Archive pour le Tag 'annulés'

Coronavirus: vols annulés avec Pékin

Coronavirus: vols annulés avec  Pékin

La découverte en cinq jours de plus de cent malades, liés à un marché de la ville, a constitué un choc pour les Pékinois. Car la Chine avait largement endigué le coronavirus à force de quarantaines et de dépistages. Selon la mairie, la capitale chinoise a enregistré mercredi 31 nouvelles contaminations par le nouveau coronavirus au cours des dernières 24 heures, soit un chiffre globalement stable pour le quatrième jour consécutif.

 

Les deux aéroports de Pékin ont annulé mercredi plus d’un millier de vols après un rebond des cas de Covid-19 dans la capitale chinoise, ont annoncé les médias officiels. A 09 heures 10 locales (03 heures 10 à Paris), 1.255 vols au départ et à l’arrivée des aéroports de Pékin avaient été supprimés, soit 70% de ceux initialement prévus, ont indiqué le Quotidien du Peuple et le China Daily.

Pékin a exhorté mardi ses 21 millions d’habitants à éviter les voyages «non essentiels» en dehors de la ville et ordonné une nouvelle fermeture des écoles après un rebond des cas de Covid-19 dans la capitale chinoise. Plusieurs villes et provinces imposent désormais une quarantaine à l’arrivée aux voyageurs en provenance de la capitale chinoise. Les usagers du train qui ont réservé des billets au départ ou pour Pékin peuvent se les faire rembourser sans frais, a par ailleurs indiqué le Quotidien du Peuple.

. La mairie a ainsi lancé une campagne de dépistage massive et a confiné des zones résidentielles. La mairie a également annoncé mardi une nouvelle fermeture de toutes les écoles. Les universités doivent quant à elles suspendre le retour des étudiants dans les salles de classe.

La découverte en cinq jours de plus de cent malades, liés à un marché de la ville, a constitué un choc pour les Pékinois. Car la Chine avait largement endigué le coronavirus à force de quarantaines et de dépistages. Selon la mairie, la capitale chinoise a enregistré mercredi 31 nouvelles contaminations par le nouveau coronavirus au cours des dernières 24 heures, soit un chiffre globalement stable pour le quatrième jour consécutif.

 

Les deux aéroports de Pékin ont annulé mercredi plus d’un millier de vols après un rebond des cas de Covid-19 dans la capitale chinoise, ont annoncé les médias officiels. A 09 heures 10 locales (03 heures 10 à Paris), 1.255 vols au départ et à l’arrivée des aéroports de Pékin avaient été supprimés, soit 70% de ceux initialement prévus, ont indiqué le Quotidien du Peuple et le China Daily.

Pékin a exhorté mardi ses 21 millions d’habitants à éviter les voyages «non essentiels» en dehors de la ville et ordonné une nouvelle fermeture des écoles après un rebond des cas de Covid-19 dans la capitale chinoise. Plusieurs villes et provinces imposent désormais une quarantaine à l’arrivée aux voyageurs en provenance de la capitale chinoise. Les usagers du train qui ont réservé des billets au départ ou pour Pékin peuvent se les faire rembourser sans frais, a par ailleurs indiqué le Quotidien du Peuple.

. La mairie a ainsi lancé une campagne de dépistage massive et a confiné des zones résidentielles. La mairie a également annoncé mardi une nouvelle fermeture de toutes les écoles. Les universités doivent quant à elles suspendre le retour des étudiants dans les salles de classe.

