Archive pour le Tag 'anciens'

Politique- Dussopt, ministre du travail, défend le contraire de ses anciens engagements

Politique- Dussopt, ministre du travail, défend le contraire de ses anciens engagements

Le renégat socialiste n’a pas d’état d’âme. C’est un professionnel de la politique. Actuellement ministre du travail de macron, il défend la réforme qu’il combattait avant.

Il a slalomé dans tous les courants du PS. IL a été signataire de la motion C de Benoît Hamon, aux côtés de Jean-Luc Mélenchon et Marie-Noëlle Lienemann, puis proche auprès de Marylise Lebranchu, secrétaire nationale aux territoires. Il a tété vice-président aux questions d’organisation et de réforme territoriale auprès de Francois Rebsamen en avril 2016. Le 12 juillet 2011, il devient porte-parole de Martine Aubry, candidate à l’élection présidentielle française de 2012. Après les primaires, il rejoint le conseil des élus de la campagne de François Hollande.

Il est réélu député de l’Ardèche le 17 juin 2012 en obtenant 53,35 % des voix2. Il est aussi désigné vice-président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale, où il travaille plus particulièrement sur les questions relatives aux collectivités territoriales.

Le 18 juillet 2012, il est nommé secrétaire national du PS auprès de la 1re secrétaire, Martine Aubry, chargé de la présidence du forum des territoires, en remplacement de Marylise Lebranchu, jusqu’au congrès de Toulouse.

Il est alors très proche de Martine Aubry.

Il est près d’entrer au gouvernement à deux reprises sous la présidence de François Hollande, proche de Manuel Valls, mais se voit recalé au dernier moment. .

En 2016, il soutient Manuel Valls et devient l’un de ses huit porte-parole de campagne pour la primaire citoyenne de 20179.

017, candidat socialiste, il est réélu député de la deuxième circonscription de l’Ardèche avec 56,30 % des suffrages exprimés face à la candidate de La République en marche !Aussitôt, il rejoint Macron .

Réforme des retraites : opposition entre les anciens et les modernes dans le parti des « Républicain

Réforme des retraites : opposition entre les anciens et les modernes dans le parti des « Républicains »

Entre les anciens et les modernes chez les républicains. Beaucoup par idéologie, les anciens réclament d’urgence la réforme des retraites avec comme point central le report symbolique à 65 ans. Certains vont d’ailleurs plus loin avec le report à 67 ans comme Édouard Philippe, filiale à la fois du parti de Macron et des Républicains mais qui roule surtout pour lui en 2027.

Officiellement il s’agit de justifier cette mesure par la nécessité d’un équilibre des régimes. Mais ces propositions ont surtout un contenu fortement politique pour bien marquer la différence entre les vrais réformateurs que seraient les républicains et les réformistes hésitants que seraient les soutiens de Macron. Le problème c’est que cette orientation m’a encore un peu plus le caractère conservateur voire réactionnaire des Républicains et surtout que cet posture sur la mesure d’âge ne tient pas compte ni des réalités ( dans l’économie française les seigneurs sont très tôt marginalisés, encore moins des inégalités sociales

Parmi les députés, la jeune génération, Aurélien Pradié en tête, remet en cause le principe du report de l’âge légal. les Républicains sont en train de se diviser sur la réforme des retraites, sur laquelle jusqu’à présent ils étaient tous d’accord.

La fracture est venue de la jeune garde, en l’occurrence d’Aurélien Pradié, le député du Lot. Candidat à la présidence du parti, en décembre, il en a fait un marqueur de sa campagne. « Je propose une réforme des retraites qui se fonde sur le nombre d’années travaillées et non plus l’âge de départ légal. Ce que demande notamment la CFDT. Le problème c’est que les anciens « Républicains » toujours été un peu allergique aux syndicats.

Législative partielle à Paris : nouveau schisme entre anciens communistes et néo-communistes insoumis

Législative partielle à Paris : nouveau schisme entre anciens communistes et néo-communistes insoumis

 

Un schisme de plus au sein des communistes mais de dimension très réduite puisque ce suite dans l’espace de la législative partielle à Paris.

