Archive pour le Tag 'allemandes'

15 milliards d’aides pour les éoliennes allemandes !

15 milliards d’aides pour les éoliennes allemandes !

À l’image de Macro, le gouvernement allemand fait aussi du « en même temps » en matière d’énergie. D’un côté, elle a recours de plus en plus en matière d’électricité aux centrales à gaz et même au charbon et d’un autre pour faire plaisir aux écolos soutient les éoliennes. Ainsi le gouvernement vient de décider d’une aide de 15 milliards à Siemens énergie pour développer cette énergie alternative par ailleurs très concurrencé par des Chinois qui inondent l’Europe.

Ainsi e groupe d’énergie allemand va bénéficier d’un plan de sauvetage de 15 milliards d’euros de garanties bancaires. Siemens Energy enregistre en effet des pertes élevées sur sa branche éolienne. Le secteur éolien connaît plus largement une crise d’ampleur, entre envolée des taux d’intérêt et des prix des matières premières.

Le gouvernement allemand a mis en avant le rôle stratégique du groupe dans la transition énergique pour justifier le fait de voler à sa rescousse. Siemens Energy rencontre « actuellement des difficultés à obtenir les garanties requises sur le marché financier », a-t-il expliqué.

Siemens Energy enregistre des pertes élevées dans le secteur éolien, subies par sa filiale espagnole Siemens Gamesa. Cette division est confrontée à des difficultés d’ampleur, liées à des composants défectueux, principalement les roulements et les pales de rotor des turbines sur des installations terrestres, qui plombent ses finances.

Siemens Energy dispose, certes, d’une trésorerie abondante et d’un carnet de commandes proches de 15 milliards d’euros, surtout dopé par l’éolien, selon ses derniers états financiers publiés en août. Mais les difficultés rencontrées dans l’éolien l’ont contraint à passer 1,6 milliard d’euros de provisions dans ses comptes. Des garanties publiques ou bancaires devenaient ainsi indispensables pour Siemens Energy, sans quoi il déclarait fin octobre ne pas pouvoir obtenir de nouveaux prêts pour mener de nouveaux projets de constructions de parcs éoliens.

« Tous les segments » du groupe « se portent bien, à l’exception de l’éolien », se voulait toutefois rassurant fin octobre Joe Kaeser, président du conseil de surveillance.

Siemens Energy n’est pas le seul acteur de l’éolien à rencontrer des difficultés, l’intégralité du secteur étant à la peine. La faute, notamment, à l’envolée des taux d’intérêt. Dans l’éolien terrestre, le coût de l’emprunt représente désormais « 8-10 euros/MWh sur un prix de 60-65 euros », avait témoigné Michel Gioria, de France Renouvelables fin septembre. Or, ces infrastructures ne peuvent voir le jour sans des investissements de départ massifs, financés par emprunt, avait-il rappelé. S’ajoute à cela, l’inflation sur les matières premières : acier, aluminium, matériaux composites… couplée à des tensions sur l’approvisionnement. Résultat, le prix moyen d’une éolienne terrestre est passé de 2,4 millions d’euros en janvier 2021 à 3,2 millions, selon France Renouvelables.

Politique: Une nouvelle donne en Europe après les élections allemandes ?

Politique: Une nouvelle donne  en Europe après les élections allemandes ?

 

De plus en plus de voix se font entendre, en Allemagne, pour que celle-ci prenne plus de responsabilités dans la relance européenne, d’autant plus nécessaire après la crise des sous-marins australiens, estime, dans une tribune pour « Le Monde », Jacques-Pierre Gougeon, Professeur en civilisation allemande,, ex-conseiller culturel à Berlin.

 

Tribune.

 

Les déconvenues françaises au sujet de la vente de sous-marins à l’Australie montrent combien – au-delà de la France – l’Europe est quasi inexistante comme acteur géopolitique lorsqu’il s’agit du choc des intérêts des grandes puissances. On est d’ailleurs surpris du silence de nos voisins face aux déboires français qui devraient être un message pour l’ensemble de l’Europe. C’est dans ce sens que les élections allemandes devraient marquer une césure pour aller de l’avant dans une plus grande intégration qui ne renierait pas les Etats-nations fondateurs des identités des différents peuples.