Les conseils municipaux reportés…. ou annulés

Les conseils municipaux reportés…. ou annulés

Le ridicule politique tue moins que le Coron virus. Heureusement, car sinon nombre de responsables pourraient craindre pour leur santé. Après l’irresponsabilité totale manifestée par le Premier ministre qui ,contre toute évidence scientifique, a proposé le maintien du premier tour des élections municipales encourageant ainsi la propagation du Coronavirus, les pouvoirs publics se ridiculisent à nouveau en décidant de ne pas réunir les conseils municipaux élus au premier tour. Un premier tour qui pose de graves problèmes de légitimité démocratique puisque dans beaucoup de cas ces conseils n’ont été élus que par 25 % des voix en raison de l’exceptionnel taux d’abstention qui a pu atteindre jusqu’à 60 %. Il est clair que ces élections n’auraient jamais dû se dérouler compte-tenu des priorités sanitaires; Par ailleurs que la représentativité peut-être juridiquement contestée pour ces nouveaux élus. Elle le sera de toute façon politiquement. Avec le report dans le temps des réunions des conseils municipaux nouvellement élus, on touche encore un peu plus haut ridicule. Ainsi pendant des semaines voire des mois des collectivités vont être administré par les anciens conseils. Ce qui va se produire évidemment  aussi là où aucune majorité n’a pu ce dégager.

Le problème du second tour c’est qu’il sera forcément faussé par un contexte général économique, social, politique forcément différent. Le coronavirus chamboule à nouveau les élections municipales. Les 30 000 candidats élus au soir du premier tour, dimanche dernier, devaient réunir d’ici à la fin de la semaine les conseils municipaux pour désigner le maire et les adjoints. Jeudi, Édouard Philippe a annoncé leur report. «Le risque n’était pas tant celui de l’exposition au virus que celui de donner le mauvais exemple en ces temps où il est difficile de faire respecter les règles du confinement…», confie Philippe Laurent, secrétaire général de l’AMF. Les équipes sortantes, même battues, voient donc leur mandat prolonger jusqu’à mi-mai… au moins. Il faudra attendre alors le rapport du comité scientifique et ses conclusions.

LES JEUX OLYMPIQUES DE TOKYO ANNULÉS ?

LES JEUX OLYMPIQUES DE TOKYO ANNULÉS ?

La pandémie relative aux Coron virus au plan mondial se confirme de jour en jour. Désormais tous les continents sont atteints. Il y a encore quelques jours par exemple en France le ministre de la santé affirmait  qu’il n’existait plus aucune personne infectée. En quelques jours l’épidémie a fait apparaître la contagion 130 personnes. Bref, la France comme l’Iran comme la Corée du Sud constitue aussi un foyer d’infection important. Selon l’OMS, l’Italie a atteint un seuil “décisif”, tout comme l’Iran et la Corée du Sud, qui se classe juste derrière la Chine avec 2.337 cas, dont 571 ont été signalés vendredi, et 13 morts.

En Chine continentale, où la situation semble en revanche s’améliorer, 327 nouvelles infections ont été signalées vendredi. Il s’agit du bilan quotidien le plus faible depuis le 23 janvier. Au total, un peu plus de 78.800 cas et 2.800 décès y ont été recensés depuis l’apparition de la maladie à Wuhan, dans le centre du pays.

 

L’Iran quant à elle état de 388 cas, dont 34 mortels, ce qui lui vaut le bilan le plus lourd hors de Chine en termes de mortalité, mais l’épidémie pourrait y avoir été sous-estimée, selon le Dr Mike Ryan, directeur exécutif chargé du Programme de gestion des situations d’urgence sanitaire de l’OMS. Tous les établissements scolaires y seront fermés pour trois jours à partir de samedi. Se pose évidemment la question de la régulation voire de la limace l’annulation de certains grands rassemblements y compris des JO de Tokyo qui devrait se dérouler en juillet. Pas sûr cependant que l’épidémie puisse être maîtrisé à temps.

Mike Ryan le Dr Mike Ryan, directeur exécutif chargé du Programme de gestion des situations d’urgence sanitaire de l’OMS  a par ailleurs annoncé que l’éventuelle annulation des Jeux olympiques de Tokyo, qui doivent s’ouvrir en juillet, était en discussion. Les organisateurs doivent par ailleurs se prononcer la semaine prochaine sur le maintien ou non du parcours de la torche olympique, qui doit arriver le 20 mars au Japon pour un relais qui doit s’étaler sur 121 jours.