L’élection législative partielle dans la 15e circonscription de Paris acte en effet même un peu plus la rupture entre Insoumis et communistes, après la candidature de Fabien Roussel à l’élection présidentielle de 2022. L’élue La Fance insoumise Danielle Simonnet, arrivée en deuxième position du premier tour de dimanche, cinq points derrière sa rivale socialiste Lamia El Aaaraje, espérait pouvoir compter sur un report des voix des communistes (plus de 10%). Il n’en sera rien.

Dans un communiqué, le PCF appelle « les électeurs à se rassembler pour faire élire les candidats de gauche les mieux placés à l’issue du premier tour ».

Coronavirus Japon et Suède : les anciens modèles devenus mauvais élèves

Coronavirus Japon et Suède : les anciens modèles devenus mauvais élèves

 

Le Japon comme la Suède ont souvent été cité comme des modèles d’efficacité et de liberté par rapport à la crise sanitaire. C’était effectivement le cas lors de la première vague. Malheureusement la tendance s’est complètement inversée dans ces deux pays lors de la seconde vague et à l’amorce de la troisième.la Suède et le Japon  ont opté pour une approche différente de celle de leurs voisins, et ont attribué leur succès initial aux avantages présumés de leurs spécificités nationales. Les deux pays semblent aujourd’hui payer le prix de cette stratégie.

Ces deux gouvernements ont préféré se baser sur le volontariat, la responsabilité individuelle et, surtout, le caractère exceptionnel de leurs citoyens.

 

La Suède n’a ainsi pas ordonné la fermeture de ses bars, restaurants et salles de sport durant la pandémie, pas plus qu’elle n’a imposé le port du masque dans les espaces publics. À l’instar de la Suède, le Japon a choisi l’option sans confinement et refusé d’imposer des restrictions strictes, même si le pays a fermé ses frontières il y a quelques mois. Le problème aujourd’hui c’est que les deux pays sont affrontés à une flambée de contamination qui contredit totalement leur politique sanitaire précédente.

 

Coronavirus: les anciens malades non immunisés ? selon l’OMS

Coronavirus: les anciens malades non immunisés ?  selon l’OMS

La recherche actuelle est incapable de dire si effectivement les personnes qui ont été atteints par le Corona virus sont ensuite immunisées. ceux  qui sont très peu atteints fabriquent très peu d’anticorps et sont donc susceptibles d’être touchés un jour par la maladie. Pour les autres, les anticorps sont suffisants mais la question se pose de la protection dans la durée. Dans une note scientifique, l’agence des Nations Unies a mis en garde les Etats contre la délivrance de “certificats d’immunité» aux personnes guéries car leur fiabilité ne pouvait être garantie.

Cette pratique pourrait en fait augmenter les risques de propagation, certaines personnes guéries s’exposant sans précaution en pensant être protégées du virus.

“Il n’y a actuellement aucune preuve que les personnes qui se sont remises du COVID-19 et qui ont des anticorps sont protégées contre une deuxième infection”, a souligné l’OMS.

Le Chili a déclaré la semaine dernière qu’il commencerait à remettre des “passeports de santé” aux personnes réputées guéries.

L’OMS a déclaré qu’elle continuait d’étudier les données concernant la réaction des anticorps au virus, apparu à la fin de l’année dernière à Wuhan, en Chine.

Quelque 2,8 millions de personnes ont été infectées par le nouveau coronavirus dans le monde et 196.298 sont décédées, selon un décompte de Reuters.

La plupart des études ont montré jusqu’à présent que les personnes guéries de l’infection ont développé des anticorps contre le virus, selon l’OMS.

Cependant, certains d’entre eux ont de très faibles niveaux d’anticorps neutralisants dans le sang, “suggérant que l’immunité cellulaire peut également être un élément critique pour la guérison”, a-t-il ajouté.

