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Coronavirus Allemagne : moins qu’en France -60 000 cas- mais quand même 24.000 nouveaux cas en 24 heures

Coronavirus Allemagne : moins qu’en France -60 000 cas- mais quand même 24.000 nouveaux cas en 24 heures

 

Alors que la France flirte avec les 60 000 cas en 24 heures, l’Institut Robert Koch (RKI) pour les maladies infectieuses a enregistré 24.300 nouvelles infections au cours des dernières 24 heures, contre 17.051 la veille. Depuis le début de la pandémie, l’Allemagne a enregistré 2.833.173 infections. L’institut fait aussi état de 201 décès supplémentaires, contre 249 la veille. Depuis le début de la pandémie, 76.543 personnes sont mortes en Allemagne.

Agences de notation Allemagne : S&P confirme la note AAA et sa perspective stable

Agences de notation Allemagne : S&P confirme la note AAA  et sa perspective stable

L’agence S&P Global Rating confirme une nouvelle fois la note AAA de la dette à long terme de l’Allemagne.

 

«L’Allemagne reste l’un des émetteurs de dette souveraine les plus solvables au monde, une appréciation qui n’est pas écornée par l’augmentation de la dette et du déficit induite temporairement l’an dernier par la pandémie», résume l’agence de notation financière dans un communiqué. Celle-ci a aussi maintenu la perspective stable assortie à la note, s’appuyant sur «les formidables réserves budgétaire et externes ainsi que l’efficacité de ses institutions» qui «vont atténuer l’impact de la pandémie et faciliter la réponse politique du gouvernement» pour soutenir l’économie. Ces deux atouts combinés devraient «empêcher de laisser une cicatrice économique plus profonde et de détériorer sa capacité à remplir ses obligations financières au cours des deux-trois prochaines années», estime S&P Global Ratings.

Virus : grand succès des autotests en Allemagne

Virus : grand succès des autotests en Allemagne

 

Alors que la France s’apprête tout juste à commercialiser des autotests, ce mode de détection du virus connaît un énorme succès en Allemagne Pour certains Allemands, l’autotest de dépistage contre le Covid-19 est en train de devenir une routine. Il s’agit d’un prélèvement dans la narine, moins profond qu’un test classique, à mélanger pendant une minute dans un liquide. Il suffit de déposer trois gouttes sur une tablette et le résultat apparaîtra en quelques minutes. Depuis dix jours, les Allemands se ruent sur ces tests. Des files d’attentes à l’ouverture des magasins se forment car les stocks sont encore limités.

Dans les prochaines semaines, le gouvernement allemand promet un test gratuit par semaine pour tout le monde. Dans certaines écoles, ils sont déjà distribués aux enfants. Si le test est positif, selon les autorités sanitaires, il faut immédiatement réduire ses contacts et passer un test PCR classique, indispensable pour assurer la recherche des cas contacts. Même si les fabricants assurent que les tests sont fiables à plus de 95%, certains spécialistes mettent en garde sur leur efficacité.

Ruée sur les tests antigéniques en Allemagne

Ruée sur les tests antigéniques en Allemagne

A partir de lundi pour les Allemands pourront bénéficier d’un test antigénique gratuit par semaine et des kits de test à domicile pourront être achetés. Les Allemands se sont rués samedi sur les supermarchés de la chaîne Aldi pour acheter les premiers tests antigéniques contre le Covid-19 vendus dans le commerce, dont les stocks se sont épuisés en quelques heures.

 

Le gouvernement allemand compte sur la pratique massive des tests antigéniques pour mener sa stratégie de déverrouillage progressif du dispositif anti-Covid, face au mécontentement croissant de l’opinion, alors que le rythme des vaccinations demeure lent. La l’Allemagne comme le reste de l’Europe souffre d’un manque de vaccins par ailleurs l’opinion et donc de plus en plus rétifs par rapport aux mesures restrictives. Du coup qu’elle a Merkel est contraint de lâcher un peu de mou.

. Samedi, le pays a recensé 9557 nouveaux cas de coronavirus et 300 décès, selon l’institut Robert Koch.

