Archive pour le Tag 'appel'

Présidentielle -Lucie Castets et Marine Tondelier : Un appel indirect à la candidature de Mélenchon !!!

Présidentielle -Lucie Castets et Marine Tondelier : Un appel indirect à la candidature de Mélenchon !!!

 

Les deux responsables nationales qui en réalité ne pèsent  pas  lourd au plan politique lancent  un appel pour une candidature unique de toute la gauche qui n’est autre qu’un soutien indirect à Mélenchon ! Toujours avec un discours surréaliste type gauche bobo. ( Interview dans la Tribune ) 

Vous lancez aujourd’hui un appel à l’ensemble de la gauche à « organiser et construire un projet commun ». N’est-ce pas utopiste ?

LUCIE CASTETS – Nous voulons réunir le plus largement possible la société civile, des associations, les mouvements politiques qui se créent, les partis existants, mais aussi des élus locaux, des étudiants, des chefs d’entreprise, etc. Il faut donner au Nouveau Front populaire un nouvel élan et un espace. Nous souhaitons créer comme une maison commune aux citoyens et aux partis politiques. Notre objectif est de rassembler le plus largement possible, sans aucune exclusive, pour se remettre au travail. Notre appel est une déclaration d’amour au NFP ! Nous souhaitons continuer à alimenter notre projet en allant sur le terrain. En soulevant ce capot, nous allons faire venir des gens beaucoup plus largement que ceux déjà très politisés à gauche.

MARINE TONDELIER – Le NFP, on y contribue activement, on le porte, on l’aime, et ce sont les raisons pour lesquelles nous sommes très lucides sur ses forces mais aussi sur ses quelques faiblesses. Des personnes aimeraient pouvoir s’y engager mais ne trouvent pas forcément ni la porte d’entrée ni leur place. Pour des syndicalistes, des personnes issues de la société civile, des citoyens tout simplement, il y a parfois une envie de contribuer activement, mais le NFP n’offre pas aujourd’hui cette possibilité. Notre appel n’est pas une initiative concurrente du NFP mais vise à l’élargir, à le prolonger, à l’ancrer. Nous devons renforcer sa faculté à pouvoir gagner la prochaine élection présidentielle et à faire face à tous les défis qui ne manqueront pas de se poser à nous dans les semaines et mois qui viennent. La vie politique française est devenue tellement imprévisible qu’il va falloir être prêt tout le temps. Considérez que nous avons prévu que notre camp le soit !

Vous lancez l’idée d’une « candidature commune » avec une condition : ne pas « placer tel ou tel nom comme préalable ».

L.C. – Le seul prérequis, c’est de ne pas partir avec un seul nom en tête, ne pas avoir son candidat ou son écurie, pour commencer à travailler. Sinon, on a déjà perdu.

M.T. – Cette initiative n’appartient à personne, pas même à nous ! Nous sommes depuis le début dans un état d’esprit collectif et unitaire, en respectant la diversité et l’identité des uns et des autres. Alors sans doute que toute initiative comporte une part de risque, mais celui de ne rien faire serait bien plus grand. Ce ne serait conforme ni à nos tempéraments ni à la hauteur du moment.

Il faut passer à l’action sans attendre le truc idéal. Sinon, l’histoire s’écrira sans nous.

 

Quel est le risque à lancer cet appel ?

M.T. – Déjà, nous sommes deux femmes [Rires.] L’expérience nous a malheureusement appris ce que ça provoquait par principe chez certains. On a appris à faire avec ! Mais surtout, cela fait des semaines que tout le monde bute sur plusieurs questions : d’où l’impulsion doit-elle venir, qui, quand, comment, dans quel périmètre de base ? Beaucoup de discussions ont eu lieu, et avec Lucie nous en sommes arrivées à la conclusion que maintenant, il fallait passer à l’action sans attendre le truc idéal sur lequel tout le monde serait parfaitement d’accord. Sinon, l’histoire s’écrira tout simplement sans nous, et la gauche et les écologistes seront condamnés à voir les trains passer.

Est-ce aussi un message envoyé aux Insoumis, pour qui la candidature de Jean-Luc Mélenchon à l’élection présidentielle relève toujours de l’évidence ?

M.T. – Chacun a le droit d’avoir des préférences et des idées de noms à mettre sur la table, c’est bien normal. Mais tel ou tel nom ne peut pas être posé comme un préalable. On ne peut pas fonctionner comme cela lorsqu’on aspire à une aventure qui ne se gagnera que collectivement.

Les syndicats gauchistes appellent à la grève contre l’évaluation des élèves

Les syndicats gauchistes appellent  à la grève contre l’évaluation des élèves

D’après les syndicats gauchistes qui appellent à la grève dans les maternelles et les cours élémentaires , l’évaluation prévue des élèves à la rentrée serait traumatisante ! Ils appellent donc à la grève de 10 septembre. On comprend que certains soient opposés à tout concept d’évaluation quand on sait que le niveau scolaire français est au plus bas des pays développés voire d’autres. On est évidemment désarmé devant l’argumentation des syndicats gauchistes qui participent largement au délabrement du niveau scolaire en France.

«On n’a pas besoin de ces évaluations pour connaître le niveau de nos élèves, les enseignants sont en capacité eux-mêmes de travailler ces évaluations», a expliqué Guislaine David, secrétaire générale de la FSU-Snuipp, premier syndicat du primaire (maternelle et élémentaire), lors d’une conférence de presse. Ces évaluations «n’ont pas d’effet sur la réussite des élèves et elles ne concernent pas tous les champs de l’éducation, car elles sont très centrées sur le français, les maths, et en lecture, on évalue la fluence et pas la compréhension», a ajouté Guislaine David, regrettant qu’«on retire la liberté pédagogique aux enseignants».

Les syndicats FSU-Snuipp, CGT éducation et Sud éducation appellent donc  les professeurs des écoles à ne pas faire passer ces évaluations qui démarrent une semaine après la rentrée «pour faire blocage».

Un appel pour un désistement clair contre le RN

Un appel pour un désistement clair contre le RN

 

Douze universitaires et artistes, parmi lesquels Esther Duflo, Anna Mouglalis et Cédric Villani, appellent, dans une tribune au « Monde », Emmanuel Macron à se prononcer pour le désistement systématique des candidats de son camp arrivés en troisième position.
Le président de la République ne doit pas laisser notre pays sombrer dans la spirale obscurantiste qui abîme le monde et menace la République dans son essence. Dans les quelques jours qui nous restent, il lui est possible d’inciter à tout faire, dans chaque circonscription de France, pour permettre la victoire des partis démocratiques de gauche, du centre et de droite face aux candidats du Rassemblement national. Cela signifie demander que les candidats de la majorité présidentielle se désistent systématiquement lorsqu’ils sont arrivés en troisième position, et ce quelle que soit la couleur politique du candidat le mieux placé pour affronter l’extrême droite.

L’extrême droite au pouvoir, c’est le retour de cette France qui a soutenu le fascisme, sacrifié nos compatriotes juifs, livré le pays à l’occupation nazie, tenté de détruire nos institutions et d’assassiner le général de Gaulle au lendemain de la guerre d’Algérie.

 

Seul le Rassemblement national est héritier de mouvements factieux et autoritaires. Il soutient les gouvernements illibéraux qui remettent en cause les droits fondamentaux sur notre continent. Les partis de la droite républicaine et ceux du Nouveau Front populaire, eux, croient aux valeurs de la République, à la nation une et indivisible ; ils ne désavouent pas la science et ne font pas du racisme et de la discrimination le socle de leur projet politique.

FOOT et politique: Appel des bleus de l’équipe de France à voter : quelle légitimité ?

FOOT et politique: Appel des bleus de l’équipe de France à voter : quelle légitimité ?

