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Covid France 29 juin 2022 : forte hausse avec +147.248 cas nouveaux en 24h

Covid France 29 juin 2022 : forte hausse avec +147.248 cas nouveaux en 24h

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On enregistre mardi 28 juin 2022 forte hausse avec +147.248 cas nouveaux en 24h  , 149.443 morts au total, +37 morts supplémentaires. Le nombre de décès en EHPAD et EMS fait état de 28.902 (0) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 120.541 (+37 en 24h).

Le taux de reproductivité R est de 1,45 le taux d’incidence à 731,71 et la tension hospitalière à 17,8 %. Le taux de positivité est à 13,1 %.

La France compte actuellement 15.496 (+397) personnes hospitalisées et 898 (+18) malades en réanimation.

Compte tenu de la tendance actuelle favorable et la baisse des principaux indicateurs, à partir du 11 juin 2022, les indicateurs COVID-19 produits par Santé publique France seront actualisés sur Géodes et data.gouv.fr tous les jours à l’exception des week-end et des jours fériés.

Bilan des régions :

  • Ile-de-France : 4.459 (+126) hospitalisées, 294 (+8) en réanimation et +5 décès en 24h
  • Grand Est : 966 (-5) hospitalisés, 79 (-3) en réanimation et +4 décès en 24h
  • Hauts de France : 1.304 (+62) hospitalisés, 88 (0) en réanimation et +1 décès en 24h
  • Auvergne Rhône Alpes : 1.546 (+84) hospitalisés, 71 (+6) en réanimation et +3 décès en 24h
  • Provence-Alpes Côte d’Azur : 1.239 (+45) hospitalisé, 65 (0) en réanimation et +8 décès en 24h
  • Bretagne: 558 (+2) hospitalisés, 31 (+4) en réanimation et +1 décès en 24h
  • Normandie : 1.031 (+10) hospitalisés, 37 (+2) en réanimation et +2 décès en 24h
  • Nouvelle-Aquitaine : 1.015 (+6) hospitalisés, 53 (-2) en réanimation et +3 décès en 24h
  • Pays de la Loire : 346 (+15) hospitalisés, 21 (+1) en réanimation et +3 décès en 24h
  • Occitanie: 1.216 (+7) hospitalisés, , 61 (0) en réanimation et +2 décès en 24h
  • Centre-Val de Loire : 616 (-2) hospitalisés, 34 (-1) en réanimation et +2 décès en 24h
  • Bourgogne-Franche-Comté : 642 (+2) hospitalisés, 26 (-4) en réanimation et +1 décès en 24h

Coronavirus Italie : 24 décès et 224 cas en 24h

Coronavirus Italie : 24 décès et 224 cas en 24h

24 décès supplémentaires dus au COVID-19, contre 49 la veille, le décompte quotidien des nouveaux cas avérés s’élevant à 224 contre 262 samedi.

Le nombre de morts dans le pays depuis que l’épidémie y est apparue le 21 février s’élève désormais à 34.634, selon l’agence de protection civile.

Le nombre de cas confirmés en Italie s’élève dans le même temps à 238.499, tandis que 148 personnes étaient en soins intensifs dimanche, contre 152 samedi.

Pas d’inversion du chômage en 2016 et pari perdu pour Hollande

Pas d’inversion du chômage en 2016

 

C’est le verdict de l’OCDE : il n’y aura pas d’inversion de la courbe du chômage l’année prochaine voir même en 2017. En cause, l’insuffisance de la croissance. Une croissance estimée à 1,1 % en 2015 et à 1,3 % en 2016. Alors que le gouvernement avait prévu plus 1,5 %. Or c’est à partir d’une croissance de 1,5 % que le chômage commence à décroître. Conclusion : le Taux de chômage resterait stable à 10,0% cette année et l’année prochaine et ne reculerait que de 0,1 point à 9,9% en 2017. Autant dire que d’ici des élections présidentielles de 2017 le chômage en France va demeurer relativement stable. Du coup il sera très difficile pour Hollande de considérer qu’il a gagné son pari relatif à la version de la cour du chômage. Tout se jouera en effet sur quelques dizaines de milliers d’emplois alors que la France compte plus de 5 millions de chômeurs officiels. Pendant le mandat de hollande la France aura donc enregistré 700 à 800 000 chômeurs supplémentaires. En ce qui concerne la zone euro Le taux de chômage passerait de 10,9% en 2015 à 10,4% l’année prochaine et 9,8% en 2017. Une baisse qui n’est pas négligeable et qui tient aux fêtes que la croissance en moyenne en zone euro sera plus importante que celle de la France. Le l’OCDE prévoit en effet seulement 1,3 % d’augmentation du pipe en 2016 pour la France tandis que la zone euro, elle, enregistrera une progression de 1,8 %.