 

Il existe, en Allemagne, un mouvement de pensée qui incite ce pays à exercer de plus grandes responsabilités en Europe et dans le monde et reproche aux dirigeants politiques actuels de ne pas aller de l’avant dans ce domaine.

Au moment où l’on analyse le bilan d’Angela Merkel sur le plan européen en mettant en avant son engagement en 2010 pour sauver l’euro et l’élaboration, avec la France, du plan de relance en 2020 – qu’elle a salué dans un discours devant le Bundestag, le 24 juin, en précisant que, par de telles coopérations, « l’Union européenne, souveraine, est un partenaire fort » –, des voix se font entendre pour considérer que l’Allemagne devrait aller plus loin dans l’exercice de sa puissance.

Ainsi, l’un des ouvrages les plus commentés en 2021 a été Blutige Enthaltung (« Abstention sanglante », Herder, non traduit) de Sönke Neitzel et Bastian Matteo Scianna. Décrivant les contradictions de la diplomatie allemande dans le conflit syrien de 2011 à 2020, l’historien reproche à son pays « d’être à l’avant-garde de l’indignation morale et de réclamer des interventions militaires que d’autres se chargent d’exécuter », au nom d’une culture de la retenue qui laisse apparaître « un fossé entre l’exigence d’être un partenaire important dans le règlement des crises et l’absence de volonté dès qu’il s’agit d’être partie prenante en matière de sécurité ».

 

Deux ans plus tôt, un spécialiste de relations internationales, Stefan Fröhlich, défendait dans Das Ende der Selbstfesselung (« L’abandon des chaînes », Springer, 2019, non traduit) l’idée que l’Allemagne doit jouer un plus grand rôle sur la scène internationale et que « le défi pour Berlin consiste à exercer un leadership en le faisant accepter par ses partenaires » en tenant compte de « son accession involontaire au statut de puissance centrale en Europe ».

Un an plus tôt, le journaliste Christoph von Marschall lançait un appel, Wir verstehen die Welt nicht mehr (« Nous ne comprenons plus le monde », Herder, non traduit), analysant les demandes formulées par d’autres pays pour que « l’Allemagne exerce un rôle de leader en Europe et revitalise l’Union européenne », impliquant aussi « de prendre au sérieux les questions militaires ».

5G: Merkel , le choix entre Huawei et les voitures allemandes !

5G: Merkel , le choix entre Huawei et les voitures allemandes !

 

Pour des raisons politiques mais surtout économiques la chancelière allemande Angela  Merkel ne cesse de tourner autour du pot à propos de la technologie chinoise 5G Huawei. Du coup, Angela Merkel a décidé de s’abriter derrière le parapluie européen qui doit définir les normes relatives à la nouvelle technologie.  Il s’agit d’éviter pour elle d’avoir à gérer le conflit interne à l’Allemagne st aussi de préserver les relations franco chinoises et surtout les exportations des automobiles allemandes. Les parlementaires conservateurs sont en effet divisés sur l’attitude à adopter devant une proposition des sociaux-démocrates du SPD, partenaires de gouvernement de la CDU-CSU, qui souhaitent exclure le spécialiste chinois des équipements de réseaux du marché allemand de la 5G, la nouvelle génération de téléphonie mobile.

Si elle est favorable à l’instauration de critères stricts en matière de sécurité des réseaux, Angela Merkel s’oppose à ce que des entreprises soient individuellement visées par des interdictions.

Ce dossier doit être abordé lors du sommet européen prévu en mars à Bruxelles et Berlin entend organiser un sommet Chine-Europe lorsque l’Allemagne prendra, en juillet, la présidence de l’Union européenne pour six mois.

