Archive pour le Tag 'appliquée'

Désinformation du Figaro sur les retraites : » pour les Français, inévitable que la réforme soit appliquée « !

Désinformation du Figaro sur les retraites : » pour les Français, inévitable que la réforme soit appliquée ! »

Le Figaro qui ne fait pas dans la dentelle titre que d’après un sondage 92 % des Français estiment que l’application de la réforme des retraites est inévitable. Ou comment tordre un sondage qui indiquait que 92 % des Français pensaient que la réforme serait appliquée. Une nuance de taille dont ne s’embarrasse pas le journal.

Selon le dernier sondage Odoxa Backbone consulting réalisé pour Le Figaro, 92% des Français sont en effet persuadés que la réforme sera de toutes les manières appliquée.Ce qui n’indique nullement que les Français sont en accord avec cette application. Un peu de déontologie ne nuirait pas un journal souvent pertinent mais souvent aussi partial. La tentative de Liot d’abroger le texte a en plus échoué en tombant sous le coup de l’irrecevabilité financière instaurée par l’article 40 de la Constitution. Et les deux premiers décrets d’application sont parus le 4 juin au Journal officiel.

Et d’enfoncer le clou : » L’opinion estime même que le mouvement touche à sa fin (59%), ou qu’il va devenir «très marginal». «Jusqu’à présent, les Français avaient toujours cru, non seulement que le mouvement ‘tiendrait’ mais même qu’il se durcirait», rappelle Céline Bracq, directrice générale d’Odoxa ».

« En témoigne aussi la situation du leader de la CFDT, Laurent Berger, lequel perd 16 points de bonnes opinions depuis le mois de mars (42%). ». Décidément au Figaro on n’aime guère les syndicats car la mesure de popularité de Laurent Berger n’a aucun sens puisque son mandat est terminé.

La taxe numérique : appliquée dès cette année ?

La taxe numérique : appliquée dès cette année ?

 

Sans doute portée par l’euphorie des réflexions sur le jour d’après, le ministre de l’économie et des finances annonce que la fameuse taxe numérique sera mise en œuvre en France dès cette année même si aucun accord international ,actuellement discuté, ne parvient à être réalisé. 

 

Première observation on se demande alors pourquoi la France a suspendu son projet de taxe pour se soumettre à une négociation internationale. Il ne fallait pas être grand clerc pour savoir que la confrontation internationale porterait sur  :le niveau de cette taxe et la date à partir de laquelle s’appliquerait. On peut de se demander s’il n’y a pas un peu de démagogie dans la déclaration de Bruno Lemaire ; en effet pour rendre applicable une taxe française sur le numérique en 2020 il faudra accélérer sérieusement la procédure. En vérité, juridiquement cette taxe pourrait être envisagée sans doute qu’à partir de 2021. Il faudra aussi en mesurer les séquences. On sait en effet que les États-Unis ont  lourdement pénalisés certains produits français par des droits douaniers par exemple sur le vin et qu’ils  envisagent  encore d’élargir l’assiette de ses droits et d’augmenter leur niveau. Sur ce dossier, force est de constater que la France fait un pas en avant, un pas en arrière et que les déclarations officielles non suivis d’effets discréditent plutôt la position française dans ce domaine . “Jamais la taxation des géants numériques n’a été plus légitime et plus nécessaire”, a déclaré Bruno Le Maire. “En tout état de cause, la France, comme elle l’a toujours indiqué appliquera une taxation aux géants du numérique en 2020, soit sous une forme internationale s’il y a un accord, soit sous une forme nationale s’il n’y a pas d’accord”, a-t-il ajouté.

Près de 140 Etats négocient actuellement sous l’égide de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) un nouvel accord sur la fiscalité transfrontalière afin de l’adapter à l’ère numérique, mais la pandémie de coronavirus a ralenti les discussions et l’engagement réaffirmé en début d’année de parvenir à un accord international d’ici fin 2020 semble de plus en plus difficile à tenir.

Bruno Le Maire avait répété à plusieurs reprises avant l’émergence de la crise sanitaire qu’une taxe numérique à l’échelle européenne serait indispensable, faute d’accord de la communauté internationale. En l’absence d’accord, plusieurs Etats membres ont mis en place une taxe numérique nationale. La France a ouvert la voie en instaurant sa propre taxe l’an dernier, ce qui lui a valu des menaces de représailles commerciales de la part des Etats-Unis. Les échéances de paiement ont toutefois été suspendues jusqu’à la fin de l’année dans l’attente d’un accord international.

La taxe numérique : appliquée dès cette année ?

La taxe numérique : appliquée dès cette année ?

 

Sans doute portée par l’euphorie des réflexions sur le jour d’après, le ministre de l’économie et des finances annonce que la fameuse taxe numérique sera mise en œuvre en France dès cette année même si aucun accord international ,actuellement discuté, ne parvient à être réalisé

Première observation on se demande alors pourquoi la France a suspendu son projet de taxe pour se soumettre à une négociation internationale. Il ne fallait pas être grand clerc pour savoir que la confrontation internationale porterait sur  :le niveau de cette taxe et la date à partir de laquelle s’appliquerait. On peut de se demander s’il n’y a pas un peu de démagogie dans la déclaration de Bruno Lemaire ; en effet pour rendre applicable une taxe française sur le numérique en 2020 il faudra accélérer sérieusement la procédure. En vérité, juridiquement cette taxe pourrait être envisagée sans doute qu’à partir de 2021. Il faudra aussi en mesurer les séquences. On sait en effet que les États-Unis ont  lourdement pénalisés certains produits français par des droits douaniers par exemple sur le vin et qu’ils  envisagent  encore d’élargir l’assiette de ses droits et d’augmenter leur niveau. Sur ce dossier, force est de constater que la France fait un pas en avant, un pas en arrière et que les déclarations officielles non suivis d’effets discréditent plutôt la position française dans ce domaine . “Jamais la taxation des géants numériques n’a été plus légitime et plus nécessaire”, a déclaré Bruno Le Maire. “En tout état de cause, la France, comme elle l’a toujours indiqué appliquera une taxation aux géants du numérique en 2020, soit sous une forme internationale s’il y a un accord, soit sous une forme nationale s’il n’y a pas d’accord”, a-t-il ajouté.

 

Près de 140 Etats négocient actuellement sous l’égide de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) un nouvel accord sur la fiscalité transfrontalière afin de l’adapter à l’ère numérique, mais la pandémie de coronavirus a ralenti les discussions et l’engagement réaffirmé en début d’année de parvenir à un accord international d’ici fin 2020 semble de plus en plus difficile à tenir.

Bruno Le Maire avait répété à plusieurs reprises avant l’émergence de la crise sanitaire qu’une taxe numérique à l’échelle européenne serait indispensable, faute d’accord de la communauté internationale. En l’absence d’accord, plusieurs Etats membres ont mis en place une taxe numérique nationale. La France a ouvert la voie en instaurant sa propre taxe l’an dernier, ce qui lui a valu des menaces de représailles commerciales de la part des Etats-Unis. Les échéances de paiement ont toutefois été suspendues jusqu’à la fin de l’année dans l’attente d’un accord international.

Démocratie : considérée comme appliquée dans la moitie du monde

Démocratie : considérée comme appliquée dans la moitie du monde

 

Il n’est sans doute pas surprenant qu’une enquête révèle que la démocratie n’est appliquée qu’à moitié sur la planète.

Il y a bien sûr les pays elle ne l’est pas du tout ou alors  de manière très formelle comme dans les dictatures ou quasi  dictatures mêmes si des élections veulent donner une illusion démocratique. La Chine évidemment, d’autres dictatures mais aussi des pays démocratiques  dont les modalités sont loin de satisfaire des citoyens. En cause, le faite de l’élévation culturelle du citoyen moyen, de la diffusion massive de l’information contradictoire aussi des progrès de la transparence de la gouvernance.  Ainsi,  rares sont les pays où les dirigeants une fois évincés n’ont pas à rendre des comptes d’une manière ou d’une avec la justice. L’insatisfaction dans les pays développés (et les autres aussi) tient surtout au fait  que la démocratie est restée pratiquement à l’aéré néandertalienne. C’est la démocratie représentative où le citoyen n’est invité à donner son avis que lors du dépôt d’un bulletin de vote. Ensuite les élus font à peu près ce qu’ils veulent ou-et  ce qu’ils peuvent en fonction des intérêts des lobbies.  Une moitié seulement des habitants de la planète jugent que les principes démocratiques sont respectés là où ils vivent, selon un sondage de l’institut allemand Dalia Research et de l’Alliance of Democracies Foundation.

L’enquête réalisée auprès de 150.000 personnes dans 57 pays montre en outre que, même dans les démocraties, 38% des habitants ne sont pas satisfaits de la situation.

 

“A l’heure actuelle, le principal risque pour les démocraties est que les gens ne les considèrent plus comme telles”, souligne Nico Jaspers, PDG de Dalia Research, dans un communiqué diffusé mardi.

Aux États-Unis, où la campagne pour la présidentielle de 2020 vient de débuter, 46% des personnes interrogées jugent que les principes démocratiques sont respectés, mais 40% estiment qu’ils pourraient l’être davantage.

