Archive pour le Tag 'approuvent'

Fonctionnaires et licenciement : 70 % approuvent

Fonctionnaires et licenciement : 70 % approuvent

Sept Français sur dix estiment que la qualité du service public a tendance à se détériorer depuis ces dernières années, révèle un selon un sondage Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro. «Ces critiques reflètent des attentes fortes envers les services publics couplées à des expériences personnelles négatives», indique Céline Bracq, directrice générale d’Odoxa. 

Alors quand Stanislas Guerini déclare vouloir «lever le tabou du licenciement» pour les agents publics qui «ne feraient pas leur boulot», le ministre de la fonction publique fait mouche. Selon le sondage, 72% des Français sont favorables à ce que l’on puisse licencier plus facilement les fonctionnaires pour « insuffisance professionnelle ».

 

Action des agriculteurs : 87 % des Français approuvent

Action des agriculteurs : 87 % des Français approuvent


Selon une nouvelle enquête « L’Opinion en direct » menée par l’institut Elabe pour BFMTV et publiée ce mercredi 24 janvier, cette mobilisation est vue très positivement par l’opinion publique puisque 87% l’approuvent, dont 50% la soutiennent.

Il s’agit d’un niveau d’approbation très élevé en comparaison de nombreuses mobilisations mesurées ces dernières années par Elabe pour BFMTV, supérieur à la première mesure du mouvement des « gilets jaunes » (73%, le 14 novembre 2018).

De manière générale, plus de 9 Français sur 10 ont une bonne image des agriculteurs. Ils ont l’image d’un métier qu’on choisit d’exercer par passion (93%) et qui demande de vraies compétences et qualités (92%) mais qui est à forte pénibilité (94%), qui a des horaires de travail plus conséquents que la moyenne (93%) et qui est mal payé (92%).

De plus 7 Français sur 10 s’attendent à ce que cette mobilisation déclenche un mouvement social de grande ampleur.

Parmi les raisons de la colère des agriculteurs actuellement mobilisés, on trouve les règles européennes jugées trop contraignantes et trop coûteuses à respecter. Une revendication partagée par le reste de la population puisque 2 Français sur 3 estiment que les agriculteurs doivent respecter trop de normes et réglementations.

Pour 3 sondés sur 4, l’Union européenne est un handicap pour les agriculteurs et seuls 27% la considèrent comme un atout. Cette critique est majoritaire dans toutes les catégories de population et électorats mais est encore davantage exprimée par les électeurs de Marine Le Pen (91%), de Valérie Pécresse (82%) et dans une moindre mesure de Jean-Luc Mélenchon (68%) que par les électeurs d’Emmanuel Macron (54%).

En outre, les Français imputent la responsabilité des difficultés rencontrées par le secteur agricole à la concurrence des autres pays qui produisent moins cher et avec moins de normes, aux industriels de l’agro-alimentaire qui ne veulent pas payer au juste prix les produits agricoles et à la grande distribution qui fait trop de marge.

Ils sont nettement moins nombreux à pointer du doigt les écologistes qui critiquent certaines pratiques agricoles (18%), les consommateurs qui veulent toujours payer moins cher (18%) et les conséquences négatives du dérèglement climatique sur les récoltes (16%).

Il y a, parmi les sondés, une défiance généralisée à l’égard des responsables politiques pour répondre aux difficultés rencontrées par les agriculteurs. Aucune des principales personnalités de l’exécutif et des oppositions n’obtient la confiance d’un tiers des Français pour cela.

Gabriel Attal (32% lui font confiance) devance Jordan Bardella (29%), Marine Le Pen (28%), Marc Fesneau (27%), Emmanuel Macron (22%), les dirigeants d’EELV (21%), Fabien Roussel (21%), les dirigeants de LR (20%), les dirigeants du PS (18%), Jean-Luc Mélenchon (14%) et Éric Zemmour (13%).

