Archive pour le Tag 'amis !'

Les robots, des amis ?

Les robots, des amis ?

Le développement de robots à forme humaine s’accélère. Dopées à l’intelligence artificielle, ces machines humanoïdes pourraient rapidement faire partie de notre quotidien. Par Philippe Boyer, directeur relations institutionnelles et innovation à Covivio dans la Tribune. 

Habitués, depuis déjà plusieurs décennies, à voir des robots industriels automatiser d’innombrables tâches pénibles, répétitives ou dangereuses pour l’humain (peinture, soudage, assemblage…), une nouvelle révolution de la robotique est à l’œuvre. Moins « esclaves », mais plus « compagnons », les prochains robots humanoïdes nous ressembleront physiquement (avec deux bras et deux jambes), voire mentalement. Dopées à l’intelligence artificielle, ces machines pourraient bien envahir nos vies.

A défaut de prendre cette prédiction pour argent comptant, le moins que l’on puisse dire c’est que de grands groupes technologiques consacrent des sommes importantes au développement de ces robots humanoïdes : Tesla, avec ses robots Optimus, Google, Open AI ou encore Figure, société qui a levé 675 millions de dollars auprès de Microsoft, Open AI, Nvidia et Jeff Bezos. Bref, une myriade de grandes et petites sociétés investissent pour faire converger IA et robotique. Jamais à court de propos sensationnalistes, le 21 janvier dernier, Elon Musk s’est même enthousiasmé en pronostiquant que d’ici à 2040, 1 milliard de robots humanoïdes devraient être à nos côtés. Dit autrement, arrive le temps où IA et robotique se connecteront.

…..L’IA générative donnera à ces robots humanoïdes la capacité de comprendre, d’apprendre et de prendre des décisions. Côté pile, de telles technologies pourraient être le « remède » aux pénuries de compétences qui affectent tel ou tel secteur du fait notamment du vieillissement démographique ou de la réticence à travailler dans des environnements difficiles. Côté face, ces robots auront, à coup sûr, vocation à occuper de nombreux emplois jusqu’alors effectués par des humains.

Pour l’heure, si ces futurs auxiliaires sont technologiquement prêts, il reste encore pas mal de chemin à faire pour parfaire leur « presque humanité », à commencer par leur aspect physique. Il n’y a qu’à voir le robot humanoïde Optimus de Tesla qui, avec son 1m72 et ses 57 kg, son buste et sa tête noire sans visage et sans aucune expression, agit pour l’instant comme un véritable repoussoir. Sans doute que ce sujet de forme devrait être assez vite résolu, ne serait-ce que pour une raison commerciale : donner envie d’adopter ces robots aux caractéristiques presque humaines.

Une fois ceci fait, il ne restera plus qu’à doter ces machines d’une forme d’empathie artificielle qui fera que nous oublierons progressivement que l’on interagit avec une machine. L’heure sera alors venue de sérieusement se poser la question éthique sur la complémentarité que nous voudrons nouer entre l’Homme et la machine. Dit autrement, et à l’instar des débats récurrents sur l’IA, serons-nous un jour tentés d’abandonner notre idéal d’autonomie en déléguant tout ou partie de nos choix à des machines capables de choisir et de décider à notre place ?

Tech: Le danger des amis virtuels

Tech: Le danger des amis virtuels

 

 

L’éditorial de Dominique Leglu est extrait de Sciences et Avenir – La Recherche numéro 898, daté décembre 2021, qui fait sa couverture sur Icelandia, le continent englouti. Le magazine est disponible chez tous les marchands de journaux, et en numérique.

 

 

Des robots qui discutent

Qui d’entre nous, d’ailleurs, ne s’est pas retrouvé un jour à sermonner sa propre voiture quand, par un froid matin d’hiver, elle refusait de démarrer ? Comment allons-nous nous comporter à l’avenir, suite à des échanges de plus en plus fréquents avec les agents conversationnels — ces « chatbots » ou robots qui discutent — répondant à nos questions et donnant des conseils ? Déjà une réalité pour qui converse avec Siri sur son iPhone ou avec Alexa d’Amazon, appelé avec Disney à se déployer un peu partout. Manipulation douce. Que se passera-t-il demain avec le développement du métavers annoncé récemment par Mark Zuckerberg (lire p. 42) ?

