Archive pour le Tag 'Après les'

Société-Hommage aux professeurs tués: les élèves perturbateurs ne feront pas leur rentrée après les vacances

Société-Hommage aux professeurs tués: les élèves perturbateurs ne feront pas leur rentrée après les vacances


Enfin un ministre qui met un peu en cohérence ses propos et son action avec la décision de sanctionner les élèves perturbateurs de la minute de silence en hommage des deux professeurs tués. Certains sont des soutiens du Hamas et d’autres sont simplement des imbéciles. Ils seront jugés dans les conseils de discipline et éventuellement écartés de l’école classique. Dans un sondage 80 % des Français approuvent la mesure

Invité sur BFMTV ce dimanche, le ministre de l’Éducation a promis une grande fermeté pour «sortir» les élèves radicalisés des établissements scolaires.

Gabriel Attal , le ministre de l’Éducation nationale a affirmé que «183 élèves ne feront pas leur rentrée après la Toussaint». Ces élèves, exclus après signalement en marge de la minute de silence après l’attentat d’Arras survenu le 13 octobre, ne reviendront pas tant qu’un «conseil de discipline» n’aura statué sur leur sort.

Les 183 élèves ont, selon Gabriel Attal, «perturbé ou contesté» l’hommage rendu aux deux professeurs victimes du terrorisme islamiste, Dominique Bernard et Samuel Paty, qui s’est déroulé dans tous les établissements de France lundi 16 octobre. Selon le ministre de l’Éducation nationale, plus de «500 perturbations et contestations» ont été recensées ce jour-là dans l’Hexagone.

Au lendemain de la minute de silence, le ministre avait assuré que cette minute de silence s’était déroulée « dans la plus profonde dignité et le plus grand respect dans l’écrasante majorité des cas», mais avait également évoqué 179 incidents. ce premier bilan était remonté ensuite à 357 «perturbations et contestations».

Problèmes de recrutement : Après les 30 glorieuses, les 30 paresseuses !

Problèmes  de recrutement : Après les 30 glorieuses, les 30 paresseuses !

Il est loin le temps des 30 glorieuses caractérisées schématiquement par un taux de croissance assez exceptionnel de l’ordre de 5 % en France. Avec un taux de chômage quasi inexistant inférieur à 2 % et surtout ce dynamisme et cet optimisme de la population active décidée à accéder au progrès tout autant qu’à le produire.

 Pour tout dire ce qui sépare les deux périodes, c’est surtout en dehors des chiffres macro économiques : la perte de la valeur travail. De ce point de vue,  on peut considérer qu’ aux  30 glorieuses des années 45 à 75 succède la période des 30 paresseuses des années 80 à 2010-2020.

A partir des années 80 et jusqu’à maintenant, les pouvoirs public n’ont cessé de construire une immense cathédrale sociale qui finalement s’applique sans distinction à ceux qui en ont besoin et à ceux qui en profitent indûment. Pourquoi dès lors travailler s’il est possible de vivre aussi bien et même mieux en choisissant d’être chômeur. Bien entendu le raisonnement ne s’applique pas à l’ensemble des personnes en recherche d’emploi mais un nombre suffisant pour qu’on considère que la France est engluée dans une crise de recrutement.

Très grossièrement , on constate qu’il y a encore malheureusement 3 millions de chômeurs mais que 3 millions d’emplois restent vacants. On ne peut évidemment combler le manque global de manière mécanique. Se pose aussi des problèmes de formation, de compétences mais aussi de motivation. Et dans la plupart des cas et dans toutes les catégories sociaux professionnelles, la France est contrainte de recourir à la main-d’œuvre étrangère ( du médecin au cueilleur de pommes).

Les valeurs du travail se sont progressivement étiolées et la responsabilité en incombe aux familles, à l’école, aux politiques, à la société tout entière. Le travail a en effet une triple fonction. Certes il permet d’obtenir une rémunération qui finance les conditions de vie. Mais c’est aussi une nécessité pour une insertion sociale harmonieuse de la population. C’est enfin le moyen d’assurer des richesses au pays qui peuvent alors être redistribuées. Bref le travail est aussi une valeur citoyenne.

Or par démagogie,  on n’a cessé de porter atteinte à cette valeur et l’un des derniers coups a été la mise en place brutale des 35 heures qui a contribué à tuer un peu plus la compétitivité en France et surtout à favorisé la culture RTT puis la distance voire  l’indifférence et même le rejet du travail.

La principale faiblesse économique de la France c’est précisément ce manque de travail de la population active ( sur la journée, le mois, l’année et toute la vie). Pendant les 30 glorieuses beaucoup travaillaient le double de temps de ceux  d’aujourdhui.