Macron récupérateur des popularités des anciens présidents

Macron récupérateur des popularités  des anciens présidents

 

 

Il est clair que les éloges  prononcés  à l’occasion de la disparition de Chirac sont excessifs. D’une certaine manière, c’est la tradition dans ce genre d’exercice. Chirac n’aura sans doute pas été un très grand président mais c’est vrai qu’avec le temps notamment sa popularité a augmenté. Un phénomène sans doute lié à sa simplicité et au caractère très familier des relations qu’il entretenait avec des Français. Exactement le contraire de Macron qui lui s’est installé dans la posture d’un monarque républicain très au-dessus de toutes les institutions, des corps intermédiaires et des sujets. Sujets auxquels d’ailleurs il conseille  avec une condescendance très méprisante de traverser la rue pour trouver du travail. Par parenthèse, le jardinier destinataire de cette recommandation de Macron est toujours en galère avec des contrats temporaires dans la restauration. L’intéressé a bien traversé la rue mais la pauvreté du trottoir d’en face ressemble curieusement à celle où il se trouvait précédemment. Sans doute conscient du rejet qu’il provoque voir même de la haine Macron se fait en quelque sorte brocanteur récupérateur des morceaux de popularité des un et des autres. D’où cet hommage à Jacques Chirac justement soulignant les qualités que Macron ne procède pas à savoir la simplicité et la compassion.

Alors qu’Emmanuel Macron loue un Jacques Chirac qui « nous rassemblait », David Doukhan, chef du service politique d’Europe,  note que depuis son élection en 2017, « l’unité du pays a été mis à mal », avec notamment la crise des « gilets jaunes ». Or, rappelle-t-il, Jacques Chirac, « très marqué par les émeutes de mai 1968″, mais également par les grèves de 1995, « a passé ses deux mandats avec l’idée chevillée au corps de ne pas fracturer les Français ». Emmanuel Macron, lui, « réforme fort », note encore David Doukhan, et peut-être, en rendant hommage à un président rassembleur, « a-t-il envie de s’en inspirer ».

Cet avis est partagé par l’éditorialiste d’Europe 1 Michaël Darmon. Selon lui, Emmanuel Macron a tenté de « récupérer un peu de la personnalité » de Jacques Chirac, et « de récupérer un peu l’amour que les Français lui portent ». Une façon pour l’actuel locataire de l’Élysée de dire : « Je veux aussi tisser mon lien avec les Français », estime encore Michaël Darmon. En parlant d’un Jacques Chirac « que nous aimions autant qu’il nous aimait », Emmanuel Macron « place toute de suite la notion de lien affectif puissant, puisque c’est certainement ce qui lui manque ».

Dans son discours, Emmanuel Macron a multiplié les allusions à l’amour de Jacques Chirac pour les Français, y compris « les plus humbles ». « On se souvient de la phrase d’Emmanuel Macron sur ‘ceux qui ne sont rien’ et qui avait beaucoup choqué », relève David Doukhan. Plus tard, le chef de l’État a également salué le talent de l’ancien président pour « réconcilier proximité et grandeur ». Or, note encore le chef du service politique d’Europe 1, après son élection, Emmanuel Macron « a tout de suite enfilé le costume de la grandeur, mais a mis du temps à retrouver de la proximité ».

 

Scandale du Conseil constitutionnel : le placard doré des anciens politiques ?

Scandale du Conseil constitutionnel : le placard  doré  des anciens politiques ?

 

Le conseil constitutionnel est considéré comme la plus haute institution française puisqu’il peut se prononcer sur la validité des lois et autres élections nationales. On considère que c’est l’assemblée des sages. Curieuse sagesse en vérité car le conseil constitutionnel est composé exclusivement d’anciens politiques forcément marqués par leur idéologie, leur parcours et qui ne peuvent du jour au lendemain acquérir la posture de sage q’ exige cette institution  « indépendante » du pouvoir. Le conseil est en effet composé de neuf membres désignés par le président de la république, par le président de l’Assemblée nationale et par le président du Sénat. Ces trois derniers responsables n’étant pas particulièrement neutres pour cette désignation. S’y ajoute la présence des anciens présidents de la république. Bref, c’est en fait une institution d’anciens politiques, une sorte d’EPHAD  de luxe pour de vieux responsables. Une curieuse conception de l’indépendance. Il ne manque pourtant pas en France de juristes compétents complètement apolitiques qui pourraient composer un conseil constitutionnel réellement à l’abri des les influences politiques.  Aucune condition de compétence juridique des membres du Conseil constitutionnel n’existe. La France est ainsi l’exception en Europe, puisqu’il faut être, au minimum, juriste, pour être juge constitutionnel. Dans divers pays européens, par exemple, les qualités exigées sont :

  • Autriche : être juge, fonctionnaire ou professeur d’université ;
  • Allemagne : être magistrat fédéral suprême (pour six d’entre eux au moins), remplir les conditions pour être juge allemand ;
  • Italie : être magistrat, professeur de droit ou avocat ;
  • Espagne : être magistrat, professeur ou avocat ;
  • Portugal : être juge (pour six d’entre eux au moins) ou juriste ;
  • Belgique : avoir été pendant 5 ans soit haut magistrat, soit parlementaire.

 

Notons également que les membres du conseil constitutionnel sont grassement rémunérés de 17 000 € bruts par mois alors que la plupart cumulent  déjà plusieurs retraites. Or le conseil constitutionnel est loin d’être une institution qui mobilise à plein temps. Par ailleurs, le travail essentiel est effectué par des rapporteurs. Pour parler clair, les membres du conseil constitutionnel s’y rendent une fois ou deux par mois pour une rémunération démentielle à laquelle s’ajoute d’ailleurs le remboursement de frais.

 

 

Conseil constitutionnel : le placard doré des anciens politiques ?

Conseil constitutionnel : le placard  doré  des anciens politiques ?

 

Le conseil constitutionnel est considéré comme la plus haute institution française puisqu’il peut se prononcer sur la validité des lois et autres élections nationales. On considère que c’est l’assemblée des sages. Curieuse sagesse en vérité car le conseil constitutionnel est composé exclusivement d’anciens politiques forcément marqués par leur idéologie, leur parcours et qui ne peuvent du jour au lendemain acquérir la posture de sage q’ exige cette institution  « indépendante » du pouvoir. Le conseil est en effet composé de neuf membres désignés par le président de la république, par le président de l’Assemblée nationale et par le président du Sénat. Ces trois derniers responsables n’étant pas particulièrement neutres pour cette désignation. S’y ajoute la présence des anciens présidents de la république. Bref, c’est en fait une institution d’anciens politiques, une sorte d’EPHAD  de luxe pour de vieux responsables. Une curieuse conception de l’indépendance. Il ne manque pourtant pas en France de juristes compétents complètement apolitiques qui pourraient composer un conseil constitutionnel réellement à l’abri des les influences politiques.  Aucune condition de compétence juridique des membres du Conseil constitutionnel n’existe. La France est ainsi l’exception en Europe, puisqu’il faut être, au minimum, juriste, pour être juge constitutionnel. Dans divers pays européens, par exemple, les qualités exigées sont :

  • Autriche : être juge, fonctionnaire ou professeur d’université ;
  • Allemagne : être magistrat fédéral suprême (pour six d’entre eux au moins), remplir les conditions pour être juge allemand ;
  • Italie : être magistrat, professeur de droit ou avocat ;
  • Espagne : être magistrat, professeur ou avocat ;
  • Portugal : être juge (pour six d’entre eux au moins) ou juriste ;
  • Belgique : avoir été pendant 5 ans soit haut magistrat, soit parlementaire.

 

Notons également que les membres du conseil constitutionnel sont grassement rémunérés de 17 000 € bruts par mois alors que la plupart cumulent  déjà plusieurs retraites. Or le conseil constitutionnel est loin d’être une institution qui mobilise à plein temps. Par ailleurs, le travail essentiel est effectué par des rapporteurs. Pour parler clair, les membres du conseil constitutionnel s’y rendent une fois ou deux par mois pour une rémunération démentielle à laquelle s’ajoute d’ailleurs le remboursement de frais.

