Archive pour le Tag 'armes'

Page 2 sur 2

Ventes d’armes : un sénateur en examen pour corruption

Ventes d’armes : un sénateur en examen pour corruption

 

Encore uen affaire qui se rapproche de Sarkozy. Celle d’uen vente d’armes pour laquelle  le sénateur (UDI) du Gers Aymeri de Montesquiou a été mis en examen jeudi 8 juillet par deux juges du pôle financier parisien pour « corruption passive par personne exerçant une fonction publique » et « complicité de blanchiment en bande organisée » dans l’affaire du Kazakhgate. Le parlementaire est soupçonné d’avoir perçu des commissions occultes en marge de marchés passés en 2010 avec le Kazakhstan par le gouvernement Fillon, sous la présidence de Nicolas Sarkozy. Au mois de mars, le bureau du Sénat avait levé l’immunité du sénateur, dont les bureaux et le domicile avaient ensuite été perquisitionnés. Les juges Roger Le Loire et René Grouman enquêtent sur les dessous de juteux contrats signés sous la présidence de M. Sarkozy, dont M. de Montesquiou était le représentant officiel en Asie centrale, un marché approchant un montant total de 2 milliards d’euros. Il s’agissait notamment de l’achat par Astana de 45 hélicoptères fabriqués par Eurocopter (devenu Airbus Helicopters) et 295 locomotives. M. de Montesquiou a notamment été mis en cause par des rapports de Tracfin, l’organisme anti-blanchiment de Bercy, et par les déclarations d’une avocate niçoise, Me Catherine Degoul, choisie comme intermédiaire par l’Elysée pour permettre à des hommes d’affaires kazakhs d’échapper aux poursuites de la justice belge, condition posée par le président kazakh, Noursoultan Nazarbaiev, pour signer des contrats avec la France.

Fifa : la coupe du monde de 2006 en Allemagne grâce au commerce des armes

Fifa : la coupe du monde de 2006 en Allemagne grâce au commerce des armes

 

 

L’Allemagne aurait empoché l’organisation de la Coupe du monde 2006 grâce à plusieurs livraisons d’armes à l’Arabie Saoudite.  Ce nouvel épisode a été révélé par l’hebdomadaire allemand Die Zeit, qui affirme que des entreprises allemandes auraient réalisé une série d’investissements en Asie visant à obtenir le soutien des responsables de la Fifa dans la région. Des ventes en Thaïlande et en Corée du Sud par Bayer et Volkswagen sont notamment évoquées. Daimler aurait également injecté de l’argent dans Hyundai, le fils du fondateur de cette dernière entreprise siégeant actuellement au conseil d’administration de la Fifa… Le journal allemand affirme dans le même temps que le gouvernement de Gerhard Schröder a fourni des lance-roquettes à l’Arabie Saoudite pour s’assurer de son vote. Pour rappel, l’Allemagne a remporté l’organisation du Mondial 2006 à 12 votes contre 11 face à l’Afrique du Sud. Les soupçons de corruption pèsent depuis de nombreuses années sur ce scrutin.

Kobané : des armes larguées pour les kurdes assiégés

Kobané : des armes larguées pour les kurdes assiégés

Puisque les turcs refusent non seulement d’intervenir amis aussi interdisent le franchissement de la frontière, des armes ont été larguées par les Etats-Unis au profit des kurdes assiégés. Des assiégés héroïques dont la résistance acharnée surprend bien aidée cependant maintenant par les nombreuses frappes américaines. Les défenseurs kurdes de Kobané ont reçu une « quantité importante » d’armes et de munitions parachutées dimanche soir par un avion de l’armée américaine près de la ville syrienne assiégée par les djihadistes de l’Etat islamique (EI), a annoncé un porte-parole des forces kurdes. Le Commandement central (CentCom) américain avait indiqué un peu plus tôt qu’un avion cargo C-130 de l’US Air Force avait largué « des armes, des munitions et du matériel médical fournis par les autorités kurdes irakiennes pour soutenir la résistance » des Kurdes contre l’EI. C’est la première fois que les Etats-Unis, qui ont multiplié ces derniers jours les raids aériens contre les djihadistes, disent avoir fourni aux combattants kurdes une aide militaire que la Turquie n’a pas voulu laisser transiter par sa frontière. Le CentCom indique que 135 frappes aériennes ont visé ces derniers jours les positions de l’EI dans la région de Kobané, théâtre de violents combats ce week-end.

