Archive pour le Tag 'approuvent'

Manifestations antisémitisme : 70 % des Français approuvent

Manifestations antisémitisme dimanche : 70 % des Français approuvent

Les réticences et conditions restrictives des partis politiques à propos de la manifestation contre l’antisémitisme dimanche sont mal appréciées par les Français qui soutiennent l’initiative pour 70 % d’entre eux. Près de 60 % condamnent aussi le refus de certains responsables de défiler avec le RN et sans doute aussi avec elle LFI qui boudera l’initiative alors que ses partisans sont 75 % à l’encourager.(sondage Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro)

Imaginée par des élus Renaissance et Les Républicains, la marche reçoit son plus fort soutien chez les proches du Parti socialiste (84%) et des Écologistes (81%). Les sympathisants macronistes et de droite sont respectivement 79% et 73% à s’y montrer favorables.

Le rassemblement, vilipendé par Jean-Luc Mélenchon qui y voit un «rendez-vous» des «amis du soutien inconditionnel au massacre», trouve pourtant grâce aux yeux des partisans de La France insoumise (LFI). Ils sont 75% à l’encourager, alors même que les Insoumis ont annoncé leur absence. En cause, «l’ambiguïté des objectifs de cette démarche». Les sympathisants de LFI sont d’ailleurs 79% à considérer que la marche ne s’assimile pas à un soutien au gouvernement israélien, une accusation pourtant portée par le mouvement de gauche.

De l’autre côté du spectre politique, les proches du Rassemblement national (RN) se montrent les plus hostiles à l’initiative parlementaire (70%). Ils sont par ailleurs les moins nombreux à estimer que la participation au rassemblement ne correspond pas à un support de l’État hébreu (69%). Marine Le Pen et Jordan Bardella étaient pourtant parmi les premiers à répondre présents à l’appel des présidents de l’Assemblée nationale et du Sénat. Ce qui n’a pas manqué de susciter les admonestations de la gauche mais également d’une partie de la macronie, pour qui le parti à la flamme n’a pas sa place dans le cortège.

Si l’Élysée n’a toujours pas communiqué sur la présence d’Emmanuel Macron ce dimanche, 54% des Français jugent que le président de la République ne devrait pas y participer.

Sondage mobilisation contre la réforme des retraites : les Français approuvent largement

Sondage mobilisation contre la réforme des retraites : les Français approuvent largement

56 % des Français approuve la mobilisation sociale contre la réforme des retraites selon un sondage Elabe  pour BFM.

Toutefois la désapprobation rencontre un écho particulièrement profond chez les retraités – qui sont 50% à disqualifier les manifestations d’avance – mais reste très minoritaire partout ailleurs au sein de la population.

Le paradoxe évidemment,  c’est que les retraités sont très peu touchés par cette réforme !

C’est avant tout au sein des actifs – avec une approbation grimpant à 46% après un saut de huit points – et chez les catégories populaires – 50% d’approbation avec une hausse de huit points – que la dynamique a été la plus spectaculaire au cours des derniers jours.

Ce soutien à la lutte politique contre le projet de réforme des retraites est tel que 55% des Français « comprendra

le  blocage du pays », vu comme « seul moyen » pour que le gouvernement « le retire ou le modifie ».

Ce taux atteint même 63% si on considère les seuls actifs. 44% des Français, en revanche, ne « comprendraient pas » un tel « blocage ».

Échantillon de 1000 personnes représentatif des résidents de France métropolitaine âgés de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon a été assurée selon la méthode des quotas appliquée aux variables suivantes: sexe, âge et profession de l’interviewé après stratification par région et catégorie d’agglomération. Interrogation par Internet du 17 au 18 janvier 2023.

 

Sondage présidentielles : baisse des concurrents de Macron

Selon un sondage Ifop pour LCI, Paris Match et Sud Radio, Emmanuel Macron profite électoralement de la crise ukrainienne avec 28 % des intentions de vote (plus 2 %).

Loin derrière, Marine Le Pen maintient sa deuxième position et est crédité de 16% des intentions de vote (-0,5) quand son rival nationaliste, Éric Zemmour, chute au premier tour, avec 14% (-1,5).