Blanc « n’a pas l’étoffe » pour le PSG (Bernard Laporte)

Blanc « n’a pas l’étoffe » pour le  PSG (Bernard Laporte)

Avec son franc-parler bernard laporte dit tout haut ce que nombre de spéclistes n’osesnt pas dire du tout : Blanc n’a pas l’étoffe pour diriger une équipe comme le PSG.

 

jeudi soir, interrogé sur les déclarations de Nasser al-Khelaïfi qui a remis en question les choix tactiques de Laurent Blanc après la défaite contre Barcelone en Ligue des champions mercredi (3-1), l’ancien sélectionneur du XV de France n’a pas épargné le président du PSG : « C’est un bouffon, il ne décide de rien ! Il connaît quoi au football ? Est-ce que ce n’est pas lui qu’il faut virer ? » Et s’il a d’abord défendu l’entraîneur parisien, affirmant plutôt que ce sont ses joueurs « qui ne sont pas bons », l’ex-demi de mêlée a ensuite égratigné Blanc. « La vérité, c’est que Laurent Blanc ne maîtrise pas les conférences de presse. Avec les mêmes résultats de m…, Mourinho endort tout le monde ! a encore lâché Laporte. Le problème de Blanc, c’est qu’il est battu lors des conférences de presse. Il n’est pas plus con qu’un autre. Il a expliqué pourquoi il avait sorti Verratti. Blanc, c’est un super mec, mais il n’a pas l’étoffe pour être entraîneur du PSG. » Donc, finalement, son avis n’est pas si éloigné que ça de celui d’Al-Khelaïfi.

Immobilier : prix en baisse mais pas assez

Immobilier : prix en baisse mais pas assez

L’immobilier c’est sacré en France, on ne peut en parler qu’avec modération ; donc pas question de dire trop fort que les prix baissent même sils sont encore beaucoup trop élevés pour relancer le marché. D’autant que notaires et agents immobiliers se rémunèrent encore sur le prix ! Les notaires avouent  toutefois  une baisse  prix des logements anciens « en pente douce »: recul de 1,7% (-1,9% pour les appartements et -0,4% pour les maisons anciennes) au niveau national à fin septembre. «Depuis 2011, les prix des appartements en France ont baissé de 7% en moyenne en retirant l’inflation et ceux des maisons de 5%», précise Thierry Thomas, président de l’Institut notarial du droit immobilier. «La tendance baissière se confirme», ajoute-t-il. Elle devrait même s’accélérer début 2015, prédisent les notaires en se basant sur les avant-contrats signés cet automne et dont les actes définitifs de vente seront signés en janvier (-1,7% entre octobre et janvier 2015) et -1,2% pour les maisons qui retrouveront leur niveau de 2010). À Paris, les prix au m2 devraient ainsi passer en janvier sous la barre des 8000 euros en moyenne. Mais, plus que jamais, de très importantes disparités régionales se cachent derrière ces moyennes de prix, avec d’un côté les grandes villes qui résistent plus ou moins bien et de l’autre, les campagnes qui s’effondrent.  Dans les campagnes les prix ont baissé de l’ordre de 50% en moyenne depuis 2008.  En zone urbaine la baisse est nettement plus légère mais réelle ‘(surtout dans les banlieues éloignées). L’immobilier devient de plus en plus un marché de vieux car les primo accédants jeunes ne peuvent supporter des charges d’un logement  de 230 000 euros (valeur moyenne). Du coup tendanciellement, le prix est condamné à baisser.  De moins en moins présents sur le marché, les acquéreurs âgés de moins de 30 ans ont été à l’origine de 18,8% des ventes d’appartements anciens, sur les 12 mois écoulés à fin septembre, contre 19,6% en 2013. Ils ont réalisé 15,6% des transactions sur les maisons anciennes, contre 16,2% sur la même période un an plus tôt. A contrario, les acheteurs âgés de 60 ans et plus, se sont renforcés, en étant à l’origine de 21% des ventes d’appartements anciens et 14,8% de celles des maisons anciennes, contre respectivement 20,3% et 14% un an auparavant mais on ne relance par un marché uniquement avec de retraités.