 

 

Conseil constitutionnel : maison de retraite de luxe des anciens politiques ?

Conseil constitutionnel : maison de retraite de  luxe des anciens politiques ?

 

Le conseil constitutionnel est considéré comme la plus haute institution française puisqu’elle peut se prononcer sur la validité des lois et autres élections nationales. On considère que c’est l’assemblée des sages. Curieuse sagesse en vérité car le conseil constitutionnel est composé exclusivement d’anciens politiques forcément marqués par leur idéologie, leur parcours et qui ne peuvent du jour au lendemain acquérir la posture de sage q’ exige cette institution  « indépendante » du pouvoir. Le conseil est en effet composé de neuf membres désignés par le président de la république, par le président de l’Assemblée nationale et par le président du Sénat. Ces trois derniers responsables n’étant pas particulièrement neutres pour cette désignation. S’y ajoute la présence des anciens présidents de la république. Bref, c’est en fait une institution d’anciens politiques, une sorte d’EPHAD  de luxe pour de vieux responsables. Une curieuse conception de l’indépendance. Il ne manque pourtant pas en France de juristes compétents complètement apolitiques qui pourraient composer un conseil constitutionnel réellement à l’abri des les influences politiques.  Aucune condition de compétence juridique des membres du Conseil constitutionnel n’existe. La France est ainsi l’exception en Europe, puisqu’il faut être, au minimum, juriste, pour être juge constitutionnel. Dans divers pays européens, par exemple, les qualités exigées sont :

  • Autriche : être juge, fonctionnaire ou professeur d’université ;
  • Allemagne : être magistrat fédéral suprême (pour six d’entre eux au moins), remplir les conditions pour être juge allemand ;
  • Italie : être magistrat, professeur de droit ou avocat ;
  • Espagne : être magistrat, professeur ou avocat ;
  • Portugal : être juge (pour six d’entre eux au moins) ou juriste ;
  • Belgique : avoir été pendant 5 ans soit haut magistrat, soit parlementaire.

 

Notons également que les membres du conseil constitutionnel sont grassement rémunérés de 17 000 € bruts par mois alors que la plupart cumule déjà plusieurs retraites. Or le conseil constitutionnel est loin d’être une institution qui mobilise à plein temps. Par ailleurs, le travail essentiel est effectué par des rapporteurs. Pour parler clair, les membres du conseil constitutionnel s’y rendent une fois ou deux par mois pour une rémunération démentielle à laquelle s’ajoute d’ailleurs le remboursement de frais.

 

Conseil constitutionnel : retraite de luxe des anciens politiques ?

Conseil constitutionnel : retraite  de luxe des anciens politiques ?

 

Le conseil constitutionnel est considéré comme la plus haute institution française puisqu’elle peut se prononcer sur la validité des lois et autres élections nationales. On considère que c’est l’assemblée des sages. Curieuse sagesse en vérité car le conseil constitutionnel est composé exclusivement d’anciens politiques forcément marqués par leur idéologie, leur parcours et qui ne peuvent du jour au lendemain acquérir la posture de sage q’ exige cette institution  « indépendante » du pouvoir. Le conseil est en effet composé de neuf membres désignés par le président de la république, par le président de l’Assemblée nationale et par le président du Sénat. Ces trois derniers responsables n’étant pas particulièrement neutres pour cette désignation. S’y ajoute la présence des anciens présidents de la république. Bref, c’est en fait une institution d’anciens politiques, une sorte d’EPHAD  de luxe pour de vieux responsables. Une curieuse conception de l’indépendance. Il ne manque pourtant pas en France de juristes compétents complètement apolitiques qui pourraient composer un conseil constitutionnel réellement à l’abri des les influences politiques.  Aucune condition de compétence juridique des membres du Conseil constitutionnel n’existe. La France est ainsi l’exception en Europe, puisqu’il faut être, au minimum, juriste, pour être juge constitutionnel. Dans divers pays européens, par exemple, les qualités exigées sont :

  • Autriche : être juge, fonctionnaire ou professeur d’université ;
  • Allemagne : être magistrat fédéral suprême (pour six d’entre eux au moins), remplir les conditions pour être juge allemand ;
  • Italie : être magistrat, professeur de droit ou avocat ;
  • Espagne : être magistrat, professeur ou avocat ;
  • Portugal : être juge (pour six d’entre eux au moins) ou juriste ;
  • Belgique : avoir été pendant 5 ans soit haut magistrat, soit parlementaire.