Allemagne : une rallonge budgétaire COVID

Allemagne : une rallonge budgétaire COVID

 

Comme la France, l’Allemagne se résout à une rallonge budgétaire pour faire face aux conséquences du Covid  . Le projet actuel d’une nouvelle dette de 180 milliards d’euros cette année serait insuffisante pour soutenir la principale d’économie d’Europe. En France on a déjà largement rallongé le déficit qui est passé à 11,3 % du PIB en 2020 et qui est prévu à 8,5 % en 2021.

On note de ce point de vue un certain changement de philosophie en Europe compris au sein de la commission européenne sans doute inquiète d’une part de la croissance insolente de la Chine, d’autre part de l’énorme soutien américain à la croissance. Une croissance qui pourrait atteindre 8 % aux États-Unis en 2021 pour moins de 4 % en Europe

« Nous continuerons de lutter contre cette crise aussi longtemps que nécessaire », dit le ministre allemand dans un entretien à la chaîne Welt TV dont il a relayé le contenu via Twitter.

« Par conséquent, nous allons également accompagner les exigences pour faire face à cette pandémie, par exemple les tests, avec un budget supplémentaire », a-t-il ajouté.

Olaf Scholz a refusé de communiquer des montants précis. Il doit présenter le projet de budget le 24 mars.

Coronavirus Allemagne : mesures restrictives prolongées jusqu’au 7 mars

Coronavirus Allemagne : mesures restrictives prolongées jusqu’au 7 mars

 

La tendance à la baisse des chiffres d’infection n’a pas convaincu Merkel d’alléger le dispositif assez strict en Allemagne. Au contraire,  la chancelière a décidé de les prolonger jusqu’au 7 mars. Le nombre de nouvelles infections quotidiennes en Allemagne est en baisse, ce qui a incité certains dirigeants régionaux à faire pression pour un calendrier pour alléger le verrouillage, qui est en place depuis la mi-décembre. Mais les inquiétudes grandissent quant à l’impact de variantes plus infectieuses du virus sur le nombre de cas.

« Il y a beaucoup d’incertitude autour des mutants, et il est clair qu’ils prendront le dessus … C’est pourquoi nous devons réduire, baisser, baisser le nombre de cas », a déclaré Merkel aux journalistes lors d’une conférence de presse. .

En vertu de l’accord de mercredi, les salons de coiffure seront autorisés à rouvrir à partir du 1er mars. Le seuil d’une réouverture progressive du reste de l’économie a été resserré, visant un taux d’infection de 35 nouveaux cas au maximum pour 100 000 personnes sur sept jours. , contre 50 auparavant.

Mercredi, ce nombre était de 68, après avoir chuté de près de 200 fin décembre. C’était la dernière fois en dessous de 50 en octobre.

Au niveau de 35 cas pour 100 000, les magasins non essentiels, les musées, les services comme les salons de beauté seront autorisés à rouvrir.

Certaines exceptions seront faites. Les États individuels peuvent décider de la manière de redémarrer les classes.

Merkel, qui a adopté une approche prudente tout au long de la pandémie, a déclaré que les crèches et les écoles primaires étaient prioritaires.

Elle a déclaré mercredi que le gouvernement envisageait de déplacer les enseignants et le personnel des garderies vers le haut de la liste des priorités pour les vaccinations parce qu’ils ne sont pas en mesure de maintenir la distance sociale au travail.

On ne sait toujours pas quand la culture et les divertissements, les offres sportives, les restaurants et les hôtels reprendront leurs activités.

Allemagne : le successeur de Merkel , Armin Laschet , défend le gazoduc Nord stream

Allemagne : le successeur de Merkel , Armin Laschet , défend  le gazoduc Nord stream

 

 

 

Pour le remplaçant probable de Merkel pas question d’abandonner le gazoduc Nord stream qui permet d’acheminer le gaz de Russie jusqu’en Europe. L’intéressé se réfère clairement au principe de la realpolitik cher à l’Allemagne qui fait  souvent privilégier ses intérêts commerciaux par rapport aux valeurs démocratiques et à la solidarité européenne.