 

S’il est clair que le vote constitue un des éléments majeurs de la démocratie, on ne peut cependant la réduire à cela. La démocraties devant être permanente et  vivante et pas seulement le jour d’une élection. De ce point de vue, l’appel des bleus de l’équipe de France de foot pour inciter au vote  n’éclaire guère le sujet de la démocratie aujourd’hui trop confisquée par une élite politique et-ou  technocratique.

Par ailleurs, on peut se poser la question de la légitimité des footballeurs à s’immiscer dans le champ politique. Jusqu’alors ,  ils n’ont pas forcément démontré leurs compétences dans ce domaine.

Il y a à ce propos une grande confusion entre les personnalités compétentes et le star-system. De la même manière, les vedettes du spectacle vont également intervenir sans davantage de légitimité autre que l’éclairage médiatique. De quoi ajouter encore un peu plus de confusion dans une crise politique déjà fort complexe.

Appel à tous les sociaux-démocrates

Appel à tous les sociaux-démocrates

Le Président de la République a choisi de demander aux Français de dire quelle France ils veulent. Une France républicaine, progressiste et européenne ou une France identitaire, repliée sur elle-même, climatosceptique et qui veut détricoter l’Union européenne.
Par Dominique Villemot, Jacky Bontems, Marie-Françoise Leflont, Rodrigue Tchouale (Démocratie Vivante)

Face à ce choix tous les sociaux-démocrates doivent se rassembler, qu’ils soient macronistes, qu’ils soient au PS ou ailleurs (à Place publique, au PRG…). L’enjeu est trop important. Il y va de l’avenir du pays, de celui de notre modèle républicain et social, de notre positionnement en Europe et dans le monde.

Les sociaux-démocrates ne peuvent pas participer à un front populaire avec LFI.

Car pour nous la gauche ce ne peut pas être l’adhésion aux thèses racialistes ni l’indulgence envers les islamistes ni le soutien aux terroristes du Hamas ni la faiblesse vis-à-vis de Poutine ni la dénonciation de la construction européenne.

 Pour nous la gauche c’est celle qui défend la République et la laïcité, qui allie promotion de notre modèle social et réalisme économique, qui soutient l’Union européenne. C’est la social-démocratie de Michel Rocard, Jacques Delors et François Hollande.

Jean-Luc Mélenchon prétend se réclamer de François Mitterrand, mais faut-il lui rappeler que l’ancien Président de la République était un authentique républicain et un Européen convaincu.

Nous ne demandons pas à tous les sociaux-démocrates de rejoindre Renaissance. Il ne s’agit pas de cela. Il s’agit de contribuer à bâtir une coalition à l’Assemblée nationale sur un projet clair fondé sur

  • l’universalisme républicain, c’est-à-dire l’adhésion à la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen, la laïcité, le combat contre l’islamisme, mais aussi le refus de catégoriser les Français selon leur origine ou leur religion et le refus du communautarisme et du wokisme,
  • l’économie sociale de marché, pour reprendre l’expression du Congrès de Bad-Godesberg du SPD : le refus de l’étatisme, mais la défense de notre modèle social basé sur l’Etat providence, la solidarité fiscale et sociale et l’importance donnée au dialogue social,
  • l’écologie de progrès avec l’adhésion aux travaux du GIEC, la fermeture des centrales au charbon et la réduction de nos importations d’énergies fossiles. C’est aussi le refus de la décroissance et le choix d’investir dans nos centrales nucléaires,
  • l’Europe puissance : une Europe de la défense face à la Russie, une Europe sociale et une Europe de la santé ainsi que le soutien du Green deal.

Nous lançons donc un appel au rassemblement de tous les sociaux-démocrates, qu’ils soient dans la majorité, comme Clément Beaune, Elisabeth Borne, Olivier Dussopt, Sacha Houlié, Jean-Yves Le Drian et François Rebsamen, au PS, comme Carole Delga, Nicolas Mayer-Rossignol et Stéphane Le Foll ou ailleurs comme Raphaël Glucksmann et Bernard Cazeneuve. Il ne s’agit pas de rallier telle ou telle organisation, mais de rester fidèles à leurs valeurs, à ne pas se perdre dans une alliance avec LFI à bâtir un rassemblement de centre-gauche qui pèsera dans la formation d’une grande coalition républicaine et progressiste.

Gaza: Un appel de l’ONU mais inaudible

Gaza: Un appel de l’ONU mais inaudible

L’ONU et son secrétaire général Antonio Gutierrez multiplient  les communiqués mais sans beaucoup d’effet. En réalité le secrétaire général de l’ONU est inaudible du fait notamment de ses dérapages systématiquement tiers-mondistes. Cependant il appelle une nouvelle fois à un cessez-le-feu mais en se rapprochant des positions des deux camps y compris celle d’Israël.
Antonio Guterres ainsisté sur la nécessité d’un « cessez-le-feu immédiat » dans la bande de Gaza et d’une libération immédiate de « tous les otages » israélien qui y sont encore retenus. Mais les combats continuent, et les négociations patinent. Et l’ONU se montre incapable de trouver une résolution susceptible de recevoir le soutien de tous

Samedi, en Egypte, à l’occasion d’un déplacement au point de passage avec la ville de Rafah, située dans le sud du territoire palestinien, le patron de l’Onu avait déjà dénoncé la « douleur » des Gazaouis, prisonniers d’« un cauchemar sans fin, . Dimanche, au Caire, lors d’une conférence de presse conjointe avec le ministre égyptien des Affaires étrangères Sameh Choukri, Antonio Guterres, a appelé explicitement « Israël à lever les derniers obstacles à l’aide » pour la bande de Gaza, menacée de famine.

« Le monde entier pense qu’il est plus que temps de faire taire les armes et de mettre en place un cessez-le-feu immédiat », a-t-il ajouté, en demandant en même temps la libération immédiate de « tous les otages » retenus à Gaza.

 

SNCF : Un nouvel appel à la grève de Sud rail

SNCF : Un nouvel appel à la grève de Sud rail

 

Il est clair que la grève constitue une liberté démocratique mais la meilleur moyen de tuer ce droit c’est d’en user de manière excessive et anarchique. Justement ce que pratique le syndicat Sud rail à la SNCF qui fonde sa stratégie uniquement sur la radicalité. L’objectif n’est d’ailleurs pas forcément d’obtenir satisfaction mais de faire des mécontents au service de la grande cause révolutionnaire illusoire comme le modèle Chinois, Cubain ou encore Vénézuélien. Et pour cela il faut encourager toutes les grèves fussent-elles illégitimes comme celle des contrôleurs, corporatistes et irresponsables.

 

Il est clair que la multiplication des grèves dans l’entreprise non seulement va tuer la SNCF elle-même ( en encourageant notamment la concurrence et la sous-traitance) mais aussi les effectifs de cheminots.

SUD-Rail appelle donc  les employés de la SNCF aux guichets et à la centrale téléphonique à faire grève pour leurs conditions de travail mercredi, jour d’ouverture des réservations de la saison d’été, a annoncé lundi le troisième syndicat de la compagnie. «Le 13 mars, les cheminotes et cheminots, qui travaillent dans les gares et les centres 3635 (dénommés Relation client à distance), vont cesser le travail pour lancer un ultime signal d’alarme à la direction SNCF», a affirmé l’organisation syndicale dans un communiqué.

Sud-Rail, qui a obtenu près de 19% des voix aux dernières élections professionnelles, derrière la CGT-Cheminots et Unsa ferroviaire, a répété lundi que «la mobilisation du 13 mars n’est qu’une première étape» et prévenu que la direction de la SNCF aurait «besoin de ces agents pendant les Jeux olympiques», l’appelant à «négocier réellement».