 
 Dans cet univers virtuel, où tout un chacun est censé vivre via son avatar en 3D parmi d’autres avatars amis, comment détecter les pseudo-personnages… Des robots si persuasifs qu’on les prendrait pour des anges gardiens. À l’heure où la Stratégie nationale pour l’intelligence artificielle (2018-2022) entre dans sa deuxième phase, ce n’est pas un hasard si un avis sur les enjeux éthiques des chatbots vient d’être émis par le Comité national pilote d’éthique du numérique (CNPEN). Les agents conversationnels sont en effet des intermédiaires puissants du système numérique pour que ce dernier engrange pléthore de données sur nos réactions émotionnelles et notre comportement général.Tech: Le danger des amis virtuels dans sciences amis ! dans sciences

« Manipulation douce »

 Un apprentissage qui, en retour, peut permettre d’exercer insidieusement une « manipulation douce », explique ainsi Laurence Devillers, corapporteuse de l’avis du CNPEN, professeure d’IA et d’éthique (université Paris-Sorbonne, CNRS) que les lecteurs de Sciences et Avenir – La Recherche connaissent bien. Brouillage et mensonges. Il est grand temps que des normes encadrent la déferlante annoncée de chatbots, pour éviter le brouillage entre humain et non-humain. Voire une perte de repères entre la vie et la mort, quand il devient possible de poursuivre le dialogue avec une personne décédée grâce à un « deadbot » qui en garde la voix et l’apparence. Que deviendrait le temps du deuil, indéfiniment prolongé ? Une éducation s’impose ainsi dès le plus jeune âge, pour faire prendre pleinement conscience de cette nouvelle réalité. Pour éviter non seulement que s’aggrave l’addiction aux images ou à la consommation de produits mais aussi que s’infiltrent mensonges et fake news, à l’insu de notre plein gré. Un défi à la démocratie

2022 : Taubira plébiscitée par trois amis !

2022 : Taubira plébiscitée par trois amis !

 

On apprend par l’AFP que Christiane Taubira aurait été plébiscitée pour se présenter au nom de la gauche aux présidentielles de 2022. Sans doute le même plébiscite qu’il avait conduit à se présenter en même temps que Jospin et à le faire perdre.

 

On ne compte déjà plus le nombre de candidats à gauche alors que de toute façon les intentions de vote prévoient une défaite de ce camp. Et pour y remédier sans doute pour l’aggraver, les candidatures ne cessent de ce multiplier.

 

Christiane Taubira dont le patrimoine représente plusieurs centaines de millions est de ce point de vue assez représentative de certains socialistes radicaux.

 

Chine, le capitalisme mafieux des amis du PC

Chine, le capitalisme mafieux des amis du PC

 

 

Lun Zhang, Professeur de civilisation chinoise, dénonce  la collusion entre argent et pouvoir qui constitue un obstacle au progrès économique . De fait, l’économie et confisquée par les amis du parti communiste qui regroupe 100 millions d’adhérents dont 10 millions de cadres qui se partagent le gâteau économique. La plupart des dirigeants communiste possèdent d’énormes fortunes. Un milliard chacun pour les 70 députés communistes les plus riches. Certains en profitent pour partir avec leur fortune, 50 milliards auraient ainsi quitté la chine. Le parti repose sur une  organisation complètement centralisée et cadenassée.  . Le congrès, organe politique ,  nomme les membres du comité central, de celui-ci est issu le bureau politique qui désigne enfin les membres du comité permanent.  mais c’est le congrès qui désigne d’en haut les représentants  qui devraient être élus. Un vaste système mafieux qui freine maintenant le dynamisme de la concurrence des compétences et de l’innovation.

 

( tribune au Monde)

 

Tribune.