 

Sondage suppression pub en ligne: les Français ne veulent pas payer

Sondage suppression pub en ligne: les Français ne veulent pas payer

 

 

Une curieuse idée de Google : payer pour ne  pas avoir de pub sur les écrans. En cause surtout la pub agressive qui masque l’info avant l’accès aux infos. La pub est sans doute nécessaire pour financer le net mais son caractère agressif, lui, est de moins en moins toléré.    78% des Français se disent agacés  par la réclame (publicité qui masque l’écran, son plus fort sur les vidéos…), ils ne sont que 13% à être prêts à payer le juste prix pour y échapper, selon un sondage OpinionWay pour Mozoo, groupe spécialisé dans le marketing et la publicité mobile, publié ce 3 décembre. Cette intolérance à la publicité en ligne varie selon l’âge: 84% des 65 ans et plus la jugent dérangeante, contre 71% des 18-24 ans.  Pour échapper à la réclame, et alors que l’utilisation de logiciels anti-publicité gratuits se répand, 50% des sondés se disent prêts à payer. Mais ceux-ci ne seraient disposés qu’à débourser 27 euros par an en moyenne (en plus du coût du fournisseur d’accès internet) pour bénéficier d’un internet sans publicité.  Seuls 13% sont prêts à payer le « juste prix » qui permettrait de compenser le manque à gagner des sites qui se priveraient de revenus publicitaires. « Vierge de toute publicité, Internet coûterait 65 euros par an en plus du prix exigé par le fournisseur d’accès », explique le groupe Mozoo, qui a obtenu ce chiffre en divisant le montant total des investissements publicitaires en ligne (2,791 milliards d’euros en 2013) par le nombre d’internautes en France (43,2 millions). Par ailleurs, pour 70% des personnes incommodées par la publicité en ligne, c’est sur les écrans d’ordinateur qu’elle est la plus gênante. Viennent ensuite la publicité sur Smartphones (20%) et celle sur tablettes (7%).  Mais ces chiffres s’expliquent aussi par un plus faible équipement des Français en Smartphones et tablettes : en 2013, quand 83% des 12 ans et plus possédaient un ordinateur, seuls 39% détenaient un Smartphone et 17% une tablette, selon une étude du Crédoc.

 

Pas de retour de la croissance avant 10 ans

Pas de retour de la croissance avant 10 ans

C’est le verdict d’un français sur deux selon un sondage Harris Interactive publié aujourdhui. Des Français qui jugent en très large majorité  que les mesures prises par e gouvernement sont inefficaces. Pour le long terme,  46% à seulement escriment  que la croissance sera bel et bien au rendez-vous d’ici 10 ans. Les moins de 30 ans interrogés sont plus optimistes avec 57% de « oui ».  Seuls 42% des Français interrogés jugent que la France restera l’une des principales puissances économiques mondiales, contre 55% qui estiment que ce ne sera pas le cas. Là encore, les moins de 30 ans sont 50% à estimer la France capable de conserver son rang.   »La grande majorité des répondants ne revendique aucune certitude mais se reporte plutôt sur les réponses ‘probablement’ ou ‘probablement pas’, signe que les perspectives d’avenir apparaissent particulièrement incertaines aux yeux des personnes interrogées », interprète l’institut Harris Interactive. Une majorité de Français se montre par ailleurs critique envers les mesures prises depuis 2012 par le gouvernement pour redresser la croissance. Hormis le développement des contrats d’apprentissage dans les PME, jugé efficace par 53% des personnes interrogées, les autres mesures apparaissent peu utiles.  La réduction d’impôts pour les entreprises via le Crédit d’impôt compétitivité emploi (Cice) est ainsi jugée inefficace par 59% des sondés (37% la trouvent efficace), la diminution du nombre de régions l’est à 61% (contre 35%), la création d’emplois d’avenir à 61% (contre 35%) ou encore la hausse d’impôts pour une partie des ménages (83% la jugent inefficace contre 13%).  Les Français sont par ailleurs majoritaires à penser que leur pays dispose de nombreux atouts mais qu’il ne les exploite pas suffisamment. Ainsi 72% pensent que les entreprises sont un « atout insuffisamment exploité », de même que la diversité du territoire (63%), la culture (55%), les infrastructures (55%) ou encore le système éducatif (54%).   »Les Français identifient de nombreux ‘manques à gagner’ dans le fonctionnement du pays aujourd’hui (…). La situation nationale ne fait pas l’objet d’une vision fataliste: les Français expriment plutôt une frustration de voir la France ‘gâcher’ les atouts dont elle dispose », analyse l’institut, qui précise que les moins de 30 ans partagent aussi ce jugement.

 




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