Archive pour le Tag 'approuve'

Otages à Gaza: Israël approuve le plan

Otages à Gaza: Israël approuve le plan

Le gouvernement israélien a officiellement approuvé le plan négocié par le Qatar avec le Hamas concernant la libération progressive des otages. Le plan prévoit de libérer un otage israélien pour trois prisonniers palestiniens. La première étape du plan concernera 50 otages israéliens. Ce sont surtout les femmes les enfants et les malade qui seront les premiers concernés.

D’après le Qatar qui joue un rôle de médiation à Gaza, un accord sur la libération des otages est acquis. Le problème c’est que les conditions ne sont pas encore réunies ni du côté du Hamas ni du côté d’Israël. Cette libération des otages se fera dans le cas d’une trêve humanitaire d’une durée en principe de cinq jours. Le Hamas ne veut libérer les otages que progressivement par paquets.

Quand au cessez-le-feu éventuel, Israël le conditionne à la libération de la totalité des otages. Reste aussi un problème peu abordé à savoir la dispersion des otages dans la bande de Gaza et la difficulté même du Hamas à les identifier et à les rassembler.

Selon le Washington Post, des libérations d’otages pourraient débuter dans les prochains jours, à moins d’obstacles de dernière minute. Le quotidien cite des sources ayant connaissance de cet accord détaillé de six pages.

Aux termes de l’accord, toutes les parties interrompraient les combats pendant au moins cinq jours et les otages seraient libérés quotidiennement par groupes de 50 ou plus, a rapporté le Post. Le Hamas a capturé quelque 240 otages lors de l’attaque du 7 octobre, qui a fait 1.200 morts dans le sud d’Israël. Le Premier ministre israélien a affirmé qu’aucun cessez-le-feu ne pourra être établi tant que les otages n’auront pas été relâchés.

Au Proche-Orient, de plus en plus de pays font pression sur Israël pour un cessez-le-feu.

Plus des deux tiers des 2,4 millions d’habitants de la bande de Gaza ont été déplacés par la guerre, selon l’ONU.

Sandrine Rousseau approuve le collage d’affiches contre le mouvement EELV

Sandrine Rousseau approuve le collage d’affiches contre le mouvement EELV !

Sandrine Rousseau a approuvé le collage d’affiches contre le mouvement « Europe écologie les Verts » avant de se rétracter.

Une provocation de plus des extrémistes plus rouges que verts et qui donne encore l’occasion à Sandrine Rousseau d’exister politiquement. La championne des extravagances saisit en effet toutes les occasions mêmes les plus ridicules et les plus contradictoires pour manifester sa présence. Y compris en provoquant des crises au sein de son propre parti Europe écologie les Verts qui aurait dû se débarrasser de l’intéressé depuis longtemps.

Ce jeudi, Sandrine Rousseau a dénoncé sur Twitter une «erreur» de la direction d’EELV, après la main courante déposée par le parti contre l’association «Relève Féministe». En cause, les «deux collages consécutifs» récemment constatés sur la façade du local des Verts, et effectués par le collectif militant. Lequel rassemble environ 500 femmes, et entend cibler le député Julien Bayou, accusé de violences morales et psychologiques par son ex-compagne. «Les collages et celles et ceux qui les font ne sont pas le problème», a dès lors estimé Sandrine Rousseau, engagée de longue date dans une guerre totale avec Julien Bayou au motif de son comportement de séducteur ! Un pseudo délit qui ne risque pas d’atteindre Sandrine Rousseau !

Dette : amortissement par l’inflation et la baisse de l’euro

Dette : amortissement par l’inflation et la baisse de l’euro

Comme c’était prévisible, la dette va progressivement s’amortir en Europe par l’inflation et la baisse de l’euro. En effet, l’euro s’est de nouveau replié vendredi 1er avril face au dollar américain.

Les deux phénomènes conjoints constitue de fait une sorte de fiscalité qui vient pomper le pouvoir d’achat des ménages, des entreprises et des épargnants.

Précédemment avant l’euro les crises financières ce régulaient surtout par des processus de désolation. Avec l’euro, les dettes des membres de l’union européenne sont mutualisées et se régulent par les taux de change et l’inflation

Vers 21H00 en France, la monnaie unique abandonnait 0,17% face au «greenback», à 1,1048 dollar pour un euro. Le dollar gagnait aussi du terrain sur le franc suisse, le yen ou la livre sterling. 

L’euro n’a, lui, pas profité de la publication d’un indicateur d’inflation en zone euro, qui s’est inscrit à 7,5% en mars, sur un an, un record. «L’inflation élevée va encore augmenter la pression sur la BCE (Banque centrale européenne) pour qu’elle intervienne et monte ses taux», a réagi, dans une note, Joe Manimbo, de Western Union, «mais les prévisions de croissance en zone euro sont en train de mal tourner avec la guerre en Ukraine.»

Un syndicat chez Amazon aux États-Unis: Biden approuve

Un syndicat chez Amazon aux États-Unis: Biden approuve

 

Ce n’est pas en France où les syndicats sont plutôt marginalisés pour ne pas dire discrédités non seulement par certaines directions entreprises mais tout autant par pouvoir politique, les médias, les technocrates voir les intellos. ( À leur décharge certains syndicats par leur radicalité et leur simplisme ont aussi contribué à la baisse de leur audience ). Non, c’est curieusement aux États-Unis que le président américain se félicite de la première création d’un syndicat chez Amazon. Le président américain Joe Biden est «heureux» de la création du tout premier syndicat chez Amazon aux Etats-Unis, a dit vendredi 1er avril sa porte-parole Jen Psaki. Le démocrate, qui ne manque jamais une occasion de louer l’action des organisations syndicales dans le pays, est «heureux que des salariés s’assurent d’être entendus pour les décisions importantes» qui les concernent, a-t-elle déclaré.

En France on reparle parfois du concept de participation gaulliste mais souvent réduite à l’accord d’une petite prime financière loin de la participation réelle à l’allemande par exemple. On voit mal Macron compte tenu de ses orientations politiques se féliciter de la création d’un syndicat,  lui qui a plutôt tendance à shunter toutes les organisations intermédiaires. Notons que précédemment des socialistes avec Mitterrand et la suite n’ont guère manifesté d’intérêt pour la fonction syndicale.

CBD : le Conseil d’État approuve !

CBD : le Conseil d’État approuve !

 

Une curieuse décision du conseil d’État qui comme d’habitude se mêle de tout et de rien surtout quand il n’a aucune compétence sur le sujet. Ainsi le conseil d’État vient-il d’autoriser la reprise de la bande de CBD qui avait été suspendu par le gouvernement.

On ne sait pas trop s’il  d’une décision liée à des aspects juridiques ou médicaux ou si le C onseil d’État lui-même n’était pas sous influence du CBD pour prendre cette décision

 

Dans son ordonnance, le Conseil d’État a estimé qu’il «ne résulte pas de l’instruction(…) que les fleurs et feuilles de chanvre dont la teneur en THC n’est pas supérieure à 0,30% revêtiraient un degré de nocivité pour la santé justifiant une mesure d’interdiction générale et absolue de leur vente aux consommateurs et de leur consommation».

La justice européenne avait estimé aussi qu’il n’avait «aucun effet nocif sur la santé» et ne pouvait être considéré comme un stupéfiant, à la différence de sa molécule jumelle, le THC, que l’on peut trouver sur le marché noir et qui est dotée d’effets psychotropes.

Du coup on en vient à se demander si , pour atténuer le pessimisme des Français par rapport à la politique,  la consommation de CBD et des lunettes roses ne seront pas obligatoires leur du prochain vote des présidentielles !

Fiscalité : le G20 approuve ce qui a déjà été décidé

Fiscalité  : le G20 approuve ce qui a déjà été décidé

 

 

Sans doute en mal d’œcuménisme et d’unité, les grands pays du G20 ont décidé d’entériner le nouvel accord de fiscalité internationale qui prévoit notamment les conditions de fiscalité des grands de la tech  mais aussi les modalités de gestion de cet impôt.

 

Cet accord a été conclu début octobre par 136 pays représentant 90 ans du mondial sou l’égide de l’OCDE. L’accord était donc approuvé dès ce moments car l’OCDE constitue une institution reconnue avec un mandat international clair. À l’inverse du G20 qui lui n’est pas une institution officielle et d’ailleurs n’a pas forcément apprendre des orientations communes. Bref on a inversé les processus démocratiques. Normalement c’était au G20 d’abord de faire cette proposition, ensuite à l’OCDE de la décidée et de la mettre en application.

 

Pourquoi cette inversion des processus démocratiques ? Sans doute parce que le G20 aura bien des difficultés à se mettre d’accord sur d’autres sujets en particulier concernant la question cruciale du climat. Or c’est sur cette question qu’on attend le G20 et non sur l’approbation d’une fiscalité déjà décidée. De ce point de vue celui qui va recevoir la COP 26 savoir Boris Johnson aura beaucoup de difficultés à trouver un terrain d’entente concernant le climat.

 

«C’est l’occasion maintenant d’essayer de prendre certains des engagements vagues de (l’accord de) Paris et de les solidifier dans des engagements solides, rapides pour réduire les émissions» de gaz à effet de serre, a souligné le Premier ministre britannique Boris Johnson dans une interview diffusée samedi par la chaîne ITV. «Nous devons être plus ambitieux» sur le climat, estimait aussi le président du Conseil européen Charles Michel, tout en reconnaissant que la question était difficile notamment «pour certains pays dépendant du charbon».(L’Allemagne ou la Chine en particulier)

Fiscalité internationale internationale : le G20 approuve ce qui a déjà été décidé

Fiscalité internationale internationale : le G20 approuve ce qui a déjà été décidé

 

 

Sans doute en mal d’œcuménisme et d’unité, les grands pays du G20 ont décidé d’entériner le nouvel accord de fiscalité internationale qui prévoit notamment les conditions de fiscalité des grands de la tech  mais aussi les modalités de gestion de cet impôt.

 

Cet accord a été conclu début octobre par 136 pays représentant 90 ans du mondial sou l’égide de l’OCDE. L’accord était donc approuvé dès ce moments car l’OCDE constitue une institution reconnue avec un mandat international clair. À l’inverse du G20 qui lui n’est pas une institution officielle et d’ailleurs n’a pas forcément apprendre des orientations communes. Bref on a inversé les processus démocratiques. Normalement c’était au G20 d’abord de faire cette proposition, ensuite à l’OCDE de la décidée et de la mettre en application.

 

Pourquoi cette inversion des processus démocratiques ? Sans doute parce que le G20 aura bien des difficultés à se mettre d’accord sur d’autres sujets en particulier concernant la question cruciale du climat. Or c’est sur cette question qu’on attend le G20 et non sur l’approbation d’une fiscalité déjà décidée. De ce point de vue celui qui va recevoir la COP 26 savoir Boris Johnson aura beaucoup de difficultés à trouver un terrain d’entente concernant le climat.

 

«C’est l’occasion maintenant d’essayer de prendre certains des engagements vagues de (l’accord de) Paris et de les solidifier dans des engagements solides, rapides pour réduire les émissions» de gaz à effet de serre, a souligné le Premier ministre britannique Boris Johnson dans une interview diffusée samedi par la chaîne ITV. «Nous devons être plus ambitieux» sur le climat, estimait aussi le président du Conseil européen Charles Michel, tout en reconnaissant que la question était difficile notamment «pour certains pays dépendant du charbon».(L’Allemagne ou la Chine en particulier)

Sondage :Le plan de déconfinement approuvé Français

Sondage :Le plan de déconfinement approuvé  Français

Odoxa-Dentsu Consulting pour Le Figaro et France Info, 7 Français sur 10 estiment que le chef du gouvernement a été clair (72%) lors de sa conférence de presse. Les deux tiers jugent qu’il a été à la hauteur de la situation (66%) et qu’il a montré qu’il savait où il allait (64%). 6 Français sur 10 l’ont trouvé convaincant (62%) et pensent qu’il a dit la vérité aux Français (60%) – un exploit quand on se souvient de la crise de confiance du début de l’épidémie.

Ce satisfecit est partagé par des sympathisants de tous bords politiques, à l’exception de ceux du Rassemblement national. Ainsi, les soutiens de La France Insoumise ne sont pas moins de 66% à avoir trouvé convaincant le locataire de Matignon, confirmant la bonne dynamique actuelle du prétendant à la mairie du Havre.

55% des Français trouvent que le plan de déconfinement est bien adapté. C’est 15 points de plus qu’il y a un mois. Seuls 34% des sondés (-11 points) qualifient encore le plan de « trop rapide » et 11% trouvent qu’il n’est pas assez rapide (-4 points). Les seniors sont les plus satisfaits (63%) – ils ont longtemps craint de voir leur liberté de mouvement durablement entravée. Les jeunes se révèlent à l’inverse les moins emballés : 46% estiment que le déconfinement est trop rapide.

Dans le détail, toutes les mesures annoncées sont largement approuvées, aussi bien les nouvelles autorisations que le maintien de certaines restrictions : la réouverture des parcs et jardins (88%) des plages, lacs et plans d’eau (85%) fait un carton. Comme celle des bars et des restaurants (78%). Le droit de circuler à plus de 100 km du domicile est salué par 85% des Français.

Le maintien de l’interdiction des discothèques et des stades (83%), des sports collectifs et de contacts (78% d’approbation) ou encore du regroupement de plus de 10 personnes (71%) est approuvé, preuve que les Français valident l’équilibre général du plan. Seuls les sujets liés à l’école, notamment l’accélération de la réouverture des établissements scolaires sont moins massivement approuvés (56%). La suppression de l’épreuve orale de français est comprise par 60% des Français.

Enfin, les sondés sont partagés sur l’opportunité de se doter de l’application de traçage StopCovid. Ils sont en effet 45% à se dire prêts à télécharger cet outil qui doit permettre via son téléphone de remonter les chaînes potentielles de contamination. En avril, ils étaient 62% à être disposés à tester cette application…

Climat accord de Paris : un G19 qui approuve à la place d’un G20

Climat accord de Paris : un G19 qui approuve à la place d’un G20

 

 

En difficulté dans son propre pays quant au mesures prises pour améliorer la qualité du climat Macron a trouvé la combine pour obtenir un soutien de principe à l’accord de Paris. Ce sera un j’ai 20 – 1 qui renouvellera son appui à la lutte contre le réchauffement climatique. En clair on contourne l’obstacle des États-Unis ne veut pas entendre parler de cet accord qui a été signé en 2015 à Paris. Un accord qui concrètement ne change encore pas grand-chose y compris en France qui ne tient pas ses promesses de réduction des démissions mais qui au moins sur le plan psychologique permet de faire prendre conscience des menaces qui pèsent sur l’avenir de la planète. Certains pays se sont d’ailleurs engagés beaucoup plus que la France pour prendre des mesures opérationnelles y compris la Chine même si le niveau de pollution demeure forcément inquiétant. Mais il faut voir d’où la Chine partait en tant que zone qui concentre l’essentiel des usines du monde. La Chine a par exemple pris une avance en matière de développement des véhicules électriques. Bien d’autres mesures sont prises ailleurs. La tâche est ici les complexes cars il s’agit d’articuler une évolution des modes de production et des modes de consommation en prenant aussi en compte l’acceptabilité sociale des mesures de transition. Justement une problématique que la France a un peu de mal à intégrer concrètement .

Code du travail : La presse allemande approuve .

Code du travail : La presse allemande approuve

 

La presse allemande commence à ce persuadé que la France est enfin engagée dans la voie de la réforme et approuve les dispositions du code de travail nouveau en France. Cette réforme qui devrait offrir plus de flexibilité aux employeurs ne surprend pas les Allemands, habitués aux contrats spéciaux et aux modalités de licenciement plus légères qu’en France. La presse allemande se réjouit donc de voir que leur modèle économique puisse servir d’exemple. La “Süddeutsche Zeitung” insiste sur le fait que le président souhaite que la “confrontation typiquement française entre le travail et le capital se transforme en une coopération, comme en Allemagne”.Le journal berlinois Tagesspiegel considère de son côté cette réforme comme “une réforme pour l’image et pour le pays”. Le président fraichement élu est “mis à l’épreuve” et doit réussir à affirmer son autorité malgré l’opposition. Une forte mobilisation des syndicats contre la loi travail pourrait fragiliser le gouvernement. Mais les principaux syndicats apparaissent pour le moment encore très divisés. Macron se retrouve donc face à une opposition qui, selon le “Tagesspiegel” “s’effrite”.Le ministre allemand des affaires étrangères s’est aussi félicité de la proposition de la France pour réformer la directive sur le travail détaché. « Il est bon que sur le marché intérieur on ne fasse pas toujours la course aux plus bas salaires » et au moins disant social, a déclaré le dirigeant social-démocrate. « Nous avons besoin d’une Europe plus fair-play pour tout le monde ».Selon ce dernier, « le moteur franco-allemand est à la relance » et les deux pays ont un esprit de coopération « extrêmement fort et vigoureux », ce qui leur permettra d’être « ensemble les acteurs de la refondation de l’Europe ».

Programme Macron : approuvé par 63% des Français

Programme Macron : approuvé par 63% des Français

 

63% des Français approuvent les principales mesures de Macron d’après le baromètre Odoxa pour BFM Business et le magazine Challenges. S’ils approuvent une grande partie d’entre elles, les Français semblent plus mitigés en ce qui concerne l’efficacité globale de ces propositions. 48% d’entre eux (contre 51%) pensent en effet que les mesures prônées par l’ancien ministre de l’Économie sauront redonner confiance au pays et redresser l’économie. Ils ne sont que 46% à les trouver « socialement justes » et seulement 38% à les qualifier de « réalistes ». Et surtout, seuls 39% d’entre eux les jugent  »économiquement efficaces ». Par ailleurs, Odoxa note qu’une minorité des plus bas revenus (43%) pense que ses mesures pourraient avoir un impact positif sur l’économie alors qu’ils sont une large majorité (57%) chez les Français les plus aisés à juger ses propositions efficaces. Les plus pauvres sont tout de même nettement plus nombreux à apprécier les mesures d’Emmanuel Macron que celles de François Fillon testées il y a un mois.  Sans surprise, les personnes interrogées approuvent en premier lieu les propositions qui vont améliorer leur pouvoir d’achat. Ainsi, ils sont 86% à soutenir le remboursement à 100% des lunettes et des audioprothèses et 73% à approuver l’extension du droit au chômage pour les indépendants après cinq ans d’activité et pour les salariés démissionnaires. 81% d’entre eux se disent également favorables à la création de 12.000 postes de professeurs et 10.000 postes de policiers et gendarmes. Les autres mesures sont bien moins acceptées. C’est le cas du plafonnement des indemnités versées en cas de licenciement (56% d’adhésion). Voire rejetées, comme la transformation de l’ISF en impôt sur la rente immobilière (43%) et la suppression des cotisations chômage et maladie payées par le salarié, conjuguée à la hausse de la CSG (42%). Il faut enfin souligner qu’en moyenne, les dix mesures testées sont soutenues par 69% des sympathisants de l’ensemble de la gauche et par 60% des sympathisants de droite. Même constat sur le caractère « innovant » du programme, reconnu majoritairement comme tel à droite (51%) comme à gauche (58%). Le clivage réapparaît en revanche sur sa dimension « socialement juste », les sympathisants de droite étant 43% à le juger de la sorte contre 51% à gauche.

(*) Enquête réalisée auprès d’un échantillon représentatif de 980 personnes âgées de 18 ans et plus.

2017 Macron candidat : approuvé par 57% des Français

2017 Macron candidat : approuvé par 57% des Français

 

 

Pour 57 % des Français la candidature de macro pour 2017 est une bonne chose. En outre il fait le même score chez les sympathisants de gauche selon un sondage. Odoxa. Pour Céline Bracq, directrice générale de l’institut de sondage Odoxa, « on peut dire que la candidature en cavalier seul d’Emmanuel Macron est bien accueillie. Pour lui, c’est clairement un bon début, il est considéré comme différent des autres personnalités politiques. »  Emmanuel Macron est jugé « dynamique » par 79% des Français. L’ex-ministre de l’Economie incarne le renouveau pour 61% d’entre-eux,  et est considéré comme compétent pour 60% des sondés. Pour 63% des personnes interrogées, Emmanuel Macron a raison de ne pas passer par la primaire de gauche en janvier. Même chez les sympathisants de gauche, on estime à 56% qu’il a raison de sauter l’obstacle. « Cela pourrait paraître étonnant car les Français apprécient primaires», souligne Céline Bracq, directrice générale de l’institut de sondage Odoxa.   56% des sondés situent Emmanuel Macron « au centre ».

Le Parlement européen approuve l’accord de Paris sur le climat

Le Parlement européen approuve l’accord de Paris sur le climat 

 

Avec l’adoption par le Parlement européen l’accord sur le climat recueil suffisamment de ratification et pourra entrer en vigueur Le texte, soutenu par près de 200 pays lors de son adoption en décembre dernier lors de la conférence COP21 au Bourget, près de la capitale française, est censé favoriser la réduction de la consommation d’énergies fossiles pour limiter le réchauffement climatique « nettement en-dessous des 2°C » par rapport aux niveaux préindustriels d’ici la fin du siècle et de s’efforcer de limiter cette augmentation à 1,5°C. Les députés européens réunis à Strasbourg l’ont adopté par 610 voix contre 38 et 31 abstentions. « Notre mission collective consiste à transformer nos engagements en actions sur le terrain », a déclaré peu après le vote le commissaire européen chargé du Climat, Miguel Arias Cañete. Les 28 Etats membres devraient ratifier définitivement l’accord cette semaine avant que l’instrument de ratification soit formellement déposé vendredi aux Nations unies. Avec le feu vert de l’Union européenne, l’accord de Paris franchit le seuil minimal de ratification par des pays représentant au moins 55% des émissions mondiales de gaz à effet de serre (GES), nécessaire pour sa mise en application. Un premier seuil, celui de l’adoption par au moins 55 pays, avait déjà été franchi le 21 septembre dernier. La Chine (un peu plus 20% des émissions) et les Etats-Unis (18%), les deux plus gros pays émetteurs, ont ratifié le texte début septembre avant le sommet du G20, l’Inde (environ 4%) l’a fait le week-end dernier. Les 28 pays de l’UE représentent quant à eux 12% des émissions mondiales de GES. Une fois la ratification européenne notifiée à l’Onu, l’accord entrera en vigueur au terme d’un délai de 30 jours, donc juste à temps avant l’ouverture de la prochaine conférence mondiale sur le climat, début novembre à Marrakech.

(Avec Reuters)

Brexit : Angela Merkel approuve Cameron

Brexit : Angela  Merkel approuve Cameron

Pour éviter le Brexit,  Merkel soutient David Cameron dans ses revendications pour demeurer dans l’union européenne. En cause, une proximité  de vue idéologique notamment pour que l’Europe demeure essentiellement une zone de libre-échange et non un super-Etat développant des politiques communes dans nombre de secteurs. Un seul exemple la relative indifférence de l’Allemagne pour lutter contre l’État islamique. Par contre Merkel rejoint légitimement David Cameron pour une réforme de l’union européenne tendant à améliorer la compétitivité, à favoriser la transparence et à lutter contre la bureaucratie. Ainsi a-t-elle déclaré devant le Bundestag. « Il ne s’agit pas juste des intérêts particuliers des Britanniques (…) Bien au contraire, de nombreux points sont justifiés et compréhensibles », même sur le contentieux de la limitation des prestations sociales pour les migrants intra-européens, a-t-elle insisté. « Il est évident que chaque pays membre doit pouvoir protéger son système social contre les abus », a estimé la chancelière, reprenant l’argument de David Cameron pour exiger des coupes dans les aides sociales. « Je suis convaincu qu’il ne nous reste que quelques pas à faire pour parvenir à un accord », a déclaré mardi le président du Conseil européen, Donald Tusk, qui mène les négociations. Le Premier ministre français, Manuel Valls, a quant à lui estimé mercredi qu’un accord était possible et souhaitable. Les négociations se concentraient ces derniers jours sur les problèmes de gouvernance économique, les rapports entre la zone euro et les pays qui n’en font pas partie, et la réglementation financière – afin que les institutions financières britanniques ne bénéficient pas d’un avantage sur leurs concurrentes. Autre dossier, la possibilité pour le Royaume-Uni de priver de prestations sociales les travailleurs européens arrivés sur son sol, pendant un temps limité et si des conditions exceptionnelles sont identifiées : un afflux exceptionnel de travailleurs menaçant l’équilibre du marché du travail. Les deux autres points, la compétitivité de l’Europe et la place des Parlements nationaux faisaient quant à eux l’objet de convergences importantes, tandis qu’un travail d’interprétation de la formule d’une Union. Le dirigeant conservateur espère arracher un compromis lors du sommet des 28 chefs d’État et de gouvernement européens jeudi et vendredi à Bruxelles, ce qui lui permettrait d’organiser cette consultation dès le mois de juin. Le président du Conseil européen, Donald Tusk, n’est guère optimiste. Il dit n’avoir « aucune garantie » que l’UE parviendrait à un accord avec Londres pour empêcher un « Brexit », la sortie du Royaume-Uni de l’Union. L’Europe a l’habitude des situations conflictuelles et après des menaces de réussite puis une laborieuse négociation il se pourrait bien que David Cameron puisse afficher des concessions de l’union européenne afin de remporter le référendum concernant le maintien  du Royaume-Uni dans l’UE.

Macron : une majorité approuve ses idées

Macron : une majorité approuve ses idées

Macron a de bonnes idées mais pratiquement il ne les met pas en œuvre, ce que pense une majorité de Français. Si la réforme du statut des fonctionnairesla remise en cause des 35 heures ou encore la généralisation du travail le dimanche suscitent l’ire de la gauche et des syndicats, ce n’est pas le cas pour la majorité des Français qui adhèrent à ses idées révèle un sondage Odoxa pour BFM Business, Challenges et Aviva. Parmi les idées les plus populaires du ministre de l’Économie : l’évolution du statut des fonctionnaires, « plus justifiable » selon Emmanuel Macron et « plus adapté pour certaines missions » pour 68% des personnes interrogées, et l’assouplissement des 35 heures. Sept personnes sur dix approuvent le fait qu’ »il faut permettre aux entreprises de déroger aux 35h si les salariés sont d’accord ».  Dans les deux cas, l’exécutif avait recadré le ministre en assurant que le temps de travail et que le statut des fonctionnaires ne seraient pas remis en cause. Parallèlement, le premier ministre Manuel Valls a assuré en septembre dernier qu’une réforme du Code du travail serait lancée dès l’été 2016.Fortement critiquée par les syndicats, l’ouverture des commerces 12 dimanches par an prévue dans le cadre de la loi Macron, au lieu de cinq actuellement, enthousiasme 71% des Français. Enfin, plus de la moitié des sondés (52%) estiment qu’ »il faut des jeunes Français qui aient envie de devenir milliardaires ». Les idées du ministre de l’Économie sont plébiscitées par les partisans de droite tout comme ceux de la gauche, dans une moindre mesure.  »Si le ministre de gauche réalise un véritable ‘strike’ auprès des sympathisants de droite sur tous ces points (65% à 81%), il recueille aussi l’adhésion d’une nette majorité de sympathisants de gauche sur les trois » premiers (56% à 64%), commente le président d’Odoxa, Gaël Sliman, dans un communiqué. Les deux-tiers (66%) des personnes interrogées pensent toutefois qu’Emmanuel Macron est quelqu’un « qui lance de nouvelles idées mais finalement ne les met pas beaucoup en application ». Mais 43% d’entre eux estiment que le ministre ferait un bon président de la République, un niveau « tout à fait élevé », selon Gaël Sliman, et « aussi bon auprès des sympathisants de droite qu’auprès de ceux de gauche » (46% et 43% respectivement).

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