 

« Dès sa naissance, le capitalisme a suscité de véhémentes critiques et du rejet. Le XXe siècle a d’ailleurs été marqué par une tentative de remplacement par un nouveau système caractérisé par une planification étatique, une collectivisation des moyens de production et même des biens des citoyens. Mais celle-ci a incontestablement échoué, malgré les regrets de ses partisans. Par souci de légitimation de leur pouvoir, certains pays ont conservé le mot « socialiste » dans leur dénomination, mais ils l’ont abandonné dans la pratique.

Les autorités chinoises se vantent sans cesse de pratiquer un « socialisme aux caractéristiques chinoises ». En réalité, au nom de la réforme, ces dernières décennies, nous assistons plutôt à la mise en pratique progressive d’un « capitalisme aux caractéristiques chinoises ». L’accumulation du capital se substitue à l’objectif idéologique ; le marché remplace l’organisation administrative planifiée. C’est ce qui explique la réussite de la Chine en termes de croissance.

Cette confusion autour de l’appellation et des pratiques, entre « socialisme » et « capitalisme », ainsi que l’opacité du fonctionnement et des institutions économiques et politiques accentuent la difficulté, d’un point de vue épistémologique, pour qualifier la nature du régime actuel en Chine. Ce régime est différent de ce que nous avons connu au XXe siècle. Il possède à la fois certains traits des régimes totalitaires de droite comme de gauche et des similitudes frappantes avec le modèle asiatique, où le capitalisme a accompagné le développement. Dans le monde, il suscite de l’admiration à droite pour son efficacité économique et sa capacité à maintenir l’ordre, et à gauche pour ses discours populistes au nom de l’intérêt du peuple, le rôle prédominant de l’Etat et la critique des systèmes occidentaux.

Mais un point est clair : l’Etat y est à la fois joueur et arbitre du champ économique ; la collusion entre les élites au pouvoir et le monde des affaires, phénomène que le politologue américain Minxin Pei décrit sous le nom de « Crony Capitalism », capitalisme de copinage. Si l’avidité et l’ambition de ces « copains » ont construit le moteur de la machine économique chinoise durant une période, elles bloquent désormais l’ascenseur social et sont des obstacles à la croissance chinoise du fait de l’inégalité qu’elles engendrent, réduisant la capacité du marché interne. La corruption est ainsi structurelle et généralisée à cause du monopole étatique dans de nombreux secteurs. »

Appel du président des Amis du Palais de Tokyo « abattre » Greta Thunberg

Appel du président des Amis du Palais de Tokyo « abattre » Greta Thunberg

« J’espère qu’un désaxé va l’abattre », a écrit le président des Amis du Palis de Tokyo  sur Facebook à propos de la jeune militante suédoise Greta Thunberg.

 

Une réaction assez incroyable sans doute d’un vieux blanc aigri et qui sucre les fraises mais qui révèle quand même après le tombereau d’insultes qu’a reçu la jeune suédoise de la vigueur du courant des climato- sceptiques au regard des chiffres indiscutables des scientifiques vis-à-vis de la dégradation du climat. Des climato- sceptiques complètement réactionnaires et qui ne tolèrent sans doute pas une jeune fille vienne rappeler les responsabilités des décideurs sur un enjeu majeur. L’ancien président du palais de Tokyo a parlé de désaxée pour Greta Thunberg, mais il est évident que nombre de climato- sceptiques présentent  de véritables dysfonctionnements psychiatriques pour nourrir de tels tombereaux de menaces et d’injures. Le pire c’est que le gouvernement se joint maintenant sa voix contre Greta Thunberg On lui reproche surtout de ne pas faire de propositions comme si elle était en charge de la gestion de la politique énergétique mondiale. Sa voix vise seulement à faire prendre conscience de l’enjeu. Aux politiques et aux experts de gérer la transition environnementale. Le Palais de Tokyo a donc dû  désavoué le président de l’association des Amis du musée, qui s’est lui-même excusé après avoir appelé ce week-end à « abattre » Greta Thunberg, dans des commentaires publiés sur Facebook.