La candidate Les Républicains Valérie Pécresse continue de s’éloigner du podium. La Francilienne est créditée de 13% et perd un point. À gauche, l’insoumis Jean-Luc Mélenchon obtient 10,5% et enregistre une légère baisse (-0,5) tandis que l’écologiste Yannick Jadot reste stable (5%) comme la candidate socialiste Anne Hidalgo (2,5%). Le communiste Fabien Roussel baisse légèrement (3,5% ; -0,5) tout comme Christiane Taubira qui obtient 1,5% (-0,5%).

Remise en cause de la région Grand Est : 92,4 % des Alsaciens approuvent

Remise en cause de la région Grand Est : 92,4 % des Alsaciens approuvent

Il est clair que nombre de régions administratives ne reposent sur aucun critère pertinent économique, social ou  culturel. Nos régions n’ont d’ailleurs jamais été de véritables zones  économiques mais des espaces hybrides coincés entre l’État et les départements notamment. La plus grande incohérence est sans doute celle du rattachement de l’Alsace à cette région plus ou moins fantôme du Grand Est. Sur près de 150 000 votants, le « oui » à une sortie de la collectivité territoriale alsacienne de la région Grand-Est a été plébiscité à 92,4 %.

Le département du Bas-Rhin compte pour 60,4 % des « oui » exprimés par bulletins. Malgré le manque de participation et le clivage géographique, le président du CEA y croit.La collectivité européenne d’Alsace  (CEA) au sein des régions et départements de France. La collectivité européenne d’Alsace (CEA) est une collectivité territoriale française, qui voit le jour le 1er janvier 2021 . Elle résulte de la fusion des collectivités départementales du Bas-Rhin et du Haut-Rhin. « Les citoyens sont attentifs à l’efficacité de cette participation citoyenne. Ils veulent que cela se traduise par une décision. Je demanderai donc au président de la République qui sera élu en avril 2022 de respecter leur volonté », affirme-t-il au Monde.

La CEA compte s’appuyer sur la légitimité du nombre pour défendre ses positions auprès du gouvernement. En clair, il est question de pouvoir et d’argent. Frédéric Bierry mise sur le retour de compétences régionales à la CEA, notamment la compétence économique, la formation ou encore l’enseignement supérieur. De quoi tenter de regagner en grade sans forcer l’exécutif à préparer un énième big bang territorial ? Une tentative d’ouvrir la brèche, donc ?

Politique du pouvoir d’achat de Macron : seulement 22 % des Français approuvent

Politique du pouvoir d’achat de Macron : seulement 22 % des Français approuvent

Selon un sondage Ifop réalisé pour le JDD, seuls 22% des Français jugent son bilan positif sur ce sujet. Un score en chute libre: -8 points par rapport à la précédente étude d’avril 2021. Sur les seize thématiques du sondage, le pouvoir d’achat est avant dernier du classement.

C’est d’autant plus sensible que le sujet du « relèvement des salaires et le pouvoir d’achat » reste un des premiers thèmes de la campagne électorale: 70% des Français le jugent « déterminant » pour leur vote, largement devant l’immigration clandestine (55%) ou la réduction de la dette publique (35%).

Et même si Bercy assure que les réformes du quinquennat, comme la fin programmée de la taxe d’habitation, ont avantagé les Français, le ressenti est très différent. 69% des sondés estiment que leur pouvoir d’achat a diminué au cours des 5 dernières années.

L’inflation affiche des scores qui ne s’étaient plus vus en France depuis des années. Encore une fois, c’est avant tout l’énergie qui tire les prix vers le haut.

En parallèle, la question des salaires reste un sujet sensible. Si de nombreux candidats à la présidentielle promettent une hausse du Smic, le relèvement du salaire minimum n’aura pas forcément d’impact sur le reste des salaires, raison pour laquelle Bercy s’y refuse.

Sondage Ifop réalisé pour le JDD, effectué du 16 au 18 février 2022 auprès d’un échantillon représentatif de 1003 personnes âgées de 18 ans et plus. Les interviews ont eu lieu par questionnaire autoadministré en ligne. La marge d’erreur est située entre 1,4 et 3,1 points.