Irak : des armes françaises pour le Kurdistan

Irak : des armes françaises pour le Kurdistan

Après bien des hésitations, la France a décidé de fournir des armes au Kurdistan pour lutter contre  la progression des djihadistes. En fait on aurait bien voulu que l’Europe s’engage mais une nouvelle fois l’Europe s’est montrée incapable de décider quoi que ce soit laissant à chaque Etat le choix de sa politique. La France va  donc livrer dans les prochaines heures des armes aux Kurdes d’Irak pour soutenir leur lutte contre les djihadistes de l’Etat islamique, a annoncé mercredi la présidence française.  Paris, qui n’a pas effectué à ce jour de frappes aériennes contre les positions de l’Etat islamique, contrairement aux Etats-Unis, souligne avoir agi dans l’urgence. « Afin de répondre aux besoins urgents exprimés par les autorités régionales du Kurdistan, le chef de l’Etat a décidé, en accord avec Bagdad, de faire acheminer des armes dans les heures qui viennent », peut-on lire dans un communiqué.   »La France a déjà pris les dispositions nécessaires depuis plusieurs jours pour soutenir la capacité opérationnelle des forces engagées contre l’Etat islamique », ajoutent les services de François Hollande qui évoquent « la situation catastrophique à laquelle doit faire face la population dans la région du Kurdistan irakien ».  L’Elysée indique en outre que le chef de l’Etat s’est entretenu directement avec Massoud Barzani, président du Kurdistan irakien autonome. « Il l’a informé que la France, en concertation avec les autorités de Bagdad, avait pris toutes les dispositions pour acheminer au plus vite les armes demandées. Il lui a également indiqué que les livraisons humanitaires se poursuivraient dans les prochains jours.   »Le Président Barzani a chaleureusement remercié, au nom du peuple kurde, le Président de la République du soutien constant de la France et de son action de mobilisation de la communauté internationale, en particulier de l’Union européenne », ajoute son service de presse. A l’Elysée on refuse de préciser le type d’armes et leur quantité, et on se contente de dire qu’il s’agit « d’apporter une aide matérielle qui permette aux forces engagées, aux peshmerga en particulier, de combattre les islamistes. C’est une aide aux combattants sur le terrain ». « Cela répond exactement aux besoins urgents des Kurdes. Ce sont des armes sophistiquées et ce sera fait dans les toutes prochaines heures », a souligné le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, sur TF1. Il s’est refusé lui aussi à préciser la nature et la quantité d’armes fournies « parce qu’on ne livre pas le plan de la bataille de ses amis à leurs adversaires ».  

 

Irak : livraison d’armes par la France ?

Irak : livraison d’armes par la France ?

 