Le déploiement de la 5G est devenu un enjeu géopolitique en raison de l’importance prise par Huawei sur le marché des équipements de réseaux. Washington a inscrit le groupe chinois sur une liste noire d’entreprises susceptibles de menacer la sécurité nationale et exhorte ses alliés à ne pas se fournir auprès de lui pour construire leurs réseaux 5G.

 

Allemagne : La 5G chinoise contre des voitures allemandes ?

Allemagne : La 5G chinoise contre des voitures allemandes ?

Il se joue actuellement en Allemagne une bataille assez sulfureuse concernant l’utilisation de la technologie chinoise 5G de Huawei. En fait,  si certains en Allemagne se montrent favorables au développement de cette technologie, c’est officiellement pour  que le pays ne prenne pas de retard quant au développement de la dernière norme de communication par mobile. Une norme qui permettra de nombreuses applications. On sait que les États-Unis ont mis en demeure l’Europe de refuser cette technologie chinoise  pernicieuse  qui permet notamment de récupérer de précieuses informations d’ordre commercial mais aussi personnel. Ce que craint surtout l’Allemagne qui sait que l’opposition au développement de la technologie chinoise entraînera  des représailles sur ses ventes d’automobiles déjà fortement atteintes par le ralentissement de la puissance asiatique. L’Europe s’efforce de trouver un compromis et de  surmonter les contradictions de l’Allemagne voire  d’autres, cela avec  des critères de sécurité très contraignants qui permettent  de mettre en concurrence l’opérateur Huawei avec d’autres notamment européens.

Dans un discours qu’il prononcera dimanche après-midi à Munich, dans le cadre de la conférence DLD (Digital Life Design), l’ancien ministre français des Finances soulignera que la mise en place de réseaux de téléphonie mobile de cinquième génération exigera des normes de sécurité plus sévères que pour les précédentes générations.

“La mise en place de conditions de sécurité plus strictes n’engendrera pas de retards dans le développement de la 5G en Europe”, dira Thierry Breton, selon le texte du discours que Reuters a pu consulter par avance. “L’Europe, y compris l’Allemagne bien sûr, est sur les rails. Nous ne sommes pas en retard en Europe dans le déploiement de la 5G”, fera-t-il valoir.

Ces propos de Thierry Breton interviennent en plein débat sur le rôle que doit jouer l’équipementier chinois Huawei dans le développement de la 5G et contredisent ceux du ministre allemand de l’Intérieur Horst Seehofer, qui a estimé cette semaine que la mise à l’écart de Huawei retarderait de cinq à dix ans l’installation de la 5G en Allemagne.

“Je ne vois pas comment nous pourrons mettre en place la 5G en Allemagne sans la participation de Huawei”, a déclaré Seehofer dans les colonnes du Frankfurter Allgemeine Zeitung. Thierry Breton, qui est à la tête d’un vaste portefeuille à la Commission (marché intérieur, politique industrielle, numérique, défense, espace), invite au contraire l’Europe à préserver sa “souveraineté technologique” en développant des solutions alternatives à la Chine ou aux Etats-Unis dans les domaines stratégiques.

A Munich, le commissaire au Marché intérieur n’appellera pas à l’exclusion de Huawei: “Toute entreprise, européenne ou non, sera la bienvenue tant qu’elle respecte les règles européennes. Nous ne construirons pas une forteresse européenne.” Mais sa défense des intérêts européens devrait sonner agréablement à l’oreille des concurrents européens de Huawei tels que Nokia ou Ericsson.

Les conservateurs allemands se divisent actuellement sur une proposition des sociaux-démocrates, leurs partenaires de coalition, qui reviendrait à bannir Huawei du développement de la 5G en Allemagne. L’ambassadeur de Chine à Berlin, Ken Wu, a en outre laissé entendre le mois dernier que Pékin pourrait se livrer à des représailles en cas d’exclusion de Huawei, en visant notamment les millions d’automobiles vendus en Chine par les constructeurs allemands.