SONDAGE anti-passe sanitaire Covid : 34 % approuvent

SONDAGE  anti-passe sanitaire Covid : 34 % approuvent

Selon un sondage Ifop pour le JDD, 34% à déclarent  leur soutien ou leur sympathie pour le mouvement, un nombre stable par rapport à nos deux précédents sondages des 27 et 28 juillet (33%) et des 21 et 22 juillet (35%). C’est auprès des sympathisants de La France insoumise (61%) et du Rassemblement national (49%) que les anti-passe sanitaire trouvent le plus de soutien. Les opposants au mouvement représentent quant à eux 50% de la population, selon le sondage, un nombre stable lui aussi.

Parmi les sondés, 68% estiment que le passe sanitaire va « créer deux catégories de citoyens », mais 60% considèrent dans le même temps que ce dispositif est « une façon de responsabiliser ceux qui ne veulent pas être vaccinés ».

L’enquête a été menée auprès d’un échantillon de 1.006 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon a été assurée par la méthode des quotas (sexe, âge, profession de la personne interrogée) après stratification par région et catégorie d’agglomération. Les interviews ont été réalisées par questionnaire auto-administré en ligne du 11 au 12 août 2021.

Mouvement antivax : 35% approuvent

Mouvement antivax : 35% approuvent

Si 49% Français sont « opposés » ou « hostiles » au mouvement de protestation contre le passe sanitaire, et 16% « indifférents », ils sont tout de même 35% à éprouver « soutien » ou « sympathie » pour lui.

 

,Selon un sondage Ifop pour le JDD 49 % des Français sont aussi le mouvement de protestation contre le path sanitaire mais 35 % approuvent. En faite une espèce d’agglomération de mécontentement visant le passsanitaire mais plus généralement la politique du gouvernement.

À noter sans doute un éclectisme voir des contradictions chez les opposants dont beaucoup se situe aux extrêmes dans le champ politique est aussi dans la mouvance populiste.

 

* Sondage Ifop pour le JDD réalisé les 20 et 21 juillet 2021 auprès d’un échantillon représentatif de 1.002 personnes âgées de 18 ans et plus (méthode des quotas). Les interviews ont eu lieu par questionnaire autoadministré en ligne.

Sondage–Dénonciation de l’islamo- gauchisme : 66 % des Français approuvent

Sondage–Dénonciation de l’islamo- gauchisme : 66 % des Français approuvent

 

Un certain nombre de chercheurs y compris au CNRS ont réfuté la réalité scientifique de l’islamo-gauchisme. Le problème c’est que cette réalité n’est peut-être pas reconnue scientifiquement mais que c’est un fait social. Notons aussi que la vérité scientifique d’un jour n’est pas celle du lendemain sans parler du caractère scientifique discutable pour certaines recherches en sciences sociales.

 

La ministre de l’enseignement supérieur est largement approuvée par l’opinion publique. Un sondage montre que les Français sont à la fois lucide et nuancé pour distinguer ce qui relève des confrontations académiques et de manipulations politiques.

 

Selon un sondage Odoxa-Blackbone Consulting réalisé mardi et mercredi pour Le Figaro et Franceinfo, 66 % d’entre eux approuvent les propos de la ministre. Ce soutien se retrouve essentiellement à droite et au centre de l’échiquier: les sympathisants LREM (79 %), LR (85 %) et RN (79 %) jugent ses propos justifiés. La gauche, en revanche, est fracturée: si 60 % des sympathisants PS soutiennent la ministre, ils sont en revanche minoritaires chez EELV et LFI (47 %).

 

Pour 69 % des sondés, il existe bel et bien un problème d’islamo-gauchisme en France. Là encore, les sympathisants de la droite et du centre se retrouvent sur cette position (80 % à LREM, 83 % à LR, 82 % au RN), et les forces de gauche sont divisées (63 % au PS, 50 % à EELV et 46 % à LFI). La fracture idéologique est aussi générationnelle. Plus les Français sont âgés, plus ils considèrent que l’islamo-gauchisme existe et constitue un problème: 57 % chez les moins de 35 ans, 68 % chez les 35-49 ans, 71 % chez les 50-64 ans et jusqu’à 80 % chez les 65 ans et plus.