61% des Français estiment que produire en quantité suffisante pour couvrir les besoins alimentaires de l’ensemble de la population et réaliser la transition écologique sont deux objectifs conciliables. À contrario, 25% considèrent qu’il faudrait privilégier la production alimentaire en quantité suffisante et 13% la transition écologique.

Mouvement des agriculteurs : 87 % des Français approuvent

Mouvement des agriculteurs : 87 % des Français approuvent


Selon une nouvelle enquête « L’Opinion en direct » menée par l’institut Elabe pour BFMTV et publiée ce mercredi 24 janvier, cette mobilisation est vue très positivement par l’opinion publique puisque 87% l’approuvent, dont 50% la soutiennent.

Il s’agit d’un niveau d’approbation très élevé en comparaison de nombreuses mobilisations mesurées ces dernières années par Elabe pour BFMTV, supérieur à la première mesure du mouvement des « gilets jaunes » (73%, le 14 novembre 2018).

De manière générale, plus de 9 Français sur 10 ont une bonne image des agriculteurs. Ils ont l’image d’un métier qu’on choisit d’exercer par passion (93%) et qui demande de vraies compétences et qualités (92%) mais qui est à forte pénibilité (94%), qui a des horaires de travail plus conséquents que la moyenne (93%) et qui est mal payé (92%).

De plus 7 Français sur 10 s’attendent à ce que cette mobilisation déclenche un mouvement social de grande ampleur.

Parmi les raisons de la colère des agriculteurs actuellement mobilisés, on trouve les règles européennes jugées trop contraignantes et trop coûteuses à respecter. Une revendication partagée par le reste de la population puisque 2 Français sur 3 estiment que les agriculteurs doivent respecter trop de normes et réglementations.

Pour 3 sondés sur 4, l’Union européenne est un handicap pour les agriculteurs et seuls 27% la considèrent comme un atout. Cette critique est majoritaire dans toutes les catégories de population et électorats mais est encore davantage exprimée par les électeurs de Marine Le Pen (91%), de Valérie Pécresse (82%) et dans une moindre mesure de Jean-Luc Mélenchon (68%) que par les électeurs d’Emmanuel Macron (54%).

En outre, les Français imputent la responsabilité des difficultés rencontrées par le secteur agricole à la concurrence des autres pays qui produisent moins cher et avec moins de normes, aux industriels de l’agro-alimentaire qui ne veulent pas payer au juste prix les produits agricoles et à la grande distribution qui fait trop de marge.

Ils sont nettement moins nombreux à pointer du doigt les écologistes qui critiquent certaines pratiques agricoles (18%), les consommateurs qui veulent toujours payer moins cher (18%) et les conséquences négatives du dérèglement climatique sur les récoltes (16%).

Il y a, parmi les sondés, une défiance généralisée à l’égard des responsables politiques pour répondre aux difficultés rencontrées par les agriculteurs. Aucune des principales personnalités de l’exécutif et des oppositions n’obtient la confiance d’un tiers des Français pour cela.

Gabriel Attal (32% lui font confiance) devance Jordan Bardella (29%), Marine Le Pen (28%), Marc Fesneau (27%), Emmanuel Macron (22%), les dirigeants d’EELV (21%), Fabien Roussel (21%), les dirigeants de LR (20%), les dirigeants du PS (18%), Jean-Luc Mélenchon (14%) et Éric Zemmour (13%).

61% des Français estiment que produire en quantité suffisante pour couvrir les besoins alimentaires de l’ensemble de la population et réaliser la transition écologique sont deux objectifs conciliables. À contrario, 25% considèrent qu’il faudrait privilégier la production alimentaire en quantité suffisante et 13% la transition écologique.

Attal , Premier ministre : 53 % des Français approuvent

Attal , Premier ministre : 53 % des Français approuvent

Selon Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro révèle que le nouveau premier ministre bénéficie d’un soutien majoritaire dans l’opinion ( 53%).Notons qu’Élisabeth Borne lors de sa nomination avait reçu le soutien de 55 % pour finir avec 60 % de mécontents

Selon la dernière vague de l’étude Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro, le chef du gouvernement est plébiscité pour son dynamisme (77%), sa sympathie (70%), son ouverture au dialogue (64%), sa compétence (62%), sa solidité (54%) et son autorité (51%).

