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Covid- Manifs anti passe : en baisse

Covid- Manifs anti passe : en baisse

Les manifs se suivent mais la participation ne suit pas au point que l’événement passe assez inaperçu.  Près de 40.000 personnes ont cependant participé aux manifestations dans tout le pays, soit une participation en nette baisse par rapport à samedi dernier, selon des chiffres donnés par le ministère de l’Intérieur.Samedi dernier, ils étaient 54.000 à défiler dans les rues. Deux jours avant l’entrée en vigueur du passe vaccinal, 171 actions ont été dénombrées samedi dans le pays pour un total de «près de 38.000 manifestants», a précisé le ministère. En province, 168 manifestations ont rassemblé au total 32.700 personnes, tandis que les 5200 manifestants parisiens étaient répartis en trois cortèges.

Manifs anti passe : nette baisse

Manifs anti passe : nette baisse 

Seulement 54.000 opposants au pass sanitaire, qui va devenir un pass vaccinal, ont manifesté samedi en France, le jour-même où de nombreuses désactivations devaient avoir lieu faute de rappel de vaccin anti-Covid. Un chiffre en forte baisse par rapport à samedi dernier, selon les chiffres du ministère de l’Intérieur, où quelque 105.200 personnes s’étaient réunies. Au total ce samedi, 170 manifestations et rassemblements ont eu lieu dans toute la France,

Grâce à Macron, le retour des anti passe

Grâce à Macron, le retour des anti passe

Les manifestations anti passe était devenues tellement minoritaires et même insignifiantes que les médias ne leur accordaient plus une seule ligne. Macron avec sa déclaration emporte-pièce indiquant qu’il voulait emmerder les non vaccinés  redonne en quelque sorte de l’oxygène à un mouvement qui  en a manqué beaucoup.

Certes la participation n’atteint pas un niveau très exceptionnel puisqu’au total pour l’ensemble de la France on compte environ 100 000 manifestants agités essentiellement par des mouvements d’extrême droite comme celui de Florian Philippot à la recherche d’une radicalité pour concourir à l’élection présidentielle.

Soit moyenne 1000 personnes par département, un mouvement donc très minoritaire aux enjeux sans doute autant politique que sanitaire.

À Paris, 18.000 personnes se sont rassemblées à l’appel des Patriotes du candidat pro-Frexit à la présidentielle Florian Philippot. À Lyon, une petite foule de manifestants de tous âges et peu masqués s’est rassemblée dans une ambiance bon enfant sur la place Bellecour, en centre-ville. Parmi eux quelques «gilets jaunes», des drapeaux tricolores et un rouge de la CGT. Slogans dénonçant «l’apartheid social» et huées contre le président Emmanuel Macron et son premier ministre ont ponctué la manifestation. Un autre rassemblement de moins de 200 personnes se tenait non loin, avec une banderole «Contre la ‘covictature’. Ni cobaye, ni anti-vax». À Bordeaux, entre 500 et 1000 personnes, selon la police, ont manifesté malgré la pluie sous les cris de «Macron on t’emmerde».

Manif anti-passe: 48.000 participants est encore en baisse

Manif  anti-passe: 48.000 participants est encore en baisse

 

C’est tout juste si maintenant cette manifestation rythmique contre le pass fait l’objet d’un article dans la presse. La participation devient en effet insignifiante. Seulement environ 48.000 manifestants le pass sanitaire ont été recensés samedi par le ministère de l’Intérieur, qui a comptabilisé 173 actions pour le 12ème samedi consécutif de mobilisation.

L’affluence dans ces cortèges et rassemblements est en baisse régulière depuis plusieurs semaines. Le 25 septembre, 60.000 personnes avaient protesté contre le pass sanitaire imposé par le gouvernement pour contrer l’épidémie de Covid-19.

Manifs anti passe : 80 000 participants, en baisse

Manifs anti passe : 80 000 participants, en baisse

le ministère de l’Intérieur a  recensé 80.000 manifestants, contre 121.000 samedi dernier et 140.000 la semaine précédente. Ils étaient 237.000 participants le 7 août. À Paris, ils étaient 6100, contre 19.000 la semaine dernière.

Sur près de 58 millions de Français de plus de 12 ans éligibles au vaccin, plus de 86% ont cependant déjà reçu au moins une injection.

Anti-passe sanitaire : 10e manif samedi

Anti-passe sanitaire : 10e manif samedi

 

Les autorités s’attendent à une mobilisation de l’ordre 120 000  personnes comme la semaine dernière où il étaient 121.000 selon le ministère de l’Intérieur, dont 19.000 à Paris. Le 4 septembre, ils étaient 142.000 en France. Une mobilisation qui ne cesse de baisser depuis août.

Manifestations anti passe sanitaire : 121.000 manifestants, en baisse

Manifestations anti passe sanitaire : 121.000 manifestants, en baisse

La mobilisation est en baisse, selon le ministère, qui avait compté 140.000 manifestants samedi dernier et 165.000 la semaine précédente.

La plus forte mobilisation depuis le début du mouvement a eu lieu le samedi 7 août avec 237.000 participants, dont 17.000 à Paris, pour 198 actions, a rappelé le ministère.

Manifs anti passe : 140.000 participants, en baisse

Manifs anti passe : 140.000 participants, en baisse

141.655 personnes, dont 18.425 à Paris, ont manifesté contre le passe sanitaire en France pour le huitième samedi consécutif, soit une mobilisation de nouveau en baisse, selon le ministère de l’Intérieur.

La mobilisation est en baisse depuis plusieurs semaines, selon les chiffres du ministère. Le week-end dernier, près de 160.000 manifestants avaient été recensés par les autorités, dont 14.500 à Paris. Il y a quinze jours, environ 175.000 personnes avaient manifesté et près de 215.000 il y a trois semaines, selon le ministère.

Anti passe : nouvelle manif ce samedi

Anti passe : nouvelle manif ce samedi

 

 

Samedi dernier, la mobilisation s’était un peu affaiblie  avec 214 845 manifestants  ( on appréciera la précision du ministère de l’intérieur !)  contre 237.000 le samedi d’avant. On pourrait assister à un redressement de la participation ce samedi avec la fin des congés. Le pass sanitaire n’est souvent qu’un prétexte car beaucoup de manifestants entendent signifier leur opposition totale au gouvernement. Ces manifestations rassemblent des sensibilités d’extrême droite, d’extrême gauche, des complotistes et des populistes.

Malgré cette très grande hétérogénéité, le mouvement pourrait encore se prolonger pendant plusieurs semaines voire des mois car ce qui unit surtout ses manifestants c’est leur dénonciation du système du  pouvoir actuel. Du coup, la manifestation risque de prendre fils des semaines des allures de plus en plus politiques. Et le dénominateur commun pourrait être plus clairement l’anti macronisme.

Covid-19 : sixième manif anti passe samedi

Covid-19 : sixième manif anti passe samedi

 

Les manifestations auront lieu dans 600 endroits en France. C’est le sixième épisode de la protestation contre le pass sanitaire. La participation pourrait encore tourner autour de 200 000..

Le ministère de l’Intérieur avait recensé 214.845 manifestants sur l’ensemble du territoire, chiffre vu à la hausse par le collectif militant Le Nombre Jaune, qui comptait de son côté plus de 388.843 manifestants à travers la France. Mais toujours une légère baisse par rapport aux 415.000 comptés par la même organisation le samedi précédent. La question qui se pose surtout ses la pérennité de ce type de protestation qui ressemble de plus en plus au mouvement des gilets jaunes et pourrait prendre une dimension plus politique à partir de septembre.

Manifs anti passe : cinquième journée de mobilisation

Manifs anti passe : cinquième journée de mobilisation

Le ministère de l’Intérieur, régulièrement accusé par les manifestants de sous-estimer la protestation, a compté 214.845 manifestants dans tout l’Hexagone, dont 13.900 à Paris. Ce serait moins que le week-end précédent qui avait réuni 230 000 personnes. Le sud-est a été, comme à son habitude, particulièrement mobilisé : ils étaient notamment 22.000 à Toulon, 6 000 à Nice ou encore 7 500 à Montpellier.