 

Notons également que les membres du conseil constitutionnel sont grassement rémunérés de 17 000 € bruts par mois alors que la plupart cumule déjà plusieurs retraites. Or le conseil constitutionnel est loin d’être une institution qui mobilise à plein temps. Par ailleurs, le travail essentiel est effectué par des rapporteurs. Pour parler clair, les membres du conseil constitutionnel s’y rendent une fois ou deux par mois pour une rémunération démentielle à laquelle s’ajoute d’ailleurs le remboursement de frais.

Conseil constitutionnel : l’‘EPHAD de luxe des anciens politiques ?

Conseil constitutionnel : l’‘EPHAD de luxe des anciens politiques ?

 

Le conseil constitutionnel est considéré comme la plus haute institution française puisqu’elle peut se prononcer sur la validité des lois et autres élections nationales. On considère que c’est l’assemblée des sages. Curieuse sagesse en vérité car le conseil constitutionnel est composé exclusivement d’anciens politiques forcément marqués par leur idéologie, leur parcours et qui ne peuvent du jour au lendemain acquérir la posture de sage q’ exige cette institution  « indépendante » du pouvoir. Le conseil est en effet composé de neuf membres désignés par le président de la république, par le président de l’Assemblée nationale et par le président du Sénat. Ces trois derniers responsables n’étant pas particulièrement neutres pour cette désignation. S’y ajoute la présence des anciens présidents de la république. Bref, c’est en fait une institution d’anciens politiques, une sorte d’EPHAD  de luxe pour de vieux responsables. Une curieuse conception de l’indépendance. Il ne manque pourtant pas en France de juristes compétents complètement apolitiques qui pourraient composer un conseil constitutionnel réellement à l’abri des les influences politiques.  Aucune condition de compétence juridique des membres du Conseil constitutionnel n’existe. La France est ainsi l’exception en Europe, puisqu’il faut être, au minimum, juriste, pour être juge constitutionnel. Dans divers pays européens, par exemple, les qualités exigées sont :

  • Autriche : être juge, fonctionnaire ou professeur d’université ;
  • Allemagne : être magistrat fédéral suprême (pour six d’entre eux au moins), remplir les conditions pour être juge allemand ;
  • Italie : être magistrat, professeur de droit ou avocat ;
  • Espagne : être magistrat, professeur ou avocat ;
  • Portugal : être juge (pour six d’entre eux au moins) ou juriste ;
  • Belgique : avoir été pendant 5 ans soit haut magistrat, soit parlementaire.

 

Notons également que les membres du conseil constitutionnel sont grassement rémunérés de 17 000 € bruts par mois alors que la plupart cumule déjà plusieurs retraites. Or le conseil constitutionnel est loin d’être une institution qui mobilise à plein temps. Par ailleurs, le travail essentiel est effectué par des rapporteurs. Pour parler clair, les membres du conseil constitutionnel s’y rendent une fois ou deux par mois pour une rémunération démentielle à laquelle s’ajoute d’ailleurs le remboursement de frais.