Pour autant, ces bonnes opinions ne suffisent pas à en faire le candidat naturel du camp Macron pour 2027 où, même s’il progresse de +17 points (46%), il reste devancé par Édouard Philippe (52% ; +2). Derrière, les ministres sortants de l’Économie, Bruno Le Maire (33% ; +5), et de l’Intérieur, Gérald Darmanin (28% ; -4), ferment la marche, tandis que la présidente de l’Assemblée, Yaël Braun-Pivet (12%), se classe en dernière position.

Guerre contre le Hamas : 62 % des Français approuvent Israël

Guerre contre le Hamas : 62 % des Français approuvent Israël

Selon un sondage paru dans le Figaro, 62% des sondés jugent que l’objectif d’Israël d’éliminer le Hamas de Gaza est justifié – ils étaient 65% en octobre et 58% en novembre.Un sondage qui confirme l’écart d’opinion entre certaines élites pacifistes et l’avis général.

Politiquement, moins d’un Français sur deux (46%) est satisfait des prises de position et de «l’attitude» d’Emmanuel Macron, un résultat en baisse de deux points par rapport à la dernière étude. Ses récentes prises de position floues ont pu lui porter préjudice, même s’il reste l’homme politique dont les positions sont les plus saluées par les sondés. Marine Le Pen obtient en effet 44% de satisfecit, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin 42% et la première ministre Élisabeth Borne 41%.

Gérald Darmanin, qui ne cache pas son intérêt pour l’élection présidentielle, récolte aussi bien de larges soutiens des sympathisants du parti présidentiel, Renaissance, que des sympathisants Les Républicains (74%). C’est autant que le soutien accordé à Éric Ciotti, le président du parti, par ses sympathisants.

Manifestations antisémitisme : 70 % des Français approuvent

Manifestations antisémitisme dimanche : 70 % des Français approuvent

Les réticences et conditions restrictives des partis politiques à propos de la manifestation contre l’antisémitisme dimanche sont mal appréciées par les Français qui soutiennent l’initiative pour 70 % d’entre eux. Près de 60 % condamnent aussi le refus de certains responsables de défiler avec le RN et sans doute aussi avec elle LFI qui boudera l’initiative alors que ses partisans sont 75 % à l’encourager.(sondage Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro)

Imaginée par des élus Renaissance et Les Républicains, la marche reçoit son plus fort soutien chez les proches du Parti socialiste (84%) et des Écologistes (81%). Les sympathisants macronistes et de droite sont respectivement 79% et 73% à s’y montrer favorables.

Le rassemblement, vilipendé par Jean-Luc Mélenchon qui y voit un «rendez-vous» des «amis du soutien inconditionnel au massacre», trouve pourtant grâce aux yeux des partisans de La France insoumise (LFI). Ils sont 75% à l’encourager, alors même que les Insoumis ont annoncé leur absence. En cause, «l’ambiguïté des objectifs de cette démarche». Les sympathisants de LFI sont d’ailleurs 79% à considérer que la marche ne s’assimile pas à un soutien au gouvernement israélien, une accusation pourtant portée par le mouvement de gauche.

De l’autre côté du spectre politique, les proches du Rassemblement national (RN) se montrent les plus hostiles à l’initiative parlementaire (70%). Ils sont par ailleurs les moins nombreux à estimer que la participation au rassemblement ne correspond pas à un support de l’État hébreu (69%). Marine Le Pen et Jordan Bardella étaient pourtant parmi les premiers à répondre présents à l’appel des présidents de l’Assemblée nationale et du Sénat. Ce qui n’a pas manqué de susciter les admonestations de la gauche mais également d’une partie de la macronie, pour qui le parti à la flamme n’a pas sa place dans le cortège.