Il en est du projet de gaz avec la Russie comme il en est du projet d’accord des investissements réciproques entre la Chine et l’Allemagne. Un accord de principe poussé par l’Allemagne, accepté par l’union européenne mais contesté par la France qui a dû se coucher. Il en sera d’ailleurs de même sûrement pour l’accord Mercosur même si pour la forme la France manifeste encore quelques réticences sociale et environnementale.

Laschet, qui a remporté le mois dernier une élection à la direction des démocrates-chrétiens (CDU) de la chancelière Angela Merkel, a déclaré que les valeurs et les intérêts étaient importants dans la diplomatie. Et maintenant près du pouvoir l’intéressait envoie la démocratie à une préoccupation secondaire.

«les slogans moralisateurs et nationaux de bien-être ne sont pas de la politique étrangère», a déclaré Laschet, premier ministre de l’État allemand de Rhénanie du Nord-Westphalie, dans une interview centrée sur la compréhension de ses opinions peu connues sur les affaires internationales.

L’élection de Laschet à la présidence de la CDU fait de lui le favori pour succéder à la chancelière de Merkel, qui, après 15 ans de mandat, a déclaré qu’elle ne briguerait pas un cinquième mandat après les élections de septembre.

Interrogé directement sur la question de savoir si l’Allemagne devrait changer de cap et renoncer au gazoduc Nord Stream 2, Laschet a répondu: «Pendant 50 ans, même en cette période agressive de la guerre froide, l’Allemagne a acheté du gaz à l’Union soviétique, maintenant à la Russie. Le gouvernement allemand suit la bonne voie. »

L’Allemagne fait face à une pression croissante pour répudier Nord Stream 2 à propos de l’affaire Navalny: chez elle, de la part des écologistes Verts – partenaires potentiels de la coalition pour la CDU de Laschet – et à l’étranger des États-Unis et d’une grande partie de l’Europe.

Laschet a souligné qu’il avait critiqué l’attaque contre Navalny et son emprisonnement, et a également soutenu les sanctions de l’Union européenne contre la Russie au sujet de la crise ukrainienne.

«Nous devons garantir les intérêts géopolitiques de l’Ukraine et sécuriser notre approvisionnement énergétique grâce à ce projet du secteur privé», a-t-il déclaré à propos de Nord Stream 2.

Le projet, qui devrait être lancé cette année, a divisé l’UE, certains membres affirmant qu’il sapera l’Ukraine, État de transit de gaz traditionnel, et renforcera la dépendance énergétique de l’UE à l’égard de la Russie.

Les Verts écologistes allemands, le partenaire de coalition le plus probable pour la CDU et son parti jumeau bavarois après les élections de septembre, ont augmenté leur opposition au gazoduc à la suite de l’affaire Navalny.

Allemagne: le retour de l’inflation ?

Allemagne: le retour de l’inflation ?

 

Le retour de l’inflation en Allemagne peut paraître assez marginal avec une hausse de 1,6% en rythme annuel après une baisse de 0,7% en décembre. Le problème c’est que l’économie.- malgré sa bonne tenue comparée à d’autres–est en piteux état et que rien ne justifie une hausse alors que des masses de liquidités sont accessibles à des taux proches de zéro

On tente de justifier cette hausse mais ce n’est guère convaincant :

“En plus de la modification des taux de TVA, l’évolution des prix à la consommation pourrait avoir été influencée par d’autres facteurs comme le prix du CO2 et l’augmentation du salaire minimum légal à partir de janvier 2021”, précise Destatis dans un communiqué.

L’hypothèse la plus vraisemblable c’est que certains commencent à douter de la valeur réelle de la monnaie car la politique accommodante de la banque centrale européenne à inondé l’économie mais ne reflète plus sa valeur réelle. Du coup, tendanciellement et discrètement l’inflation pourrait renaître et réguler comme d’habitude cet extraordinaire décalage entre le volume monétaire et la valeur réelle de l’économie. En outre pour l’instant, l’euro ce porte plutôt bien par rapport à d’autres monnaies d’où les refuges massifs vers les obligations européennes et le doute sur des actifs plus incertains.