Vendredi, le nombre de cas confirmés dans l’archipel a passé le seuil des 200, dont quatre ont été mortels, mais 700 ont été dénombrés à bord du Diamond Princess, le bateau de croisière placé en quarantaine à Yokohama. Un passager britannique a succombé vendredi au coronavirus, ce qui porte le bilan à bord à six morts, d’après l’agence Kyodo.

Dans le monde entier nombre de manifestations sportives, économiques ou culturelles risquent donc d’être annulées.

La révolte pour 300 millions de crédits aux collectivités annulés en 2017

La révolte pour 300 millions de crédits aux collectivités annulés en 2017

Indécence, reniements, trahison, les mots qui reviennent le plus souvent après la décision du gouvernement concernant l’annulation de 300 millions d’euros de crédits de l’État aux collectivités territoriales pour 2017. Une somme en apparence non négligeable mais qui convient de relativiser en regard des plus de 200 milliards de dépenses (hors amortissement des investissements) et de la cinquantaine de milliards d’investissements par an  des collectivités locales. Le total des transferts de l’État versée collectivités locale a dépassé les 100 milliards en 2016. Pour justifier leur colère les lobbys des collectivités locales pleurent sur le sort des petites communes qui seraient ainsi asphyxiées. Pourtant là aussi que de dépenses inutiles en fonctionnement bien sûr avec la dérive totale des coûts de personnel mais aussi surtout en matière d’investissement avec des dépenses pharaoniques souvent inutiles comme la multiplication des ronds-points, les piscines, les salles de sport et d’autres équipements alors qu’il suffit de faire quelques kilomètres dans des communes voisines pour trouver des équipements équivalents déjà sous utilisés. Bref,  il y a encore des progrès à faire dans le pays pour améliorer la culture de gestion. Le porte-parole du gouvernement Christophe Castaner a confirmé mercredi l’annulation de 300 millions d’euros de crédits de l’État aux collectivités territoriales pour 2017, une décision vécue comme une « trahison » et une « déception » par les petites villes de France. « Il s’agit de mesures d’annulation de crédits sur des opérations non réalisées, il ne s’agit pas de baisses des dotations disponibles pour accompagner les collectivités locales », a déclaré le porte-parole du gouvernement Christophe Castaner. « Il ne faut pas tomber sur une mauvaise lecture, il s’agit pour l’essentiel de crédits non engagés, non utilisés, c’est un exercice plus comptable que politique », a-t-il ajouté lors du compte rendu du conseil des ministres, disant toutefois comprendre « l’inquiétude » et avoir conscience des « conséquences de la baisse des dotations de l’Etat ». Lors de la conférence des territoires, Emmanuel Macron avait assuré qu’il n’y aura pas de « baisse brutale » des dotations de l’Etat en 2018, sans se prononcer sur 2017. « C’est à la fois une déception et une forme de trahison », a estimé Olivier Dussopt, député PS de l’Ardèche et président de l’Association des petites villes de France (APVF),  Un députe titulaire d’un hypothétique DESS de développement local et management de territoire qui a fait toute sa carrière dans le milieu politique et qui entretient des relations approximatives avec l’économie et la gestion.   »Le président de la République demande un effort de 13 milliards d’euros aux collectivités après les 11 milliards déjà réalisés, c’est considérable », a-t-il souligné sur franceinfo. « Il nous dit changeons de méthode, faisons-le ensemble je ne baisserai pas les dotations de fonctionnement ». « Et quelques jours après on découvre un décret supprimant certes des dotations qui sont sur l’investissement et pas le fonctionnement mais supprimant quand même les moyens pour les collectivités ».