Si l’Élysée n’a toujours pas communiqué sur la présence d’Emmanuel Macron ce dimanche, 54% des Français jugent que le président de la République ne devrait pas y participer.

Sondage mobilisation contre la réforme des retraites : les Français approuvent largement

Sondage mobilisation contre la réforme des retraites : les Français approuvent largement

56 % des Français approuve la mobilisation sociale contre la réforme des retraites selon un sondage Elabe  pour BFM.

Toutefois la désapprobation rencontre un écho particulièrement profond chez les retraités – qui sont 50% à disqualifier les manifestations d’avance – mais reste très minoritaire partout ailleurs au sein de la population.

Le paradoxe évidemment,  c’est que les retraités sont très peu touchés par cette réforme !

C’est avant tout au sein des actifs – avec une approbation grimpant à 46% après un saut de huit points – et chez les catégories populaires – 50% d’approbation avec une hausse de huit points – que la dynamique a été la plus spectaculaire au cours des derniers jours.

Ce soutien à la lutte politique contre le projet de réforme des retraites est tel que 55% des Français « comprendra

le  blocage du pays », vu comme « seul moyen » pour que le gouvernement « le retire ou le modifie ».

Ce taux atteint même 63% si on considère les seuls actifs. 44% des Français, en revanche, ne « comprendraient pas » un tel « blocage ».

Échantillon de 1000 personnes représentatif des résidents de France métropolitaine âgés de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon a été assurée selon la méthode des quotas appliquée aux variables suivantes: sexe, âge et profession de l’interviewé après stratification par région et catégorie d’agglomération. Interrogation par Internet du 17 au 18 janvier 2023.

 

Sondage présidentielles : baisse des concurrents de Macron

Selon un sondage Ifop pour LCI, Paris Match et Sud Radio, Emmanuel Macron profite électoralement de la crise ukrainienne avec 28 % des intentions de vote (plus 2 %).

Loin derrière, Marine Le Pen maintient sa deuxième position et est crédité de 16% des intentions de vote (-0,5) quand son rival nationaliste, Éric Zemmour, chute au premier tour, avec 14% (-1,5).

La candidate Les Républicains Valérie Pécresse continue de s’éloigner du podium. La Francilienne est créditée de 13% et perd un point. À gauche, l’insoumis Jean-Luc Mélenchon obtient 10,5% et enregistre une légère baisse (-0,5) tandis que l’écologiste Yannick Jadot reste stable (5%) comme la candidate socialiste Anne Hidalgo (2,5%). Le communiste Fabien Roussel baisse légèrement (3,5% ; -0,5) tout comme Christiane Taubira qui obtient 1,5% (-0,5%).

Remise en cause de la région Grand Est : 92,4 % des Alsaciens approuvent

Remise en cause de la région Grand Est : 92,4 % des Alsaciens approuvent

Il est clair que nombre de régions administratives ne reposent sur aucun critère pertinent économique, social ou  culturel. Nos régions n’ont d’ailleurs jamais été de véritables zones  économiques mais des espaces hybrides coincés entre l’État et les départements notamment. La plus grande incohérence est sans doute celle du rattachement de l’Alsace à cette région plus ou moins fantôme du Grand Est. Sur près de 150 000 votants, le « oui » à une sortie de la collectivité territoriale alsacienne de la région Grand-Est a été plébiscité à 92,4 %.

Le département du Bas-Rhin compte pour 60,4 % des « oui » exprimés par bulletins. Malgré le manque de participation et le clivage géographique, le président du CEA y croit.La collectivité européenne d’Alsace  (CEA) au sein des régions et départements de France. La collectivité européenne d’Alsace (CEA) est une collectivité territoriale française, qui voit le jour le 1er janvier 2021 . Elle résulte de la fusion des collectivités départementales du Bas-Rhin et du Haut-Rhin. « Les citoyens sont attentifs à l’efficacité de cette participation citoyenne. Ils veulent que cela se traduise par une décision. Je demanderai donc au président de la République qui sera élu en avril 2022 de respecter leur volonté », affirme-t-il au Monde.