Allemagne : Armin Laschet, un proche d’Angela Merkel pour lui succéder

Allemagne : Armin Laschet, un proche d’Angela Merkel pour lui succéder

Au sein de la CDU ou, on a donc choisi un modéré proche d’Angela Merkel pour lui succéder. À l’issue d’un vote électronique, le président de la région de Rhénanie du Nord Westphalie, la plus grande et la plus riche du pays, a remporté 521 suffrages, contre 466 en faveur de son principal concurrent, le plus droitier Friedrich Merz. Le troisième candidat, Norbert Röttgen président de la Commission des affaires étrangères du Bundestag, avait été éliminé dès le premier tour, mais lors du second tour, les voix de ses supporters se sont majoritairement reportées sur le vainqueur.

« Nous allons veiller à ce que l’Union chrétienne démocrate fournisse le prochain chancelier », a dit le vainqueur du scrutin, qui aura besoin du soutien de la CSU bavaroise pour mener campagne en tant que chancelier. Or, si les sondages nationaux, postérieurs au scrutin interne de la CDU, devaient se révéler aussi médiocres qu’aujourd’hui, sa candidature nationale pourrait être écartée au profit du président de la CSU bavaroise, le très populaire Markus Söder. Selon un sondage de la chaîne RTL, seuls 8 % des Allemands estiment qu’Armin Laschet ferait un bon successeur à Angela Merkel.

 

Cette élection est décisive pour l’avenir de l’Allemagne : le vainqueur sera en effet en bonne position pour mener le camp conservateur aux élections de septembre et succéder à Angela Merkel, au pouvoir depuis 2005. Sans garantie toutefois : le choix devrait être fait au printemps et d’autres prétendants restent en embuscade, dans une Allemagne frappée de plein fouet par la deuxième vague pandémique.

 

Poids lourd de la politique allemande, il dirige depuis quatre ans le Land le plus peuplé du pays, la Rhénanie du Nord Westphalie. Samedi matin, il s’est automatiquement glissé dans le costume de favori pour être le prochain chancelier. La CDU aborde cette année électorale avec quasiment 20 points d’avance dans les sondages. Et si cela se maintient, elle décrochera la chancellerie en septembre, avec donc un nouveau chef complètement dans la lignée d’Angela Merkel.

Armin Laschet, qui aura 60 ans le mois prochain, est un fidèle de l’actuelle chancelière, un homme du centre qui a choisi d’être candidat au poste de président de la CDU avec un colistier, ce qui a renforcé son profil de joueur collectif, à l’écoute. « Vous me connaissez, vous pouvez me faire confiance », a-t-il affirmé dans son discours, samedi. « Je suis l’homme de la continuité ».

Catholique, Armin Laschet est originaire d’Aix la Chapelle et une partie de sa famille vient de Belgique. Il est marié à une francophone et d’après son frère, qui a fait l’arbre généalogique des Laschet, il serait le descendant au 40ème degré de Charlemagne.

En vue de cette élection, Armin Laschet disposait de plusieurs atouts. Ce modéré, ancien journaliste aux yeux rieurs, marche en effet dans les pas de la populaire chancelière. Dans un discours diffusé vendredi soir à l’ouverture du congrès, Angela Merkel a laissé deviner sa préférence pour « l’équipe » qu’il forme avec le ministre de la Santé, Jens Spahn.

Armin Laschet peut plaire à l’électorat centriste et, s’il est candidat en septembre, bâtir une éventuelle coalition avec les Verts, la deuxième force du pays. Mais sa gestion de l’épidémie à la tête de la Rhénanie du nord-Westphalie, région la plus peuplée d’Allemagne, lui a valu de nombreuses critiques. Armin Laschet a en effet plaidé au printemps pour un assouplissement des restrictions jugé trop précoce par les experts.

Coronavirus Allemagne : contrôles aux frontières

Coronavirus Allemagne : contrôles aux frontières  

L’Allemagne qui entend maintenir les mesures très restrictives jusqu’en avril entend aussi renforcer les contrôles aux frontières

« Si nous ne parvenons pas à arrêter ce virus britannique, nous aurons 10 fois plus de cas d’ici à Pâques. Nous avons besoin de huit à dix semaines supplémentaires de mesures strictes », a déclaré Angela Merkel, selon des propos rapportés par Bild.