La position officielle de la France est très floue vis-à-vis d’une éventuelle livraison d’armes à l’Irak pour combattre les djihadistes ; Fabius  officiellement s’en tient pour l’instant à une aide humanitaire mais  la classe politique française s’est globalement prononcée lundi pour une livraison d’armes aux forces kurdes irakiennes qui font face aux combattants de l’Etat islamique (EI), équipés en armes lourdes, tout en appelant à la prudence pour éviter qu’elles ne tombent entre les mains des djihadistes radicaux.  En visite en Irak, le chef de la diplomatie française Laurent Fabius a évoqué dimanche la possibilité d’une fourniture d’armes aux combattants kurdes, les Peshmerga, précisant qu’une décision en ce sens pourrait être prise dans les jours qui viennent en liaison avec ses partenaires européens.  A l’heure où la mobilisation de la communauté internationale commence à prendre forme, les observateurs émettent des doutes sur la capacité de la France, déjà engagée sur d’autres fronts en Afrique, à jouer un rôle de premier plan en Irak, zone d’influence des Etats-Unis qui multiplient depuis plusieurs jours les frappes aériennes sur des positions de l’EI.  A l’image de ses partenaires européens, le soutien de la France pourrait donc se traduire par une aide humanitaire -Paris a acheminé sa première livraison dimanche- et un appui militaire limité via une livraison d’armes sans pour autant intervenir directement en Irak.   »Quand on n’intervient pas directement, on a besoin de troupes au sol qui viennent appuyer une action par exemple aéroportée et ça suppose de livrer des armes », a déclaré le porte-parole du Parti socialiste Olivier Faure, sur RTL.   »En même temps, on sait que ces livraisons posent parfois des difficultés quand elles tombent dans de mauvaises mains, on l’a vu en Libye », a-t-il ajouté.  En 2011, lors de l’opération internationale lancée par la France et la Grande-Bretagne contre les forces libyennes de Mouammar Kadhafi, des armes avaient été fournies aux rebelles. Certaines de ces armes avaient par la suite été récupérées par les djihadistes et réutilisées, pour certaines, au Mali, où les forces françaises ont intervenues début 2013 pour contrer l’avancée de groupes islamistes armés.

Afrique : l’ Allemagne vend des armes l’Egypte et la France joue au gendarme

Afrique : l’ Allemagne vend des armes  l’Egypte et la France joue au gendarme

 

Pendant que la France joue au gendarme de l’Afrique, l’Allemagne vend des armes. L’Allemagne qui a envoyé Hollande dans les roses quand il s’est agi du soutien militaire en Afrique (Centrafrique ‘notamment). Berlin s’apprêterait à signer très prochainement avec l’Egypte un nouveau contrat portant sur la vente de deux sous-marins supplémentaires U-209 fabriqués par le groupe naval ThyssenKrupp Marine Systems (TKMS), selon nos informations. Et ce en dépit des polémiques qui accompagnent certaines ventes à l’exportation en direction de pays pouvant mettre en danger la sécurité d’Israël. Il s’agirait d’une option sur deux nouveaux bâtiments, qui serait exercé par Le Caire dans le cadre du contrat de gré à gré signé à l’été 2011 pour un montant de 920 millions d’euros. Puis un acompte avait été versé quelques mois plus tard en décembre. Le premier sous-marin armé de missiles mer-mer Harpoon Block II de Boeing, serait livré en 2016. Mais cette vente si elle se concrétise pourrait même être remise en question par les dernières déclarations du ministre allemand de l’Economie, Sigmar Gabriel, dans le magazine allemand Stern où il a notamment déclaré la semaine dernière que l’Allemagne allait renforcer le contrôle des exportations d’armes. « Je suis d’accord avec Helmut Schmidt : c’est une honte que l’Allemagne soit parmi les plus importants exportateurs d’armes du monde, a expliqué le patron du SPD. En particulier, les armes légères deviennent simplement les armes de la guerre civile. Alors les choses doivent changer. C’est pourquoi, je suis en faveur d’une politique restrictive en ce qui concerne les exportations d’armes ». Accompagné d’une délégation d’hommes d’affaires, le ministre égyptien du Commerce et de l’Industrie, Mounir Fakhri Abdel-Nour, entame ce lundi une visite de trois jours en France pour une campagne de charme en direction des groupes français. Il sera reçu à Bercy et au MEDEF notamment. Outre la France, la délégation égyptienne doit se rendre à Berlin, Londres, Washington et Moscou. Si DCNS était hors jeu d’une possible vente de sous-marins en Egypte (pas d’autorisation accordée), le groupe naval est toutefois actuellement en compétition pour placer quatre corvettes armées (missiles VL Mica, Sinbad et Exocet de MBDA) au Caire. Une compétition qui est très compliquée face à l’allemand TKMS, appuyé par l’homme d’affaires Iskandar Safa, via la holding Privinvest, et le néerlandais Damen.