Plus de la moitié des Américains considèrent par ailleurs que leur pays a eu une influence positive dans le monde, alors qu’une majorité est d’un avis contraire dans des pays occidentaux tels que le Canada et les Etats membres de l’Union européenne. Parmi les habitants de ces derniers, 52% jugent que l’UE n’agit pas dans leur intérêt. En Italie, où les eurosceptiques du Mouvement 5 étoiles et de la Ligue sont au pouvoir depuis un an, la proportion d’insatisfaits atteint 69%. Elle est également très élevée en France et en Grèce. La plupart des Européens pensent par ailleurs que les banques et le secteur financier ont une influence négative et c’est en Grèce, où la crise de la dette a eu d’énormes conséquences sociales, qu’ils sont le plus nombreux à exprimer cet avis.

L’écotaxe doit être appliqué pour le Conseil d’État

L’écotaxe  doit être appliqué pour le Conseil d’État

 

 

Situation ubuesque qui témoigne d’une certaine façon d’un certain amateurisme du gouvernement concernant l’éco taxe. En effet faute d’avoir été abrogée officiellement l’écotaxe demeure et doit être appliquée. C’est en tout cas l’avis du conseil d’État. Or le gouvernement a clairement indiqué qu’il renonçait au principe même de l’écotaxe. Pour satisfaire aux exigences du conseil d’État peut-être le gouvernement va-t-il créer une écotaxe forfaitaire à un euro ? En effet il faut une loi pour annuler juridiquement la fiscalité qui était envisagée. Le refus du gouvernement d’appliquer l’écotaxe, toujours pas formellement abrogée, est « illégal ». Voilà ce qu’a estimé ce lundi le Conseil d’État, qui a sommé l’exécutif de prendre un arrêté fixant la date de début de collecte de cette taxe.  Le gouvernement pensait en avoir fini avec l’écotaxe, suspendue sine die fin 2014 après la révolte des « bonnets rouges », mais le Conseil d’État vient de le rappeler à ses devoirs. La plus haute juridiction administrative impose désormais à la ministre de l’Environnement, Ségolène Royal, de préciser « la date de mise en oeuvre du dispositif technique nécessaire à la collecte de la taxe nationale sur les véhicules de transport de marchandises » et ce « dans un délai de six mois », l’assemblée nationale et le Sénat soit en mesure de prendre une disposition législative dans ce sens avant les présidentielles.  Le Conseil d’Etat rappelle que le gouvernement était « tenu de prendre dans un délai raisonnable les mesures réglementaires, telles qu’un arrêté, qu’implique nécessairement l’application de la loi ». Mais l’exécutif « a décidé de reporter la perception de cette taxe et n’a donc pas pris l’arrêté en question ».

Loi Macron : pas appliquée avant 2016 ou jamais

 Loi Macron :  pas appliquée avant 2016 ou jamais

La fameuse loi Macron ne sera pas appliquée demain. Plusieurs raisons,  d’abord le calendrier du parlement avec les navettes Assemblée-sénat. Il faudra encore plusieurs mois d’allers et retours d’autant que le sénat ( à majorité de droit)   n’est pas pressé d’étudier le texte). Au mieux la décision législative’ n’  interviendra pas avant l’été. Ce texte sera nécessairement amendé sur de nombreux points, il pourraiat même être dénaturé pour répondre aux critiques tant de l’opposition que des frondeurs qui considèrent que cette loi  a été conduite à la hussarde ( 300 articles !). il faudra aussi intégrer les observations nombreuses  du conseil constitutionnel. . Dans son avis consultatif, le Conseil d’Etat a notamment alerté l’exécutif mi-décembre sur « les risques de non-constitutionnalité de la partie du texte concernant les professions réglementées ». « Cela concerne à la fois les mesures permettant d’abaisser certains prix et celles libéralisant l’installation (des notaires et huissiers, Ndlr) », indiquait l’institution. En plein hémicycle, début février, Emmanuel Macron a toutefois reconnu « s’être trompé » sur cet aspect, revoyant sa copie en plein débat parlementaire. Après la validation ou non d’une loi par les Sages, le gouvernement doit en promulguer les décrets d’application. L’opposition parle déjà d’ »usine à gaz ». Vaste, le texte d’Emmanuel Macron concerne plusieurs ministères et impliquent un travail juridique important en aval. En effet, si certains articles seront instantanément traduits dans la réalité – l’élargissement du travail dominical, entre autres -, d’autres imposeront la modification de textes législatifs, de règlements administratifs ou même de conventions socioprofessionnelles. Interrogé par les sénateurs, Jacques Attali s’est montré plutôt pessimiste : « La loi ne rentrera en application que fin 2016 et n’aura finalement d’effets qu’au début des prochaines élections présidentielles. Vous voyez l’importance toute relative que je lui accorde. » Enfin et peut-être surtout avec la débâcle annoncée pour le PS aux départementales, le gouvernement de Valls risque de sauter et du coup, la loi Macron  un symbole de la ligne social-libérale du gouvernement Valls risque d’être définitivement enterrée.




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol