Archive pour le Tag 'arbitrer'

Projet de budget 2025 : Qui va arbitrer ?

Projet de budget 2025 : Qui va arbitrer ?

Officiellement, il n’y a plus de gouvernement sauf pour la gestion des affaires courantes. Du coup, la préparation du budget 2025 se trouve perturbée en effet des arbitrages politiques devraient avoir lieu avant le 15 août. Or cette date ne sera pas respecté faute de gouvernement. En attendant, Bercy  l’administration compétente, a adressé aux ministères  ses lettres de cadrage. Reste cependant une hypothèque de taille. En effet Bercy se place dans l’hypothèse d’une réduction des déficits alors que le nouveau front de gauche prévoit l’équivalent en dépenses supplémentaires. Une différence de taille. Mais finalement après des joutes sans doute très spectaculaire à l’Assemblée nationale le budget 2025 risque d’être adopté dans le cadre de l’article 49–3 donc sans vote est la vraie question est de savoir si une motion de censure sera ou non déposée après l’adoption du budget

Bruno Lemaire se targue de 15 milliards d’économies très hypothétiques. Dix milliards annoncés début 2024 auraient déjà été actés dans les dépenses de l’État et la hausse de la taxe intérieure sur la consommation finale d’électricité doit permettre de récupérer 5 milliards d’euros. Restent encore à trouver 10 milliards d’euros d’économies hypothétiques : 5 milliards vont donc être demandés aux ministères, deux milliards aux collectivités locales et trois milliards devraient être dégagés par une taxation des rentes plus efficace sur les énergéticiens, a rappelé le ministre en juillet.

En effet, le pays a dépassé l’an dernier la limite de déficit public fixée à 3% du produit intérieur brut (PIB) par le Pacte de stabilité, qui limite aussi la dette à 60% du PIB. Le déficit français a ainsi dérapé à 5,5% en 2023. Il doit aussi réduire sa dette qui s’est creusée à presque 3.160 milliards d’euros à fin mars, soit près de 111% du PIB.

 

La France, dont la dette atteint 110% du PIB, a été la plupart du temps en procédure de déficit excessif depuis la création de l’euro au tournant des années 2000. Elle en était toutefois sortie en 2017.

Budget 2025 : Qui va arbitrer ?

Budget 2025 : Qui va arbitrer ?

Officiellement, il n’y a plus de gouvernement sauf pour la gestion des affaires courantes. Du coup, la préparation du budget 2025 se trouve perturbée en effet des arbitrages politiques devraient avoir lieu avant le 15 août. Or cette date ne sera pas respecté faute de gouvernement. En attendant, Bercy  l’administration compétente, a adressé aux ministères  ses lettres de cadrage. Reste cependant une hypothèque de taille. En effet Bercy se place dans l’hypothèse d’une réduction des déficits alors que le nouveau front de gauche prévoit l’équivalent en dépenses supplémentaires. Une différence de taille. Mais finalement après des joutes sans doute très spectaculaire à l’Assemblée nationale le budget 2025 risque d’être adopté dans le cadre de l’article 49–3 donc sans vote est la vraie question est de savoir si une motion de censure sera ou non déposée après l’adoption du budget

Bruno Lemaire se targue de 15 milliards d’économies très hypothétiques. Dix milliards annoncés début 2024 auraient déjà été actés dans les dépenses de l’État et la hausse de la taxe intérieure sur la consommation finale d’électricité doit permettre de récupérer 5 milliards d’euros. Restent encore à trouver 10 milliards d’euros d’économies hypothétiques : 5 milliards vont donc être demandés aux ministères, deux milliards aux collectivités locales et trois milliards devraient être dégagés par une taxation des rentes plus efficace sur les énergéticiens, a rappelé le ministre en juillet.

En effet, le pays a dépassé l’an dernier la limite de déficit public fixée à 3% du produit intérieur brut (PIB) par le Pacte de stabilité, qui limite aussi la dette à 60% du PIB. Le déficit français a ainsi dérapé à 5,5% en 2023. Il doit aussi réduire sa dette qui s’est creusée à presque 3.160 milliards d’euros à fin mars, soit près de 111% du PIB.

 

La France, dont la dette atteint 110% du PIB, a été la plupart du temps en procédure de déficit excessif depuis la création de l’euro au tournant des années 2000. Elle en était toutefois sortie en 2017.

Assemblée nationale : les Républicains et Édouard Philippe pour arbitrer

Assemblée nationale : les Républicains et Édouard Philippe pour arbitrer

 

Il est vraisemblable que la gauche radicale n’obtiendra pas la majorité ne pourra donc imposer à Macron un Premier ministre. Inversement Macron risque de ne pas détenir la majorité absolue. Du ce fait,  il pourrait être dépendant paradoxalement du groupe un peu ratatiné des Républicains mais aussi du groupe un peu rebelle d’Édouard Philippe. Autant dire que la politique risque de penser encore un peu plus à droite

La coalition Ensemble qui rassemble LREM, le Modem, le parti Horizons de l’ancien Premier ministre Edouard Philippe et le petit parti Agir obtiendrait en effet entre 255 et 295 sièges à l’issue du second tour, contre 359 en 2017. Ce n’est pas une défaite, la majorité absolue ou même relative reste possible, mais en nombre total des voix, la Nupes et Ensemble sont au coude à coude avec 26% des exprimés, ce qui en soit sonne comme un désaveu pour le président sortant, réélu en partie grâce aux voix de Jean-Luc Mélenchon le 24 avril dernier.

La  droite républicaine, pourrait  jouer un rôle majeur dans la future assemblée. Avec 11,4% des voix, Les Républicains font un peu mieux qu’à la Présidentielle avec Valérie Pécresse mais n’obtiendraient que 50 à 80 sièges de députés contre 131 en 2017. De la même manière mais au sein de la majorité parti Horizons d’Édouard Philippe, avec 21 à 26 députés, qui assurerait à Ensemble la majorité.




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