La CEA compte s’appuyer sur la légitimité du nombre pour défendre ses positions auprès du gouvernement. En clair, il est question de pouvoir et d’argent. Frédéric Bierry mise sur le retour de compétences régionales à la CEA, notamment la compétence économique, la formation ou encore l’enseignement supérieur. De quoi tenter de regagner en grade sans forcer l’exécutif à préparer un énième big bang territorial ? Une tentative d’ouvrir la brèche, donc ?

Politique du pouvoir d’achat de Macron : seulement 22 % des Français approuvent

Politique du pouvoir d’achat de Macron : seulement 22 % des Français approuvent

Selon un sondage Ifop réalisé pour le JDD, seuls 22% des Français jugent son bilan positif sur ce sujet. Un score en chute libre: -8 points par rapport à la précédente étude d’avril 2021. Sur les seize thématiques du sondage, le pouvoir d’achat est avant dernier du classement.

C’est d’autant plus sensible que le sujet du « relèvement des salaires et le pouvoir d’achat » reste un des premiers thèmes de la campagne électorale: 70% des Français le jugent « déterminant » pour leur vote, largement devant l’immigration clandestine (55%) ou la réduction de la dette publique (35%).

Et même si Bercy assure que les réformes du quinquennat, comme la fin programmée de la taxe d’habitation, ont avantagé les Français, le ressenti est très différent. 69% des sondés estiment que leur pouvoir d’achat a diminué au cours des 5 dernières années.

L’inflation affiche des scores qui ne s’étaient plus vus en France depuis des années. Encore une fois, c’est avant tout l’énergie qui tire les prix vers le haut.

En parallèle, la question des salaires reste un sujet sensible. Si de nombreux candidats à la présidentielle promettent une hausse du Smic, le relèvement du salaire minimum n’aura pas forcément d’impact sur le reste des salaires, raison pour laquelle Bercy s’y refuse.

Sondage Ifop réalisé pour le JDD, effectué du 16 au 18 février 2022 auprès d’un échantillon représentatif de 1003 personnes âgées de 18 ans et plus. Les interviews ont eu lieu par questionnaire autoadministré en ligne. La marge d’erreur est située entre 1,4 et 3,1 points.

SONDAGE anti-passe sanitaire Covid : 34 % approuvent

SONDAGE  anti-passe sanitaire Covid : 34 % approuvent

Selon un sondage Ifop pour le JDD, 34% à déclarent  leur soutien ou leur sympathie pour le mouvement, un nombre stable par rapport à nos deux précédents sondages des 27 et 28 juillet (33%) et des 21 et 22 juillet (35%). C’est auprès des sympathisants de La France insoumise (61%) et du Rassemblement national (49%) que les anti-passe sanitaire trouvent le plus de soutien. Les opposants au mouvement représentent quant à eux 50% de la population, selon le sondage, un nombre stable lui aussi.

Parmi les sondés, 68% estiment que le passe sanitaire va « créer deux catégories de citoyens », mais 60% considèrent dans le même temps que ce dispositif est « une façon de responsabiliser ceux qui ne veulent pas être vaccinés ».

L’enquête a été menée auprès d’un échantillon de 1.006 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon a été assurée par la méthode des quotas (sexe, âge, profession de la personne interrogée) après stratification par région et catégorie d’agglomération. Les interviews ont été réalisées par questionnaire auto-administré en ligne du 11 au 12 août 2021.

Mouvement antivax : 35% approuvent

Mouvement antivax : 35% approuvent

Si 49% Français sont « opposés » ou « hostiles » au mouvement de protestation contre le passe sanitaire, et 16% « indifférents », ils sont tout de même 35% à éprouver « soutien » ou « sympathie » pour lui.

