Archive pour le Tag 'appel'

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Catalogne : appel à la résistance…. Démocratique, pour l’instant

Catalogne : appel  à la résistance…. Démocratique, pour l’instant

 

Carles Puigdemont a lancé un appel à la résistance démocratique après la destitution des instances  régionales par Madrid. On voit mal comment cette résistance pourrait se limiter à des formes passives dans la mesure où nécessairement Madrid voudra imposer par la force la nouvelle administration centrale. De fait en même temps que la suppression des institutions régionales les lois régionales seront aussi mises en cause. Il est clair que les catalans ne se laisseront pas faire sans réagir. Cela d’autant plus que le Premier ministre espagnol en difficulté avant cette affaire se sent maintenant pousser des ailes et d’une certaine manière instrumentalise la Catalogne pour renforcer son propre pouvoir en Espagne. On comprend que Puigdemont  ait décidé d’afficher une résistance passive. Il sait en effet que tout dérapage verbal pourrait lui valoir une arrestation est sans doute une lourde condamnation. D’une certaine manière, les responsables de Barcelone comme ceux de Madrid jouent avec le feu car il y aura nécessairement des réactions y compris violentes comme lors du 1er octobre. Il pourrait en être de même lors nouvelles élections prévues le 21 décembre si par exemple des maires  indépendantistes refusent d’organiser le scrutin. De toute manière, Madrid comme Barcelone portent une lourde responsabilité dans l’aggravation de la situation. Il aurait été en effet beaucoup plus simple de convenir conjointement e la nécessité de nouvelles élections mais sans aucune mesure répressive et sans suspension des institutions catalanes. Dans une brève déclaration samedi, Carles Puigdemont a accusé Madrid d’“agression préméditée” contre la volonté du peuple catalan de se constituer en Etat indépendant. “Il est très clair que la meilleure manière de défendre les gains obtenus jusqu‘ici est une opposition démocratique à l‘article 155”, a déclaré Carles Puigdemont. L‘article 155 de la Constitution espagnole est la disposition juridique qui a permis la mise sous tutelle directe du pouvoir central de la région de Catalogne. Mais, le président déchu de la Généralité de Catalogne est resté vague sur les mesures à prendre par les partisans de la sécession alors que les autorités madrilènes ont commencé à prendre des mesures de gestion directe de la région.

Grigny : l’appel des drogués à la dépense publique

Grigny : l’appel des drogués à la dépense publique

 

Une  centaine de maires ont lancé un « appel de Grigny», un appel de drogués à la dépense publique. Et pour se justifier, ces maires instrumentalisent  notamment la misère des quartiers difficiles pour justifier le maintien voir le développement des ressources des collectivités locales.  Il faut aux élus  locaux une grande dose d’hypocrisie et d’incompétence pour crier au loup vis-à-vis des mesures d’économies que souhaite imposer Macron aux collectivités locales. Le pire c’est quand ces élus locaux, aussi responsables nationaux, défendaient il y a encore quelques temps lors  de la campagne électorale des mesures encore plus contraignantes. Ces protestations des élus locaux sont à la fois indécentes et irresponsables. On sait que la plupart des responsables territoriaux ne maîtrisent  plus depuis longtemps la dérive des coûts de fonctionnement et qu’en outre ils ne cessent  de développer des projets d’investissement le plus souvent inutiles. Cela vaut les très grandes administrations ou les maires  sont complètement dominées par les superstructures, ce qui explique en particulier le développement incontrôlé des effectifs locaux. Mais cela vaut aussi pour les villes moyennes et les agglomérations rurales. Les collectivités locales sont complètement droguées à la dépense publique,  ignorent tout concept d’équilibre financier et font jouer la seule variable d’ajustement en augmentant sans cesse la fiscalité. Finalement le même processus que pour l’État et qui conduit la France à un niveau 57 % du PIB pour les dépenses publiques. En son temps Giscard d’Estaing avait déclaré que si ce niveau atteignait 50 % on pourrait considérer que le pays était en régime socialiste. Il y a longtemps que ce niveau a été dépassé ! D’une certaine manière les maires ne ce conduisent pas différemment de certains gauchistes et corpos du secteur public en réclamant toujours plus de l’État et d’une manière générale de la collectivité. Pas étonnant la plupart de ces maires sont d’anciens fonctionnaires et n’entretiennent avec les équilibres financiers que des rapports approximatifs. Cet appel des maires est évidemment indécent et relève du plus pur corporatisme. Indécent parce qu’il instrumentalise la misère sociale réelle de certaines catégories et de certains quartiers alors que l’essentiel des ressources est affecté à des dépenses qui n’ont rien à voir avec ce sujet, pire qui sont  absorbées  par des dépenses de fonctionnement et d’investissement complètement incontrôlées .