La révolte pour 300 millions de crédits aux collectivités annulés en 2017

Indécence, reniements, trahison, les mots qui reviennent le plus souvent après la décision du gouvernement concernant l’annulation de 300 millions d’euros de crédits de l’État aux collectivités territoriales pour 2017. Une somme en apparence non négligeable mais qui convient de relativiser en regard des plus de 200 milliards de dépenses (hors amortissement des investissements) et de la cinquantaine de milliards d’investissements par an  des collectivités locales. Le total des transferts de l’État versée collectivités locale a dépassé les 100 milliards en 2016. Pour justifier leur colère les lobbys des collectivités locales pleurent sur le sort des petites communes qui seraient ainsi asphyxiées. Pourtant là aussi que de dépenses inutiles en fonctionnement bien sûr avec la dérive totale des coûts de personnel mais aussi surtout en matière d’investissement avec des dépenses pharaoniques souvent inutiles comme la multiplication des ronds-points, les piscines, les salles de sport et d’autres équipements alors qu’il suffit de faire quelques kilomètres dans des communes voisines pour trouver des équipements équivalents déjà sous utilisés. Bref,  il y a encore des progrès à faire dans le pays pour améliorer la culture de gestion. Le porte-parole du gouvernement Christophe Castaner a confirmé mercredi l’annulation de 300 millions d’euros de crédits de l’État aux collectivités territoriales pour 2017, une décision vécue comme une « trahison » et une « déception » par les petites villes de France. « Il s’agit de mesures d’annulation de crédits sur des opérations non réalisées, il ne s’agit pas de baisses des dotations disponibles pour accompagner les collectivités locales », a déclaré le porte-parole du gouvernement Christophe Castaner. « Il ne faut pas tomber sur une mauvaise lecture, il s’agit pour l’essentiel de crédits non engagés, non utilisés, c’est un exercice plus comptable que politique », a-t-il ajouté lors du compte rendu du conseil des ministres, disant toutefois comprendre « l’inquiétude » et avoir conscience des « conséquences de la baisse des dotations de l’Etat ». Lors de la conférence des territoires, Emmanuel Macron avait assuré qu’il n’y aura pas de « baisse brutale » des dotations de l’Etat en 2018, sans se prononcer sur 2017. « C’est à la fois une déception et une forme de trahison », a estimé Olivier Dussopt, député PS de l’Ardèche et président de l’Association des petites villes de France (APVF),  Un députe titulaire d’un hypothétique DESS de développement local et management de territoire qui a fait toute sa carrière dans le milieu politique et qui entretient des relations approximatives avec l’économie et la gestion.   »Le président de la République demande un effort de 13 milliards d’euros aux collectivités après les 11 milliards déjà réalisés, c’est considérable », a-t-il souligné sur franceinfo. « Il nous dit changeons de méthode, faisons-le ensemble je ne baisserai pas les dotations de fonctionnement ». « Et quelques jours après on découvre un décret supprimant certes des dotations qui sont sur l’investissement et pas le fonctionnement mais supprimant quand même les moyens pour les collectivités ».

Mory Ducros: les licenciements annulés et nouvelle mise en difficulté de l’entreprise ?

Mory Ducros: les licenciements annulés et nouvelle  mise en difficulté de l’entreprise ?