Le problème évidemment c’est que des pays en développement notamment devenus concurrents ne peuvent se payer cette faiblesse des pays développés comme la France où la question devient dramatique d’un point de vue économique et sociétal..

Forte reprise de l’épidémie après les fêtes ? (Conseil scientifique)

Forte reprise de l’épidémie après les fêtes ? (Conseil scientifique)

 

Le conseil scientifique estime qu’il faut s’attendre à une reprise incontrôlée de la pandémie sitôt après les fêtes. “Si les mesures de santé publique restrictives prises depuis octobre 2020 (couvre-feu, confinement partiel…) ont eu pour effet de diminuer considérablement la circulation du virus SARSCoV-2, on ne constate plus d’amélioration de la situation épidémiologique depuis début décembre et on constate même une légère dégradation”, constate le Conseil scientifique.

“Dans ce contexte, et alors que depuis le 15 décembre le dispositif de santé publique a été allégé avec un couvre-feu de 20h à 6h du matin, il est possible qu’un surcroît de contaminations intervienne en fin d’année, notamment à l’occasion des fêtes, propices à des rassemblements familiaux et amicaux”, dit le groupe présidé par Jean-François Delfraissy.

Cette hausse des contaminations pourrait entraîner une “reprise incontrôlée” de l’épidémie et une forte augmentation des hospitalisations, des placements en réanimation et des décès.

Devant ce risque, le Conseil scientifique propose trois solutions : un “renforcement préventif” rapide, strict et possiblement de courte durée, des mesures pour limiter les contaminations pendant la deuxième semaine des congés de fin d’année dès le 28 décembre, une réponse différée et adaptée au surcroît de contaminations intervenues en fin d’année (limitation d’activités sociales ou économiques pouvant favoriser des contaminations) et une réponse plus tardive visant à limiter les effets d’une reprise de l’épidémie.

Cette dernière piste, prévient-il, “présente le risque d’intervenir trop tardivement et de conduire ensuite à des mesures plus sévères, plus longues et/ou restrictives que celles entrant en vigueur plus tôt”.

Réforme pénale Taubira : après les municipales !

Réforme pénale Taubira : après  les municipales !

 

 

La réforme pénale de Taubira semble créer des interrogations puisqu’il n’est plus envisagé de la voter avant les municipales. Il est vrai que le thème de l’insécurité (avec l’emploi) sera central et qu’il faut mieux enterrer pour l’instant cette réforme considérée pourtant comme phare. En effet les mauvais résultats prévisibles au municipales pourrait bien altérer certaines dispositions critiquées notamment par Valls. Le ministre des Relations avec le Parlement, Alain Vidalies, a écarté hier la possibilité d’un examen au Parlement de la réforme pénale avant les municipales de mars, arguant de raisons de calendrier. Il a expliqué que, comme il n’y aurait « pas de procédure accélérée », « il serait difficile de l’examiner avant l’interruption des travaux du Parlement, fin février, pour cause de campagne électorale ». Manuel Valls avait assuré que le texte serait examiné après le scrutin, tandis que Christiane Taubira avait souhaité que le passage au Parlement s’effectue « dès que possible ».

 

Après les pigeons, les poussins…Les Plumés, de l’Urssaf

Après les pigeons, les poussins…Les Plumés, de l’Urssaf

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Six contrôles successifs en un an et demi. Jean-Marie Boucher a cru ne pas sortir du tunnel. Le patron de ConsoGlobe, une société basée à Roubaix, s’est fait inspecter par l’Urssaf : il a dû justifier son crédit d’impôt recherche, prouver que ses stagiaires sont bien conventionnés… Et autour de lui, les autres entreprises de la pépinière avaient le même témoignage. Le patron a donc décidé de répliquer : avec les Plumés, le mouvement qu’il a fondé, il dénonce l’omniprésence de ces agents de contrôle qui « trouvent toujours un motif d’amende ». Ces dernières peuvent monter jusqu’à plusieurs dizaines de milliers d’euros. Elles forcent à la réduction de budget ou pire, au licenciement. Le mouvement des Plumés vient s’ajouter à la galaxie déjà bien fournie des contestataires que sont les Pigeons, les Poussins ou les Tondus. Jean-Marie Boucher tient à singularité de son mouvement qui proteste contre les contrôles, mais il le sait : il fait partie d’un courant plus global. Jean-Marie Boucher le voit depuis son bureau de Roubaix : d’autres ont également pris des initiatives à La Rochelle, près de Nantes ou à Paris.

