi un coût pour les Françaises et les Français.

Les sanctions imposées à la Russie s’ajoutent aux désordres provoqués par le conflit, relayés par la spéculation, pour amplifier la hausse des prix de l’énergie et de l’alimentation. Ils pèsent sur le pouvoir d’achat des Français, sur la croissance et l’emploi. Ce coût grandira lorsque les Européens décideront enfin un embargo total sur le gaz et le pétrole russes.

Aucune alternative

Le régime russe sait combien la dépendance énergétique et alimentaire, pesant sur les conditions de vie des Européens, affaiblit leur esprit de résistance et peut fracturer l’Union européenne. Il suffit d’entendre celles et ceux qui n’ont jamais rien trouvé à redire à la brutalité de Poutine, évoquer les conséquences de l’appui à l’Ukraine pour tenter de l’amenuiser. De plus, l’attitude de Vladimir Poutine n’offre pour l’heure aucune alternative au renforcement constant de l’aide militaire pour seconder l’héroïsme des Ukrainiens.

En réponse, il sait jouer de nos peurs. C’est la vocation de ses gesticulations nucléaires face auxquelles il revient aux Européens et à leurs alliés de conserver détermination, cohésion et sang-froid. L’objectif demeure un cessez-le-feu, le retrait des troupes russes sur les lignes du 24 février 2022, l’ouverture de négociations bilatérales puis multilatérales pour garantir la liberté et la sécurité de tous – y compris de la Russie. Mais tant que l’Ukraine ne sera pas en situation de discuter autrement qu’en position d’agressée, il ne peut y avoir de désescalade à l’initiative des Européens. Ce serait accepter la primauté du recours à la force.

Ne faisons pas à Vladimir Poutine le cadeau de nos faiblesses. Il ne peut pas l’emporter. Son seul atout réside dans la peur qu’il suscite et dans l’instrumentalisation du désordre économique et social provoqué par le conflit qu’il a déclenché, dans une Europe déjà socialement et culturellement fragilisée, où de plus en plus de citoyens semblent tentés – lassitude, découragement, colère ou oubli – par des formes de relativisation du caractère sacré de la démocratie.

 

Hollande doit assumer le social-libéralisme (Collomb)

Hollande doit assumer le social-libéralisme (Collomb)

Inquiet sur les possibilités de réélection de la gauche en 2017, le socialiste (droitier) Gérard Collomb pense qu’il n’est plus temps de rechercher à tout prix des synthèses artificielles pour rassembler du centre jusqu’à la gauche radicale. « Quand ça ne marche pas, tout le monde, on le constate déjà, retourne à ses vieux tropismes. » Il l’a récemment confié à François Hollande : « À un an et demi de la présidentielle, il n’y a plus qu’une solution : jouer cash. » Sous-entendu : dans le sens du social-libéralisme. Le sénateur et maire de Lyon regrette que la gauche n’ait pas pris suffisamment tôt la mesure de la « perte de compétitivité » de l’économie française.




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