La démarche de la ministre de confier au CNRS le soin de réaliser «un bilan de l’ensemble des recherches» qui se déroulent en France, afin de distinguer ce qui relève de la recherche académique et ce qui relève du militantisme, est également soutenue par 65 % des sondés. Les Français sont en revanche majoritaires à estimer que les motivations de l’exécutif sur ce dossier sont avant tout électoralistes: si 44 % des Français pensent le gouvernement cherche à résoudre un problème de société qui le préoccupe réellement, 53 % des sondés estiment que le gouvernement agit avant tout pour «capter ou conserver une partie de l’électorat de droite».

Les Français sondés par Odoxa tiennent aussi à l’indépendance de la recherche: 57 % d’entre eux jugent que les études universitaires menées sur les sujets de la religion, de la race, du genre, ou du post-colonialisme, sont «légitimes» et que les chercheurs doivent s’intéresser aux «rapports de domination dans notre société». Une position largement dominante chez les sympathisants LREM (73 %), EELV (68 %) et PS (65 %).

 

Danger de l’islamo- gauchisme : 66 % approuvent la ministre de l’enseignement supérieur

Danger de l’islamo- gauchisme : 66 % approuvent la ministre de l’enseignement supérieur

 

 

Un certain nombre de chercheurs y compris au CNRS ont réfuté la réalité scientifique de l’islamo-gauchisme. Le problème c’est que cette réalité n’est peut-être pas reconnue scientifiquement mais que c’est un fait social. Notons aussi que la vérité scientifique d’un jour n’est pas celle du lendemain sans parler du caractère scientifique discutable pour certaines recherches en sciences sociales.

 

La ministre de l’enseignement supérieur est largement approuvée par l’opinion publique. Un sondage montre que les Français sont à la fois lucide et nuancé pour distinguer ce qui relève des confrontations académiques et de manipulations politiques.

 

Selon un sondage Odoxa-Blackbone Consulting réalisé mardi et mercredi pour Le Figaro et Franceinfo, 66 % d’entre eux approuvent les propos de la ministre. Ce soutien se retrouve essentiellement à droite et au centre de l’échiquier: les sympathisants LREM (79 %), LR (85 %) et RN (79 %) jugent ses propos justifiés. La gauche, en revanche, est fracturée: si 60 % des sympathisants PS soutiennent la ministre, ils sont en revanche minoritaires chez EELV et LFI (47 %).

 

Pour 69 % des sondés, il existe bel et bien un problème d’islamo-gauchisme en France. Là encore, les sympathisants de la droite et du centre se retrouvent sur cette position (80 % à LREM, 83 % à LR, 82 % au RN), et les forces de gauche sont divisées (63 % au PS, 50 % à EELV et 46 % à LFI). La fracture idéologique est aussi générationnelle. Plus les Français sont âgés, plus ils considèrent que l’islamo-gauchisme existe et constitue un problème: 57 % chez les moins de 35 ans, 68 % chez les 35-49 ans, 71 % chez les 50-64 ans et jusqu’à 80 % chez les 65 ans et plus.

La démarche de la ministre de confier au CNRS le soin de réaliser «un bilan de l’ensemble des recherches» qui se déroulent en France, afin de distinguer ce qui relève de la recherche académique et ce qui relève du militantisme, est également soutenue par 65 % des sondés. Les Français sont en revanche majoritaires à estimer que les motivations de l’exécutif sur ce dossier sont avant tout électoralistes: si 44 % des Français pensent le gouvernement cherche à résoudre un problème de société qui le préoccupe réellement, 53 % des sondés estiment que le gouvernement agit avant tout pour «capter ou conserver une partie de l’électorat de droite».

Les Français sondés par Odoxa tiennent aussi à l’indépendance de la recherche: 57 % d’entre eux jugent que les études universitaires menées sur les sujets de la religion, de la race, du genre, ou du post-colonialisme, sont «légitimes» et que les chercheurs doivent s’intéresser aux «rapports de domination dans notre société». Une position largement dominante chez les sympathisants LREM (73 %), EELV (68 %) et PS (65 %).