 

Loyer : l’appel de Macron à baisser de 5 euros, un gadget

Loyer : l’appel de Macron à baisser de 5 euros, un gadget

Décidément le gouvernement ne cesse de s’enfoncer dans le dérisoire avec cette affaire d’APL. Il y a d’abord eu la décision de donner un coup de rabot généralisé de cinq euros sur l’aide personnalisée au logement. Une mesure très décriée dans la mesure où le montant était symbolique mais cependant inégalitaire puisqu’on ne tenait pas compte des situations concrètes notamment des plus défavorisés. Une mesure qui déjà sentait l’’improvisation alors qu’il s’agit sans doute de procéder à une réforme structurelle autrement plus approfondie tenant compte en particulier du patrimoine des bénéficiaires. Pour tenter de se rattraper sans doute, macro, invite les bailleurs à réduire leur loyer de cinq euros. Un appel tout aussi dérisoire qui caractérise également une certaine improvisation. Notons que l’appel sollicite le volontariat alors que si le gouvernement ne voulait réellement il pourrait faire jouer les dispositions légales sur l’encadrement des loyers. Le président de la république reconnaît d’ailleurs que cette affaire de réduction de cinq euros de l’APL n’est guère structurante. Il a reporte d’ailleurs la responsabilité sur le gouvernement précédent “J‘ai entendu comme vous en juillet dernier des réactions à la baisse des cinq euros des APL”, a dit le chef de l‘Etat lors d‘un discours au corps préfectoral à l‘Elysée. “Etait-ce la mesure la plus structurante et la plus structurelle? Non. Elle venait en application de ce qui avait été voté en début d‘année (…) pour faire une économie de 150 millions euros”. “Appeler publiquement tous les propriétaires à baisser de cinq euros le loyer par mois si on veut accompagner le locataire : l‘Etat n‘a pas à payer tout”, a estimé le chef de l‘Etat. Annoncée en juillet, la baisse à compter du 1er octobre de l‘APL, de l‘allocation de logement familiale (ALF) et de l‘allocation de logement à caractère social (ALS) a suscité l‘ire des syndicats et des associations d‘aide aux plus pauvres, contribuant à la chute de popularité du président Emmanuel Macron. Emmanuel Macron a de son côté indiqué la semaine dernière, dans une interview au Point, qu‘il envisageait de poursuivre la baisse des aides au logement “mais seulement dans le cadre d‘une transformation profonde qui doit faire baisser les loyers et dans le cadre d‘une politique plus globale”. En remettant couvert sur les cinq euros Emmanuel Macon fait de toute évidence une erreur de communication.

Appel des Républicains pour Macron : un coup de poignard dans le dos

Appel des Républicains pour  Macron : un coup de poignard dans le dos

« L’appel de responsables LR UDI est un coup de poignard dans le dos de nos 577 candidats aux législatives », a dénoncé Eric Woerth pendant le bureau politique. Du coup les républicains ont lancé un contre-appel qui sera soumis aux candidats investis par l’alliance pour les législatives des 11 et 18 juin, les invite à s’engager « à défendre résolument les valeurs et le projet politique de la droite et du centre ». « Ce projet n’est évidemment pas celui des candidats En Marche », poursuit le texte. Seuls deux membres du bureau politique, le maire de Nice Christian Estrosi et la sénatrice du Bas-Rhin Fabienne Keller, tous deux signataires de l’appel lancé lundi, ont soutenu cette démarche devant l’instance dirigeante du parti. En revanche, plusieurs proches d’Alain Juppé ont apporté leur soutien au « contre-appel ». « Juppéiste ne rimera pas avec opportuniste », a déclaré Virginie Calmels, proche du maire de Bordeaux, dont les propos étaient également rapportés. Cependant ce contre-appel risque d’être en grande partie inaudible pour les électeurs puisque certains responsables du parti des Républicains se sont prononcés pour Macron et participeront même aux nouveaux gouvernements sans pour autant être formellement exclus ni de LR, ni de l’UDI. Une manière pour ces deux organisations de se préparer à  coopérer avec Macron pour le cas aucune majorité ne se dégagerait clairement aux  Législatives. 