« Cette folle rajoute une couche de haine dans notre société déjà fort agitée par de mauvais sentiments de toute part », et « j’espère qu’un désaxé va l’abattre », avait notamment commenté Bernard Chenebault, le président des Amis du Palais de Tokyo, dans plusieurs réactions à un article sur la jeune militante suédoise de la lutte contre le réchauffement climatique, comme l’ont rapporté plusieurs médias.

De son côté, la direction de l’établissement s’est aussitôt désolidarisée du président de l’association et a annoncé qu’il serait rapidement remplacé à la tête des Amis du Palais de Tokyo.

« Nous désapprouvons ces mots et nous désolidarisons de cette prise de position, formulée à titre personnel et qui n’engage en rien le Palais de Tokyo ou les Amis du Palais de Tokyo », et « l’assemblée générale des amis du Palais de Tokyo se réunira dans les meilleurs délais pour procéder à l’élection d’une nouvelle personne à la présidence », a annoncé l’établissement sur Twitter.

Sarko le baptiste qualifie ses amis

Sarko le baptiste qualifie ses amis

 

Sarko rebaptise des amis politiques avec une certaine pertinence et un sens certain de la formule. Certes on peut mettre en doute certaines sources comme celles de Buisson mais les définitions sont confirmées par d’autres propos tenus par ailleurs. Chirac «corrompu», Fillon «pauvre type», Xavier Bertrand «méchant», Estrosi «abruti», DSK «dégoûtant personnage» qu’il a «de quoi faire exploser en plein vol»… Florilège des petites phrases et autres confessions de Nicolas Sarkozy, selon son ancien conseiller Patrick Buisson, dans un livre, «La Cause du peuple», à paraître jeudi.

- sur Jacques Chirac: «Il aura été le plus détestable de tous les présidents de la Ve. Franchement, je n’ai jamais vu un type aussi corrompu (…) J’ai rarement rencontré quelqu’un d’aussi méchant et avide.»

- sur François Fillon, après l’inauguration en 2010 par son Premier ministre d’une mosquée: «Pauvre type, minable… Tant qu’il y est, il n’a qu’à venir mercredi au Conseil des ministres en babouches et avec un tapis de prière!»

- sur Dominique Strauss-Kahn: «Ce type est un dégoûtant personnage. Il n’aime pas les femmes, mais le sexe. Faites-moi confiance. J’ai de quoi le faire exploser en plein vol.» Et Buisson, pour qui Sarkozy a «la mine des mauvais jours» quand éclate l’affaire du Sofitel en mai 2011, d’ajouter: «Selon les jours, il évoquait une mystérieuse affaire à Marrakech ou une triviale histoire de +parties fines+ à Lille, s’excusant à chaque fois de ne pas pouvoir nous en dire davantage.»

- sur François Baroin en 2010, et dont il dit aujourd’hui qu’il fera son Premier ministre en cas de victoire en 2017: «Je l’ai acheté à la baisse. Trop cher, je te le concède, pour un second rôle.»

- sur le choix de son gouvernement, en juin 2007: «Je sais bien que je suis le Tom Cruise du pauvre, mais enfin Gérard Larcher ministre, ce n’est pas possible: il est trop laid! Tandis qu’avec Rachida (Dati) et Rama (Yade), on va leur en mettre plein la vue.»

- sur lui-même, en mars 2007: «Ils s’en moquent, les Français, que je sois sympathique! Ils veulent que je fasse le job. Est-ce qu’on demande à Rocco Siffredi (acteur pornographique, ndlr) d’avoir des sentiments?»

- sur Carla Bruni: «Crois-tu que notre histoire à Carla et à moi aura un impact favorable sur le moral des Français?» Et M. Buisson raconte une scène où «il s’extasie sur le décolleté de son épouse et invite ses conseillers à faire de même».

- sur Xavier Bertrand: «C’est un méchant. Dix ans à essayer de placer des assurances en Picardie, dix ans à taper aux portes et à se prendre des râteaux, ça a de quoi vous rendre méchant pour le restant de vos jours. C’est d’ailleurs pour ça que je l’avais choisi.»

- sur Christian Estrosi: «Cet abruti (…) qui a une noisette dans la tête.»

- sur Angela Merkel, à qui il disait en plaisantant «Je suis la tête, vous êtes les jambes», Patrick Buisson assure que la chancelière allemande lui répondait: «Nein, je suis la banque.»

(AFP)

Corruption : Sapin renonce aux petits arrangements fiscaux entre amis

Corruption : Sapin renonce aux petits arrangements fiscaux entre amis

 

Officiellement Michel Sapin, inspiré sans doute par les pratiques américaines, a dû  renoncer aux principes du plaider coupable  qui aurait permis de négocier le montant de la sanction financière avec les autorités fiscales. Une disposition qui visait  surtout les transactions commerciales internationales. Pourtant ces petits arrangements entre amis ne sont pas étrangers à la pratique fiscale française puisque nombre de détournement fiscaux de grandes entreprises sont négociés à l’amiable avec le ministère des finances. On objectera à juste titre que la France n’est sans doute pas le seul pays qui utilise l’arme de la corruption pour obtenir des débouchés commerciaux à l’étranger notamment en ce qui concerne le secteur de l’armement. La plupart des affaires judiciaires sur le sujet ont par ailleurs été enterrées. Il est vrai que nombre de pays ont pris des mesures juridiques pour s’opposer à ce type de pratiques. Pour autant le principe de corruption (et de rétro commissions) n’est pas prêt de disparaître compte tenu de la collusion entre le système politique et le monde économique. Le gouvernement renonce donc officiellement à introduire la possibilité d’une transaction pénale pour les entreprises dans son nouvel arsenal anti-corruption faute d’avoir obtenu le feu vert du Conseil d’Etat mais laisse la question ouverte pour le débat parlementaire, a annoncé le ministre des Finances, Michel Sapin. Le projet de loi dit « Sapin 2″, qui sera présenté mercredi en conseil des ministres, vise notamment à lutter contre la corruption dans les transactions commerciales internationales. « Je ne pense pas qu’il y ait plus de comportements délictueux chez nous qu’ailleurs. Mais l’absence de condamnations en France pour versements, en particulier de pots-de-vin, a créé un climat de soupçon envers notre pays que je juge infamant », déclare le ministre dans une interview au Journal du Dimanche. Le projet de loi, qui prévoit la création d’une agence nationale de lutte contre la corruption, doit permettre de combler ces lacunes à la suite d’une série de condamnations d’entreprises françaises à l’étranger, pour l’essentiel aux Etats-Unis, comme Alstom, Total, Technip ou Alcatel ces dernières années.

avec Reuters

Bettencourt-De Maistre : accords entre amis !

Bettencourt-De Maistre : accords entre amis !

Quand il s’agit due des plus grandes fortunes mondiales (autour de 30 milliards). , on finit par s’arranger entre amis et la justice entérine. L’ancien gestionnaire de fortune de Liliane Bettencourt, Patrice de Maistre, a en effet renoncé à faire appel de sa condamnation dans l’affaire des abus de faiblesse après avoir trouvé un accord transactionnel avec la milliardaire et la famille Bettencourt-Meyers, indiquent jeudi leurs avocats dans un communiqué commun. Cet accord a été transmis au parquet général de Bordeaux, qui s’est également désisté de son appel du jugement du 28 mai à l’encontre de Patrice de Maistre. « Compte tenu de la volonté de M. Patrice de Maistre de tourner définitivement la page de ‘l’affaire Bettencourt’, une issue transactionnelle a pu être trouvée, avec l’assistance des conseils de chacune des parties (…) pour mettre fin aux litiges les opposant », peut-on lire dans le communiqué. Patrice de Maistre avait été condamné le 28 mai par le tribunal correctionnel de Bordeaux avec sept autres prévenus, dont un seul n’a pas interjeté appel, à une peine de 30 mois de prison dont un an avec sursis et à 250.000 euros d’amende, ainsi qu’à verser 12 millions d’euros de dommages et intérêts à l’héritière de L’Oréal. Il lui était reproché d’avoir profité de la faiblesse de la milliardaire pour lui soutirer de l’argent.




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