 

Corruption pour ventes d’armes en Inde : une grande découverte !

Corruption pour ventes d’armes en Inde : une grande découverte !

 

Une affaire de corruption découverte en Italie avec Finmeccanica  a suscité l’émotion et indignation ; belle hypocrisie car sans corruption, il serait pratiquement impossible de signer des contrats d’armements tellement la concurrence est rude.  Giuseppe Orsi, patron de Finmeccanica arrêté mardi pour corruption internationale dans une affaire de pots-de-vins présumés au gouvernement indien, a renoncé à sa double casquette de président et d’administrateur (il avait été remplacé en urgence mercredi soir au poste d’administrateur délégué par Alessandro Pansa), a annoncé son avocat vendredi.   »Je remets par la présente ma démission des charges d’administrateur et de président de Finmeccanica, tout en revendiquant et en réitérant la cohérence de mon action depuis toujours inspirée par l’intérêt exclusif de Finmeccanica et de ses filiales, et également afin de contribuer à apaiser le climat qui s’est créé » autour du groupe, selon la lettre citée par l’agence Ansa.  Un porte-parole de Finmeccanica a confirmé à l’AFP la démission de M. Orsi.  Selon son avocat, Ennio Amodio, le texte a été présenté au juge en charge de l’enquête qui l’a entendu vendredi matin au tribunal de Busto Arsizio, près de Milan. « Je n’ai jamais eu connaissance de manoeuvres illégales », a-t-il en outre déclaré devant le juge, a rapporté Ansa.  Giuseppe Orsi était visé depuis avril 2012 par une enquête portant sur la livraison en 2010, pour 748 millions de dollars, de 12 hélicoptères au gouvernement indien par une filiale du groupe, AgustaWestland.  La transaction aurait donné lieu en coulisses au versement, via des intermédiaires, de pots-de-vin à des officiels indiens, selon le mandat d’arrêt du tribunal, cité par les médias italiens.  L’Inde de son côté, où l’affaire a contraint le gouvernement à publier jeudi un communiqué en 35 points pour se défendre, a annoncé vendredi qu’elle avait lancé la procédure d’annulation du contrat.  Le ministère de la Défense a « entamé des mesures pour annuler le contrat d’acquisition de 12 hélicoptères AW101 (AgustaWestland) », a-t-il annoncé dans un communiqué. Selon les termes du contrat, la totalité des hélicoptères doit être livrée d’ici 2014 et l’Inde en a déjà reçu trois.  L’Inde a également demandé à l’entreprise italienne de dire « d’ici sept jours » si des termes du contrat et le « pacte d’intégrité » signé en 2010 ont été violés.  Le gouvernement indien avait déjà prévenu mercredi qu’il annulerait le contrat si les accusations de corruption contre le patron de Finmeccanica étaient avérées et a annoncé jeudi qu’il suspendait ses paiements au groupe italien.  Ces annonces ont coïncidé avec une visite à New Delhi du président français François Hollande, qui espère convaincre l’Inde, premier acheteur d’armes au monde, d’acquérir des avions Rafale.  En Italie, le président du conseil Mario Monti s’est vu accuser d’attentisme dans l’affaire Finmeccanica, devenue un poids embarrassant à moins de dix jours des élections législatives auxquelles son mouvement est candidat. L’Etat italien est le principal actionnaire de Finmeccanica avec 30,2% de son capital.

 

 

Nouveau :- site chansons-poèmes de  g.bessay:

12



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol