Archive pour le Tag 'ans'

Ferroviaire Italie: un plan de 100 milliards d’euros en cinq ans

Ferroviaire Italie:un plan de 100 milliards d’euros en cinq ans

 Le nouveau directeur général de Ferrovie dello Stato (FS), Stefano Donnarumma, vient d’annoncer dans son plan stratégique de 2025 à 2029 une forte accélération des investissements du groupe dans les dix prochaines années. Après avoir investi 157 milliards d’euros de 1990 à 2016, soit environ 6 milliards par an en moyenne, FS était déjà passé à la vitesse supérieure grâce au plan de relance européen dont il a bénéficié à hauteur de 24,5 milliards.

Economie: 30 ans de retard pour la France

Economie:  30 ans de retard pour la France

 

Alstom, Alcatel, Arcelor, et désormais Doliprane. Ces pertes de fleurons industriels français au profit de puissances étrangères ne sont-elles pas le symptôme de notre manque de stratégie dans ce que l’on appelle l’intelligence économique ?

 

par Christophe Bisson
Professeur Associé en Intelligence Decisionnelle, SKEMA Business School dans The Conversation 

Donald Trump vient d’être élu confortablement à la Maison Blanche. Pour les Européens, cette élection soulève de nombreux problèmes, entre autres celui des droits de douane qui seront imposés par les États-Unis, d’une part à la Chine mais aussi aux pays européens. Ainsi, une diminution conséquente de l’entrée des produits chinois en Amérique va, par contre coup, les faire déferler sur l’Europe. En France notamment, la toile de fond de la désindustrialisation nous rend fortement vulnérables.

La récente affaire Doliprane a d’ailleurs ravivé les tensions sur la perte de souveraineté économique de la France, sur sa dette grandissante et sur la perte continue de notre compétitivité économique. Pourtant, dès 1994 le rapport Martre nous alertait, en défendant la mise en place d’une intelligence économique (IE), c’est-à-dire à rassembler et mobiliser des informations et des renseignements utiles aux acteurs économiques. Il devenait nécessaire de face aux mutations de notre environnement d’introduire plus de stratégie dans nos actions, d’utiliser l’information et son analyse comme une des clés permettant une meilleure décision.

L’intelligence économique a trois « piliers » : la veille stratégique (surveillance de l’environnement économique), l’influence (stratégie indirecte pour que des décisions soient prises en faveur de l’intérêt national) et la sécurité économique (comprenant des volets de sécurité physique, de propriété intellectuelle et digitale).
Qu’en est-il advenu ? En 2003, le rapport Carayon, intitulé « Intelligence économique et Cohésion sociale », reprenait les thématiques du rapport Martre pour constater que celui-ci n’avait en fait pas été suivi d’effet. À la suite du rapport Carayon, un poste de responsable chargé de l’intelligence économique au sein du Secrétariat général de la défense nationale (SGDN) a été créé, occupé par Alain Juillet de 2003 à 2009. On essayait alors, dans la mesure du possible, d’introduire au sein des élites françaises chargées de la décision les concepts et outils de l’IE pour à la fois protéger notre patrimoine industriel et augmenter notre compétitivité.

Cependant, en 2023, la sénatrice Marie-Noëlle Lienemann présentait un rapport intitulé « Anticiper, adapter, influencer : l’intelligence économique comme outil de reconquête de notre souveraineté », dont la recommandation numéro 1 était sans équivoque : « concevoir une stratégie nationale d’intelligence économique intégrant les volets défensif et offensif… ». Ainsi, 30 ans après le rapport Martre, les principes de base devant soutenir notre compétitivité n’avaient semble-t-il toujours pas été intégrés dans les processus de décision nationaux.
Il est difficilement admissible que ce soit par un manque de culture ou par une méconnaissance des mécanismes liés à la décision stratégique qu’on en soit toujours au même point. Cela conduit à nous poser quelques questions et à mettre en évidence des faits avérés pouvant étayer une réflexion sur la perte de compétitivité de la France. Examinons une partie de ces derniers.

Bien avant l’affaire Alstom, des « fleurons » de l’industrie française sont passés sous contrôle étranger tels que Péchiney (2003), Arcelor (2006) ou Alcatel (2015). En 2015, c’est l’affaire Alstom qui marque le plus l’opinion. C’est finalement l’Américain General Electric qui rachète Alstom, avec l’aval du gouvernement français.

Ainsi, il nous semble qu’au-delà du patriotisme national, l’impact d’une politique soumise aux contraintes néolibérales est incompatible avec une politique nationale d’intelligence économique et donc de souveraineté nationale. En effet, l’IE à la française prône la protection et le confort de la souveraineté nationale sur les espaces critiques. Cela parait incompatible avec la recherche systématique du profit à court terme.
De plus, si l’IE semble se limiter aujourd’hui à la sécurité économique, avec toutefois une certaine efficacité, force est de constater que les aspects de stratégie directe ou indirecte (c’est-à-dire d’influence) et de prospective n’ont été que peu développés. Au niveau européen, la politique d’ouverture, la faible défense de nos intérêts et un manque chronique de coordination nous condamnent à un certain immobilisme et à un effacement de nos intérêts stratégiques, au profit d’une perception naïve d’un néolibéralisme « conquérant ».

Concernant l’actualité, la réaction de la population américaine qui va conduire à un développement intérieur des États-Unis, suivi d’un protectionnisme accru, remet en cause la doxa traditionnelle de nos décideurs. Cette situation risque rapidement de nous conduire à une paralysie décisionnelle en raison de la désindustrialisation, du manque de souveraineté énergétique, d’une dette croissante et surtout d’une méfiance de plus en plus marquée vis-à-vis des politiques nationales ou européennes qui semblent nous conduire vers une impasse.

Nous devons quitter la période « paisible » qui, depuis 80 ans, conduit à un effet lénifiant pour nous projeter dans un monde nouveau où la guerre des blocs, la compétition économique et les effets climatiques vont bouleverser nos référentiels et notre manière de penser et d’agir !

Cet article a été co-écrit avec Henri Dou, ancien professeur en sciences de l’information et de la communication à Aix-Marseille Université.

Un tueur à gages de 14 ans !

Un tueur à gages de 14 !

Arrestation d’un mineur de 14 ans tueur à gages recrutés exécutait un chauffeur VTC

Le mineur a été recruté sur les réseaux sociaux par un commanditaire lui promettant 50 000 euros en l’échange de l’assassinat d’un membre d’un clan adverse. L’opération s’est soldée par la mort d’un chauffeur VTC qui refusait de lui obéir.

Comme révélé dimanche matin par le procureur de la République de Marseille, Nicolas Bessone, de très jeunes recrues sont désormais enrôlées par des commanditaires sans foi ni loi pour semer la mort en guise de simple intimidation ou au nom de la « vengeance ».

 

La retraite à 70 ans pour les fonctionnaires en Italie ?

La retraite à 70 ans pour les fonctionnaires  en Italie ?

 

La mesure est envisagée par la première ministre Italienne  basée sur le volontariat, pourrait être incluse dans le plan budgétaire en cours de discussion de l’autre côté des Alpes. Mais celle-ci est fustigée par les syndicats.

Giorgia Meloni réfléchit désormais à le retarder, pour les fonctionnaires… à 70 ans.

Dans un entretien cette semaine au journal Corriere della Serra , le ministre italien de la Fonction publique, Giovanni Zangrillo, a en effet affirmé avoir discuté avec le ministre de l’Économie Giancarlo Giorgetti de la «possibilité d’un maintien en activité jusqu’à 70 ans». «Sur la base du volontariat», a-t-il néanmoins précisé.

Pour les fonctionnaires italiens volontaires, ils passeraient ces années supplémentaires à réaliser des activités de tutorat et de coaching, ou bien à remplir des besoins qui ne pourraient pas être satisfaits autrement, selon le rapport technique du projet, qui concernerait les administrations jugeant stratégique de conserver l’expérience de certains salariés.

Législatives et Retraites: à 60, 65 ou 66 ans pour le RN ?

Législatives et Retraites: à 60,  65 ou 66 ans pour le RN ?

 

Si Bardella est clair sur les carrières longues qui permettraient de partir à 60 ans pour quelqu’un qui a commencé à travailler avant 20 ans par contre pour le reste c’est un peu le flou. «Je souhaite que ceux qui ont commencé à travailler avant 20 ans, parce que ce sont les gens qui ont les métiers les plus difficiles, puissent partir avec un temps de cotisations de 40 annuités et un âge de départ légal de 60 ans», a développé le président du RN.

Au-delà de cette barre symbolique, le leader du RN promet «une progressivité assez floue qui tournera autour d’un âge pivot de 62 ans et de 42 annuités.»  En clair comme l’âge moyen d’entrer sur le marché du travail est entre 23 et 24 ans l’âge de départ pour la moyenne serait donc de 65 à 66 ans. C’est-à-dire au-delà de ce qui a été prévu dans la récente réforme. De quoi évidemment alimenter le débat et la polémique.

Pour résumer, il y aurait l’âge légal à 60 ans mais seulement appliquer pour ceux qui sont entrés sur le marché du travail avant 20 ans. Pour les autres un âge pivot théorique de 62 ans mais avec 42 ans d’annuités qui conduira dans les fêtes un âge de départ entre 65 et 66 ans.

Bardella  a d’ailleurs reconnu que sa réforme des retraites que ces changements entraînerait «par définition» des perdants et des gagnants.

 

Rixe mortelle: Un adolescent de 15 ans tué par un autre ado de 15 ans

Rixe mortelle: Un adolescent de 15 ans tué Par un autre ado de 15 ans 

Chaque jour ou presque on apprend un règlement de comptes mortels d’un adolescent. Le plus souvent des règlements de compte et ou de la violence pure sans forcément de motifs. Des faits divers qui s’ajoutent sans cesse à des faits divers depuis des années et qui constituent en réalité un ces deux sociétés qui caractérisent la décomposition des rapports à la loi et à l’autre. Bref le retour de la sauvagerie. Blessée à l’arme blanche au niveau du thorax, la victime de 15 ans a succombé à ses blessures. Un adolescent du même âge, déjà connu des services de la police, a été interpellé quelques heures plus tard.

La rixe est survenue samedi vers 18 heures sur la voie publique et la victime est décédée à l’hôpital dans la soirée, a précisé la procureure dans un communiqué. Interpellé environ deux heures après la bagarre, le suspect, âgé de 15 ans également, a été placé en garde à vue, selon la préfète Agnès Auboin. L’auteur présumé «n’a jamais été condamné par la justice et son casier est vierge de toute condamnation», d’après la magistrate. En revanche, il avait été mis en examen «pour des faits de nature correctionnelle» et placé sous contrôle judiciaire par un juge d’instruction le 22 avril, «seule mesure de sûreté prévue par le code de la Justice pénale des mineurs vu son âge, sans condamnation antérieure».

Violences- deux ans de prison suite à l’agression d’un brancardier

Violences-  deux ans de prison suite à l’agression d’un brancardier

Enfin la justice se réveille à  Challans (Vendée) avec  quatre ans d’emprisonnement, dont deux fermes, par le tribunal judiciaire des Sables-d’Olonne. L’auteur  a été condamné pour «violence sur personnel de santé (avec une ITT supérieure à huit jours, ndlr) et dégradation de mobilier urbain».

Le  prévenu, un jeune homme musclé encadré de plusieurs policiers, reconnaît avoir frappé un brancardier car son père et son cousin, brûlés, n’étaient pas pris en charge assez vite à ses yeux. Ce que contredit l’image de la vidéo surveillance de l’hôpital diffusée à l’audience: trois minutes après l’entrée aux urgences des deux hommes, le personnel les conduit vers une salle de prise en charge.

On y voit ensuite le prévenu- très alcoolisé– effectuer des allers-retours entre l’intérieur et l’extérieur, puis frapper d’un violent coup de poing dans la nuque et par-derrière un brancardier qui sort déjeuner. Ce dernier gît au sol, inconscient un long moment pendant que des collègues lui viennent en aide. Ensuite, le prévenu défonce la porte d’entrée en verre des urgences avant de quitter les lieux avec ses proches.

 

Société- au moins 20 ans pour redresser la France

 

Inutile de tourner autour du pot, la France encore récemment une des plus grandes puissances mondiales ne cesse de s’enfoncer sur tous les plans : économique, social, sociétal et même sur le plan de la sécurité.

La France est passée du statut de grande puissance à celui de très moyenne voire de pays instable. Tous les indicateurs sont au rouge. Il y a d’abord la situation économique et financière. Faute de compétitivité depuis longtemps et de manque de productivité globale ( trop faible taux d’emploi en France rapporté à l’ensemble des actifs potentiels) mais aussi du fait de la mise en place précipitée des 35 heures. Deux éléments qui ont plombé la compétitivité et en particulier celle de l’industrie délocalisée à l’extérieur.

En dépit du taux exceptionnel de prélèvements obligatoires( impôts globaux), la France cumule paradoxalement deux faiblesses ,d’une part un déficit chronique , une dette abyssale ( 50 000 € par habitant soient 3200 milliards) , d’autre part un taux de prélèvement obligatoire de près de 50 %. Une fiscalité qui tue aussi la compétitivité.

Et curieusement , ce n’est qu’il y a que quelques jours ou quelques semaines que les instituts, organismes et autres institutions découvrent l’ampleur d’une catastrophe qui a commencé il y a 40 ans environ. En cause, le mammouth de l’État (et des collectivités locales) devenu complètement incontrôlable ou la logique de dépenses se déroule en dépit de tous les discours de gestion plus saine. Et là aussi paradoxalement la qualité des services publics a plutôt tendance à se dégrader( sécurité, santé ou encore éducation par exemple).

Le sentiment général est que ce pays n’est plus géré depuis longtemps ce dont convient même le président de la république qui essaye maintenant de sermonner les hauts fonctionnaires; Évidemment deux fois trop nombreux ( un directeur, deux adjoints, des sous-directeurs et des chefs de bureau en pagaille, sans parler les troupes de base qui augmentent chaque année; de 50 000 encore en 2023 et 70 000 en 2024 ! ) Et pas forcément bon endroit.

Mais au-delà des aspects quantitatifs il y a surtout le sentiment que le concept d’autorité est complètement bafoué partout dans l’espace public, services publics et autres. Dans l’école, dans la rue et même dans la sphère privée( quand la plupart des plaintes sont enterrées). Exemple significatif: la France qui est en train de devenir une plaque tournante internationale de la drogue. Toutes les villes mêmes les plus petites sont affectées par ce cancer qui s’accompagne en plus de règlements de comptes, de violences et de morts.

Le dernier aspect concerne celui du sentiment d’insécurité vis-à-vis d’un islamisme rampant qui met en cause la laïcité. L’extrémisme religieux veut progressivement prendre le pas sur ce qui fait la spécificité de la France : ses valeurs républicaines, sa liberté et sa démocratie. Bref, un discours politique qui a 1000 ans de retard mais qui s’ancre dans des populations velléitaires et incultes. Bref, Dieu pour remplacer la science, le progrès et la démocratie comme en Afghanistan, en Iran et autre pays d’obédience musulmane extrémiste.

La France a un sérieux besoin de recentrage social et économique mais aussi sociétal sinon le pays s’orientera vers l’appauvrissement, la violence et le chaos.

Et les discours actuels du monde politique ne sont pas à la hauteur des enjeux.

Politique- 20 à 30 ans pour redresser la France

Politique- –20 à 30 ans pour redresser la France

Inutile de tourner autour du pot, la France encore récemment une des plus grandes puissances mondiales ne cesse de s’enfoncer sur tous les plans : économique, social, sociétal et même sur le plan de la sécurité.

La France est passée du statut de grande puissance à celui de très moyenne voire de pays instable. Tous les indicateurs sont au rouge. Il y a d’abord la situation économique et financière. Faute de compétitivité depuis longtemps et de manque de productivité globale ( trop faible taux d’emploi en France rapporté à l’ensemble des actifs potentiels) mais aussi du fait de la mise en place précipitée des 35 heures. Deux éléments qui ont plombé la compétitivité et en particulier celle de l’industrie délocalisée à l’extérieur.

En dépit du taux exceptionnel de prélèvements obligatoires( impôts globaux), la France cumule paradoxalement deux faiblesses ,d’une part un déficit chronique , une dette abyssale ( 50 000 € par habitant soient 3200 milliards) , d’autre part un taux de prélèvement obligatoire de près de 50 %. Une fiscalité qui tue aussi la compétitivité.

Et curieusement , ce n’est qu’il y a que quelques jours ou quelques semaines que les instituts, organismes et autres institutions découvrent l’ampleur d’une catastrophe qui a commencé il y a 40 ans environ. En cause, le mammouth de l’État (et des collectivités locales) devenu complètement incontrôlable ou la logique de dépenses se déroule en dépit de tous les discours de gestion plus saine. Et là aussi paradoxalement la qualité des services publics a plutôt tendance à se dégrader( sécurité, santé ou encore éducation par exemple).

Le sentiment général est que ce pays n’est plus géré depuis longtemps ce dont convient même le président de la république qui essaye maintenant de sermonner les hauts fonctionnaires; Évidemment deux fois trop nombreux ( un directeur, deux adjoints, des sous-directeurs et des chefs de bureau en pagaille, sans parler les troupes de base qui augmentent chaque année; de 50 000 encore en 2023 et 70 000 en 2024 ! ) Et pas forcément bon endroit.

Mais au-delà des aspects quantitatifs il y a surtout le sentiment que le concept d’autorité est complètement bafoué partout dans l’espace public, services publics et autres. Dans l’école, dans la rue et même dans la sphère privée( quand la plupart des plaintes sont enterrées). Exemple significatif: la France qui est en train de devenir une plaque tournante internationale de la drogue. Toutes les villes mêmes les plus petites sont affectées par ce cancer qui s’accompagne en plus de règlements de comptes, de violences et de morts.

Le dernier aspect concerne celui du sentiment d’insécurité vis-à-vis d’un islamisme rampant qui met en cause la laïcité. L’extrémisme religieux veut progressivement prendre le pas sur ce qui fait la spécificité de la France : ses valeurs républicaines, sa liberté et sa démocratie. Bref, un discours politique qui a 1000 ans de retard mais qui s’ancre dans des populations velléitaires et incultes. Bref, Dieu pour remplacer la science, le progrès et la démocratie comme en Afghanistan, en Iran et autre pays d’obédience musulmane extrémiste.

La France a un sérieux besoin de recentrage social et économique mais aussi sociétal sinon le pays s’orientera vers l’appauvrissement, la violence et le chaos.

Et les discours actuels du monde politique ne sont pas à la hauteur des enjeux.

Société–20 à 30 ans pour redresser la France

Société–20 à 30 ans pour redresser la France

Inutile de tourner autour du pot, la France encore récemment une des plus grandes puissances mondiales ne cesse de s’enfoncer sur tous les plans : économique, social, sociétal et même sur le plan de la sécurité.

La France est passée du statut de grande puissance à celui de très moyenne voire de pays instable. Tous les indicateurs sont au rouge. Il y a d’abord la situation économique et financière. Faute de compétitivité depuis longtemps et de manque de productivité globale ( trop faible taux d’emploi en France rapporté à l’ensemble des actifs potentiels) mais aussi du fait de la mise en place précipitée des 35 heures. Deux éléments qui ont plombé la compétitivité et en particulier celle de l’industrie délocalisée à l’extérieur.

En dépit du taux exceptionnel de prélèvements obligatoires( impôts globaux), la France cumule paradoxalement deux faiblesses ,d’une part un déficit chronique , une dette abyssale ( 50 000 € par habitant soient 3200 milliards) , d’autre part un taux de prélèvement obligatoire de près de 50 %. Une fiscalité qui tue aussi la compétitivité.

Et curieusement , ce n’est qu’il y a que quelques jours ou quelques semaines que les instituts, organismes et autres institutions découvrent l’ampleur d’une catastrophe qui a commencé il y a 40 ans environ. En cause, le mammouth de l’État (et des collectivités locales) devenu complètement incontrôlable ou la logique de dépenses se déroule en dépit de tous les discours de gestion plus saine. Et là aussi paradoxalement la qualité des services publics a plutôt tendance à se dégrader( sécurité, santé ou encore éducation par exemple).

Le sentiment général est que ce pays n’est plus géré depuis longtemps ce dont convient même le président de la république qui essaye maintenant de sermonner les hauts fonctionnaires; Évidemment deux fois trop nombreux ( un directeur, deux adjoints, des sous-directeurs et des chefs de bureau en pagaille, sans parler les troupes de base qui augmentent chaque année; de 50 000 encore en 2023 et 70 000 en 2024 ! ) Et pas forcément bon endroit.

Mais au-delà des aspects quantitatifs il y a surtout le sentiment que le concept d’autorité est complètement bafoué partout dans l’espace public, services publics et autres. Dans l’école, dans la rue et même dans la sphère privée( quand la plupart des plaintes sont enterrées). Exemple significatif: la France qui est en train de devenir une plaque tournante internationale de la drogue. Toutes les villes mêmes les plus petites sont affectées par ce cancer qui s’accompagne en plus de règlements de comptes, de violences et de morts.

Le dernier aspect concerne celui du sentiment d’insécurité vis-à-vis d’un islamisme rampant qui met en cause la laïcité. L’extrémisme religieux veut progressivement prendre le pas sur ce qui fait la spécificité de la France : ses valeurs républicaines, sa liberté et sa démocratie. Bref, un discours politique qui a 1000 ans de retard mais qui s’ancre dans des populations velléitaires et incultes. Bref, Dieu pour remplacer la science, le progrès et la démocratie comme en Afghanistan, en Iran et autre pays d’obédience musulmane extrémiste.

La France a un sérieux besoin de recentrage social et économique mais aussi sociétal sinon le pays s’orientera vers l’appauvrissement, la violence et le chaos.

Et les discours actuels du monde politique ne sont pas à la hauteur des enjeux.

20 à 30 ans pour redresser la France

20 à 30 ans pour redresser la France

Inutile de tourner autour du pot, la France encore récemment une des plus grandes puissances mondiales ne cesse de s’enfoncer sur tous les plans : économique, social, sociétal et même sur le plan de la sécurité.

La France est passée du statut de grande puissance à celui de très moyenne voire de pays instable.

Tous les indicateurs sont au rouge. Il y a d’abord la situation économique et financière. Faute de compétitivité depuis longtemps et de manque de productivité globale ( trop faible taux d’emploi en France rapporté à l’ensemble des actifs potentiels) mais aussi du fait de la mise en place précipitée des 35 heures. Deux éléments qui ont plombé la compétitivité et en particulier celle de l’industrie délocalisée à l’extérieur.

En dépit du taux exceptionnel de prélèvements obligatoires( impôts globaux), la France cumule paradoxalement deux faiblesses ,d’une part un déficit chronique , une dette abyssale ( 50 000 € par habitant soient 3200 milliards) , d’autre part un taux de prélèvement obligatoire de près de 50 %. Une fiscalité qui tue aussi la compétitivité.

Et curieusement ce n’est qu’il y a que quelques jours ou quelques semaines que les instituts, organismes et autres institutions découvrent l’ampleur d’une catastrophe qui a commencé il y a 40 ans environ. En cause, le mammouth de l’État (et des collectivités locales) devenu complètement incontrôlable ou la logique de dépenses se déroule en dépit de tous les discours de gestion plus saine. Et là aussi paradoxalement la qualité des services publics a plutôt tendance à se dégrader( sécurité, santé ou encore éducation par exemple).

Le sentiment général est que ce pays n’est plus géré depuis longtemps ce dont convient même le président de la république qui essaye maintenant de sermonner les hauts fonctionnaires; Évidemment deux fois trop nombreux ( un directeur, deux adjoints, des sous-directeurs et des chefs de bureau en pagaille, sans parler les troupes de bases qui augmentent chaque année; de 50 000 encore en 2023 et 70 000 en 2024 ! ) Et pas forcément bon endroit.

Mais au-delà des aspects quantitatifs il y a surtout le sentiment que le concept d’autorité est complètement bafoué partout dans l’espace public, services publics et autres. Dans l’école, dans la rue et même dans la sphère privée( quand la plupart des plaintes sont enterrées). Exemple significatif: la France qui est en train de devenir une plaque tournante internationale de la drogue. Toutes les villes mêmes les plus petites sont affectées par ce cancer qui s’accompagne en plus de règlements de comptes, de violences et de morts.

Le dernier aspect concerne celui du sentiment d’insécurité vis-à-vis d’un islamisme rampant qui met en cause la laïcité. L’extrémisme religieux veut progressivement prendre le pas sur ce qui fait la spécificité de la France : ses valeurs républicaines, sa liberté et sa démocratie. Bref, un discours politique qui a 1000 ans de retard mais qui s’ancre dans des populations velléitaires et incultes. Bref, Dieu pour remplacer la science, le progrès et la démocratie comme en Afghanistan, en Iran et autre pays d’obédience musulmane extrémiste.

La France a un sérieux besoin de recentrage social et économique mais aussi sociétal sinon le pays s’orientera vers l’appauvrissement, la violence et le chaos.

Et les discours actuels du monde politique ne sont pas à la hauteur des enjeux.

Retraite à 66 ans : refus des Suisses

Retraite à 66 ans : refus des Suisses

Dix-huit mois après avoir relevé l’âge de départ des femmes de 64 à 65 ans, nos voisins helvètes se sont par contre opposés par votation ce dimanche à décaler de 65 à 66 ans l’âge de la retraite pour l’ensemble des actifs. Selon les premières estimations de la consultation, les trois quarts des Suisses ont refusé cette mesure visant à assurer la pérennité du financement du système de l’assurance-vieillesse et survivants (AVS).

 

En revanche, ils ont voté à une nette majorité (58 %) pour l’instauration d’un treizième mois pour les retraités, la «treizième rente». Cette votation a été lancée à l’initiative de l’Union syndicale suisse (USS) qui dénonçait la forte hausse du coût de la vie dans la Confédération depuis deux ans.

Deux ans de guerre en Ukraine : Bilan et perspectives

Deux ans de guerre en Ukraine : Bilan et perspectives

Il convient  de se réjouir qu’il reste 62 % de Français à penser qu’il faille continuer à armer l’Ukraine, selon l’étude menée par le Conseil européen pour les relations internationales - European Council on Foreign Relations (ECFR). Néanmoins, ce soutien manifeste ne saurait masquer, que, selon la Fondation allemande Bertelsmann, seuls 10 % des Européens croient encore possible une victoire de l’Ukraine. Les Ukrainiens, eux, restent nettement plus déterminés. Ils sont sûrs à 60 %, de leur victoire, et 73 % à soutenir la guerre contre l’agression russe : c’est là d’ailleurs l’essentiel. dans le JDD par  Emmanuel Dupuy, président de l’Institut Prospective et Sécurité en Europe*.(Extrait)  

Il aura fallu l’évocation par Emmanuel Macron du « régime du Kremlin » ainsi que sa désignation comme « acteur méthodique de la déstabilisation du monde » pour rassurer quelque peu Volodymyr Zelensky, venu à Paris, pour obtenir les garanties de sécurités décennales promises par la France, l’Allemagne et la Grande-Bretagne, à défaut des avions de chasse et d’attaques au sol, Mirage 2000, que Paris rechigne toujours à livrer.

Les Ukrainiens continuent de solliciter davantage d’armes plus sophistiquées, et en plus grande quantité, auprès des forces armées des pays européens et otaniens, et ce afin de tenir un front long de près de 1 000 km, juché d’infranchissables champs de mines, sur plusieurs dizaines de km. Au-delà des missiles de plus longue portée réclamés, avec insistance, auprès de Washington (ATACMS) et Berlin (Taurus), la solidarité diplomatique que nous, Européens, devons – en adhésion et cohésion – au peuple ukrainien reste déterminante. En d’autres mots, l’UE (avec une somme cumulée de 85 milliards + 50 milliards promis en 2024-2025) aura nettement plus « aidé » l’Ukraine que les États-Unis (72 milliards d’euros + 61 milliards promis en 2024-2025) entre le 24 janvier 2022 et le 31 octobre 2023.

 

Le hiatus est néanmoins plus marqué et inversé en matière d’aide militaire, alors que les États-Unis ont équipé, entraîné et aidé les forces armées ukrainiennes, en 2023, à hauteur de 44 milliards d’euros, contre les modestes 5,6 milliards de la Facilité européenne pour la Paix (FeP) et les quelque 3,4 milliards d’euros fournis par la France (sans compter, cependant les 3 milliards d’euros promis, lors de la visite, à Paris, du président ukrainien).

L’on estime, ainsi, qu’en cas d’attrition de l’aide bilatérale américaine vis-à-vis de l’Ukraine, l’UE devrait doubler son aide militaire en direction de Kyiv, et ce, dès les premiers mois de 2025, dans les deux cas de figure : que Joe Biden effectue un second mandat consécutif ou que Donald Trump ne réoccupe le Bureau ovale.

Par ailleurs, sur un plan plus diplomatique, l’Ukraine reste résolument déterminée à entrer dans la famille européenne, tel que l’ouverture – lors du dernier Conseil européen, de décembre dernier – des négociations en vue de l’adhésion de Kyiv à l’UE, lui en trace, désormais, la perspective, à l’horizon de la prochaine décennie…

La terrible guerre qui se déroule en Ukraine aura réussi, malgré tout, cahin-caha, à ressouder les Européens entre eux, malgré les querelles picrocholines qui accompagnent les doléances et caprices de l’agenda hongrois. La pusillanimité collective qui caractérisait l’enjeu des convergences en matière de défense européenne, ne devrait ainsi plus être de mise.

Les combats en Ukraine, mitoyens du front oriental de l’OTAN, sur 3 000 km, de la Finlande à la Roumanie, auront aussi eu l’insigne mérite de réveiller l’Alliance Atlantique de sécurité collective, liant désormais 31 (avec la Finlande) et bientôt 32 pays (une fois que « l’oukase » du Parlement hongrois sera levé, en ce qui concerne la Suède), de sa torpeur stratégique, ou de sa « mort cérébrale », comme l’avait caractérisé, à bon escient, Emmanuel Macron, en novembre 2019.

Nous sommes désormais à moins de trois mois, d’un scrutin européen, les 6-9 juin prochains, qui sera déterminant pour « jauger » de la volonté consensuelle et de la réelle détermination des Européens à soutenir l’Ukraine face à la Russie.

Il en va de même avec son corollaire présidentiel américain, le 5 novembre prochain, avec toutes les incertitudes qui accompagneraient un retour à la Maison-Blanche d’un Donald Trump, prompt et insistant à dire vouloir « lâcher » les Européens face aux velléités belliqueuses de Moscou.

Tous ces éléments conjoncturels demeurent déterminants, pour ancrer durablement et prosaïquement « l’autonomie stratégique » structurelle du continent européen, telle que la « Boussole stratégique » (Strategic Compass), adaptée, à Bruxelles, en mars 2022, nous en donne les moyens, ou en tout cas l’ambition : c’est déjà un premier pas, qui aura mis plusieurs décennies à faire consensus.

 

Ainsi, en testant notre résilience économique et énergétique, avec son corollaire de difficiles conséquences d’adaptations sociales et remises en cause de nos repères sociétaux – le maître du Kremlin, ne s’attendait, très certainement pas à ce que nous résistions, nous aussi, mieux que prévu.

Notre détermination à approfondir le soutien français, européen, international, qui va de pair avec la mise en exergue de nos « forces morales », ainsi que notre prise de conscience assumée et mise en accusation amplifiée quant à la vraie nature du « régime du Kremlin », nous obligent, nous aussi, à entrer enfin en « économie de guerre ».

Il aura fallu dix ans, depuis le Sommet de l’Alliance atlantique, à Newport, en 2014, pour que la France, avec la perspective des 413 milliards d’euros sanctuarisés par la Loi de Programmation Militaire (LPM 2024-2030) rejoigne le « club des 11 pays » (Pologne, USA, Grèce, Estonie, Lituanie, Finlande, Roumanie, Hongrie, Lettonie, GB, Slovaquie) consacrant 2 % de leur PIB à la défense.

Il y a pourtant urgence, alors que le budget militaire de la Russie est en nette hausse (+68 %), atteignant, désormais, 106 milliards d’euros, dont 30 % de dépenses fédérales et 6 % du PIB du pays. Il convient, désormais, que l’Europe (UE et 27 États européens) qui consacre, toute de même, plus de 363 milliards d’euros à sa défense, entre, elle aussi en « économie de guerre », à l’instar de la mise en place du fonds défense de 100 milliards d’euros pour « doper » la Base Industrielle et Technologique de Défense européenne (BITDe). Il en va de même, avec l’objectif de produire plus d’un million (voire 1,4 million) d’obus annuellement. Quand on comprend qu’au plus fort des combats (deuxième semestre 2022) la Russie tirait 50 000 obus par jour, contre 5 000 à 10 000 obus pour l’Ukraine, il nous faut, nous aussi en tirer, urgemment, les leçons !

La réduction de moitié des délais de livraison des canons Caesar (de 30 à 15 mois), des radars GM-200 (de 24 à 6 mois), des missiles Sol-Air Mistral (de 24 à 15 mois) ou l’augmentation par trois de la fabrication des obus de 155 mm (de 1000 à 3 000) ne sont que des pas balbutiants. Les Ukrainiens auront besoin, à titre d’exemple, au plus vite des 78 Caesar promis, pour 2024, en plus des 30 déjà livrés…

La désignation – enfin – dans la prochaine mandature de la Commission européenne, d’un commissaire dédié à la Défense, aura mis 25 ans à se réaliser, alors que le Traité de Nice, instituait la Politique européenne de sécurité commune (PSDC) en 1999 !

Il en va de notre sécurité, mais aussi et surtout de celle de l’Ukraine, à, l’instar de notre promesse de garantir pour les dix prochaines années, la sécurité de Kyiv, comme a tenu à le rappeler, avec justesse, il y a quelques jours, le président de la République, Emmanuel Macron, à, l’occasion de la visite de son homologue ukrainien, dans la foulée de la 60e édition de la Conférence sur la sécurité de Munich.

L’année 2024 sera dure et particulièrement compliquée, de l’aveu même du président ukrainien Volodymyr Zelensky, venu le rappeler à Paris en début de semaine.

Nous devons, dès lors, nous attendre à de nouvelles frappes aveugles russes, tuant femmes et enfants. Nous devrons encore compter et recompter le trop lourd bilan macabre des victimes civiles que ces dernières accompagnent.

L’Europe, désormais pleinement consciente de la nécessité de se protéger, à l’avenir seule, face à une Russie de plus en plus agressive à son égard, n’a plus le temps de se perdre en périlleuses circonvolutions quant à sa sécurité.

Secrétaire national chargé des questions de défense Les Centristes. Enseignant en géopolitique au sein de l’Université Catholique de Lille, l’Institut Supérieur de Gestion (ISG) et l’EDC Paris Business School.

 

Guerre en

Dépenses énergie des PME: Hausse de 75 % en trois ans

Dépenses énergie des PME: Hausse de 75 % en trois ans

Le conseil d’analyse économique qui dépend du Premier ministre souligne la hausse des dépenses d’énergie des PME. Cependant il tente de les relativiser en indiquant que cette augmentation est souvent intégrée dans les prix. Le seul problème c’est que au final c’est le consommateur qui absorbe cette hausse. Du coup c’est la consommation qui est en berne et derrière la croissance

Dans une note consultée par La Tribune, le Conseil d’analyse économique (CAE) a passé au crible des données bancaires inédites et anonymisées du Crédit mutuel de plus de 100.000 entreprises. Résultat, les dépenses énergétiques ont bondi de 73% entre 2020 et 2023. « Les dépenses énergétiques ont beaucoup augmenté depuis 2020. ( avec beaucoup d’écarts autour de la moyenne)

En Europe, l’indice des prix a certes ralenti depuis 2023 avec l’essoufflement des prix du gaz, du pétrole et de l’électricité. Mais la pression reste importante pour beaucoup de petites entreprises. Depuis le premier février, le gouvernement a enclenché une hausse de 10% des tarifs de l’électricité avant une prochaine hausse des prix du gaz. Ces nouvelles augmentations pourraient mettre à mal certaines entreprises déjà fragilisées par les années de pandémie, de guerre en Ukraine et le débranchement du bouclier tarifaire.

Prix -Électricité : augmentation de plus de 40 % en deux ans

Prix -Électricité : augmentation de plus de  40 % en deux ans

À partir du 1er février l’électricité enregistrera une nouvelle augmentation de l’ordre de 10 %. ( 8,6% à 9,8%, selon les contrats ). «97% des ménages français» connaîtront une augmentation sous les 10%, comme l’a rappelé le patron de Bercy. En fonction du niveau de vie, L’augmentation représentera de 74 euros, pour les Français les plus modestes, à 120 euros, pour les plus aisés, Soit 100 € en moyenne par an. 

 

La perte de pouvoir d’achat atteindra à 0,2% en moyenne mais  les 10 % des ménages les plus modestes connaîtront une perte de pouvoir d’achat de 0,6 %, contre une perte limitée à 0,1 % pour les 10 % les plus aisés», pointe alors l’étude.
Au total l’électricité reconnue une augmentation de plus de 40 % en deux ans. De quoi plomber le budget des ménages et de certaines activités économiques comme celle des boulangers par exemple. Avant l’augmentation de 10 % en février 2024 on enregistrait les augmentations suivantes : 4% en février 2022, 15% en février 2023 et 10% en août 2023. La flambée totale sur deux ans est donc de l’ordre de 43 à 44%.  Et il faut s’attendre à des augmentations annuelles proches de 10 % pendant encore longtemps afin de financer la modernisation du parc nucléaire et la construction de nouvelles centrales.

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