 

Rémunération des conférences des anciens présidents : une honte démocratique

Rémunération des conférences des anciens présidents : une honte démocratique

Des anciens présidents qui se font rémunérer à chaque conférence entre 100 000 et 400 1000 $ : un véritable scandale démocratique. Cela démontre à l’évidence les liens qu’entretiennent ces anciens dirigeants avec l’argent. Pourtant ces anciens présidents ne sont pas sans ressources. En général, on leur a même attribué de confortables retraites voir même une logistique coûteuse et cela durant toute leur vie. Même François Hollande qui avait dénoncé ce procédé tombe dans le piège de la cupidité. En effet,  lui aussi touche de l’ordre  100 000 € par conférence. Il avait pourtant promis de refuser d’être payé. Pour s’excuser il affirme que cette rémunération est reversée à sa fondation. Reste à savoir si ce n’est pas pour des motifs fiscaux ! Le pire de cette affaire c’est que souvent la présence d’un ancien chef d’État lors d’une conférence n’apporte pas réellement de plus-value. On se sert d’un nom, d’une fonction pour attirer les gogos souvent très fortunés contents de se pavaner avec une ancienne vedette politique . On peut comprendre qu’à la limite le conférencier soit indemnisé pour ses frais de déplacement mais cette rémunaration  est particulièrement honteuse et même minable

Régime sec pour les anciens présidents

Régime sec pour les anciens présidents 

 

Le populisme est à la mode dans la plupart des composants politiques du pays dans la perspective de 2017. Au plus haut sommet de l’État ont fait dans le populisme monarchique. Ainsi François Hollande en prévision de 2017 évidemment remet-t-il en cause une partie des privilèges des anciens présidents de la république. Des privilèges qui peuvent effectivement se discuter dans la mesure où les intéressés ont accumulé des fortunes de différentes manières qui leur permettent de vivre largement sans l’aide financière de l’État. On peut comprendre évidemment que les mesures de sécurité de ses anciens présidents soient prises en compte par la collectivité, pour le reste c’est plus que discutable comme le sont d’ailleurs certains petits avantages que s’octroient  par exemple ministres, députés et sénateurs. Reste que les sommes en cause pour importante qu’elle soit demeurent  marginale par rapport aux dépenses ou à l’endettement de l’État. Une mesure qui aurait été mieux comprise si elle était intervenue au tout début du mandat de François Hollande. La disposition a été publiée discrètement mercredi au Journal Officiel. Elle instaure une dégressivité des moyens accordés aux anciens présidents de la République.  »Au-delà » de ces cinq années, le nombre des « collaborateurs permanents » passe de sept à trois, celui des agents de service de deux à un, selon ce décret. Pour les anciens présidents « investis avant le 15 mai 2012″, en l’occurrence Valéry Giscard d’Estaing, Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy, ce délai de cinq années « court à compter de la date d’entrée en vigueur du présent décret ». Avant cette réforme, un ancien Président percevait une dotation annuelle de 65.000 euros, mais bénéficiait également d’un appartement de fonction, d’une voiture avec chauffeurs, a le droit à sept collaborateurs, deux personnels de maison, aux billets de trains et avions gratuits… François Hollande avait demandé fin 2013 au vice-président du Conseil d’Etat, Jean-Marc Sauvé, et à Didier Migaud, Premier président de la Cour des Comptes, d’ »évaluer les moyens » mis à disposition par l’Etat pour les anciens présidents de la République en proposant des « évolutions ». Ce rapport, dévoilé par Mediapart le 20 septembre, chiffre les dépenses engagées à 10,3 millions d’euros annuels, dont l’essentiel (6,8 millions) pour les dépenses de protection.

(Avec agences)

Supprimer les avantages des anciens présidents (Lemaire)

Supprimer  les  avantages des anciens présidents (Lemaire)

 