 

 

Après les « pigeons », les « moineaux » ; à quand le mouvement des « dindons » ?

Après les « pigeons », les « moineaux » ; à quand le mouvement  des « dindons » ?

D’après une information du « Point, » un mouvement des « moineaux » succède à celui des pigeons. Les Pigeons ont disparu du paysage. Après le léger recul du gouvernement sur la taxation des plus-values de cession d’entreprise, ils ont décidé de rentrer au nid, las de se battre contre les moulins à vent. Mais ils ont tout de même eu le temps de faire des petits : les Moineaux. Fondé mi-octobre par trois jeunes créateurs d’entreprise, le mouvement, qui revendique l’implication de 300 personnes, ambitionne de prendre le relais de la fronde entrepreneuriale. Ils listent leurs revendications dans un communiqué envoyé aux rédactions.  Non sans dresser, au passage, le droit d’inventaire de l’action menée par leurs aînés, réduits à un mouvement d’investisseurs, et non de véritables chefs d’entreprise. Ils regrettent notamment qu’ils aient focalisé le débat sur la seule fiscalité des plus-values de cession d’entreprise. Malgré la remise du rapport Gallois sur la compétitivité, ils entendent donc bien faire entendre leurs propositions pour développer les start-up et les PME. On peut se demander si ne naîtra pas bientôt le mouvement des « dindons » ; finalemenet celui de ceux nombreux qui vont être victimes de la politique approximative du gouvernement ; laquelle  qva se traduire par la récession, le chômage, la misère même  si évidemment  on ne peut nier les conséquences de la crise mondiale. Pour autant, ce gouvernement ne semble pas comprendre la nature de la crise et sa politique est plus qu’approximative, hésitante, contradictoire et contre productive. Un jour, il décide de ponctionner les entreprises (20 milliards d’impôts nouveaux dont 10 pour les entreprises, 10 pour les ménages dans le budget 2013), un autre jour, il décide d’alléger de 20 milliards les prélèvements sur ces mêmes entreprises à partir de 2014 (plan compétitivité). Au total ces allégements compétitivité compenseront à peine les augmentations de 2011 et 2012. Pour 2013, la croissance sera nulle, il faudra compter avec 400 à 500 000 chômeurs supplémentaires. Les comptes sociaux explosant, de nouveaux impôts seront décidés (la CSG par exemple ou la TVA). Les dindons seront la plupart des français. Ce gouvernement composé essentiellement de fonctionnaires et de politiciens professionnels manque de tout, de courage, de compétence et de cohérence. Exemple « faire payer les riches, » un beau slogan mais les riches ne paieront pas, comme d’habitude. Grâce à l’exil fiscal et/ou à l’armée de fiscalistes qui les entourent pour échapper à l’impôt  (les PTE et PME, elles, payent).  Exemple Total n’a payé aucun impôt sur les bénéfices en 2009 et 2010 ; poussé par e gouvernement il a quand même payé 300 millions en 2011 pour un bénéfice de 12 milliards. La méthode est bien connue, la surfacturation par des filiales étrangères afin d’externaliser les profits et d’internaliser (en France) les pertes). Les dindons ce sont aussi ceux à qui on a supprimé la défiscalisation des heures supplémentaires supplémentaire (4 millions concernés et pas vraiment des riches), entre 150 et 200 euros par mois. Les dindons sont ceux qui voient fiscalité locale exploser (en moyenne 1000 euros pour la taxe d’habitation et 1000 euros pour la taxe foncière).Dindons aussi les retraités, « avantagés » donc ponctionnés aussi alors que la moyenne des retraites set de l’ordre de 1200 euros (et que souvent les femmes de ces retraités ne touchent rien).  Les dindons ce sont enfin les victimes de la pauvreté, foule anonyme, silencieuse, désemparée, Une honte dans un pays comme le notre. Ce pays ne peut plus être dirigé par des fonctionnaires et des politiciens professionnels. Les dindons ce sont enfin ceux qui ont cru que le pacte budgétaire européen serait renégocie. Or il a été adopté ( en douce au parlement, surtout pas de referendum sur les enjeux stratégiques) en l’état avec juste un petit plan de croissance qui en fait était déjà prévu. Du grand guignol, de l’amateurisme et du reniement. On nous jugera  dans 5 ans, aux résultats !  Slogan de partisans. Dans 5 ans, on risque d’enregistre 2 millions de chômeurs en plus, avec une situation proche de la Grèce. Oui, les dindons auraient besoin de se réveiller et de faire entendre leurs voix , pour le redressement économique, social et même sociétal. On ne pourra attendre 5 ans.