 

,Selon un sondage Ifop pour le JDD 49 % des Français sont aussi le mouvement de protestation contre le path sanitaire mais 35 % approuvent. En faite une espèce d’agglomération de mécontentement visant le passsanitaire mais plus généralement la politique du gouvernement.

À noter sans doute un éclectisme voir des contradictions chez les opposants dont beaucoup se situe aux extrêmes dans le champ politique est aussi dans la mouvance populiste.

 

* Sondage Ifop pour le JDD réalisé les 20 et 21 juillet 2021 auprès d’un échantillon représentatif de 1.002 personnes âgées de 18 ans et plus (méthode des quotas). Les interviews ont eu lieu par questionnaire autoadministré en ligne.

Sondage–Dénonciation de l’islamo- gauchisme : 66 % des Français approuvent

Sondage–Dénonciation de l’islamo- gauchisme : 66 % des Français approuvent

 

Un certain nombre de chercheurs y compris au CNRS ont réfuté la réalité scientifique de l’islamo-gauchisme. Le problème c’est que cette réalité n’est peut-être pas reconnue scientifiquement mais que c’est un fait social. Notons aussi que la vérité scientifique d’un jour n’est pas celle du lendemain sans parler du caractère scientifique discutable pour certaines recherches en sciences sociales.

 

La ministre de l’enseignement supérieur est largement approuvée par l’opinion publique. Un sondage montre que les Français sont à la fois lucide et nuancé pour distinguer ce qui relève des confrontations académiques et de manipulations politiques.

 

Selon un sondage Odoxa-Blackbone Consulting réalisé mardi et mercredi pour Le Figaro et Franceinfo, 66 % d’entre eux approuvent les propos de la ministre. Ce soutien se retrouve essentiellement à droite et au centre de l’échiquier: les sympathisants LREM (79 %), LR (85 %) et RN (79 %) jugent ses propos justifiés. La gauche, en revanche, est fracturée: si 60 % des sympathisants PS soutiennent la ministre, ils sont en revanche minoritaires chez EELV et LFI (47 %).

 

Pour 69 % des sondés, il existe bel et bien un problème d’islamo-gauchisme en France. Là encore, les sympathisants de la droite et du centre se retrouvent sur cette position (80 % à LREM, 83 % à LR, 82 % au RN), et les forces de gauche sont divisées (63 % au PS, 50 % à EELV et 46 % à LFI). La fracture idéologique est aussi générationnelle. Plus les Français sont âgés, plus ils considèrent que l’islamo-gauchisme existe et constitue un problème: 57 % chez les moins de 35 ans, 68 % chez les 35-49 ans, 71 % chez les 50-64 ans et jusqu’à 80 % chez les 65 ans et plus.

La démarche de la ministre de confier au CNRS le soin de réaliser «un bilan de l’ensemble des recherches» qui se déroulent en France, afin de distinguer ce qui relève de la recherche académique et ce qui relève du militantisme, est également soutenue par 65 % des sondés. Les Français sont en revanche majoritaires à estimer que les motivations de l’exécutif sur ce dossier sont avant tout électoralistes: si 44 % des Français pensent le gouvernement cherche à résoudre un problème de société qui le préoccupe réellement, 53 % des sondés estiment que le gouvernement agit avant tout pour «capter ou conserver une partie de l’électorat de droite».

Les Français sondés par Odoxa tiennent aussi à l’indépendance de la recherche: 57 % d’entre eux jugent que les études universitaires menées sur les sujets de la religion, de la race, du genre, ou du post-colonialisme, sont «légitimes» et que les chercheurs doivent s’intéresser aux «rapports de domination dans notre société». Une position largement dominante chez les sympathisants LREM (73 %), EELV (68 %) et PS (65 %).