 

Politique et favoritisme : appel de la relaxe d’Olivier Dussopt

Politique et favoritisme : appel de la relaxe d’Olivier Dussopt

Une semaine après sa relaxe par le tribunal correctionnel de Paris, le parquet national financier (PNF) a annoncé mercredi qu’il faisait appel de cette décision. L’ancien ministre était soupçonné de «favoritisme» dans l’attribution du marché public de l’eau en 2009, lorsqu’il était maire d’Annonay (Ardèche), au profit du groupe de fourniture et de traitement de l’eau Saur.

Appel aux dons pour un hôpital !

Appel aux dons pour un hôpital !

La démarche est nouvelle. Un hôpital celui de Georges Pompidou lance un appel à la charité pour l’achat d’un équipement très pointu, le scanner à comptage photonique.

Sur le principe, on peut admettre qu’on sollicite l’opinion publique pour soutenir la recherche dans tel ou tel domaine mais là il s’agit d’un investissement dont la décision d’achat doit relever de la puissance publique. Le problème c’est que ce type de sollicitation risque de se reproduire pour certains équipements aujourd’hui insuffisants (exemple l’IRM) voire pourquoi pas pour assurer les fins de mois du fonctionnement.

Ce type de sollicitation va encore accroître les inégalités géographiques car les donateurs potentiels sont évidemment plus nombreux et plus actifs à Paris que dans la Creuse par exemple. Ce jeudi, l’hôpital Georges-Pompidou a lancé un appel aux dons pour l’aider à financer et acquérir un tout nouvel engin : un scanner à comptage photonique, dont le procédé d’imagerie est, selon l’infrastructure parisienne, «révolutionnaire». Il concernera «toutes les spécialités, et en particulier la cardiologie, les maladies vasculaires, la cancérologie (digestive, gynécologique, urologique, thoracique), l’ORL, et les pathologies ostéoarticulaires.»

Un outil de dernière génération qui «représente une avancée scientifique majeure». Si l’hôpital parvenait à récolter la somme suffisante, il serait le «premier en région parisienne et le troisième en France à acquérir cet équipement de pointe». L’impact sur «la santé et le bien-être des patients serait décisif». Rapidement, cette forme de cagnotte a été critiquée sur les réseaux sociaux.

Appel à la haine raciste: Le cri des abrutis

Appel à la haine raciste: Le cri des abrutis

Inutile de se voiler la face, la plupart des appels à la haine proviennent d’individus intellectuellement déficients, en clair d’abrutis qui se shootent à leur propre frustration souvent pour des motifs pseudo religieux. La plupart de ces personnages impliqués dans ces violences raciales ou religieuses en France sont d’ailleurs d’anciens délinquants.

L’intoxication religieuse nourrit la haine islamiste chez des individus à la psychologie fragile et au bagage intellectuel indigent.

Dans beaucoup de pays qui entretiennent la haine des juifs, c’est aussi l’occasion d’une instrumentalisation du conflit en Ukraine pour dissimuler la mauvaise gouvernance politique, économique , sociale voire démocratique; cela pour tenter ainsi de détourner l’attention.

En France, selon un bilan récent , pas moins de 6072 signalements de haine en ligne ont été répertoriés par la police judiciaire depuis le raid du Hamas en Israël le 7 octobre.

Exacerbée depuis l’attaque du Hamas en Israël, la haine islamiste est à son paroxysme et les chantres du djihad n’ont jamais été autant dans le collimateur des forces de l’ordre. Dans la nuit de lundi à mardi dernier, l’imam de la mosquée de Beaucaire a ainsi été interpellé pour apologie du terrorisme. Âgé de 32 ans et connu des services de renseignement, il a été cueilli à sa sortie d’avion à l’aéroport de Marignane, alors qu’il revenait d’un pèlerinage en Arabie saoudite.

Le 12 octobre dernier, ce religieux radical avait publié sur son compte Facebook, suivi par 2100 personnes, ce message exhortant ses fidèles au combat contre les juifs et légitimant leur meurtre : «IBN OMAR a déclaré avoir entendu le messager d’Allah dire : «Vous combattrez les juifs et aurez le dessus sur eux de sorte que la pierre dira : Ô musulman, voici un juif caché derrière moi ! Viens le tuer».

