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Chine : forte baisse de l’activité en août et menaces sur l’économie mondiale

Chine : forte baisse de  l’activité en août et menaces sur l’économie mondiale

La nouvelle baisse de l’activité manufacturière en Chine ne va pas rassurer les  investisseurs et elle risque de peser sur la croissance mondiale. Pour la zone euro par exemple, les échanges avec la Chine représentent environ 10% du PIB européen. La baisse de cette activité manufacturière était jusque-là compensée par la hausse des services mais qui eux  aussi régressent. En cause la faiblesse des commandes extérieures comme celle de la consommation intérieure. À cela s’ajoute une crise du système financier que ne parvient pas à endiguer la Banque centrale. La contraction de l’activité du secteur manufacturier s’est encore accélérée en août, à son rythme le plus soutenu depuis six ans et demi, montrent les résultats définitifs de l’enquête mensuelle Caixin/Markit auprès des directeurs d’achats. L’indice PMI a reculé à 47,3 le mois dernier, son plus bas niveau depuis mars 2009, après 47,8 en juillet. Bien que légèrement supérieur à la première estimation « flash » (47,1), il marque un sixième mois consécutif de contraction de l’activité. L’emploi est en recul pour le 22e mois consécutif et les nouvelles commandes restent dans le rouge pour le deuxième mois d’affilée, le sous-indice tombant à 46,6 en août, soit sa contraction la plus forte depuis mars 2014.  La croissance du secteur des services a ralenti en août par rapport au mois précédent, montre l’indice PMI officiel publié mardi. L’indice est retombé à 53,4 le mois dernier contre 53,9 en juillet. Ce ralentissement, après une très légère hausse en juillet par rapport à juin, ajoute aux inquiétudes qui pèsent sur l’économie chinoise, le secteur des services ayant représenté l’an dernier 48,2% du PIB, contre 42,6% pour le secteur manufacturier et la construction.

 

Les bourses en baisse: pourquoi ?

Bourses  en baisse : pourquoi ?

 

Première raison, la bourse a trop monté et on assiste à des prises de bénéfices. Les bourses ont dévissé et pas seulement à Paris ( -10% en six séances à Paris)  . Autre cause  cause la  diminution des prix du pétrole.  Les cours du pétrole, en baisse de plus de 40% depuis le mois juin en raison d’une offre excédentaire, continuent leur glissade, à un plus bas de cinq ans. Bien entendu l’évolution des cours du pétrole influence la tendance à la déflation dans nombre de pays mais on pourrait objecter que des cours bas constituent un soutien à l’économie. En vérité, c’est la conjoncture mondiale qui est très inquiétante avec une croissance atone en Europe mais aussi dans nombre de pays émergents  (Russie, Amérique du sud etc.). Autre élément avancé les politiques monétaires  avec le ralentissement de rachats d’actifs aux Etats-Unis de la part de la FED, le relatif échec des opérations de refinancement de la BCE, les atermoiements de la banque centrale européennes pour les rachats d’obligations souveraines. Des éléments à prendre en compte mais la politique monétaire ne peut pas tout, il convient d’articuler politique monétaire, politique budgétaire et réformes structurelles, dans  ces domaines la cohérence n’est pas pour demain.  Ce qui peut surtout nourrir l’inquiétude c’est la conjoncture en Chine.  Après le net ralentissement de l’inflation ces derniers mois, nombre d’experts ont pointé la menace de tensions déflationnistes, témoin de l’essoufflement persistant de l’économie chinoise et de l’affaiblissement de la demande intérieure.  L’activité manufacturière n’a pratiquement pas progressé en novembre après déjà un mois d’octobre décevant. En cause une demande intérieure assez atone et surtout une grande faiblesse de la demande extérieure. Le signe sans doute que la crise mondiale est loin d‘être écartée. Au delà de l’activité manufacturière, c’est toue l’industrie qui es touchée et la croissance avec. L’activité manufacturière en Chine a ralenti en novembre, à son plus faible rythme de croissance depuis huit mois, a indiqué cette nuit le gouvernement, tandis que la banque HSBC faisait état d’une stagnation – des chiffres confirmant l’essoufflement de la deuxième économie mondiale. L’indice PMI des directeurs d’achat calculé par le Bureau national des statistiques (BNS) s’est établi pour le mois dernier à 50,3, contre 50,8 en octobre, a annoncé cette autorité gouvernementale dans un communiqué. Un chiffre supérieur à 50 marque une expansion de l’activité manufacturière, tandis qu’un indice inférieur à ce seuil signale une contraction ; enfin il faut surtout s’attendre à des prise de bénéfices d’ici la fin de l’année car l’évolution des bourses est déconnectée de l’évolution de la croissance (et des profits futurs).

 

 

Sondage confiance économie : encore en baisse

Sondage confiance économie : encore en baisse

Les Français perdent un peu plus confiance dans l’avenir économique du pays. Moins d’un quart d’entre eux se déclare « plutôt plus confiant » depuis ces dernières semaines, soit deux points de moins que le mois dernier, selon le baromètre BVA-BFM-Challenges-Axys paru ce jeudi 3 avril. En revanche, près des trois-quarts des sondés se disent « plutôt moins confiants ». Le gouvernement de Manuel Valls, annoncé mardi 2 avril, redonnera confiance aux Français ? En effet, ce sondage a été réalisé les 27 et 28 mars, avant le second tour des Municipales et le remaniement.  Selon ce baromètre, une seule mesure parait efficace aux yeux des Français pour stimuler la croissance: « réduire fortement les dépenses publiques« . Cette idée est reprise aussi bien par les sympathisants de droite (87%) que de gauche (62%). Les autres mesures seraient même jugées « peu » voir « pas du tout efficace ». Ainsi, 37% seulement des personnes interrogées estiment que « moins taxer les revenus du capital que ceux du travail pour favoriser l’investissement » serait efficace pour stimuler la croissance. 27% seulement des Français jugent par ailleurs que « supprimer les cotisations familiales payées par les entreprises en compensant ce manque à gagner par une hausse de la TVA ou de la CSG » constituerait une mesure efficace. Et moins d’un Français sur quatre (23%) estime par ailleurs que le gel du Smic afin de limiter les freins à l’embauche serait efficace pour stimuler la croissance.




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