Après les « pigeons », les « moineaux » ; à quand le mouvement des « dindons » ?

Après les « pigeons », les « moineaux » ; à quand le mouvement  des « dindons » ?

D’après une information du « Point, » un mouvement des « moineaux » succède à celui des pigeons. Les Pigeons ont disparu du paysage. Après le léger recul du gouvernement sur la taxation des plus-values de cession d’entreprise, ils ont décidé de rentrer au nid, las de se battre contre les moulins à vent. Mais ils ont tout de même eu le temps de faire des petits : les Moineaux. Fondé mi-octobre par trois jeunes créateurs d’entreprise, le mouvement, qui revendique l’implication de 300 personnes, ambitionne de prendre le relais de la fronde entrepreneuriale. Ils listent leurs revendications dans un communiqué envoyé aux rédactions.  Non sans dresser, au passage, le droit d’inventaire de l’action menée par leurs aînés, réduits à un mouvement d’investisseurs, et non de véritables chefs d’entreprise. Ils regrettent notamment qu’ils aient focalisé le débat sur la seule fiscalité des plus-values de cession d’entreprise. Malgré la remise du rapport Gallois sur la compétitivité, ils entendent donc bien faire entendre leurs propositions pour développer les start-up et les PME. On peut se demander si ne naîtra pas bientôt le mouvement des « dindons » ; finalemenet celui de ceux nombreux qui vont être victimes de la politique approximative du gouvernement ; laquelle  qva se traduire par la récession, le chômage, la misère même  si évidemment  on ne peut nier les conséquences de la crise mondiale. Pour autant, ce gouvernement ne semble pas comprendre la nature de la crise et sa politique est plus qu’approximative, hésitante, contradictoire et contre productive. Un jour, il décide de ponctionner les entreprises (20 milliards d’impôts nouveaux dont 10 pour les entreprises, 10 pour les ménages dans le budget 2013), un autre jour, il décide d’alléger de 20 milliards les prélèvements sur ces mêmes entreprises à partir de 2014 (plan compétitivité). Au total ces allégements compétitivité compenseront à peine les augmentations de 2011 et 2012. Pour 2013, la croissance sera nulle, il faudra compter avec 400 à 500 000 chômeurs supplémentaires. Les comptes sociaux explosant, de nouveaux impôts seront décidés (la CSG par exemple ou la TVA). Les dindons seront la plupart des français. Ce gouvernement composé essentiellement de fonctionnaires et de politiciens professionnels manque de tout, de courage, de compétence et de cohérence. Exemple « faire payer les riches, » un beau slogan mais les riches ne paieront pas, comme d’habitude. Grâce à l’exil fiscal et/ou à l’armée de fiscalistes qui les entourent pour échapper à l’impôt  (les PTE et PME, elles, payent).  Exemple Total n’a payé aucun impôt sur les bénéfices en 2009 et 2010 ; poussé par e gouvernement il a quand même payé 300 millions en 2011 pour un bénéfice de 12 milliards. La méthode est bien connue, la surfacturation par des filiales étrangères afin d’externaliser les profits et d’internaliser (en France) les pertes). Les dindons ce sont aussi ceux à qui on a supprimé la défiscalisation des heures supplémentaires supplémentaire (4 millions concernés et pas vraiment des riches), entre 150 et 200 euros par mois. Les dindons sont ceux qui voient fiscalité locale exploser (en moyenne 1000 euros pour la taxe d’habitation et 1000 euros pour la taxe foncière).Dindons aussi les retraités, « avantagés » donc ponctionnés aussi alors que la moyenne des retraites set de l’ordre de 1200 euros (et que souvent les femmes de ces retraités ne touchent rien).  Les dindons ce sont enfin les victimes de la pauvreté, foule anonyme, silencieuse, désemparée, Une honte dans un pays comme le notre. Ce pays ne peut plus être dirigé par des fonctionnaires et des politiciens professionnels. Les dindons ce sont enfin ceux qui ont cru que le pacte budgétaire européen serait renégocie. Or il a été adopté ( en douce au parlement, surtout pas de referendum sur les enjeux stratégiques) en l’état avec juste un petit plan de croissance qui en fait était déjà prévu. Du grand guignol, de l’amateurisme et du reniement. On nous jugera  dans 5 ans, aux résultats !  Slogan de partisans. Dans 5 ans, on risque d’enregistre 2 millions de chômeurs en plus, avec une situation proche de la Grèce. Oui, les dindons auraient besoin de se réveiller et de faire entendre leurs voix , pour le redressement économique, social et même sociétal. On ne pourra attendre 5 ans.




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