Mais devant ce juif il y a un bel abruti !

Appel un cessez-le-feu immédiat à Gaza : Macron rétropédale encore

Appel un cessez-le-feu immédiat à Gaza : Macron rétropédale encore

La prise de position de Macron diffusée dans la presse britannique vendredi aura beaucoup surpris dans le monde diplomatique. Cela signifie en effet la fin des combats à Gaza et au-delà à terme le retrait des forces israéliennes. Une position d’autant plus curieuse que Macron dès le début du conflit avait au contraire proposé une alliance guerrière de tous les pays volontaires contre le hamas. Progressivement, il a changé sa position en hésitant presque chaque jour au point d’ailleurs de s’interroger presque quotidiennement la semaine dernière sur sa participation ou non à la grande marche contre l’antisémitisme en France.

Finalement, il s’est encore trompé car cette marche a été un succès et son absence a été remarquée voir critiquée. Cela d’autant plus que son interview à la presse britannique était de nature à entretenir la plus grande confusion sur la position de la France.

Pour preuve d’ailleurs, le chancelier allemand a cru bon de prendre nettement position contre ce cessez-le-feu immédiat tout en souhaitant des couloirs humanitaires.

Preuve encore de la confusion créée par la déclaration de Macron à la presse britannique l’Élysée a cru bon de clarifier ce faux pas. Le chef d’État israélien a indiqué avoir reçu un appel du président français afin de préciser ses propos exhortant «Israël à cesser» les bombardements tuant des civils à Gaza, en référence à une interview à la BBC diffusée vendredi.

Le président français Emmanuel Macron a dit, dans un entretien avec son homologue israélien, qu’il n’«accusait pas Israël de porter atteinte intentionnellement aux civils» à Gaza, en référence à des propos tenus lors d’une interview à la BBC, a indiqué dimanche la présidence israélienne. Le chef d’État israélien Isaac Herzog a salué cet entretien téléphonique qui a permis à Emmanuel Macron de «clarifier» ses propos, selon un communiqué des services du président israélien.

«Le président Macron aurait maintenant clairement indiqué qu’il n’avait pas l’intention d’accuser Israël de porter atteinte intentionnellement aux civils innocents dans le cadre de la campagne contre l’organisation terroriste Hamas», a indiqué la présidence israélienne.

«Il a également souligné qu’il soutenait sans équivoque le droit et le devoir d’Israël à se défendre et a exprimé son soutien à la guerre menée par Israël contre le Hamas», selon la même source. Les propos d’Emmanuel Macron «ont causé beaucoup de confusion dans les chancelleries

Grande distribution et industriels : appel dans le désert d’une ministre inutile

Grande distribution st industriels : appel dans le désert d’une ministre inutile

Une fois de plus la ministre chargée de la consommation prouve son inutilité totale. Elle n’a pas plus d’influence qu’une simple association en souhaitant simplement que distributeurs et industriels s’entendent enfin sur la renégociation. Elle affirme avec la même naïveté que les prix vont diminuer au motif que les matières premières seraient en baisse.

Première observation, la baisse de l’inflation ne signifie nullement la baisse des prix. L’inflation se cumule avec l’inflation. Le ralentissement de l’inflation ne signifie nullement une baisse des prix. Les prix vont se maintenir à un très haut niveau pour des motifs conjoncturels mais aussi structurels. En moyenne dans l’alimentaire depuis deux ans les prix ont augmenté de plus de 20 %. Parfois certains produits subissent une augmentation de 50 %. Il faut vraiment ne jamais faire ses courses dans les grandes surfaces pour ne pas s’apercevoir de l’incroyable hausse des prix.

De toute manière distributeurs et industriels ont déjà convenu qu’il n’y aurait pas de baisse générale de prix. Les uns et les autres se gavent aussi grâce à l’inflation. Les prévisions de la ministre sont aussi fiables en matière de prix que celle de Madame Soleil.

Question à la ministre: Distributeurs et industriels s’accordent à dire qu’il n’y aura pas de baisse générale des prix. Qu’en pensez-vous ?

Il y aura des baisses de prix, même si tous les prix ne baisseront pas. Les raisons qui ont poussé, l’an passé, industriels comme distributeurs à renégocier, c’était l’augmentation du cours de certaines matières premières agricoles. Or les prix de ces mêmes matières, qui entrent dans la composition de nombreux produits alimentaires, sont en baisse.

Israël-Hamas: Appel à la paix

Israël-Hamas: Appel à la paix

Le mouvement des Guerrières de la paix, rejoint par plusieurs activistes et associations internationales, appelle, dans une tribune au « Monde », à soutenir les militantes et les militants israéliens et palestiniens qui luttent en première ligne pour trouver une issue pacifique au conflit.

Le 30 septembre, Les Guerrières de la paix, notre mouvement de femmes pour la paix, la justice et l’égalité, né en France il y a deux ans, partait pour un voyage en Israël et en Cisjordanie.

Françaises musulmanes, juives, chrétiennes ou athées, venant de Sarcelles (Val-d’Oise), de Paris et d’Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), nous étions accompagnées d’une délégation de femmes militantes du monde entier – iraniennes, ouïgoures, marocaines, sénégalaises, ukrainiennes, et même une opposante russe. Nous avons sillonné la région, des kibboutz du Sud, proches de Gaza, à Jérusalem en passant par Haïfa, Ramallah et Huwara, allant à la rencontre de militants palestiniens et israéliens qui luttent au quotidien, sur le terrain, pour la paix et la justice.

Au cours de ce voyage, nous avons participé, le 4 octobre, à la grande marche The Mother’s Call, organisée à Jérusalem par nos sœurs palestiniennes et israéliennes de Women of the Sun et Women Wage Peace. Depuis des années, ces femmes ont décidé d’agir ensemble pour qu’enfin une solution juste de paix soit trouvée pour leurs communautés, leurs familles, leurs enfants.

Nous gardons en mémoire leurs visages illuminés par l’espoir, mais aussi la gravité dans les regards de celles qui savent dans leur chair que la paix n’est pas une posture ou une utopie, mais bien une question de survie, le seul moyen d’arriver à la justice pour toutes et tous. Nous nous souvenons de ce moment puissant où notre amie iranienne, en notre nom à toutes, leur a adressé une vibrante déclaration de solidarité, et où des femmes du monde entier réunies là se sont dressées le poing levé pour crier ensemble « Femme, vie, liberté ».

Les Israéliens comme les Palestiniens ne sont ni des slogans, ni des étendards, ni les échantillons d’une humanité réduite à des fantasmes. Sur place, ils nous ont expliqué à quel point la récupération de leur souffrance pour justifier la haine était non seulement indigne, mais constituait aussi un frein à leur plaidoyer pour trouver une issue à l’impasse dans laquelle se trouvent leurs deux peuples.

Ces personnes ont des noms, des histoires. Elles sont le vrai visage de la résistance, celui de celles et ceux qui, malgré les deuils et toutes les raisons de désespérer, continuent de miser sur la solidarité, la sororité, la fraternité et la reconnaissance de l’autre .

Intersyndicale: appel à une mobilisation pour le pouvoir d’achat

Intersyndicale: appel à une mobilisation pour le pouvoir d’achat

La successeure de Laurent Berger appelle, aux côtés de sept autres syndicats, à une journée de mobilisation pour le pouvoir d’achat le 13 octobre. Un rassemblement qui n’a rien d’un match retour contre l’exécutif après la bataille des retraites, assure-t-elle dans un entretien au « Monde », souhaitant s’adresser d’abord aux employeurs.