« Merkel a déclaré que les huit à 10 semaines à venir seraient très difficiles si la variante britannique se propageait en Allemagne », en en référence à une augmentation par 10 du nombre d’infections en Irlande liée au variant du coronavirus.

L’Allemagne a décidé le 5 janvier de prolonger et de durcir jusqu’à la fin du mois les mesures de confinement en vigueur dans le pays par crainte que le nouveau variant de coronavirus découvert en Angleterre, jugé plus contagieux, ne mette à genoux son système de santé.

L’Institut Robert Koch (RKI) pour les maladies infectieuses a fait état mardi de 12.802 nouveaux cas de contamination en Allemagne, tandis que le nombre de morts depuis le début de l’épidémie a augmenté de 891 à 41.577.

Coronavirus Allemagne : 17 000 cas mais 40 000 morts en tout

Coronavirus Allemagne : 17 000 cas mais 40 000 morts en tout

 

Plus de 1,9 million de personnes ont été contaminées jusqu’à présent, avec près de 17.000 nouveaux cas comptabilisés depuis samedi. En tout l’Allemagne a enregistré 40 000 morts.

L’Allemagne, pays le plus peuplé de l’Union européenne avec quelque 83 millions d’habitants, peine à endiguer la pandémie. Elle a été durement frappée par la deuxième vague du virus après avoir été relativement épargnée par rapport à nombre d’autres pays européens durant la première phase. Le pays vient de prolonger et renforcer confinement partiel jusqu’au 31 janvier et incite les citoyens à réduire encore davantage leurs contacts.

Plus de 5.000 malades du Covid-19 se trouvent actuellement en soins intensifs en Allemagne et plus de 80% des lits dans les services de soins intensifs sont occupés.

Les écoles comme la plupart des magasins non-alimentaires, les bars, restaurants, équipements culturels, sportifs et de loisirs sont fermés jusqu’à fin janvier.

Croissance Allemagne: Hausse surprise des ventes au détail en novembre

Croissance Allemagne: Hausse surprise des ventes au détail en novembre

Une hausse un peu surprise des ventes de détail en novembre pour l’Allemagne. Une tendance qui semble indiquer que l’Allemagne sort nettement du rouge en matière de croissance

Les ventes au détail – un indicateur volatile et souvent sujet à révision – ont progressé de 1,9% en termes réels en novembre après une hausse de 2,6% en octobre.

Les économistes interrogés par Reuters s’attendaient à une baisse mensuelle de 2,0% en novembre.

Sur un an, elles affichent une hausse plus forte qu’anticipée de 5,6% après une hausse de 8,6% (chiffre révisé) en octobre.

Les économistes interrogés par Reuters s’attendaient à une hausse annuelle de 3,9% en novembre.

UE-France Allemagne : rivaux ou partenaires ?

UE-France Allemagne : rivaux ou partenaires ?

 

Il est clair que la France et l’Allemagne sont les piliers de l’Europe. Ils sont souvent partenaires pour faire avancer l’intégration européenne mais aussi rivaux assez souvent quand il s’agit de sauvegarder les intérêts réciproques. De ce point de vue, Merkel  a indiscutablement imposé le poids dominant de l’Allemagne en Europe et Macron a surtout réussi à parler mais rarement à influencer le fond. Par exemple concernant ce projet sur les investissements réciproques entre l’union européenne et la Chine surtout voulu par l’Allemagne et contesté en vain  la France.

 

 

Projections, peurs et fascinations croisées, rien n’a jamais été simple depuis deux siècles entre ces nations voisines, expliquent les historiens Hélène Miard-Delacroix et Andreas Wirsching dans un livre commun.