Hamon : dernier appel avant fermeture de la boutique du PS

Hamon : dernier appel avant fermeture de la boutique du PS

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C’est sans doute le dernier grand appel de Benoît Hamon avant fermeture de la boutique socialiste. D’après les sondages,  le candidat officiel du PRS ne recueillerait même pas 10 % des voix ce qui annonce une véritable catastrophe pour les législatives et sans doute les soldes du parti avant éclatement et fermeture totale. Même lors  de son dernier meeting à Paris place de la république Hamon n’a pas fait recette. Quelques milliers de partisans seulement soit 10 fois moins que Jean-Luc Mélenchon le 18 mars.  Du coup Benoît amont a lancé un appel un peu désespéré.  « Citoyennes, citoyens, réveillez-vous, parce que vous seuls pouvez éviter un cauchemar pour la France ! » a lancé Benoît Hamon à des milliers de sympathisants agitant des drapeaux aux couleurs du PS sous le soleil. Le candidat socialiste, qui semble faire les frais d’un « vote utile » en faveur du candidat d’En Marche ! Emmanuel Macron et de Jean-Luc Mélenchon pour contrer le Front national, a plaidé pour « un vote de raison, de conviction, un vote sur l’avenir » et non un vote guidé par « des sondages qui limitent (le) choix souverain » des électeurs. Si le PS continue officiellement de défendre son candidat, les débats vont bon train en coulisses pour préparer ce que sera sa position pour le second tour et surtout les élections législatives des 11 et 18 juin. Le PS, pratiquement assuré de ne pas avoir de candidat au second tour de la présidentielle, a aussi beaucoup à perdre lors des législatives, au sortir d’une législature pendant laquelle il a bénéficié avec ses alliés, radicaux de gauche notamment, de la majorité absolue à l’Assemblée nationale.

Sarkozy : appel mou pour Fillon

Sarkozy : appel  mou pour Fillon

Il aura fallu que l’entourage de Fillon insiste beaucoup obtenir un soutien de Nicolas Sarkozy lequel jusque-là a fait le service minimum. Il en sera de même pour Juppé encore plus réticent mais qui veut montrer son respect à l’égard des engagements pris lors des primaires. Pourtant certains proches de Juppé se sont clairement prononcés en faveur de Macron. Nicolas Sarkozy, qui ne cache pas en privé son dépit face aux démêlés judiciaires de François Fillon, désormais disqualifié pour le second tour dans l’ensemble des sondages, avait déjà apporté son soutien au candidat le 7 avril dans un message écrit sur Facebook et Twitter. Déjà le 7 avril, Nicolas Sarkozy déclarait que « François Fillon est le seul parmi les candidats à avoir l’expérience qui lui permettra d’incarner et de réussir l’alternance dont la France a tant besoin. » Il insiste mardi, dans une déclaration brève, voire minimale : « J’ai travaillé cinq ans avec François Fillon, il a été mon Premier ministre, je sais que nous pouvons lui faire confiance. » « Dimanche prochain, il faut se rassembler pour éviter cette maladie si fréquente à droite de la division », souligne-t-il sans doute avec l’arrière-pensée de reprendre en main les républicains en cas de défaite de Fillon. « L’intérêt de la France impose à chacun d’entre nous de voter sans états d’âme pour François Fillon. C’est ce que je ferai. Ce choix, c’est un choix de conviction. Dimanche prochain je vous demande de vous rassembler derrière François Fillon », conclut l’ancien président. Le candidat de la droite, qui se dit convaincu d’accéder au second tour de la présidentielle malgré une campagne entravée par ses ennuis judiciaires, attend avec impatience mercredi le soutien public d’Alain Juppé, héraut du centre-droit dont l’électorat s’est détourné pour partie du député de Paris, lors d’une visite à l’école 42 de Xavier Niel, à Paris.