Elue le 21 juin à la tête de la CFDT, Marylise Léon hérite d’une centrale dont les troupes ont été renforcées par la bataille contre la réforme des retraites. Laissant derrière elle ce combat perdu, malgré une forte mobilisation, elle appelle, aux côtés de sept autres syndicats, à une journée d’action le 13 octobre en faveur du pouvoir d’achat et « contre l’austérité ». Dans un entretien au Monde, elle estime que la question salariale « se traite d’abord dans les entreprises et dans les branches professionnelles ». Et, alors que le gouvernement a décidé d’étaler dans le temps la suppression de la taxe sur la valeur ajoutée pour les entreprises, elle critique le « dogme » consistant à ne pas augmenter les impôts, une « impasse ».


L’intersyndicale a annoncé une journée d’action le 13 octobre. S’agit-il d’une revanche, d’une sorte de « match retour » après la défaite des organisations de salariés et de défense de la jeunesse dans la bataille contre la réforme des retraites ?

Ce n’est absolument pas l’état d’esprit de la CFDT. Nous sommes toujours aussi combatifs et déterminés à obtenir des améliorations pour les droits des travailleurs, mais nous n’avons pas de revanche à prendre sur le gouvernement. Nous continuons d’affirmer que la réforme des retraites est injuste, sachant que nos interlocuteurs privilégiés, ce sont les employeurs. Nous nous adressons à eux en priorité pour tirer vers le haut la situation des travailleurs au quotidien, et c’est avec eux qu’il faut négocier pour tenter de trouver des compromis. La préoccupation numéro un des salariés du privé, aujourd’hui, tourne autour des enjeux de pouvoir d’achat. C’est aussi vrai pour les agents de la fonction publique. Nous continuons donc notre boulot de syndicaliste en répondant présents sur des sujets sur lesquels nous sommes attendus.

Marylise-leon, cfdt: appel à une mobilisation pour le pouvoir d’achat

Marylise-leon-secretaire-generale-de-la-cfdt: appel à une mobilisation pour le pouvoir d’achat

La successeure de Laurent Berger appelle, aux côtés de sept autres syndicats, à une journée de mobilisation pour le pouvoir d’achat le 13 octobre. Un rassemblement qui n’a rien d’un match retour contre l’exécutif après la bataille des retraites, assure-t-elle dans un entretien au « Monde », souhaitant s’adresser d’abord aux employeurs.

Elue le 21 juin à la tête de la CFDT, Marylise Léon hérite d’une centrale dont les troupes ont été renforcées par la bataille contre la réforme des retraites. Laissant derrière elle ce combat perdu, malgré une forte mobilisation, elle appelle, aux côtés de sept autres syndicats, à une journée d’action le 13 octobre en faveur du pouvoir d’achat et « contre l’austérité ». Dans un entretien au Monde, elle estime que la question salariale « se traite d’abord dans les entreprises et dans les branches professionnelles ». Et, alors que le gouvernement a décidé d’étaler dans le temps la suppression de la taxe sur la valeur ajoutée pour les entreprises, elle critique le « dogme » consistant à ne pas augmenter les impôts, une « impasse ».


L’intersyndicale a annoncé une journée d’action le 13 octobre. S’agit-il d’une revanche, d’une sorte de « match retour » après la défaite des organisations de salariés et de défense de la jeunesse dans la bataille contre la réforme des retraites ?

Ce n’est absolument pas l’état d’esprit de la CFDT. Nous sommes toujours aussi combatifs et déterminés à obtenir des améliorations pour les droits des travailleurs, mais nous n’avons pas de revanche à prendre sur le gouvernement. Nous continuons d’affirmer que la réforme des retraites est injuste, sachant que nos interlocuteurs privilégiés, ce sont les employeurs. Nous nous adressons à eux en priorité pour tirer vers le haut la situation des travailleurs au quotidien, et c’est avec eux qu’il faut négocier pour tenter de trouver des compromis. La préoccupation numéro un des salariés du privé, aujourd’hui, tourne autour des enjeux de pouvoir d’achat. C’est aussi vrai pour les agents de la fonction publique. Nous continuons donc notre boulot de syndicaliste en répondant présents sur des sujets sur lesquels nous sommes attendus.

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