 

 

Rien ne peut se faire en Europe sans entente entre la France et l’Allemagne ; mais tout peut s’y défaire quand ces deux pays agissent sans tenir compte l’un de l’autre. L’année 2020 a rappelé la vérité de cet adage. Après une première phase dominée par le retour du chacun pour soi, dont le symbole fut la décision de fermer brutalement les frontières dans l’espoir de freiner la circulation du Covid-19, fin mars 2020, l’« initiative franco-allemande » présentée par Emmanuel Macron et Angela Merkel, le 18 mai 2020, a posé les bases d’un plan de relance européen. Son caractère historique ne doit pas être sous-estimé : pour la première fois, la Commission de Bruxelles va pouvoir emprunter sur les marchés financiers de l’argent qui sera ensuite versé aux Etats membres de l’Union européenne sous forme de subventions et non de prêts.

Comme l’écrivent les historiens Hélène Miard-Delacroix et Andreas Wirsching, « la pandémie de coronavirus a bouleversé bon nombre des données qui semblaient figées ». La suspension brutale de la liberté de circulation des personnes, d’abord : qui aurait cru que même « les gouvernements les plus attachés à cet acquis », comme ceux au pouvoir à Paris et à Berlin, aient « le réflexe ancestral de la fermeture des frontières nationales » ? La défense de la solidarité financière, ensuite : qui aurait imaginé que l’Allemagne, en quelques semaines, se rallie à l’idée d’une dette commune européenne, « véritable virage à 180 degrés » par rapport aux positions défendues par la chancelière allemande ces dernières années ?

Pour comprendre comment de tels revirements ont été possibles, le recours à l’histoire est nécessaire. Et c’est précisément ce que proposent la Française Hélène Miard-Delacroix, professeure à Sorbonne Université, et l’Allemand Andreas Wirsching, professeur à l’université Ludwig-Maximilians de Munich, dans cet ouvrage issu d’un dialogue à bâtons rompus sans prétention à l’exhaustivité mais passionnant quant à la lecture qu’il propose de deux siècles de relations franco-allemandes.

Une question de représentation

Intitulé Ennemis héréditaires ? – le point d’interrogation est ici essentiel –, leur livre rappelle en effet à quel point les relations entre les deux pays sont d’abord une question de représentation. On l’a oublié, mais jusqu’au deuxième tiers du XIXe siècle, c’est la France qui faisait peur à l’Allemagne, et non l’inverse. Marqués par le souvenir de Louis XIV puis de Napoléon, les Allemands, en effet, ont longtemps vu les Français comme un peuple « avide de conquêtes et de pillages ». C’est seulement après la guerre de 1870-1871, racontent les deux historiens, que la France commença à « s’inquiéter de l’agressivité de l’Allemagne ».

Le Monde

Coronavirus Allemagne : reconduite des restrictions

Coronavirus Allemagne : reconduite des restrictions

L’Allemagne a compté 134 546 cas en sept jours, soit une moyenne de près de 20 000 cas par jour. L’Allemagne considérée comme un bon élève dans la gestion du Coronavirus lors de la première phase par contre  connaît actuellement un développement de la pandémie qui devient difficile à contrôler. En outre, il souffle dans le pays un vent anti confinement.

 

Angela Merkel, dont la popularité reste très élevée à moins d’un an de son départ de la chancellerie, n’a pas été en mesure au début de l’automne d’imposer des mesures plus strictes à des régions inquiètes de la perte d’activité économique. La gestion de la deuxième vague confine ainsi au «grand échec», selon le quotidien Die Welt, pointant «hésitations, querelles de compétences et erreurs stratégiques».

 

L’Allemagne va pouvoir miser, selon le ministère de la Santé, sur un total combiné de plus de 140 millions de doses de vaccins BioNTech et Moderna. Quelque 670.000 doses devraient être livrées le 8 janvier par BioNTech. Le gouvernement étudie aussi la possibilité d’étendre au maximum la période entre les deux injections pour permettre la vaccination de plus de patients avant la rupture des stocks.

Coronavirus Allemagne : 1000 morts en 24 heures

Coronavirus Allemagne : 1000 morts en 24 heures

L’Allemagne a enregistré un record, mercredi, en subissant pour la première fois plus de 1.000 décès en une journée. Et le bilan publié jeudi n’est guère meilleur : 32.552 cas de plus que la veille, et 964 morts supplémentaires, ce qui porte le total à plus de 33.000 morts depuis le début de l’épidémie dans le pays.

 

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