Dans un entretien récent à l’hebdomadaire « The Economist », Emmanuel Macron a notamment indiqué que la France et l’Europe ne devaient pas perdre la main sur les réseaux télécoms en offrant un boulevard aux technologies chinoises : « Pendant des années, on a délégué aux opérateurs de télécommunications des choix souverains, des sujets d’intérêt qui ne peuvent être gérés par des entreprises ». Sans le citer, le chef de l’État fait ici référence au géant chinois Huawei, qui a pris, ces dernières années, une place importante dans les réseaux mondiaux.

 

Iran : les entreprises allemandes en difficulté

Iran : les entreprises allemandes en difficulté

Le  ministre des Affaires étrangères Heiko Maas a reconnu qu’en fait il n’y avait pratiquement pas de moyens de protéger les entreprises allemandes en Iran. Le dilemme pour les entreprises allemandes comme pour les autres entreprises européennes (voire d’autres zones) est simple : ou commercer avec les États-Unis ou commercer avec l’Iran. Certes la problématique n’est pas aussi simple  car certaines activités pourront être maintenues mais beaucoup seront perturbées ; En effet les Etats –unis vont prendre des sanctions vis-à-vis de toute société qui voudra faire du business avec l’Iran sur des aspects que Trump juge stratégique. Dès lors certaines entreprises préféreront se retirer de l’Iran pour ne pas être sanctionnées aux Etats-Unis. Or l’Allemagne est le pays européen largemenet le plus concerné par les exportations européennes aux Etats Unis.   L’Allemagne aimerait cependant  aider ses entreprises à poursuivre leurs activités en Iran après la décision des Etats-Unis de réimposer des sanctions contre Téhéran, même s’il risque d’être difficile de les protéger des répercussions, a déclaré dimanche son ministre des Affaires étrangères Heiko Maas.  En annonçant mardi sa décision de dénoncer l’accord nucléaire conclu en 2015 avec l’Iran et de réimposer des sanctions contre Téhéran, le président américain Donald Trump a également menacé de sanctions toute entreprise étrangère qui ferait des affaires en Iran. “Je ne vois pas de solution simple pour protéger les sociétés de tous les risques de sanctions américaines”, a déclaré Heiko Maas au journal Bild am Sonntag.

Dette grecque : on reverra la question après les élections allemandes

Dette grecque : on reverra la question après les élections allemandes

 

Pour cause d’élections allemandes, le plan d’allégement de la dette grecque est reporté en 2018. Merkel et le ministre des finances allemand Schäuble ne souhaitent  pas engager un débat polémique avec le Parlement allemand avant les prochaines élections. Ils ne souhaitent surtout pas se prononcer sur les propositions du FMI qui vise à étaler le remboursement de la dette grecque jusqu’en 2080 et à supprimer les intérêts jusqu’en 2040. Le gouvernement allemand considère que d’éventuelles mesures d’allègement de la dette grecque n’auront donc lieu qu’à partir de 2018, une fois le programme d’aide actuel achevé, mais surtout après les élections législatives en Allemagne.  »A l’été dernier, l’Eurogroupe avait expliqué être prêt, si nécessaire, à envisager des mesures supplémentaires pour maintenir à un niveau supportable les besoins en financement de la Grèce », rappelle un document du ministère allemand des Finances. « Ces mesures auraient lieu sous condition d’une complète mise en œuvre du programme (d’aide) en 2018″, ajoute ce compte-rendu de la dernière réunion des ministres des Finances de la zone euro à Bruxelles le 9 mai, présenté à une commission parlementaire et que l’AFP a pu consulter. En insistant sur le fait que tout allègement de la dette grecque ne peut avoir lieu avant la fin complète du programme d’aide en cours, le ministre allemand des Finances Wolfgang Schäuble « est bien décidé (…) à éviter tout vote parlementaire avant les élections législatives » en Allemagne prévues à l’automne 2017, a commenté le quotidien économique Handelsblatt.

(Lu dans Challenges avec AFP)

Autoroutes allemandes :payantes pour les étrangers ?

Autoroutes allemandes :payantes pour les étrangers ?

 

Une vignette payable par tous ( sorte d’écotaxe pour les automobiles) mais moins chère pour les allemands, c’est la combine envisagée par le gouvernement outre-Rhin. Une disposition évidemment totalement contraire à la philosophie européenne. L’Allemagne manque vraiment d’imagination car la France lorsqu’elle avait inventé la fameuse vignette c’était pour les vieux ! En plus ellen’ (était perçue qu’auprès des automobilistes français ! Les automobilistes étrangers devront donc s’acquitter de 5, 10 ou 15 euros pour une vignette valable dix jours, et de 16 à 30 euros pour une vignette valable deux mois, au grand dam des pays frontaliers et de la Commission européenne.  Pour la mise en place de cette vignette électronique, l’Allemagne a dû contourner les règles européennes puisqu’un péage applicable aux seuls étrangers y contreviendrait de manière éclatante. Le projet prévoit donc que la vignette soit payée par tous mais minore la taxe dont s’acquitte déjà tout propriétaire de voiture en Allemagne. Déjà validé par le Bundestag (chambre basse), le texte prévoit d’instaurer courant 2016 sur les autoroutes et routes nationales allemandes une vignette annuelle dont le montant, défini par l’âge de la voiture, la cylindrée du moteur et certains critères environnementaux, peut atteindre 130 euros. Les automobilistes étrangers devront ainsi s’acquitter de 5, 10 ou 15 euros pour une vignette valable dix jours, et de 16 à 30 euros pour une vignette valable deux mois. Selon le ministre, le mécanisme doit rapporter 500 millions d’euros supplémentaires par an, net de frais de fonctionnement, qui seront investis dans la maintenance et l’expansion du réseau routier de la première économie européenne. Cheval de bataille du CSU, petit frère bavarois du parti conservateur d’Angela Merkel et membre de la coalition au pouvoir, la promesse était porteuse dans une région où de nombreux habitants paient pour utiliser les autoroutes de l’Autriche et la Suisse voisines.

 

Chine : taxes sur les voitures allemandes

Chine : taxes sur les voitures allemandes

 

 

La guerre commerciale entre l’Europe et les Chine va-t-elle franchir une nouvelle étape? Après le vin, c’est au tour des importations de voitures européennes haut de gamme – donc essentiellement les berlines allemandes – d’être dans le viseur des autorités chinoises. Selon Les Echos , l’Empire du milieu plancherait sur l’instauration d’une taxe douanière aux importations. Une plainte aurait même été déposée par des constructeurs locaux auprès du ministère chinois du Commerce contre les constructeurs automobiles européens. Cet impôt concernerait spécifiquement les voitures dont la cylindrée vaut ou dépasse deux litres, rapporte le quotidien. Les produits ciblés sont donc davantage des véhicules de luxe, segment phare des constructeurs allemands.  La première puissance commerciale de la planète depuis l’an passé reproche aux constructeurs de ces berlines de vendre à perte et de bénéficier de subventions. «Nous pouvons confirmer qu’une plainte a été déposée en Chine. Mais nous ne sommes qu’à un stade très préliminaire de la procédure, ce qui ne veut pas dire qu’au final des droits de douane seront imposés aux Européens», confie le lobby représentant à Bruxelles l’industrie automobile européenne (ACEA). Si la Chine met cette menace à exécution, l’Allemagne serait en première ligne car avec Mercedes, BMW et Porsche le pays d’Angela Merkel se taille la part du lion sur les voitures de plus de deux litres exportées en Chine, selon l’ACEA. Plus globalement, un tel coup pourrait être difficile à digérer par le secteur automobile européen exsangue sur le Vieux Continent car une proportion importante des 250.000 voitures exportées en moyenne vers la Chine chaque année sont de grosses cylindrées. Hormis les Allemands, Ferrari ou Bentley sont également des marques très prisées des Chinois.




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