« Appel à l’intelligence des Français »(Hollande). ….. il serait temps

« Appel à l’intelligence des Français »(Hollande). ….. il serait temps

 

 

 

François Hollande lance un appel à l’intelligence des Français en vue de l’élection de 2017. Appel  utile sans doute mais qui aurait été plus crédible si le même appel avait été lancé au début de son mandat.  En effet, ce qui caractérise son bilan ce sont des résultats médiocres dus essentiellement à une incompréhension des acteurs économiques et des Français. En même temps Hollande  condamne le principe des primaires qui ont conduit à choisir les candidats les plus radicaux et qui risquent  d’aboutir à l’absence d’une majorité gouvernementale à l’assemblée nationale.  Au terme d’une campagne marquée par de multiples rebondissements, dont les victoires surprises de François Fillon et Benoît Hamon aux primaires de la droite et de la gauche, le chef de l’Etat considère que ces scrutins internes n’ont plus lieu d’être. « Il ne doit plus y avoir de primaires dans des partis de gouvernement », estime le vainqueur de la primaire de 2011 du Parti socialiste. « Sinon, il n’y aura bientôt plus de parti de gouvernement dans ce pays. Ils sont devenus fragiles et doivent retrouver une légitimité par eux-mêmes, pas en choisissant leurs candidats à vau-l’eau, comme aurait dit le général de Gaulle ». Le président, qui a renoncé à briguer un second mandat le 1er décembre, juge en outre qu’une primaire « est totalement antinomique de la fonction présidentielle ». « Il est impossible d’être président et en même temps candidat à une primaire, dans les formes que nous avons connues », ajoute-t-il. Revenant dans Le Point sur le paysage politique actuel, François Hollande déplore un climat de « suspicion » qui « mine la démocratie » et « fait le jeu du Front national ». « Et il y a péril face aux simplifications et aux falsifications qui font que l’on regarde le spectacle du tribun plutôt que le contenu de son texte, dit-il. François Hollande ne fait quasiment aucun commentaire sur le candidat socialiste, l’ancien « frondeur » Benoît Hamon, dont il se contente de rappeler la victoire à la primaire.

 

Réformateurs du PS : appel à voter Macron

Réformateurs du PS : appel à voter Macron

 

«La candidature d’Emmanuel Macron peut rassembler largement les Français au-delà de clivages ressentis comme de plus en plus inopérants. Elle marque une rupture générationnelle et son projet ambitieux et crédible représente l’espoir d’un renouveau politique dans lequel le social-réformisme a toute sa place. C’est à la construction d’une nouvelle alliance européenne et réformiste, autour d’Emmanuel Macron, que nous appelons en tant que socialistes. La campagne de Benoît Hamon a confirmé l’intention de rompre avec cette mandature et de fédérer tout ce qu’elle compte d’opposants à la majorité sortante! Cette stratégie ne permettra pas de définir un programme crédible de gouvernement pour la fin mai. La situation convalescente de la France suppose un autre projet que l’exaltation d’une démarche inspirée par Die Linke en Allemagne, Podemos en Espagne ou Jeremy Corbyn en Grande Bretagne, qui n’aboutit qu’à maintenir les droites au pouvoir dans ces pays. » C’est le texte qui circule actuellement d’après le Figaro chez les réformateurs du parti socialiste. Les députés Gilles Savary et Christophe Caresche - ce dernier, élu de Paris, a d’ailleurs déjà rejoint à titre personnel le leader de En Marche! – seraient à l’origine de ce texte. C’est d’ailleurs déjà Gilles Savary qui avait réuni les parlementaires « réformateurs » dans la semaine qui avait suivi, le 29 janvier, la victoire de Benoît Hamon à la primaire socialiste. A l’époque, certains imaginaient une migration rapide vers Emmanuel Macron. Finalement, les réformateurs avaient décidé qu’il était urgent d’attendre. Il s’agissait surtout de voir si le candidat officiel du PS allait recentrer son discours avant de se prononcer. Mais il est indéniable que la percée dans les sondages de l’ancien ministre de l’Economie -selon un sondage Harris Interactive publié ce 9 mars, avec un gain de six points en deux semaines, le fondateur d’En marche! réunirait maintenant 26% des intentions de vote, contre 25% pour Marine Le Pen au premier tour et il serait largement vainqueur au second- agite les esprits chez certains au PS et sert d’aimant puissant. Il est vrai que Benoît Hamon, lui, reste collé à environ 13% des intentions de vote. 