Sondage Séparatisme islamisme: 80 % approuvent le principe d’une loi …. mais n’y croient pas

Sondage Séparatisme islamisme: 80 % approuvent le principe d’une loi …. mais n’y croient  pas

Selon un sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour Le Figaro, 8 Français sur 10 approuvent le principe d’une loi contre le séparatisme dans le détail, 79 % des Français estiment qu’interdire le recrutement d’imams «détachés» venant de pays étrangers est efficace pour lutter contre le «séparatisme», et 77 % d’entre eux jugent pertinent de créer un contrat d’engagement sur la laïcité pour les associations bénéficiant de financements publics.une  majorité de Français est favorable à un «projet de loi renforçant la laïcité et les principes républicains». 62 % d’entre eux considèrent le terme «séparatisme» clivant, et 59 % le jugent moins compréhensible.

Pour la moitié des Français, ce texte vise avant tout à capter – ou conserver – une partie de l’électorat de droite

Enfin l’opinion publique doute de la sincérité des motivations du gouvernement. Pour la moitié des Français, ce texte vise avant tout à capter – ou conserver – une partie de l’électorat de droite.

Sondage Islamisme: 80 % approuvent le principe d’une loi contre le séparatisme…. mais n’y croient pas

Sondage Islamisme: 80 % approuvent le principe d’une loi contre le séparatisme…. mais n’y croient  pas

Selon un sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour Le Figaro, 8 Français sur 10 approuvent le principe d’une loi contre le séparatisme dans le détail, 79 % des Français estiment qu’interdire le recrutement d’imams «détachés» venant de pays étrangers est efficace pour lutter contre le «séparatisme», et 77 % d’entre eux jugent pertinent de créer un contrat d’engagement sur la laïcité pour les associations bénéficiant de financements publics.une  majorité de Français est favorable à un «projet de loi renforçant la laïcité et les principes républicains». 62 % d’entre eux considèrent le terme «séparatisme» clivant, et 59 % le jugent moins compréhensible.

Pour la moitié des Français, ce texte vise avant tout à capter – ou conserver – une partie de l’électorat de droite

Enfin l’opinion publique doute de la sincérité des motivations du gouvernement. Pour la moitié des Français, ce texte vise avant tout à capter – ou conserver – une partie de l’électorat de droite.

ENSAUVAGEMENT» : 70 % des Français approuvent le terme

ENSAUVAGEMENT» : 70 % des Français approuvent le terme

D’après un sondage Ifop, 70% des Français estiment que ce terme d’«ensauvagement» employé par le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, est justifié. Et pour cause car le débat sémantique de salon ne prend pas en compte ce que vivent trop de français à travers les incivilités quotidiennes.

Une majorité des personnes interrogées attribuent la hausse de l’insécurité à une justice trop laxiste. 73% des personnes interrogées estiment que les juges ne sont pas assez sévères.

 

 

Sondage grève Retraites : 55% des Français approuvent

Sondage grève Retraites : 55% des Français approuvent

 

Selon le dernier baromètre BVA réalisé pour La Tribune, Orange et RTL, 55% des Français interrogés approuvent le mouvement de grève et de mobilisation contre la réforme des retraites entamé depuis le 5 décembre dernier. C’est 4 points de moins que la semaine dernière.  À l’inverse, 44% des personnes désapprouvent ces manifestations. Après l’allocution du Premier ministre Edouard Philippe au conseil économique, social et environnemental (CESE) ce mercredi 11 décembre, le leader de la CFDT, Laurent Berger, avait exprimé son mécontentement contre l’âge d’équilibre à 64 ans.

,80% des interrogés pensent que le mouvement pourrait s’inscrire dans la durée alors que plusieurs syndicats ont montré leur détermination. C’est deux points de moins que lors de la précédente enquête menée le 4 décembre dernier. A l’opposé, 20% des répondants estiment que le mouvement ne va pas continuer. Ils étaient 18% le 4 décembre à exprimer cet avis.

« Le mouvement est ainsi toujours aussi populaire auprès des employés et ouvriers (71%; -1), des salariés du secteur public (76%; -5 néanmoins) et des jeunes (73%; +9) chez qui il progresse fortement. Il est en revanche de plus en plus décrié par les 65 ans et plus (66% le désapprouvent; +12) » expliquent les auteurs de l’enquête.