 

Danger de l’islamo- gauchisme : 66 % approuvent la ministre de l’enseignement supérieur

Danger de l’islamo- gauchisme : 66 % approuvent la ministre de l’enseignement supérieur

 

 

Un certain nombre de chercheurs y compris au CNRS ont réfuté la réalité scientifique de l’islamo-gauchisme. Le problème c’est que cette réalité n’est peut-être pas reconnue scientifiquement mais que c’est un fait social. Notons aussi que la vérité scientifique d’un jour n’est pas celle du lendemain sans parler du caractère scientifique discutable pour certaines recherches en sciences sociales.

 

La ministre de l’enseignement supérieur est largement approuvée par l’opinion publique. Un sondage montre que les Français sont à la fois lucide et nuancé pour distinguer ce qui relève des confrontations académiques et de manipulations politiques.

 

Selon un sondage Odoxa-Blackbone Consulting réalisé mardi et mercredi pour Le Figaro et Franceinfo, 66 % d’entre eux approuvent les propos de la ministre. Ce soutien se retrouve essentiellement à droite et au centre de l’échiquier: les sympathisants LREM (79 %), LR (85 %) et RN (79 %) jugent ses propos justifiés. La gauche, en revanche, est fracturée: si 60 % des sympathisants PS soutiennent la ministre, ils sont en revanche minoritaires chez EELV et LFI (47 %).

 

Pour 69 % des sondés, il existe bel et bien un problème d’islamo-gauchisme en France. Là encore, les sympathisants de la droite et du centre se retrouvent sur cette position (80 % à LREM, 83 % à LR, 82 % au RN), et les forces de gauche sont divisées (63 % au PS, 50 % à EELV et 46 % à LFI). La fracture idéologique est aussi générationnelle. Plus les Français sont âgés, plus ils considèrent que l’islamo-gauchisme existe et constitue un problème: 57 % chez les moins de 35 ans, 68 % chez les 35-49 ans, 71 % chez les 50-64 ans et jusqu’à 80 % chez les 65 ans et plus.

La démarche de la ministre de confier au CNRS le soin de réaliser «un bilan de l’ensemble des recherches» qui se déroulent en France, afin de distinguer ce qui relève de la recherche académique et ce qui relève du militantisme, est également soutenue par 65 % des sondés. Les Français sont en revanche majoritaires à estimer que les motivations de l’exécutif sur ce dossier sont avant tout électoralistes: si 44 % des Français pensent le gouvernement cherche à résoudre un problème de société qui le préoccupe réellement, 53 % des sondés estiment que le gouvernement agit avant tout pour «capter ou conserver une partie de l’électorat de droite».

Les Français sondés par Odoxa tiennent aussi à l’indépendance de la recherche: 57 % d’entre eux jugent que les études universitaires menées sur les sujets de la religion, de la race, du genre, ou du post-colonialisme, sont «légitimes» et que les chercheurs doivent s’intéresser aux «rapports de domination dans notre société». Une position largement dominante chez les sympathisants LREM (73 %), EELV (68 %) et PS (65 %).

Sondage Séparatisme islamisme: 80 % approuvent le principe d’une loi …. mais n’y croient pas

Sondage Séparatisme islamisme: 80 % approuvent le principe d’une loi …. mais n’y croient  pas

Selon un sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour Le Figaro, 8 Français sur 10 approuvent le principe d’une loi contre le séparatisme dans le détail, 79 % des Français estiment qu’interdire le recrutement d’imams «détachés» venant de pays étrangers est efficace pour lutter contre le «séparatisme», et 77 % d’entre eux jugent pertinent de créer un contrat d’engagement sur la laïcité pour les associations bénéficiant de financements publics.une  majorité de Français est favorable à un «projet de loi renforçant la laïcité et les principes républicains». 62 % d’entre eux considèrent le terme «séparatisme» clivant, et 59 % le jugent moins compréhensible.

Pour la moitié des Français, ce texte vise avant tout à capter – ou conserver – une partie de l’électorat de droite

Enfin l’opinion publique doute de la sincérité des motivations du gouvernement. Pour la moitié des Français, ce texte vise avant tout à capter – ou conserver – une partie de l’électorat de droite.

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