Le plan social de Mory est annulé ce qui laisse présager des indemnités plus importantes pour les licenciés. Ceci étant reste à savoir si ce surcoût u plan de licenciement ne va pas fragiliser le repreneur (Arcole) et derrière l’entreprise reprise. Le marché de ma messagerie est toujours auusi tendu (les prix trop bas et la demande trop faible). Sans parler de la concurrence officielle des grands opérateurs ou de la concurrence sauvage  (via le cabotage). Le tribunal administratif de Cergy-Pontoise a, selon l’AFP qui cite les avocats des salariés et des administrateurs judiciaires, annulé, ce vendredi 11 juillet, le plan social du groupe de messagerie Mory Ducros, plan qui prévoit le licenciement d’environ 2.800 employés. L’annulation de l’homologation entraîne l’ouverture de procédures auprès du conseil des prudhommes permettant le versement de dommages et intérêts aux salariés licenciés. « Nous allons réclamer deux ans de salaire pour chaque salarié, la facture va être lourde », a affirmé à Reuters Jérôme Vérité, responsable CGT. Il s’agit de l’un des plans sociaux les plus importants depuis celui de Moulinex au début des années 2000. Cette décision du tribunal ne suspend pas la mise en œuvre du plan de sauvegarde de l’emploi (PSE).  Le 6 février dernier, le tribunal de commerce de Pontoise avait validé la reprise de Mory Ducros par Arcole Industries, après que le groupe a été placé en redressement judiciaire en novembre 2013. Cette offre prévoyait de reprendre 2.210 salariés sur les 5.000 que compte l’entreprise. Le gouvernement alors promis d’accompagner  les salariés qui ne pourront être repris par Arcole Industries. En 2012, l’entreprise avait perdu 80 millions d’euros pour un chiffre d’affaires de 760 millions d’euros.

Boeing 787 : nouveaux vols annulés

Boeing 787 : nouveaux vols annulés

La compagnie japonaise All Nippon Airways (ANA) a indiqué mercredi qu’elle avait décidé d’annuler 368 nouveaux vols durant la fin du mois de février, après déjà 838 annulations depuis le 16 janvier, à cause de l’interdiction d’exploitation des Boeing 787 Dreamliner.  ANA avait supprimé 459 vols en janvier puis annoncé l’annulation de 379 autres durant les deux premières semaines de février, auxquels s’ajoutent les 368 annoncés mercredi pour la deuxième partie du mois.  Les Boeing 787 n’ont plus le droit de décoller en attendant que la sûreté de leur batterie et système électrique soit garantie, en raison de deux graves incidents au Japon et aux Etats-unis, ce qui pénalise fortement ANA, compagnie qui possède 17 Dreamliner.  Les nouvelles annulations d’ANA concernent 308 vols intérieurs, pour la période allant du 13 au 28 février, et 60 vols vers l’étranger entre les 19 et 28 février.  Outre plusieurs liaisons au Japon, ANA dessert avec des Boeing 787 une dizaine de routes internationales dont Tokyo-San Jose, Tokyo-Pékin, Tokyo-Seattle, Tokyo-Séoul et Tokyo-Francfort.  Ces nouvelles suppressions de liaisons affecteront au total 18.100 passagers fin février, en plus des 82.800 déjà touchés en janvier et début février.  Ce nouveau lot d’annulations porte à 1.206 le nombre de vols supprimés par ANA depuis le 16 janvier, jour où l’un de ses appareils a dû effectuer un atterrissage d’urgence au Japon à cause d’une batterie qui avait surchauffé et menaçait de prendre feu.  Pour le moment, ANA n’a pas demandé de dédommagements à Boeing mais pourrait y songer une fois la situation clarifiée, a précisé à l’AFP une porte-parole.  ANA, qui fut la compagnie de lancement du 787, avait reçu fin 2011 le premier exemplaire des 66 commandés. Avec 17 unités à ses couleurs, c’est, à l’heure actuelle, la compagnie qui en possède le plus au monde. Elle est contrainte à des annulations, faute de disposer de suffisamment d’appareils de remplacement.  ANA a déjà accusé un manque à gagner de 1,4 milliard de yens (12 millions d’euros) en janvier à cause de ces suppressions de vols.  Sa rivale Japan Airlines (JAL), qui possède 7 Boeing 787, est aussi contrainte de revoir ses plans. Ses ventes ont été amputées de 1,1 milliard de yens (10 millions d’euros) en janvier à cause de cet imprévu.  Les enquêtes sur les batteries incriminées se poursuivent, sans encore donner des résultats suffisants pour envisager une reprise rapide des vols.  Mardi, les autorités nippones ont précisé que la batterie de l’avion d’ANA contraint d’atterrir avait subi un « emballement thermique », mais l’origine de cette grave anomalie de montée incontrôlable de température demeure inconnue.

 




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