Au niveau des forces politiques, les clivages sont toujours aussi marqués par rapport aux résultats de la semaine précédente. « Si le mouvement social est toujours approuvé par une large majorité des sympathisants de la gauche (75%; -4) et du Rassemblement national (72%; -3), on observe une opposition bien plus forte chez les sympathisants LREM et LR qu’il y a quelques jours où, sans approuver réellement le mouvement, certains le comprenaient. Aujourd’hui, la quasi-totalité des sympathisants LREM le rejettent (90%, la petite minorité l’approuvant passant de 20% à 10%) tout comme une très large majorité de sympathisants LR (73%, la minorité le soutenant passant de 45% à 27%) » ajoute l’organisme de sondages.

 

Méthode : Enquête réalisée auprès d’un échantillon de Français interrogés par Internet du 11 au 12 décembre 2019. L’enquête s’appuie sur un échantillon de 968 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon est assurée par la méthode des quotas appliqués aux variables suivantes : sexe, âge, profession de la personne de référence du ménage et de la personne interrogée, région et catégorie d’agglomération.

 

-Notre-Dame-des-Landes: 75% Français approuvent le gouvernement

-Notre-Dame-des-Landes: 75%  Français approuvent le gouvernement

Finalement le gouvernemenet a bien vendu sa marchandise pour Notre Dame des Landes. L’opinion publique approuve à 74% la décision du gouvernement Selon une étude Elabe  En plus, 76% se déclarent par ailleurs favorable à l’évacuation de la ZAD. Pourquoi ? Évidemment on n’en sait rien comme si cette évacuation de la zad était une priorité nationale stratégique pour redresser le pays, assurer sa défense ou moderniser l’économie. Rien de tout cela en effet les Français sont comme la plupart des légitimistes réactionnaires en faveur d’un rétablissement de l’autorité d’un État sur cette minuscule parcelle puisque par ailleurs l’État est interdit dans environ 500 zones de non-droit de banlieue en France. Mieux vaut taper sur ces gauchistes utopistes qui font pousser des carottes en toute illégalité que d’essayer de faire le ménage dans les banlieues.

Politique économique de Macron : les Français approuvent mais pas tout

Politique économique de Macron : les Français approuvent mais pas tout

 

Un sondage très partiel qui démontrent que certaines mesures sont approuvées mais pas d’autres. La plus significative est sans doute celle qui consiste à soutenir la limitation du déficit public. Reste à savoir si les Français seront d’accord avec les différentes mesures de mise en œuvre de cet objectif. En effet, s’il ne faut pas toucher  à l’armée, à la santé, à l’éducation, au crédit des collectivités locales, à l’agriculture et à l’environnement, il reste peu de secteurs constituant des gisements d’économie ! En attendant, la plupart des grandes annonces économiques du gouvernement sont approuvées par les Français, selon un sondage Elabe pour Les Echos, Radio Classique et l’Institut Montaigne, mais la baisse de cinq euros des aides au logement est largement contestée. Trois Français sur quatre jugent ainsi que la nationalisation temporaire des chantiers navals de Saint-Nazaire, tout comme la volonté affichée par l’exécutif de limiter le déficit à 3% du PIB sont de bonnes décisions. La suppression de la taxe d’habitation pour 80% des ménages, qui provoque l’inquiétude des élus locaux qui bénéficient des 22 milliards d’euros que cet impôt rapporte chaque année, est approuvée par 65% des personnes interrogées. De même, l’annonce du Premier ministre, Edouard Philippe, de reporter de la mise en place du prélèvement à la source de l’impôt sur le revenu à 2019, contre 2018 comme prévu par le précédent gouvernement, est soutenue par 61% des Français. Au contraire, près de deux Français sur trois critiquent la baisse de cinq euros des aides publiques au logement (APL) qui touchera plus de six millions d’allocataires dès le mois d’octobre. Pour un tiers des personnes interrogées, c’est même une « très mauvaise décision ». Selon l’enquête, la politique la plus contestée est la réforme de l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF). Pour 66%, c’est une mauvaise décision.  L’enquête a été réalisée en ligne les 1er et 2 août, auprès d’un échantillon de 1.000 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

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