Les présidents français coûtent trop cher estime Bruno Lemaire. On ne peut qu’être d’accord avec lui. Il coûte surtout cher du fait de leur gestion calamiteuse depuis une quarantaine d’années quand à commencé la spirale de l’endettement ( 2000 milliards en 2016). Ils coûtent  cher ensuite par le train de vie généreusement accordé par l’État.  Le coût des anciens présidents de la République est estimé à 10,3 millions d’euros par an par la Cour des comptes et le Conseil d’Etat, une estimation proche de celle du député PS René Dosière. Le rapport confidentiel des deux institutions, remis à l’été 2014 à François Hollande, son commanditaire, préconise une révision des avantages alloués aux anciens présidents dans un «souci de modernisation, de transparence et de maîtrise de la dépense publique», comme l’a révélé Mediapart le 20 septembre. Dans le contrat présidentiel de Bruno Le Maire, un pavé de 1012 pages rendu public dimanche, une fiche est justement consacrée aux privilèges des anciens chefs de l’Etat comme l’a souligné . Le candidat s’attaque aux avantages qui leur sont dévolus, dont il juge qu’ils «entretiennent l’image du faste républicain et de privilèges extraordinaires», bien loin du renouveau qu’il désire incarner. L’ancien ministre de l’Agriculture avance deux propositions dans intitulée «anciens présidents de la Républiques (sic): pour un statut uniformisé». Celui que les sondages désignent comme le troisième homme de la primaire propose de «préciser les moyens humains et financiers (budget global, secrétariat, transport) des ex-locataires de l’Elysée et de limiter ces avantages à une durée de dix ans». Une fois cette période écoulée, «seul pourra être maintenu le bénéfice du service de protection des hautes personnalités» et ce «uniquement si une analyse de risque le justifie», projette le député d’Eure. Depuis une loi de 1955, les anciens présidents ont droit à une dotation de 65.000 euros bruts par an en plus d’une rémunération par le Conseil constitutionnel. En 1985, une lettre de Laurent Fabius, alors premier ministre, précise qu’il est mis à leur disposition un appartement et une voiture de fonction ainsi que neuf personnes (dont un chef de cabinet, deux assistants, trois secrétaires et deux personnes affectées au service de leur appartement de fonction). En sus, leurs déplacements sont gratuits sur l’ensemble des réseaux publics ferroviaire, aérien et maritime, le tout dans la meilleure classe. Si cette première proposition est novatrice, la seconde l’est beaucoup moins. Le Maire souhaite également mettre fin à la présence des anciens locataires de l’Élysée au Conseil constitutionnel, en vertu de laquelle une rémunération leur est versée. Une idée déjà soumise par Jean-Louis Debré, ancien président du Conseil constitutionnel, et reprise par son successeur Laurent Fabius. La mesure permettrait de modestes économies, de «144 000 € à 168 000 € par président de la République» d’après l’équipe de Le Maire. Mais la réforme est surtout justifiée par le risque de conflits d’intérêt pour les anciens présidents, explique le candidat. Celui qui se veut héraut du renouveau reprend ainsi une promesse de campagne non tenue par François Hollande. Et pour cause: pour que les «ex» de l’Elysée ne soient plus «membres de droit» du Conseil constitutionnel, il faut entreprendre une révision de la Constitution. Une procédure compliquée puisqu’elle nécessite l’adhésion des trois cinquièmes des parlementaires réunis en Congrès ou un référendum.

Hausse de prix des logements anciens ou intox

Hausse de prix des logements anciens ou  intox

 

Une augmentation infime sur lesquels s’appuient les lobbys pour déclarer que la hausse des  prix est repartie. En réalité Les prix des logements anciens en France ont progressé de 0,5% au troisième trimestre par rapport aux trois mois précédents. Ils s’affichent en repli de 1,5% sur un an, selon l’indice Notaires-Insee publié jeudi 26 novembre. De juillet à septembre, les prix des appartements ont reculé de 1,7% sur un an tandis que ceux des maisons cédaient 1,4%, selon ces données provisoires. En Île-de France, les prix se sont redressés au troisième trimestre, progressant de 0,8% comparé au deuxième trimestre. Sur un an, leur baisse s’atténue (-1,2%, contre -2,5% le trimestre antérieur). Les prix des maisons ont cédé 1,1% sur un an, ceux des appartements 1,3%. En province, les prix de l’ancien remontent légèrement au troisième trimestre (+0,3%) comparé au deuxième. Sur un an, comme en région parisienne, la baisse des prix des logements anciens s’atténue en province (-1,7%, contre -2,8% au 2e trimestre sur un an). Celle-ci est plus accentuée pour les appartements (-2,1%) que pour les maisons (-1,4%).

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