 

SONDAGE anti-passe sanitaire Covid : 34 % approuvent

SONDAGE  anti-passe sanitaire Covid : 34 % approuvent

Selon un sondage Ifop pour le JDD, 34% à déclarent  leur soutien ou leur sympathie pour le mouvement, un nombre stable par rapport à nos deux précédents sondages des 27 et 28 juillet (33%) et des 21 et 22 juillet (35%). C’est auprès des sympathisants de La France insoumise (61%) et du Rassemblement national (49%) que les anti-passe sanitaire trouvent le plus de soutien. Les opposants au mouvement représentent quant à eux 50% de la population, selon le sondage, un nombre stable lui aussi.

Parmi les sondés, 68% estiment que le passe sanitaire va « créer deux catégories de citoyens », mais 60% considèrent dans le même temps que ce dispositif est « une façon de responsabiliser ceux qui ne veulent pas être vaccinés ».

L’enquête a été menée auprès d’un échantillon de 1.006 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon a été assurée par la méthode des quotas (sexe, âge, profession de la personne interrogée) après stratification par région et catégorie d’agglomération. Les interviews ont été réalisées par questionnaire auto-administré en ligne du 11 au 12 août 2021.

L’instrumentalisation de la crise de l’hôpital par certains anti passe

 

Des médecins, infirmiers, aides-soignants et psychologues des secteurs hospitaliers publics et privés mais aussi de médecine de ville protestent, dans une tribune au « Monde » (extrait), contre l’instrumentalisation de la crise de l’hôpital public par les manifestants hostiles à la vaccination obligatoire et au passe sanitaire.

 

Tribune.

 

Ces derniers jours ont été marqués par des manifestations contre la vaccination obligatoire et le passe sanitaire. A cette occasion, nous avons relevé, chez les manifestants, comme sur les réseaux sociaux, ce qui se voudrait être un argument pour appuyer l’idée que se faire vacciner ne servirait à rien : la défense de l’hôpital public.

La justification serait la suivante : les gouvernements successifs détruisent l’hôpital public depuis des années ; le nombre de lits et les moyens se sont effondrés, tout cela au mépris de la santé publique ; commençons donc par réhabiliter l’hôpital et les conditions de soin pour mieux gérer les pandémies avant de forcer à la vaccination, disent les manifestants. Nous, médecins, infirmiers et soignants, nous inscrivons fermement en faux face à cette logique.

Tout d’abord, nous sommes étonnés de voir que tant de personnes ont subitement à cœur la défense de l’hôpital public. En effet, nombre d’entre nous ont prêché dans le désert durant des années et se sont sentis très seuls lors des mouvements organisés par les professions médicales et paramédicales. Ces opérations n’ont que peu mobilisé en dehors du monde médical, quand il s’est agi de lutter contre de nouvelles mesures d’austérité imposées à l’hôpital ou contre la dépossession des moyens de décisions des soignants − pensons à la loi HPST (Hôpital, patients, santé et territoire) en 2009.

A croire que ce subit intérêt pour la cause de l’hôpital public n’est en réalité là que pour affubler des oripeaux de l’éthique un refus de se vacciner bien difficile à justifier.

 

Nous, soignants, vivons de l’intérieur, depuis un an et demi maintenant, la crise du Covid-19, qui n’a fait que révéler de façon suraiguë ce que nous savions déjà : trop de lits ont été fermés. Il n’y a plus suffisamment de moyens humains et matériels à l’hôpital et, fondamentalement, la logique de flux tendu ne peut pas s’appliquer à un secteur stratégique comme la santé, qui doit être capable d’absorber rapidement une crise sanitaire d’ampleur.

Les secteurs de soins les plus mobilisés sont à bout de souffle, affectés depuis longtemps par les hémorragies de personnels. En conséquence, la pandémie a éprouvé considérablement ces équipes de soin qui ne demandent qu’une seule chose : sortir de la crise. Nous constatons par ailleurs, trop souvent, les ravages de la pandémie en termes de retard de diagnostic et de prise en charge des autres pathologies. Des retards qui, parfois, grèvent lourdement la survie des patients, en particulier en oncologie.