Affaire Fillon : appel de parrainages pour Alain Juppé par Georges Fenech

Affaire Fillon : appel de parrainages pour Alain Juppé par Georges Fenech 

Le député (LR) du Rhône, Georges Fenech,  député LR du Rhône, a lancé, jeudi 2 mars sur franceinfo, un appel à « tous les élus responsables » de France pour qu’ils adressent au Conseil constitutionnel leurs parrainages pour Alain Juppé. Georges Fenech estime que la droite devait se prémunir de la « chute imminente » de François Fillon, qui a dit mercredi avoir reçu une convocation en vue d’une probable mise en examen dans fictifs présumés de son épouse et de ses enfants. « Il me semble être le seul par son expérience à pouvoir reprendre le flambeau », a estimé le député les Républicains du Rhône. « C’est une primaire doublement caduque car François Fillon n’est plus le candidat du centre et de la droite, depuis que hier l’UDI a fait marche arrière. Aujourd’hui, François Fillon n’est plus que le candidat de la seule droite. Il n’est plus en mesure de se qualifier pour le second tour », a expliqué celui qui avait apporté son soutien à François Fillon après la primaire de la droite.
« Je pense que son système (NDLR : de défense) ne tient pas », a-t-il dit, après que François Fillon s’est attaqué au Parquet national financier et aux juges. « On ne fait pas jouer contre les juges une justice populaire. Cela n’est pas responsable », a souligné Georges Fenech, disant craindre la réunion de dimanche au Trocadéro. Il a ainsi annoncé solennellement qu’il ne ferait plus campagne pour François Fillon. « Je ne fais pas campagne pour François Fillon parce que je ne peux pas accepter que toute ma famille politique et que toute l’élection présidentielle soient prises en otage. Cela n’est pas possible, d’autant que nous allons vers une déroute parfaitement programmée », a-t-il estimé. « Le Conseil constitutionnel a déjà publié 738 parrainages pour François Fillon » a- t-il expliqué, et il faut donc « nous garantir d’une disparition de notre candidat que je sens arriver inéluctablement ». Selon lui, l’envoi des parrainages pour Alain Juppé au Conseil constitutionnel est la « seule solution raisonnable » en cas « de disparition » du candidat François Fillon. Il a également insisté sur le fait que la justice fait son travail. « Il n’y a pas de complot institutionnel, il n’y a pas de justice qui s’acharne, il n’y a pas de presse qui s’acharne », a martelé Georges Fenech, lui-même ancien magistrat.

Un appel contre la candidature de Hollande circule dans la majorité

Un appel contre la candidature de Hollande circule dans la majorité

 