Anti Passe sanitaire : surtout une méfiance vis-à-vis du pouvoir

 

Anti Passe sanitaire : surtout une méfiance vis-à-vis du pouvoir

 

Emmanuel Hirsch, professeur d’éthique médicale estime, dans une tribune au « Monde », que les pouvoirs publics et au premier chef, le président de la République doivent prendre sérieux les protestations des anti passe.(Extrait)

Tribune. Les processions modernes que sont les manifestations hostiles au passe sanitaire ont réuni samedi 31 juillet 204 090 personnes. Dans une société sécularisée, la revendication des libertés publiques se substitue à l’invocation de la miséricorde divine par les pénitents au cours des grandes épidémies du passé.

L’affirmation de droits et de convictions personnelles, y compris à rebours des évidences et des contraintes imposées par la dynamique pandémique, serait le chemin du salut, sauvegardant les principes démocratiques érigés au rang de règles de foi. Ce recours au registre du religieux pour tenter d’interpréter nos croyances et nos pratiques laïques en temps de pandémie, peut s’appliquer à l’onction républicaine que représenterait la vaccination et au viatique que devient le passe sanitaire.

Le chef de l’Etat ne s’est-il pas investi d’une fonction hiératique à vouloir, dans le secret des délibérations du conseil de sécurité sanitaire, décider en tout ? Y compris en pariant contre l’expertise scientifique, estimant qu’infaillible il s’exonérait de tout jugement critique à l’égard de ses choix.

Nous n’avons pas produit une pensée et une politique à hauteur de défis inédits et complexes, dont l’issue ne dépend pas seulement des capacités biomédicales à produire un vaccin et de la résolution internationale à le rendre accessible à tous. Si les discours incantatoires n’ont aucune prise sur le réel, c’est parce qu’il leur manque une capacité d’analyse et de synthèse, et qu’établir des diagnostics immédiats ne suffit pas pour crédibiliser une stratégie et mobiliser une société qui a substitué la défiance à la foi.

Manifestants vaccinés

Manque un récit collectif qui permette de nous comprendre, de nous situer et d’être reconnus à notre juste place afin de contribuer, en responsabilité, à un engagement dans la durée. Mais ce qui semble faire tout autant défaut, c’est l’énoncé de règles de gouvernance respectueuses de notre attachement éthique à des principes que des décisions contestables sont de nature à bafouer.

L’exigence de réforme d’une méthode que réfutent ceux qui protestent dans la rue contre ce qu’ils considèrent comme une forme d’arbitraire déraisonnable, doit être prise au sérieux, respectée dans ce qu’elle exprime et considérée comme une alerte. Convient-il de rappeler que nombre de manifestants affirment être vaccinés ? Ils ne peuvent donc pas être assimilés à cette communauté informelle d’irrédentistes ou de factieux que certains stigmatisent à mauvais escient ?

Anti-passe sanitaire ou anti Macron

Anti-passe sanitaire ou anti Macron

 

Nombre de médias évoquent le caractère composite de ceux qui s’opposent  au passe sanitaire. Cependant pour Marie Jauffret-Roustide, sociologue à l’Inserm. «La première raison est l’opposition politique au gouvernement, qu’on peut interpréter comme une contestation du pouvoir des élites. À leurs yeux, la vaccination est une incarnation de la politique du gouvernement», poursuit-elle dans le Figaro.

En fait,  le passe sanitaire a constitué la goutte d’eau qui a permis à la contestation du pouvoir de s’exprimer à nouveau dans la rue. Il est possible que ces manifestations si elles  maintiennent le mois d’août prennent une autre dimension à partir du septembre en agglomérant nombre de mécontentements vis-à-vis d’un gouvernement dont l’action est maintenant paralysée par la crise sanitaire et la perspective électorale. Pire, qui multiplie les bavures de concertation et de communication.

De ce point de vue il y a continuité chez le président de la république qui depuis le départ a toujours voulu s’affranchir de tous les corps intermédiaires en espérant créer un lien direct avec la population. Or ce lien n’a réellement jamais été établi et le président demeure plus en plus isolé. Un isolement voulu par peur d’une éventuelle émergence d’un concurrent et qui le conduit à intervenir sur tout, partout et tout le temps avec de plus en plus de démagogie. Un seul exemple cette promesse d’une troisième dose de vaccin aux populations âgées alors qu’on est même pas en capacité d’assurer une première dose pour beaucoup ( à fin août environ seulement 50 % o nt été vaccinés)

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