Un appel contre la candidature de Hollande circulerait dans la majorité. Difficile d’identifier avec précision l’origine de cette initiative qui bien sûr pourrait venir des frondeurs totalement opposés à la politique de François Hollande. Une initiative qui pourrait venir tout aussi bien d’autres responsables notamment des parlementaires affolés par les perspectives de la débâcle annoncée. Parmi ceux-là  pourrait aussi se trouver des proches de Manuel Valls, de Martine Aubry voie de Jean-Marc Ayrault lesquels n’ont pas spécialement apprécié des confidences qui torpillent le peu de dynamique socialiste qui reste. «Compte tenu des circonstances, il est urgent que la gauche française dans sa diversité puisse engager un vrai débat afin de choisir sa ligne politique et son candidat. C’est l’honneur d’un président de la République de mettre fin au suspense qui paralyse et glace le système et d’annoncer qu’il renonce à porter les couleurs de sa famille politique à la présidentielle. Cela lui permettra d’assumer ses fonctions jusqu’à la dernière minute comme il l’a toujours dit, et autorisera la gauche à se construire un avenir avant qu’il ne soit trop tard», est-il écrit. Cet appel est surtout envoyé aux parlementaires légitimistes, sonnés par la crise que traverse le chef de l’État et la défection de ses soutiens. Selon plusieurs sources, un hebdomadaire a encouragé sa diffusion en vue d’une prochaine publication. La candidate à la primaire de la gauche et sénatrice Marie-Noëlle Lienemann l’a évoqué ce matin sur Sud Radio et Public Sénat. «Ce que je sais, c’est qu’un très grand nombre de députés qui étaient jusqu’à présent favorables à la candidature de François Hollande estiment qu’il n’est plus en situation de le faire», a-t-elle dit, affirmant avoir été «contactée». «Il se murmure qu’ils disent à François Hollande, ‘François, fais ton devoir, n’y va pas’.» Au Scan, plusieurs parlementaires proches de François Hollande mais aussi des frondeurs affirment avoir été sollicités pour apporter leur signature au texte, sans préciser l’identité de l’expéditeur. «C’est pour faire monter Manuel Valls, ils visent les parlementaires qui basculent, comme par hasard le jour où le chef de l’État a justement dit au premier ministre qu’il se présenterait quoiqu’il arrive», commente, en off, l’un d’eux. Un autre peste: «Je suis sûr que c’est une initiative conjointe des vallsistes et de François Kalfon (directeur de campagne d’Arnaud Montebourg, ndlr)».

Salaire patrons : appel pour limiter à 100 SMIC

Salaire patrons : appel pour limiter à 100 SMIC

un appel qui a sans doute peu de chances d’être entendu (sauf pour les entreprises publiques où  les salaires sont déjà en cadrés) mais cependant salutaire en cette période de crise caractérisée par un envol tout à fait irresponsable des rémunérations des grands patrons alors qu’on exige des sacrifices de la part des salariés et qu’au mieux on limite la croissance des salaires autour de 1 %. Deux raison pour lesquelles cet appel a peu de chances d’aboutir : d’abord les oligarques membres des cabinets espèrent à peu près tous pantoufler dans les  entreprises aux rémunérations extravagantes ; second argument la concurrence internationale entre patrons qui fait apparaître que les patrons français ne sont pas les plus payés au monde. Un argument fallacieux car il n’existe aucune étude scientifique sérieuse démontrant la corrélation entre niveau de salaire et efficacité de gestion. Quarante personnalités, dont des responsables politiques et des intellectuels, appellent donc le gouvernement français à légiférer afin de limiter les salaires des patrons, dans le quotidien Libération de jeudi.  »Nous demandons au gouvernement de légiférer pour que désormais, en France, un patron ne puisse pas être rémunéré plus de 100 Smic (le salaire minimum, ndlr), soit 1,75 million d’euros par an », écrivent les signataires de cet « appel des 40 au CAC 40″, l’indice-phare de la Bourse de Paris. Ils estiment en effet que l’on vit « une période inédite dans l’histoire du capitalisme contemporain » avec un écart entre le salaire des PDG et le salaire moyen qui a « explosé ».  Les signataires de cet appel à l’initiative de Libération, assorti d’une pétition en ligne, notent aussi que « le principal argument patronal pour justifier de telles pratiques – celui d’un marché mondial des très hauts dirigeants qui nécessiterait un alignement des salaires par le haut – n’est corroboré par aucune étude économique sérieuse ». Et ils soulignent qu’ »en se comportant de la sorte, notre élite économique entretient un sentiment de chacun pour soi délétère ».

Appel des 100 :énième appel de la gauche ringarde

Appel des 100 :énième appel de la gauche ringarde

Preuve du désarroi de la gauche les appels se  succède avec à peu près le même succès,  c’est d’ailleurs tout juste si on n’en trouve trace dans les grands médias. Cette fois il s’agit de l’appel des 100 personnalités,  sorte d’agglomérat de la gauche ringarde bref la gauche de la gauche qui sans doute n’a pas complètement tort de dénoncer les excès du modèle de société actuelle mais qui a bien du mal à se mettre d’accord sur une orientation cohérente et crédible.. En effet l’anti capitalisme, l’anti impérialisme, l’anti consumérisme ne suffisent pas à donner une crédibilité à une démarche politique qui constitue surtout une posture de protestation. Protestation contre le système économique, protestation contre la ligne majoritaire du parti socialiste et même contestation contre Mélenchon. H. Alors que la primaire de la gauche et des écologistes, lancée par Yannick Jadot, Thomas Pikketty et Daniel Cohn-Bendit, a du plomb dans l’aile, des syndicalistes, des politiques et des intellectuels vont lancer une nouvelle initiative : « 1er Mai, l’appel des 100. » Le texte se veut la base d’une alternative de gauche au PS en vue de la présidentielle et des législatives de 2017. Le but est d’aboutir à un socle programmatique commun et à des « mesures d’urgences ».  »Elles constitueraient notre bien commun pour mener une campagne et construire des candidatures d’unité lors de ces échéances électorales », lit-on dans la dernière version cet appel encore en finalisation. Selon nos informations, l’appel doit être signé par une centaine de personnalités du monde politique, syndical et associatif. Y figurent des dirigeants du PCF comme le porte-parole Olivier Dartigolles, Marie-Pierre Vieu ou la dirigeante d’Ensemble, Clémentine Autain. L’appel ne se limite pas à des anciens membres du Front de gauche. On y retrouve aussi des écologistes comme les députés Noël Mamère, Sergio Coronado, Isabelle Attard, le porte-parole d’EELV Julien Bayou, l’eurodéputée EELV Karima Delli ou encore Patrick Farbiaz. Côté socialiste, la sénatrice Marie-Noëlle Lienemann, l’eurodéputé Guillaume Balas et Gérard Filoche ont signé. Des syndicalistes de Sud et de la CGT comme Baptiste Talbot (secrétaire général de la fédération des services publics), Annick Coupé (ancienne porte-parole de Solidaires), Pierre Khalfa (coprésident de la Fondation Copernic), Jean-Paul Dubois (ancien président de Ligue des droits de l’Homme), l’avocate Dominique Noguères, la militante féministe Caroline de Haas, l’opposant au barrage de Sivens Ben Lefetey, l’eurodéputée Marie-Christine Vergiat, l’altermondialiste Gus Massiah se sont joints à cette initiative.

 

(Avec le JDD)

Remaniement ministériel : un appel par pôle emploi ?

Remaniement ministériel : un appel par pôle emploi ?

Le remaniement ministériel doit avoir lieu mais il n’est pas aussi facile qu’il y paraît de trouver des candidats qui répondent aux critères exigés. Du coup on se demande si une offre  ne sera pas bientôt diffusée par Pôle emploi. Parmi les critères, il y a la compétence et la transparence financière des candidats. C’est surtout ce dernier critère qui pose problème. En effet dans le vivier des oligarques figurent surtout des petits bourgeois bien installés dans la vie et qui ont tendance comme tout les élus  nationaux à sous-estimer leur patrimoine quand ce n’est pas comme Cahuzac à pratiquer l’évasion fiscale ou comme Thomas Thévenot à pratiquer l’oubli fiscal. D’après les milieux peu informés, on n’aurait donc du mal à trouver des candidats qui remplissent les deux principaux critères. Finalement il se pourrait qu’on renonce aux critères de compétence comme on l’a fait pour la plupart des ministres actuellement en place par contre il faudrait quand même trouver de futurs ministres à peu près honnêtes. C’est pourquoi François Hollande et Manuel Valls transmettent  de très longues listes à Jean-Louis Nadal président de la Haute autorité en charge de vérifier la transparence financière des candidats à l’emploi de ministre  Ensuite, la Haute Autorité reprend les déclarations de patrimoines et d’intérêts de ce futur éventuel promu. Contrôle rapide, formel mais surtout très confidentiel. Selon nos informations, l’institution a déjà relayé au couple exécutif « des inquiétudes » concernant tel ou tel futur ministre. Des suspicions de fraude transmises à l’Élysée ou à Matignon. « Nous ne mettons pas notre veto, mais cherchons à éviter une nouvelle affaire Thévenoud« , déclare certaines sources à RTL. On voit bien que la préoccupation relative à la compétence n’est pas la première priorité. Dommage on aurait pu lancer un appel d’offres via Pôle emploi et envisager  par exemple de mettre un chômeur pour s’occuper du chômage. Au lieu de mettre une oligarque, ancienne fonctionnaire,  qui n’a pratiquement jamais travaillé dans le privé.

Terrorisme : un appel très timide de l’ONU

Terrorisme : un appel très timide de l’ONU

 

C’est vraiment sur la pointe des pieds que l’ONU a consenti à faire un appel pour encourager la lutte contre le terrorisme de l’État islamique. Une déclaration qui n’engage pas grand-chose puisqu’ aucun objectif, aucun moyen, aucun calendrier n’a été précisé. D’une certaine manière c’est mieux que rien et on retiendra surtout l’unanimité qui a été obtenue pour adopter cette résolution. L’émotion voire la colère de l’opinion publique mondiale suite aux attentats a sans doute contraint tous les membres de l’ONU à se positionner enfin. Une satisfaction aussi pour Hollande qui a obtenu cette prise de position. On peut cependant s’interroger sur le rôle d’une organisation qui regroupe tous les pays et pourtant incapable de mettre en œuvre une stratégie pour exterminer une mafia terroriste qui œuvre dans le monde entier et composée d’environ 50 000 combattants. Le Conseil de sécurité des Nations unies a donc simplement appelé vendredi tous les pays qui en ont les capacités à se joindre à la lutte contre l’Etat islamique en Syrie et en Irak et à redoubler d’efforts pour empêcher de nouvelles attaques du groupe djihadiste. Les Quinze ont adopté à l’unanimité une résolution mise au point par la France une semaine après les attentats de Paris et Saint-Denis, qui ont fait 130 morts et ont été revendiqués par l’Etat islamique.   »L’Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL, ou Daech selon son acronyme arabe) constitue une menace globale et sans précédent pour la paix internationale et la sécurité », dit le texte de la résolution.

Ferrari : un appel de près de 1 milliard à Wall Street

 

Ferrari  : un appel de près de 1 milliard à Wall Street

Ferrari n’aura sans doute aucun mal à lever près d’un million de dollars pour son introduction en bourse à New York compte tenu bien entendu de sa réputation mais aussi et surtout de ses résultats financiers. Ferrari prévoit en effet de lever jusqu’à 900 millions de dollars (793 millions d’euros) à l’occasion de son introduction en Bourse à New York, montrent les documents déposés vendredi auprès de la Securities and Exchange Commission (SEC).  La filiale de voitures de sport de Fiat Chrysler Automobiles (FCA) a l’intention de vendre 17,175 millions d’actions, soit environ 9% de son capital, à un prix unitaire compris entre 48 et 52 dollars. FCA, qui possède environ 90% du capital de Ferrari, a annoncé son intention de distribuer le reste de sa participation à ses actionnaires.  Ferrari, connue dans le monde entier pour son emblème au cheval cabré et pour son écurie de Formule 1, devrait être cotée d’ici quelques jours sur le New York Stock Exchange sous le symbole RACE.  Après la mise en Bourse, Piero Ferrari, vice-président et fils d’Enzo, le fondateur de la marque, conservera 10% du capital de l’entreprise.  Piero Ferrari et la famille Agnelli, via sa holding financière Exor, pourraient en outre s’assurer le contrôle d’environ 50% des droits de vote, ce qui leur permettrait de faire barrage à tout offre d’achat hostile.  Exor possèdera environ 23,6% des actions Ferrari au terme de la scission, qui devrait avoir lieu début 2016. Dans le dossier déposé à la SEC, Ferrari précise prévoir de publier au titre du troisième trimestre un chiffre d’affaires de 720 à 730 millions d’euros, en hausse de 9% à 10% sur un an.  Son excédent brut d’exploitation (Ebitda) devrait avoir progressé de 19% à 22%, à 210-215 millions d’euros.

 

 

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  • site poèmes-chansons-théâtre de l’auteur
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